Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Difficile d’ignorer que le film finit par se faire rattraper par son sujet. Peu importe, tant Jonathan Glazer aura jusque-là essaimé son film d’hallucinations fortes, de chimères impressionnantes, de transfigurations glaçantes, qui nous hanteront encore longtemps.
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Rendre l'étonnement, et donc rendre le regard tout court, en racontant la vie d'un œil : c'est le programme d'"Under the skin", et c'est à la fois le programme le plus simple, le plus puissant, et le plus essentiel qui soit.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Scarlett Johansson en alien chasseuse d'hommes : fascinant.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Tout comme l'objet de leur désir est autre qu'une femme, "Under the skin" est un film autre, un alien. [C'est] un récit de science-fiction, un poème érotique et romantique, un labyrinthe de miroirs qui exacerbe délicieusement les ambiguïtés du jeu dramatique. L'un des longs-métrage les plus excitants que l'on ait vus ces derniers mois.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un film fascinant qui, sous la peau de la science-fiction, interroge le statut de la star Scarlett Johansson et, plus largement, la puissance du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Gérard Delorme
En oubliant la dimension satirique du roman et en le débarrassant d'explications finalement inutiles, le réalisateur a épuré l'histoire jusqu'à friser l'abstraction. Le résultat est une plongée dans un monde de pures sensations, fruit d'une harmonie inouïe entre l'image et le son.
Télérama
par Louis Guichard
Ce cinéma regorge d'audaces, y compris celle d'un fantastique économe en effets spéciaux. Pour une fois, le label galvaudé s'impose absolument : un film ovni.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un ovni à tête de star, formellement très beau, sombre, surréaliste, déroutant.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Voici sans conteste l'un des objets les plus étranges et fascinants sorti récemment sur les écrans [...]. La preuve que le cinéma n'a pas besoin de la 3D pour nous procurer des expériences nouvelles.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La magnifique mise en abîme, narrative et visuelle, des victimes plongées dans une étrange eau noire, les ténèbres absolues des teintes, la parcimonie des dialogues… participent d’un film ambitieux et unique dans le champ des rares films de science-fiction adultes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Voilà un film réellement à part, qui tisse des liens nombreux avec le cinéma de SF sans pour autant s'apparenter à aucun titre précis, un film ardu parfois à la limite du surréalisme, mais qui laissera une très forte empreinte.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le plus remarquable à propos de ce film de science-fiction aussi hors norme que minimaliste, c'est qu'une actrice en vue comme Scarlett Johansson n'ait pas hésité à s'y risquer.
Le Parisien
par Alain Grasset
Le réalisateur utilise une mise en scène esthétisante et poétique (...). Etonnant et quand même prenant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Le très beau film (et très particulier) de Jonathan Glazer se veut être une expérience sensorielle, tactile, auditive, comme le cinéma tente parfois d'en proposer. Musique hypnotisante, lenteur planante : notre univers est vu de l'extérieur (…) On est dans une science-fiction qui ne fictionne guère sur notre réel.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Plastiquement splendide, “Under the Skin” regarde la Terre comme une planète étrangère. Son dispositif seul, glaçant autant que systématique, ne saurait en amoindrir le trouble et la beauté.
Libération
par Julien Gester
Un film au sensorialisme supérieur, pur récit plastique dont la lumière serait le principal agent, et l’actrice, l’écran absolu de ses projections numériques, l’alambic roi de ses passions glaciaires.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Pour tout dire, rarement une oeuvre aura retranscrit avec une telle acuité la sensation d'être étranger à son corps.
Metro
par Marilyne Letertre
Un vrai film d’auteur radical, dépouillé, clinique mais scotchant si vous acceptez de vous laisser embarquer dans cet univers à nul autre pareil.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Yannick Vely
"Under the Skin" séduira, désorientera, bouleversera, choquera ou ennuiera. Mais il laissera personne indifférent, ce qui, en ces temps d’aseptisation générale des codes cinématographiques, est ô combien stimulant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
"Under the Skin" nous balade d'effets numériques glaçants en tableaux désolés pour nous égarer dans une fable d'une élégante désespérance. Entre bluff et réelles intuitions de mise en scène, cet essai trouve peut-être sa vraie dimension dans la richesse de sa bande-son.
