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    Cogan : Killing Them Softly
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    Candice L
    Candice L

    36 abonnés 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 décembre 2013
    Un bon thriller. Les acteurs sont bons, mais le film tourne un peu trop aux simples règlements de compte et il n'y a pas vraiment d'histoire.
    Le Parrain
    Le Parrain

    25 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 décembre 2013
    Le film aurait pu s'intituler : Cogan, sleeping them softly. 1h40 d'ennui total, le film ne démarre jamais et l'on sursaute seulement pour quelques bons effets spéciaux. Brad Pitt est à l'affiche, on se demande pourquoi, même s'il se débrouille bien dans son rôle, il domine quand même le film par son absence !
    S-Kayp
    S-Kayp

    152 abonnés 1 220 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 décembre 2013
    C'est mou, ennuyeux, et ça parle trop. Et la fin est nulle !
    Arlette et les mécanos
    Arlette et les mécanos

    69 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 décembre 2013
    Alors déjà un film ricain complètement amoral qui critique l’Amérique sur fond d'un discours d'Obama déclamant son texte propret truffé de bons sentiments et de lieux communs, c'est rarissime dans le cinéma d'outre-atlantique et c'est pour moi Le point fort du film. Ensuite, un humour noir, un cynisme décapant, des acteurs tous prodigieux, mention spéciale à Brad Pitt en plus producteur du film,, des dialogues au rasoir, une ambiance de films noirs le tout filmé avec une grande maîtrise, je dis bravo.
    Flex07
    Flex07

