Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
3,5
Publiée le 17 décembre 2011
Difficile de passer à côté de ce film et du visage de Déborah François cette semaine tant les affiches ont inondées les colonnes Maurice, panneaux Decaux et autres arrière de bus du tout Paris : promo visuel réussi qui n'était pas pour me déplaire. Je vais donc essayer de remonter la moyenne avec mon 3.5 étoiles mais c'est malheureusement le mieux que je puisse mettre tant je n'arrive pas à passer la barre des 4. Je dis malheureusement car j'adore vraiment Déborah François et je m'attendais à un film avec un peu plus d'envergure...mieux tout simplement. Je parle bien sûr du scénario et de la mise en scène car en ce qui concerne la jeune héroïne de l'enfant et des fourmis rouges, je ne trouve rien à redire sur ce rôle plein de maturité et de lucidité où elle se révèle plus femme et plus belle que jamais. Ces fans trouveront leur compte dans ce personnage attachant qui se livre tous les soirs, par l'intermédiaire de son blog, à une auto-analyse de son métier de caissière ne rêvant pas moins de sortir de cette lassitude et de rencontrer le prince charmant. On est effectivement pas loin du conte de fée moderne la période de noël approchant : notre cyber-caissière n'est ni causette ni cendrillon mais doit tout de même élever seul son jeune frère de 10 ans et son maigre salaire fait qu'elle ne roule pas sur l'or. Attention, le film ne sombre pas du tout dans le misérabilisme bien au contraire : Solweig ne s’apitoie pas sur son sort, ne passe pas ses journées à se plaindre et ne marche pas la tête baissé. Elle garde toujours son sourire magnifique et son regard pétillant, elle positive les situations et véhicule une vraie note d'espoir malgré un quotidien plutôt pas drôle et ennuyeux. C'est un rayon de soleil finalement dans ces fils de caisses incessantes ou l'amabilité ne prime pas toujours. D'autant que cette amoureuse de littérature ne peut pas vraiment s'épanouir dans son métier...mais bon elle accepte et préfère plutôt rire avec ses copines caissière plutôt que de pleurer . En plus de cette histoire de journal people qui veut démasquer la blogueuse non identifiée qui fait la une des 20H00 dans la rubrique "mouvement social des caissières", la première partie du film est dans ce sens et reste très intéressante...à l'inverse de la deuxième qui part sur une mauvaise romance très cliché et qui n'a pas réussi du tout à m'émouvoir (coup de foudre bâclé, amoureux transis ridicule, absence de belles musiques et de belles images....). On passe au final un bon moment sans atteindre loin de là vous l'aurez compris, le nirvana du frisson et de l'émotion. Entre le petit rôle tout en humour de Marc Lavoine, la prestation timide d'Elsa Zylberstein, on retiendra essentiellement le charme et l'enthousiasme communicatif de Déborah François qu'on avait jamais vu aussi étincelante.....
Ce film est une gentille bluette. Un petit conte de Noël, sans prétentions, qui ne fait pas de mal. Rien d’impérissable non plus. Le sujet aurait mérité un film plus accrocheur et dénonciateur. Alice Belaïdi est déconcertante de naturel. À voir en famille. Au final, un « Pretty Woman » pour les plus jeunes. http://cinealain.over-blog.com/article-les-tribulations-d-une-caissiere-90895990.html
C'est incroyablement mauvais. J'avais trouvé le livre d'Anna Sam sympa et intéressant d'un point de vue sociologique, mais il a hélas été transformé en guimauve grand public, entre "Amélie Poulain" et "Pretty woman", par des producteurs /réalisateurs qui ne doivent pas souvent mettre les pieds dans un supermarché. Un traitement plus féroce et réaliste aurait été préférable à ce gros machin cucul. Je ne m'attendais bien sûr pas à du Ken Loach mais là tout est du toc, tout sonne faux, les personnages sont stéréotypés et surjoués, les intrigues secondaires n'ont aucun intérêt et sont plaquées artificiellement, et l'on assiste à une avalanche de bons sentiments aussi écoeurante qu'une buche de Noël avariée.
Le livre est devenu un charmant conte de Noel à la sauce Pretty Woman . Niais ? Tellement habitués à la laideur vous ne savez même plus apprécier "les bons sentiments " (d'ailleurs dire ça d'un film est devenu une critique ...négative et c'est affligeant ) . J'ai passé un très bon moment tendre et drôle , l'image est jolie, colorée ce qui n'était pas gagné vu le sujet . Je n'avais pas regardé la ba donc une bonne surprise sans prétention certes et un peu caricaturale mais c'est une comédie n'est-ce pas . Elle a le mérite de mettre en lumière un métier dénigré et "transparent" .
J'ai trouvé ce film tres moyen bien qu'il enonce quelques verites au sujet du métier de "caissiere" pas toujours sympa... Je me suis ennuyée durant la projection.
Surtout ne dépensez pas votre argent pour aller voir ce film. Et ce malgré le "beau" casting apparent du film. Une histoire à l'eau de rose qui ne tient pas debout et qui occulte le message déjà très fin de ce film qui se veut "sociale"... une adaptation du livre très décevante qu'il ne faut surtout pas encourager en allant voir ce film au cinéma. D'autant plus que Déborah François est on ne peut plus ennuyeuse à l'écran, comme toujours d'ailleurs depuis le film Dardennes.
