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Un visiteur
2,5
Publiée le 25 juillet 2013
11/20 : « L’Amérique n’est pas un pays, c’est un business. Alors file-moi le fric.» C’est sur ces mots lancés par Brad Pitt que s’achève COGAN : KILLING THEM SOFTLY. Ce film nous démontre que les malfrats sont eux aussi victimes de cette crise économique. Il nous plonge dans un univers glauque dénué de toute compassion où la violence, la drogue et le machisme font fureur. La mise en scène est plutôt soignée (ralentis léchés) et les acteurs sont convaincants. Ravies nous sommes lorsque nous découvrons notre Brad Pitt, cheveux plaqués en arrière, vêtu d’un pantalon en cuir moulant et muni d’un fusil à pompe qu’il connait aussi bien que le fond de sa poche. Malgré sa bonne prestation et son charisme renversant, ce dernier reste décevant, n’étant pas assez approfondi. On aimerait le voir davantage. COGAN est un film empli de bonnes idées mais qui déçoit par ses scènes de dialogues interminables.
Film ennuyeux! Certaines scènes de dialogues font penser à pulp fiction mais les acteurs n'ont pas du tout le même charisme, le scénario semble intéressant au départ mais ça devient banal, pas grand chose ne se passe il n'y a même pas d'action.
Bon thriller américain avec Brad pitt incarnant un tueur au sang froid. Le scenario est pas mal et les acteurs aussi, on passe un bon moment, mais rien d'exceptionnel non plus.
Pour tous ceux qui ont oublié ce que ça implique de tuer un homme, je leur recommande vivement "Killing them softly", film grandiose et sensitif dans lequel Brad Pitt déploie tout son charisme. Et le tout accompagné d'une vision de l'Amérique en crise très "coenien", du moins pas aussi prétentieux qu'on a bien voulu le dire.
Deux petites frappes sont entraînées sur un coup juteux et braquent une partie de poker illégale avant de se faire la malle. Un homme, Cogan, est engagé par la Mafia pour retrouver les responsables... Andrew Dominik a ce talent de réussir avec brio à faire passer sans aucun ennui des récits languissants. C'était le cas dans "L'assassinat de Jesse James...", c'est ici une confirmation. "Cogan" n'est certes pas parfait. Abusant parfois un peu trop des mots pour créer la suggestion, le film crée parfois la frustration en jouant sur l'attente du spectateur de revoir à l'écran les sujets de chaque conversation qu'entretiennent les protagonistes. On pense bien sûr à l'unique apparition de Sam Shepard dans le rôle de Dillon, le temps d'une scène en plan séquence. Dillon, par exemple, un nom qui reviendra sans cesse dans la bouche de pratiquement tous les personnages, sans qu'on ne puisse le revoir une seule fois. C'est à la fois le principal problème et l'une des qualités du long-métrage. En appelant le spectateur à faire preuve d'imagination en prenant pour point de départ les dialogues des fameux gangsters, "Cogan" irrite autant qu'il fascine. Dominik n'est pas Tarantino et son film n'a pas le pouvoir de décontraction que pouvait avoir dans le même genre "Reservoir Dogs" et "Pulp Fiction". Toutefois, les autres contrats sont remplis. Dominik dote son film d'une ambiance froide et cool à la fois, pince sans rire dans ses séquences les plus mémorables. La mise en scène, ultra soignée, est accompagnée d'une esthétique générale des plus appréciables, d'autant plus qu'elle sait ne jamais prendre le pas sur son histoire. Quelques effets sont parfois un peu trop appuyés, notamment lors du passage entre Frankie et Russell, le dernier dégageant un effet de drogue visuel à peu lourd et répétitif. Mais le temps d'un superbe ralenti, la fluidité de la mise en scène accompagne le pur plaisir esthétique que peut offrir le cinéma. Le casting, excellent, voit Brad Pitt offrir une prestation sobre et in fine à l'image du film quand celle de James Gandolfini s'avère plus outrée. Sans compter les atouts indéniables que sont Scoot McNairy et Ben Mendelsohn et un bon vieux Richard Jenkins. Si l'on est pas toujours satisfait à l'image de Brad Pitt lors de la scène finale du film, et si les qualités du long métrage sont contrebalancées plutôt irrégulièrement, on reste plus que charmé par la classe d'un tel polar.
"Cogan" est l'exemple type du film visuellement intéréssant mais dont le scénario ne suit pas vraiment. Andrew Dominik a de nombreuses idées, mais aucune n'entre en cohérence avec son sujet: distanciations sonores, ralentis (qui semblent là juste pour faire joli), cassure son/image, etc... Pourtant, l'interprétation de ce film de gangster aux allures tarantinienne (il en emprunte les nombreuses scènes bavardes) est plutôt correcte: Brad Pitt est en service minimum (donc pas mal), Gandolfini est tordant et Jenkins en comptable véreux est intrigant. Le sous texte politique est intéréssant également, mais l'on aurait aimé qu'il soit plus developpé et plus attelé au sujet://///////////// tout a fait d accord avec plog le comte ;;;
Un film de gangster très lent et pourtant très intéressant . Le sens du dialogue , la qualité des interprètes et la mise en scène en font un assez bon film . L'histoire n'est pas très originale certes et certains personnages manquent de profondeur et sont parfois inutiles ( James Gandolfini ) mais on passe un agréable moment devant ce film . Pour tous les fan de thriller violent avec beaucoup d'action passez votre chemin ce film va profondément vous ennuyer .
amateurs de films d'action passé votre chemin. Film plutôt lent et d'ambiance. belle mise en scène et de belles images. texte assez bien monter. une bonne ambiance pour un film de mafieux qui heureusement ne sombre pas dans l'action gratuite
Vous attendez pas a un film d'action. C'est que de l'ennui , presque aucune scène d'action,que du blabla,acteurs nul, la seul scène de baston est raté,j'ai arrête au bout de 1 heures. De toute façon au bout de 30 minutes de film vous connaissez la fin , alors....
Très mauvais film, très mal joué, dialogues pour beauf moyen, film décousu au possible, aucun suspens alors que c'est le propre des films d'action, il faut aimer s'abreuver de violence et de sous-culture pour aimer des films pareils.