TF1 News
par Romain Le Vern
Le final organique et illuminé d'"Under The Skin", ravivant les vertiges du "Possession" de Andrzej Zulawski et du "Sombre" de Philippe Grandrieux, pourrait bien être l'une des visions les plus poétiques que vous verrez cette année au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Frédéric Mercier
"Under the skin" se fait alors documentaire extraterrestre, sorcier sur l'humanité. Dans ce film où le mystère est l'essence des choses, l'élucidation, l'interprétation achopperont toujours. Il faut changer nos réflexes de spectateur (...). Splendide ambition, accomplie, qui consiste à faire de nous des spectateurs neufs.
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Il continue de questionner la psyché féminine ainsi que notre rapport aux apparences et à l'identité physique avec ce trip sensoriel, anxiogène et formellement splendide dont la radicalité n'empêche pas une fin déchirante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Projet indomptable qui aime s’égarer dans ses propres vertiges esthétiques, Under the skin est une troublante leçon de cinéma, la convocation d’un univers personnel qui déconstruit toutes les formules du genre, pour ne ressembler qu’à lui-même.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de "Sexy Beast" (2000) et de "Birth" (2004) offre quelques séquences de mises à mort virtuoses. On peut se laisser envoûter par ses choix esthétiques très présents ou descendre de la cammionnette de son héroïne en marche. Richesse visuelle ou manièrisme ? C'est question de goût et de point de vue...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Benoît Smith
"Under the Skin", volontairement ou non, ressemble singulièrement à son personnage : sous une peau trop parfaitement dessinée pour être honnête, il se révèle habité par une âme discrète mais véritable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film étrange, entre polar fantastique et création d’art contemporain, où Scarlett Johansson se met à nu : même s’il faut beaucoup attendre, ça vaut le voyage…
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Si on entrevoit les limites de cette mécanique qui, néanmoins, tourne un peu à vide, comme un clip "Under the skin" avec son rythme languissant, son économie de moyens et ses non-dits, marque l'esprit de façon durable. Un récit crépusculaire et résolument charnel.
Public
par La Rédaction
Envoûtant, mais un peu obtus.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Cahiers du Cinéma
Difficile d’ignorer que le film finit par se faire rattraper par son sujet. Peu importe, tant Jonathan Glazer aura jusque-là essaimé son film d’hallucinations fortes, de chimères impressionnantes, de transfigurations glaçantes, qui nous hanteront encore longtemps.
Chronic'art.com
Rendre l'étonnement, et donc rendre le regard tout court, en racontant la vie d'un œil : c'est le programme d'"Under the skin", et c'est à la fois le programme le plus simple, le plus puissant, et le plus essentiel qui soit.
La Voix du Nord
Scarlett Johansson en alien chasseuse d'hommes : fascinant.
Le Monde
Tout comme l'objet de leur désir est autre qu'une femme, "Under the skin" est un film autre, un alien. [C'est] un récit de science-fiction, un poème érotique et romantique, un labyrinthe de miroirs qui exacerbe délicieusement les ambiguïtés du jeu dramatique. L'un des longs-métrage les plus excitants que l'on ait vus ces derniers mois.
Les Inrockuptibles
Un film fascinant qui, sous la peau de la science-fiction, interroge le statut de la star Scarlett Johansson et, plus largement, la puissance du cinéma.
Première
En oubliant la dimension satirique du roman et en le débarrassant d'explications finalement inutiles, le réalisateur a épuré l'histoire jusqu'à friser l'abstraction. Le résultat est une plongée dans un monde de pures sensations, fruit d'une harmonie inouïe entre l'image et le son.
Télérama
Ce cinéma regorge d'audaces, y compris celle d'un fantastique économe en effets spéciaux. Pour une fois, le label galvaudé s'impose absolument : un film ovni.
Voici
Un ovni à tête de star, formellement très beau, sombre, surréaliste, déroutant.
Charlie Hebdo
Voici sans conteste l'un des objets les plus étranges et fascinants sorti récemment sur les écrans [...]. La preuve que le cinéma n'a pas besoin de la 3D pour nous procurer des expériences nouvelles.
Franceinfo Culture
La magnifique mise en abîme, narrative et visuelle, des victimes plongées dans une étrange eau noire, les ténèbres absolues des teintes, la parcimonie des dialogues… participent d’un film ambitieux et unique dans le champ des rares films de science-fiction adultes.