Franchement outre la jolie réalisation sous forme de conte le film est une catastrophe de un par son scénario très niais on nous propose du stéréotypé puissance 20 on nous montre des personnages d'une de naiveté la bande annonce est super trompeuse aucune dénonce du système de la grande distribution on sait pas pourquoi le blog c'est crée je trouve que la prestation de Déborah François et Alice Belaidi est vraiment bonne alors que le reste est mauvais. Et la fin est une catastrophe tous le monde il est gentil et et tous le monde est beau.Un mauvais film tous simplement
On pourrait parler de petit film sans prétention mais ce serait insultant pour cette adaptation du livre du même titre. Le réalisateur nous emmène suivre les aventures d'une caissière de supermarché parmi les centaines de milliers que nous ignorons chaque jour. Cela pourrait paraître triste mais l’héroïne est aussi une blogueuse qui énumère chaque soir ses péripéties, ses états d'âme et celles de ses consoeurs. Oui, elle a perdu ses rêves par la faute d'un accident de la vie, comme on dit. Et pourtant un jour, elle croise le prince charmant !
Oui le film est aussi une romance apportant un peu de conte de fées dans un environnement qui n'a rien à voir avec cela. Le réalisateur a eu la bonne idée de forcer le trait sur cet aspect pour mieux faire ressentir les humiliations, la dureté du métier de caissière. Pourtant l’héroïne n'est pas une énième cendrillon. Non, il y a bien plus que cela à travers une succession de scénettes toutes aussi croustillantes les unes que les autres. Car on pleure, mais on rit aussi beaucoup et on se prend d'affection pour cette galerie de personnage servie par un casting très bien choisi avec notamment la trop rare Firmine Richard, la craquante Deborah François, le tout aussi craquant Nicolas Giraud ou encore la truculente Alice Belaïdi. A la fois critique sociale (petit clin d'oeil au passage à "Au Bonheur des Dames" de Zola), comédie, romance, drame, voilà une franche réussite qui mériterait de sortir de l'ombre et de succéder à Intouchables dans les succès français du Box Office.
Honnêtement, je suis peut-être naïf, mais je pensais que ça pouvait être sympa, ben ouais j'aime bien Déborah François moi, magnifique dans l'enfant des frères Dardenne. Bon ben c'est sacrément de la merde. Je veux dire, tout le monde s'accordera à dire qu'être caissière, c'est pas top, en plus du patron, il y a la mauvaise humeur des clients. Alors qu'une fille s'amuse à écrire un blog pour raconter les crasses quotidiennes qu'elle doit subir, oui pourquoi pas. Mais franchement, à un moment on dépasse l'entendement dans la connerie lorsque le film propose un conte de fée, on se croirait dans des productions Disney Channel. La jolie caissière, très lucide qui donne de l'espoir pour tous les caissiers de France, que c'est mignon. Alors je sais que c'est tiré plus ou moins d'un bouquin inspiré d'une histoire vraie, mais franchement, faut pas déconner. Je n'y crois pas une seule seconde. Déjà je me demande en quoi un blog peut faire peur à la grande distribution ? Tout le monde doit aller faire ses courses, donc à partir de là la grande distribution pratiquant les meilleurs tarifs n'a aucun souci à se faire. On assiste donc à 1h30 de niaiserie, mais le pire c'est que c'est complètement inoffensif, tant on est dans la caricature, avec le mauvais patron qui est la caricature de tous les patrons, c'est ridicule. Si tu veux faire un film sur ces prolétaires modernes, tu peux le faire, mais il faut les respecter un minimum, là c'est juste : "oh les clients ne sont pas gentil", "oh je porte beaucoup d'articles", "oh j'ai pas de pause", il n'y a pas de réelle réflexion sur ce système capitaliste, en fait tout ce qu'elles veulent c'est avoir des pauses et avoir un sourire (pour caricaturer autant que le film). Je pense que le problème est bien plus profond. Et lorsque surgit le prince charmant, pardon mais on est dans la connerie la plus profonde. Avec bien évidement tous les clichés qui vont avec. J'ai l'impression qu'en voyant le film, en France les prud'homme ça n'existe pas, qu'on ne peut pas porter plainte pour harcèlement sexuel… En fait on a là un film déconnecté de la réalité, et surtout qui est inutile, il ne changera rien, et même ce blog est inutile, vu que rien n'a changé. Donc je dirai à ce très mauvais réalisateur de se mouiller un peu, et de ne pas être si mou et gentillet. C'est d'un pénible, avec des situations on ne peut plus caricaturales et convenues.
Mais qu'est ce que c'est que ce film? Où est le scénario? Est-ce des enfants de 15 ans qui l'ont réalisé? Honnêtement je sors de ce film perplexe! Quel dommage de gacher un sujet aussi nouveau et intéressant?
Des images très léchées, une mise en scène très soignée et une musique sublime!! J'ai eu un vrai coup de cœur pour l'histoire de Solweig et ses amies caissières! Allez-y!