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Matthias T.
47 abonnés
612 critiques
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0,5
Publiée le 22 juin 2016
Un film dégoulinant de bons sentiments et de clichés inlassablement accumulés. La vision du théâtre est catastrophique. Les comédiens n'arrivent malheureusement pas à sauver l'indigence du script.
Emballant (sans jeu de mots) cette histoire de caissière...Le film propose une jolie comédie, spirituelle par moments, émouvante à d'autre...Les dialogues font souvent mouche et les situations à la caisse sont plutot descriptives, voire drôles...L'on se dit quand même "quel travail" et heureusement qu'elles se connaissent, les caissières car la relation avec les clients est souvent dégradante....Le point fort du film c'est les situations au supermarché, le point faible c'est une histoire d'amour qui donne quelques longueurs inutiles surtout à la fin...Déborah FRançois est d'une grande fraicheur et pétillance ainsi que les autres caissières qui la connaissent...Au niveau technique c'est irréprochable (presqu'américain) avec de beaux extérieurs dans la neige et de belles photos...A noter quelques seconds roles enthousiasmants (Alice Bélaïdi, firmine richard)...Le tout constitue un joli portrait social qui soulève l'espérance...J'ai aimé...
Drole de parti pris de faire de ce film une espece de comedie parfois romantique et fantasme alors que le sujet est plutot social a la base.Une premiere partie rate avec des acteurs qui surjouent puis une seconde ou l'on se laisse quand meme prendre par tous ces bon sentiments.
Les tribulations d'une caissière est un film très tourné sur ce travail mais pas autant que laisse supposer le titre et l'affiche. Le réalisateur arrive sans mal à intégrer une histoire de journaliste, et une romance pas trop kitch. La fraicheur et la joie de vivre nous enivrent aux (peu et heureusement) sons des bip bip des articles qui passent à la lecture du code barre.
Je n’ai pas envie d’être sévère, ce film ne m’a pas déplu. Je lui reconnais des défauts, parfois il frise l’ennui et quelques scènes m’interrogent. Une bonne étoile pour le générique du début. Il me fait penser à ces génériques des comédies françaises et américaines des années 50/60. Animés et qui racontent à leurs manières une histoire, qui dénotent un certain état d’esprit. Tout ceci balancé sur une musique légère et agréable. Des films narrés à la façon contes de fées modernes, il y en a eu et pour moi « Pretty woman » reste une des références avec « La vie est belle » de Capra, mais c'est déjà plus "antique" ! « Les tribulations d’une caissière » est un conte de fée inabouti, à la manière de... malheureusement pour Deborah Françoise qui « encaisse » bien le rôle.
Le sujet promettait une chronique sociale ancrée dans la réalité quotidienne d'une caissière de supermarché et qui, à ses temps perdus, tient un blog dans lequel elle relate ses conditions de travail. Si la partie à caractère social du film réussit à convaincre, la partie romance est complètement ratée. Le film est en effet rapidement englué dans une bluette sentimentale mièvre et assez niaise. Au final, l'on se retrouve avec une comédie romantique de série B avec un fond de social largement sous exploité. Même l'affiche, très moche, est complètement ratée.
Une des pires histoire d'amour cucul de l'histoire du cinéma vient gâcher ce qui aurait pu être une comédie sociale acide et grinçante. Au lieu de ça on s'ennuie ferme devant les personnages caricaturaux au possible et un Prince Charmant ridicule... Dommage, dans des mains talentueuses cette "caissière" aurait pu donner une comédie acerbe de haut niveau.
