Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
Un des films consacrés à la crise économique les plus désespérés et définitifs qu'on ait vu depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Julien Welter
Voir le site de l'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un film noir farfelu, à l'atmosphère glauque assez réussie, à situer quelque part entre Lynch et Tarantino.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il se dégage de "Cogan" une sensation d'absurdité cauchemardesque qui met longtemps à se dissiper.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Mise en scène très stylée, dialogues ciselés avec souvent de l'humour distillé au milieu de séquences sanglantes, ce polar bien ficelé est très efficace.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Après avoir traité de la célébrité dans un western ample, grave, contemplatif et crépusculaire, Andrew Dominik s'attaque à la politique avec un polar rapide, cinglant et ironique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Cogan– Killing Them Softly" n'est certes pas une révolution artistique copernicienne mais un film noir bien écrit, bien campé dans son décor et savoureusement joué.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Pierre Berthomieu
Sous quelques aspects, "Cogan" ressemble à "Drive", avec ses personnalités mécaniques, sa froideur distante et ses abandons soudains au geste formel qui déchargent une sensation violente et extatique à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gaël Golhen
(...) un film noir, cynique et brillant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Entre dialogue ciselés et violence fulgurante, cette série noire, branchée et stylée, risque bien de désarçonner les puristes du genre.
Télérama
par Jacques Morice
"Killing them softly" est un polar absurde, où (...) la violence est comme amortie. Cette fausse douceur, on la retrouve dans le rythme alangui, le choix judicieux des musiques (...) et dans les dialogues, d'autant plus savoureux qu'ils sont le plus souvent brumeux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
À rebours de la mythologie que créait Scorsese avec ses bandits hauts en couleur, "Cogan – Killing Them Softly" se plaît à bouleverser un casting dont les premiers rôles sont tenus par des acteurs méconnus rendus peu présentables, et à ridiculiser les pointures du genre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Romain Le Vern
A l'image du personnage de Brad Pitt qui est un pur produit cynique de son époque, le film est cru et noir à l'inverse de "L'assassinat de Jesse James" qui était mélancolique, complexe, mystérieux et peut-être plus mature.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Arnaud Schwartz
Cette oeuvre noire et violente (...) risque parfois d'égarer le spectateur, l'acheminant vers un certain ennui en dépit de situations outrancières qui, à l'occasion, ne sont pas sans rappeler le cinéma de Quentin Tarantino.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Bruno Icher
Mi-hommage mi-entreprise de démolition, "Cogan" peine toutefois à atteindre précisément son but.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Jérôme Vermelin
Le sous-texte politico-philosophique finit par épuiser, en dépit des poses viriles de sa vedette.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Frédéric Mercier
"Cogan" est un film brillant mais qui racole en se la jouant petit malin brutal, plus bavard que philosophe.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Paris Match
par Yannick Vely
Mais là où un film post-moderne comme "Drive" de Nicolas Winding Refn parvenait à insuffler de la vie à ses stéréotypes, "Cogan" échoue sur presque toute la ligne, tant ces personnages de losers pathétiques sont réduits à être des pantins bientôt flingués pour la cause du roi Dollar.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Difficile, pourtant, de s'enthousiasmer pour ce polar bavard qui remixe mollement Tarantino, les Coen époque "Sang pour sang" et le Boorman du "Point de non-retour".
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Un énième lifting du film néo-noir avec pieds nickelés du crime, commanditaires blasés et exécutants sans scrupules, qui vire à l'ersatz coeno-tarantinien de plus, l'humour en moins.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ecran Large
Un des films consacrés à la crise économique les plus désespérés et définitifs qu'on ait vu depuis longtemps.
L'Express
Voir le site de l'Express.
L'Humanité
Un film noir farfelu, à l'atmosphère glauque assez réussie, à situer quelque part entre Lynch et Tarantino.
Le Monde
Il se dégage de "Cogan" une sensation d'absurdité cauchemardesque qui met longtemps à se dissiper.
Le Parisien
Mise en scène très stylée, dialogues ciselés avec souvent de l'humour distillé au milieu de séquences sanglantes, ce polar bien ficelé est très efficace.
Les Fiches du Cinéma
Après avoir traité de la célébrité dans un western ample, grave, contemplatif et crépusculaire, Andrew Dominik s'attaque à la politique avec un polar rapide, cinglant et ironique.
Les Inrockuptibles
"Cogan– Killing Them Softly" n'est certes pas une révolution artistique copernicienne mais un film noir bien écrit, bien campé dans son décor et savoureusement joué.
Positif
Sous quelques aspects, "Cogan" ressemble à "Drive", avec ses personnalités mécaniques, sa froideur distante et ses abandons soudains au geste formel qui déchargent une sensation violente et extatique à la fois.
Première
(...) un film noir, cynique et brillant.
Télé 7 Jours
Entre dialogue ciselés et violence fulgurante, cette série noire, branchée et stylée, risque bien de désarçonner les puristes du genre.
Télérama
"Killing them softly" est un polar absurde, où (...) la violence est comme amortie. Cette fausse douceur, on la retrouve dans le rythme alangui, le choix judicieux des musiques (...) et dans les dialogues, d'autant plus savoureux qu'ils sont le plus souvent brumeux.
Critikat.com
À rebours de la mythologie que créait Scorsese avec ses bandits hauts en couleur, "Cogan – Killing Them Softly" se plaît à bouleverser un casting dont les premiers rôles sont tenus par des acteurs méconnus rendus peu présentables, et à ridiculiser les pointures du genre.
Excessif
A l'image du personnage de Brad Pitt qui est un pur produit cynique de son époque, le film est cru et noir à l'inverse de "L'assassinat de Jesse James" qui était mélancolique, complexe, mystérieux et peut-être plus mature.
La Croix
Cette oeuvre noire et violente (...) risque parfois d'égarer le spectateur, l'acheminant vers un certain ennui en dépit de situations outrancières qui, à l'occasion, ne sont pas sans rappeler le cinéma de Quentin Tarantino.
Libération
Mi-hommage mi-entreprise de démolition, "Cogan" peine toutefois à atteindre précisément son but.
Metro
Le sous-texte politico-philosophique finit par épuiser, en dépit des poses viriles de sa vedette.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Transfuge
"Cogan" est un film brillant mais qui racole en se la jouant petit malin brutal, plus bavard que philosophe.
Paris Match
Mais là où un film post-moderne comme "Drive" de Nicolas Winding Refn parvenait à insuffler de la vie à ses stéréotypes, "Cogan" échoue sur presque toute la ligne, tant ces personnages de losers pathétiques sont réduits à être des pantins bientôt flingués pour la cause du roi Dollar.
TéléCinéObs
Difficile, pourtant, de s'enthousiasmer pour ce polar bavard qui remixe mollement Tarantino, les Coen époque "Sang pour sang" et le Boorman du "Point de non-retour".
Cahiers du Cinéma
Un énième lifting du film néo-noir avec pieds nickelés du crime, commanditaires blasés et exécutants sans scrupules, qui vire à l'ersatz coeno-tarantinien de plus, l'humour en moins.