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Didier L.
2 abonnés
8 critiques
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1,0
Publiée le 20 octobre 2013
ouch ! Quelle deception. que de bavardages interminables et sans intérêt. certes des scènes d actions impressionnantes, mais il y en que trois. au final on s ennuie ferme.
Ce film est un chef-d'oeuvre de style, des images magnifiques, des plans qui changent (la porte de la voiture)... Et le jeux d'acteurs de chaque personnages est une réussite. Cependant, un reproche peut être fait : trop de de personnages, on se perd dans les noms et du coup on a un peu de mal à suivre mais ce film reste très bien réalisé. Great!
Un excellent film noir à mi-chemin entre Scorcese et les frères Cohen. Brad Pitt crève l'écran, comme d'habitude, sur un fond d'Amérique au bord du gouffre magnifiquement dépeinte par la mise en scène. A voir !
La déception est grande pour Cogan : Killing Them Softly !! Dans un film de genre, on s'attend à ce que ça bouge et on se retrouve dans des dialogues interminables entre les personnages. Brad Pitt a surement jouer dans ce navet pour le cash, ce n'est surement pas pour le scénario. D'ailleurs, on ne le voit pas beaucoup dans le film, pas plus que Liotta et Jenkins qui sont avec Pitt en tête d'affiche comme si c'était les personnages principaux. Vous remarquerez que tout les gros noms ne sont pas les personnages principaux, ils ne passe que quelques brefs moments dans le film. On appelle ça du marketing ! Malheureusement, je me suis fait avoir !! Je me suis fié à la bande annonce qui ne correspondait pas du tout à la réalité du film. En résumé : ennuyant et un film qui sent le manque de budget ou d'imagination.
Thriller noir qui tarde à décoller, trop bavard pas assez rythmé, Brad Pitt et consœurs ne parviennent jamais à sublimer une idée de base séduisante qui rappelle les polars des frères Cohen. La crise économique véhiculée dans ce film se voit aussi dans le minimum insufflé au scénario.
ce n'est pas un mauvais film ; l'ambiance est sympa mais ça manque de rythme et de scènes plus percutantes a mon gout mais ce film a du style , il ne faut pas lui l'enlever !
Andrew Dominik est un réalisateur qui divise, loué ici pour son style original, honni là pour son post-modernisme prétentieux et creux. Autant l'avouer, après la vision de son "Cogan : Kill Them Softly", je me range sans une hésitation dans le second camp : voici des années que je n'avais pas vu un film aussi pénible, interminable succession de scènes glauques où des personnages artificiellement repoussants dialoguent, interrompue de temps à autre par une poussée de violence malsaine et outrée. Pas de second degré pourtant, pas de mise en perspective - humoristique ou... conceptuelle comme chez Tarentino par exemple, juste un exercice de style plein de morgue, voire de mépris pour ses personnages pitoyables (ou impitoyables, ce qui revient ici au même). Pire, le dit Dominik a décidé de nous infliger en outre un message définitif, asséné par un Brad Pitt pour une fois pénible de virilité surjouée, juste avant le mot fin, pour qu'on comprenne bien la profondeur et la pertinence de celui ci : le capitalisme tue, Obama est un hypocrite ou un naïf, les USA ne sont pas un pays, mais un business ! Chapeau, Andrew, tu es un penseur profond en plus d'être un metteur en scène génial ! Je suppose que chez les ricains, "Cogan" est considéré comme un dangereux brûlot politique ! Bon, il vaut mieux en rester là, tant de formalisme imbécile et prétentieux est vraiment insupportable...
Cogan, killing them softly apporte un regard nouveau sur le milieu de la pègre que l’on ne reconnait pas. Depuis quand les mafiosos n’ont pu d’argent à placer sur leur livret jeune et sur les tables de jeu ?!