    86 abonnés 1 705 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 décembre 2013
    Cogan laisse le frein à main et déçoit à ce titre. Ça manque de folie même si les acteurs semblaient prêts à devenir dingue.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 081 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 août 2014
    Hier, j'étais au bar de mon coin, tranquille, encore une fois à y boire un verre, pas loin de mon ciné à moi, et j'avais pas passé une journée de dingue. Je m'ennuyais un peu, et seul, quand on s'ennuie, y'a pas grand chose à faire, si ce n'est s'ennuyer. Mais bon, j'ai un esprit un minimum inventif, alors, ce que j'ai fait, c'est que j'ai décidé de passer au présent. Non, je plaisante. Je décide d'observer les gens. Beaucoup se ressemblent, le même genre de mecs, plutôt avinés, des fois complètement bourrés, qui vous font pitié et vous adressent la parole sans que vous ne l'ayez souhaité. Tiens, deux mecs changent dans ce décors pas très accueillant. Deux mecs bien habillés, l'un avec un beau blouson, les cheveux en arrière, plutôt pas mal, on dirait ( enfin, c'est ce que penserait une femme ) face à l'autre ( tout en me tournant le dos ), peut-être mieux habillé, en tout cas avec plus de moyens. Il est en costard cravate et a une sale gueule de politicien. C'est pas que je hais les politiciens, mais bon, je préfèrerai voir Christian Bale que Nicolas Sarkozy. Bref. Les deux ont l'air de s'engueuler. Ils s'énervent, particulièrement celui de dos avec les cheveux en arrière, sans être trop cons pour parler trop fort. Ils ne veulent pas qu'on les entende, et augmentent suffisamment le son pour pouvoir s'entendre. La télé dans le coin est trop forte, et ce n'est pas que je n'en ai rien à foutre du long discours d'Obama, mais bon, je suis ici pour autre chose que pour me préoccuper du gros nombril de ces ricains colonisateurs de planètes. Les deux se séparent, monsieur cheveux en arrière s'approche de moi, viens s'assoir au comptoir à une distance suffisante pour que je ne lui parle pas, et commande un ver de scotch. J'ai l'air fin, moi, avec mon verre de coca. Et donc, comme je suis un enquiquineur de fouineur, je vais m'assoir à côté de lui. C'est quand même pas?... Il a compris que j'essaie de savoir qui il est, et me dévisage à son tour. "Je suis si beau que ça?" Je ne répond pas. Merde, mais j'ai Brad Pitt en face ou quoi??? Je balbutie et parvient à lui demander son nom. Il ne me le donne pas. Je lui demande pourquoi, il me répond parce que peu le savent. Et puis, je le questionne sur le mec que je viens de voir. Même chose, il est très réticent à l'idée de me confier son nom. Je recommence jusqu'à ce qu'il en ai marre. Mais bon, je change les questions pour pas qu'il veuille me buter, parce que ce gars là, même s'il a la gueule d'amour de Brad Pitt, c'est vraiment pas un rigolo. On est loin de "Max la Menace". Au final, il me raconte un peu sa vie. Enfin, s'il le fait, c'est principalement parce qu'il a enchaîné un scotch, deux whisky et un digestif asiatique, un alcool de riz ou un truc du genre. Il n'est pas bourré, sinon il m'aurait déja frappé, mais il est plus ouvert que quand j'ai commencé à lui parler. Et donc, il me raconte sa vie de ces derniers temps. C'est glauque. Bordel, et moi qui me plaignait d'avoir une vie trop banale. Lui, elle est carrément trop anormale. Mais bon, je l'écoute et le temps passe, passe, passe tellement lentement que j'en ai déja marre passée la première demi heure. Je regarde ma montre toutes les minutes, puis me calme, me concentre sur mon verre, et ne la regarde que toutes les cinq minutes. Les longueurs se multiplient, les lenteurs aussi, on est loin de l'épopée du sosie brun de Tom Cruise. Mais bon, il a l'air sympa, ce mec. Je continue encore jusqu'à la fin. Si son histoire avait été un film, un constat se serait offert à moi : ça n'a été fait que pour aller à Cannes. C'est prétentieux, lent, étrange, et ça vise clairement les oscars. Des oscars que, bien sur, ça n'aurait pas. Mais il y a d'autres remarques à faire sur son histoire. C'est vraiment bizarre, tellement que ça en devient terriblement intéressant. Enfin, pour cinq minutes, quoi. La façon qu'il a de me décrire cette histoire, le film que je m'en fais dans ma tête, c'est vraiment surprenant. Je ne m'attendais pas à ça. Mais en même temps, on dirait que ça pioche un peu de partout dans la culture moderne, autant du côté de Tarantino que de celui des frères Coen, dont je n'aime pas l'art mais qui, je dois bien le reconnaitre, sont des réalisateurs d'exception. Ils ont marqué le cinéma, et ça se ressent. Cela rappelle notamment ce "No Country For Oldmen" qui avait tant fait de bruit à sa sortie. Et là, le sosie de Mr Smith apparait dans l'histoire, sur du Johnny Cash, "The Man COmes Around", et c'est peut-être la meilleure apparition du film. L'histoire continue, et on arrive à un moment d'anthologie, y'a pas d'autres mots. Non, c'est sûr et certain, ce moment, il est culte. Pitt est chargé de butter un mec dans sa voiture, un pauvre gars que la chance a abandonné il y a quelques années, et qui va visiblement prendre cher. Déja, quand il s'est fait tabasser, c'était vraiment cruel et trop violent. Là, c'est rapide, net et sans bavure. Les ralentis sont géniaux, les plans magnifiques et le pauvre homme une victime. C'est sa façon de me raconter l'histoire et toute cette immersion qui fait que j'ai presque tout ça devant les yeux. Et puis, je me dis que c'est quand même étonnant de voir un tel mec dans un tel rôle de bad guy. Mais après tout, ça ne lui va pas si mal. Il y est même bon en tant que mec badass et impartial. Mais bon, le braquage au début m'a quand même laissé perplexe. Les mecs sont justes deux pour s'en prendre à la mafia. Ouais, si tu veux. Le pire, c'est que pour innover, les deux gugus se sont sapés avec des habits H&M, un collant sur la tête et des gants de cuisine jaune sur les mains? Y'a pas un léger truc qui cloche, non? Mais bon, c'est un détail. Il finit son histoire, et cette fois ci, personne d'autres que moi ne s'y intéresse. C'est un peu comme si j'étais le seul que cette histoire n'ait pas rebuté. Et justement, le problème avec cette histoire, c'est qu'elle est tellement étrange qu'elle laisse l'unique et surprenante impression de n'avoir ni plu ni déplu, un peu comme si, sans quand même nous avoir laissé de marbre, ne nous avait pas tout le temps fait rentrer dans une immersion pas toujours présente. Trop de dialogues et de passages inutiles. Mais bon, un truc est sur, ce que j'ai vu quand les deux gars parlaient, était vraiment très intéressant. Finalement, il m'a donné son nom, et ils lui a fait comprendre que le rêve américain est une illusion, une utopie, une histoire pour les enfants encore au berceau. Ce n'était pas la vie la plus intéressante qu'on ait pu me raconter, surement la plus cruelle et violente. On est loin du chef d'oeuvre. Le gars s'en va, il me laisse en plan, et me fait promettre de fermer ma gueule. Pourquoi irai-je voir les flics, moi? Je n'ai pas envie de finir comme l'autre dans sa voiture.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    130 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 novembre 2017
    YES WE CAN. C'est la crise chez les nettoyeurs. Lorgnant du coté de Tarantino pour ses dialogues absurdes avant des scènes de violence au ralentis sanglant, Cogan est une expérience ciné avec une très bonne musique, un grand Gandolfini, malheureusement terni par une histoire banale et mollassonne.
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 novembre 2013
    Je suis pas un fervent admirateur de Tarantino, (il a fait des très bons films hein, je ne le nie pas), mais n'est pas Tarantino qui veut. Et je crois qu'Andrew Dominik l'a appris à ses dépends.
    Dans son film - sur la mafia -, le réalisateur - pourtant précédé d'un bon premier long ! - nous tire un film mafia "new generation" : c'est à dire qu'on à affaire à des truands plus ou moins professionels, plus ou moins dépassés par la situation, et avec des discussions à n'en plus finir. Sauf que là où ça passe dans Pulp Fiction (parce que c'est drôle, décomplexé), on sent chez Dominik un narcissisme de chaque instant. Après avoir synthétisé le western dans son bon "Jesse James", je crois que Dominik a voulu faire la même chose sur le film de gangsters. Mais il s'est cassé la gueule. Son film tourne à rond, on a toujours l'impression d'avoir vu mieux ailleurs, il n y a pas d'intérêt, la mise en scène est lourdingue, c'est toujours du "regardez ce que je peux faire", ce n'est quasiment jamais au service de son récit, bref, c'est raté. Ah, et les acteurs cabotinent.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 novembre 2013
    Une affiche à faire rêver avec un scénario de départ alléchant ; mais quelle déception au final. Ce film, c'est une 01h30 de dialogues interminables, avec parfois quelques scènes qui laissent entrevoir un intérêt... Mais non, le vide, rien, le néant. Brad Pitt est quand même toujours aussi bon, mais il ne suffit pas à sauver cette bande.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 décembre 2013
    Un polar à l'ambiance pesante à souhait, un véritable régal.
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    56 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2013
    les dialogues sont longs, très longs, on pense qu'il ne passe pas grand chose dans ce film
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 novembre 2013
    Encore un thriller américain des plus décevants. Et nominé à Cannes ! Et comparé à un Tarentino ou à un Coen par quelques critiques germanopratins qui devaient avoir des dettes auprès du producteur ! Un vrai navet, visuellement pas mauvais, mais surjoué, monté sur un scénario tonique comme un loukoum, bavard, idiot, sans même une trace d’humour pour faire illusion sur l’ennui qui nous taraude. On atteint très vite le ridicule et la somnolence dans la scène du braquage et on n’en sort plus jusqu’au générique, tout en philosophant sur les effets de la crise sur le noble métier de tueur ! Eh ! Les « créateurs » hollywoodiens, vous allez vous mettre au cinéma au lieu de faire du marketing en studio !
    shmifmuf
    shmifmuf