Le film oscille entre satire sociale et mélo romantique. La partie sociale est un peu moins ratée que l'autre, en raison notamment de quatre actrices dont le jeu sonne juste, en particulier de la sympathique Deborah François. Malgré les bonnes intentions, l'idéologie reste douteuse puisqu'on nous explique qu'il serait plus efficace de dénoncer les méthodes de la grande distribution sur un blog que de mener des actions syndicales, c'est à dire collectives. Quoi qu'on puisse penser des directions de certains syndicats, la grève a tout de même davantage de chance d'imposer une amélioration du sort des employé(e)s que la critique virtuelle. D'autant que les méthodes cyniques des grandes enseignes sont aujourd'hui connues. Quant à la partie romantique, elle est franchement pitoyable et le "prince charmant" est affligeant de mièvrerie.
Un film atypique et franchement intéressant qui dénonce avec humour et émotion l'envers du décor des caissières. On s'attache à l'héroïne charismatique jouée par la pétillante Déborah François et aux seconds rôles amusants. Le film mélange avec succès deux genres : la comédie sociale mordante et la romance classique mais pourtant agréable, et on ne s'ennuie pas un instant devant ce film original qui a quelque chose d'un feel good movie dans la veine d'Intouchables car, malgré le sujet et la vie pas toujours rose de cette caissière, ces Tribulations nous mettent de bonne humeur. Avec, en plus, un réalisateur très doué, ce film à tout pour plaire. Même le happy end prévisible mais tellement agréable séduit et on a plus qu'une envie : se ruer sur le livre dont est adaptée l'histoire. Après ce film injustement passé inaperçu, qui, malgré le sujet dramatique, est un vrai conte, véritablement positif, vous ne regarderez plus les caissières de la même manière. Et c'est tant mieux.
Peut-être l'un des films marketings les plus mauvais de l'histoire du cinéma. On ne dira jamais assez combien Nicolas Giraud est un acteur nul. Le scénario est tellement prévisible qu'on est fatigué une demi-heure voire une heure (du jamais vu!) avant que les choses ne se produisent. Que ce script soit validé par des gens en dit long sur leurs compétences. On substitue à une mise en scène un platras d'images esthétiques à la Amélie Poulain. Le chef op est un criminel: il veut faire merveilleux, c'est vide! Le réalisateur n'a aucune vision, aucun point de vue. Le film ressemble à cent mille merdes. Certaines scènes déclenchent la honte chez le spectateur: la démagogie est tellement présente. Ainsi cette représentation théâtrale qui constitue peut être l'une des choses les plus immondes que la civilisation ait produit en matière d'art... Oh pardon... de marketing.
Pour dire vrai je n'en attendais pas grand chose, j'ai été assez agréablement surpris. Le ton joyeux et enlevé rend l'ensemble sympathique. Une belle bande d'actrice très convaincantes dans leurs rôles respectifs. Bon la bleuette entre la caissière et le riche héritier semble ridicule et gâche le film, mais cela vaut le coup quand même.
Une comédie romantique sur fond de critique sociale, voilà ce que propose Ces Tribulations d'une caissière. L'idée est intéressante mais le résultat pas suffisamment développé pour convenir au spectateur un tant soit peu exigeant. Le coté romantique est trop banal et sucré (le coup de foudre, le prince charmant et le happy end de rigueur) et le côté social trop bien pensant et riche en bons sentiments (les caissières sont toutes gentilles et maltraitée par leur patron). Pourtant la réalisation est agréable et bien aidée par une BO plaisante et une Déborah François toujours aussi charmante. Dommage aussi que le reste du casting ne soit pas tous à son niveau. Si certains comme Jean Luc Couchard reste tout à fait bons, ce n'est pas le cas d'Elsa Zylberstein, Nicolas Giraud et du petit frère pas toujours justes voir même à côté de leur rôle. Une comédie romantique pas déplaisante donc mais juste trop peu originale et au scénario trop facile pour être vraiment marquante.
Tellement déçue... le livre d'Anna SAM est génial plein d'humour mais la le film est ultra romancé on ne voit pas vraiment le coté hotesse de caisse avec les clients etc le film se concentre plutot sur l'histoire d'amour entre Solveig et Charles. Le film n'est pas du tout interessant il aurait du plutot faire un film comique quel dommage...