L’image manichéenne est stylisée à son meilleur (bravo à toi jeune chef op) et l’esthétique contextualise, à elle seule, le propos du film. Pourquoi manichéen ? Parce qu’à la manière d’un Gaspar Noé, notre ami Dominik, Andrew de son prénom, fait cohabiter dans un même cadre, le beau et le moche, le laid. Beauté technique et esthétique côtoient autant les travellings optiques que la misère social avec ces vision de quartier déserts, délabrés (à la manière de ces compatriotes David Michôd et Justin Kurzel avec Animal Kingdom et Les Crimes de Snowtown).
J’ai eu le sentiment que l’histoire de gangster et de truands est, d’une certaine manière, un prétexte pour décrire la réalité sociale de ces villes d’Amérique qui ont perdu leur attrait, leurs lumières. Du moins, le côté thriller et portrait d’un milieu social sont presque à un même niveau. Quant à elle, la mise en scène permet de magnifier cette société actuelle où gansters et personnages lamdas se retrouvent directement touchés par la crise.
L’omniprésence des médias (affiches de personnages politiques, discours prononcés et bilans économiques tirées par la radio) sont des vecteurs directs servant à exprimer cette réalité sociale : la crise s’insère même dans la composition musicale et participe directement au montage. Les écrans de télévision servent de lien entre les séquences du film et la radio permet d’inscrire le film dans cette époque, la nôtre, où quotidien rime avec crise économico-socialo-politiquo … Bref, la merde quoi !
Je pense que l’on peut parler de réalisme voire d’hyperréalisme quand on voit la retranscription des effets de l’héroine ou de la méth sur l’audition et la vision. Elle nous permet de jongler entre les corps de ces anti-héros. Les ralentis et autres slow-motion époustouflants assaisonnent les scènes de tueries (merci au grand Tarantino) d’un peu de « douceur ».
Les dialogues à rallonge dilatent l’espace temporel à la manière d’un flacon de poppers bien utilisé. Ils nous apprennent beaucoup sur la psychologie des personnages (c’est rare qu’un film de 1h30 arrive à s’intéresser et apporter de la profondeur à tant de personnages) et, par les quiproquos, les intérêts variés des protagonistes, le langage crue, apportent un caractère comique et rendent ces personnages grotesques en plus d'attachants (mention spéciale à M. Pitt bien évidemment).
En résumé un bon film qui n’est celui de la bande-annonce. Les scènes prennent un peu plus de temps pour se succéder :)
Une débauche de paroles sans saveurs qui aboutie à un film en courbes, avec des scènes d'action intenses et des inepties dites avec mélodrame mais qui n'apporte rien au film. Ce n'est clairement pas une réussite malgré une scénario à la « Snatch »
Circuler il y a rien a voir dans ce film. Un début très très lent, une lenteur qui continu jusqu'à la fin du film. Il y a rien a retenir d'un tel film au scénario agacent qui compte beaucoup trop de dialogue à mon goût. Je suis encore gentil quand je donne la note de 1,5/5.
Je ne comprends pas ce manque d'étoiles pour ce film. Visiblement certains n'ont pas du comprendre pourquoi l'on voyais Obama en toile de fond et qu'à un moment on a pu percevoir le nom de la célèbre banque Goldman Sachs. Il est clair que si l'on joue à la PS3 et qu'on lève les yeux uniquement au son des coups de flingues le film restera surement incompris. Certes je conçois qu'il faut se creuser un peu les méninges. Et les images ? et la musiques ? c'est pas bon tout ça ?. Remarque il faut dire que j'aime les ambiances Tarantino, Coen, schumacher etc... alors effectivement on peu penser que j'ai un parti pris. Film à revoir au calme et lire les ST des vois off
Un très bon polar sombre interprété magistralement par ces acteurs. Très surpris des critiques négatives sur ce film que je trouve personnellement génial.
un brin déjanté, loin du thriller à l'américaine, ça se regarde comme on lit un polar de série B, ça manque de rythme et certaines longueurs sont toutefois utiles pour une pause sandwich ou une pression de brumisateur en cas châleur excessive dans la chambre en période de canicule ;)