    179 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 novembre 2013
    Avant de voir "Cogan : Killing Them Softly", je m'attendais à une histoire de gangster cool et désinvolte comme "Hors d'atteinte" ou encore "Snatch : tu braques ou tu raques".
    Par conséquent ce film provoqua d'abord chez moi de la surprise et de la déception. Mais plus cette histoire de tueur à gages avançait, plus mon intérêt pour ce long métrage et son personnage principal augmentait.
    On pense bien sur "aux Affranchis" de Scorcese ( la présence de Ray Liotta n'y est pas étrangère). Mais le monde des gangsters a changé avec les décennies et Cogan est la passerelle entre ces deux époques mais lui, a su s'adapter au monde d'aujourd'hui, contrairement à d'autres comme le personnage de James Gandolfini (tout simplement épatant).
    "Cogan" n'est pas un polar classique mais avant tout un film de société qui dénonce le monde d'aujourd'hui et sa valeur première : l'argent, avec beaucoup plus de force et de savoir faire que beaucoup de films politiques ( notamment les dernier Costa-Gavras avec Gad Elmaleh que j'ai vu récemment)
    Brad Pitt en ange de la mort, froid et près de ses sous est impeccable.
    Ce polar noir et sec est tout sauf un banal exercice de style et Andrew Dominik avait des ambitions très élevées avec ce film.
    Le résultat n'est pas flamboyant mais néanmoins très intéressant.
    Val_Cancun
    Val_Cancun

    53 abonnés 764 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2013
    Un film de gangsters très atypique, lent et bavard, sombre jusqu'à la drôlerie, à rebours de ce genre cinématographique, qui a tendance à valoriser ou magnifier le milieu mafieux. Pourtant on pense à Tarantino, via l'humour noir, l'ultra-violence froide et les digressions décalées des personnages, mais sans flamboyance cool ni code de l'honneur.
    Désormais, c'est la crise qui régit l'Amérique, y compris le monde des voyous ; le film est d'ailleurs ponctué de discours de Barack Obama, ce qui donne une dimension surréaliste à l'ensemble.
    Au final, "Cogan, Killing them softly" est bien interprété, élégamment réalisé, bénéficiant d'une belle identité visuelle et sonore ; en revanche, il déstabilisera certains amateurs de thriller, à cause de sa lenteur et de ses parti-pris originaux.
    boscopax
    boscopax

    79 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2013
    La tentative de Thriller anglais à la sauce Guy Ritchie est un peu ratée... Seul Brad Pitt, qui est là presque juste en tant que faire-valoir vaut le détour : beau et bad boy, il capte l'image comme à chaque fois. On regrettera le rôle du grand Gandolfini, inutile et vulgaire. A garder aussi pour un final percutant et des meurtres filmés avec intelligence. L'histoire quant à elle...
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