L'Ecran Fantastique
Voilà un film réellement à part, qui tisse des liens nombreux avec le cinéma de SF sans pour autant s'apparenter à aucun titre précis, un film ardu parfois à la limite du surréalisme, mais qui laissera une très forte empreinte.
L'Humanité
Le plus remarquable à propos de ce film de science-fiction aussi hors norme que minimaliste, c'est qu'une actrice en vue comme Scarlett Johansson n'ait pas hésité à s'y risquer.
Le Parisien
Le réalisateur utilise une mise en scène esthétisante et poétique (...). Etonnant et quand même prenant.
Le Point
Le très beau film (et très particulier) de Jonathan Glazer se veut être une expérience sensorielle, tactile, auditive, comme le cinéma tente parfois d'en proposer. Musique hypnotisante, lenteur planante : notre univers est vu de l'extérieur (…) On est dans une science-fiction qui ne fictionne guère sur notre réel.
Les Fiches du Cinéma
Plastiquement splendide, “Under the Skin” regarde la Terre comme une planète étrangère. Son dispositif seul, glaçant autant que systématique, ne saurait en amoindrir le trouble et la beauté.
Libération
Un film au sensorialisme supérieur, pur récit plastique dont la lumière serait le principal agent, et l’actrice, l’écran absolu de ses projections numériques, l’alambic roi de ses passions glaciaires.
Mad Movies
Pour tout dire, rarement une oeuvre aura retranscrit avec une telle acuité la sensation d'être étranger à son corps.
Metro
Un vrai film d’auteur radical, dépouillé, clinique mais scotchant si vous acceptez de vous laisser embarquer dans cet univers à nul autre pareil.
Paris Match
"Under the Skin" séduira, désorientera, bouleversera, choquera ou ennuiera. Mais il laissera personne indifférent, ce qui, en ces temps d’aseptisation générale des codes cinématographiques, est ô combien stimulant.
Positif
"Under the Skin" nous balade d'effets numériques glaçants en tableaux désolés pour nous égarer dans une fable d'une élégante désespérance. Entre bluff et réelles intuitions de mise en scène, cet essai trouve peut-être sa vraie dimension dans la richesse de sa bande-son.
TF1 News
Le final organique et illuminé d'"Under The Skin", ravivant les vertiges du "Possession" de Andrzej Zulawski et du "Sombre" de Philippe Grandrieux, pourrait bien être l'une des visions les plus poétiques que vous verrez cette année au cinéma.
Transfuge
"Under the skin" se fait alors documentaire extraterrestre, sorcier sur l'humanité. Dans ce film où le mystère est l'essence des choses, l'élucidation, l'interprétation achopperont toujours. Il faut changer nos réflexes de spectateur (...). Splendide ambition, accomplie, qui consiste à faire de nous des spectateurs neufs.
TéléCinéObs
Il continue de questionner la psyché féminine ainsi que notre rapport aux apparences et à l'identité physique avec ce trip sensoriel, anxiogène et formellement splendide dont la radicalité n'empêche pas une fin déchirante.
aVoir-aLire.com
Projet indomptable qui aime s’égarer dans ses propres vertiges esthétiques, Under the skin est une troublante leçon de cinéma, la convocation d’un univers personnel qui déconstruit toutes les formules du genre, pour ne ressembler qu’à lui-même.
20 Minutes
Le réalisateur de "Sexy Beast" (2000) et de "Birth" (2004) offre quelques séquences de mises à mort virtuoses. On peut se laisser envoûter par ses choix esthétiques très présents ou descendre de la cammionnette de son héroïne en marche. Richesse visuelle ou manièrisme ? C'est question de goût et de point de vue...
Critikat.com
"Under the Skin", volontairement ou non, ressemble singulièrement à son personnage : sous une peau trop parfaitement dessinée pour être honnête, il se révèle habité par une âme discrète mais véritable.
Le Dauphiné Libéré
Un film étrange, entre polar fantastique et création d’art contemporain, où Scarlett Johansson se met à nu : même s’il faut beaucoup attendre, ça vaut le voyage…
Le Journal du Dimanche
Si on entrevoit les limites de cette mécanique qui, néanmoins, tourne un peu à vide, comme un clip "Under the skin" avec son rythme languissant, son économie de moyens et ses non-dits, marque l'esprit de façon durable. Un récit crépusculaire et résolument charnel.
Public
Envoûtant, mais un peu obtus.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.