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C'est pauvre tant dans le scenario ultra conventionnel que dans les gags quasi inexistants. Deux ou trois idées visuels,mais tout ça n'a aucun intérêt. Même si will Ferrell joue en espagnol,ça n'apporte absolument rien.
Nul ! Will Ferrell dans le rôle espagnol ,tellement peu crédible , le film essaye de reposer sur lui , et tombe totalement dans la nullité. C'est censé être une comédie ? On rigole pas , les gags sont lourds ,et ridicules . Le scénario piétine et la mise en scène est digne d'un film sans budget. C'est vraiment que de la nullité , encore une tâche pour Will Ferrell. Allez un Direct To DVD , j'espère .
Casa de mi Padre est un exercice absurde dans le concept art plutôt qu'une tentative de divertissement de masse.
Ferrell joue Armando, le fils aîné d'un éleveur fier qui connait des temps difficiles. Le personnage est une variation sur le film mexicain homme-enfant, de sorte que nous ne sommes pas surpris d'apprendre qu'il est un peu lent d'esprit et attend une vierge pour femme. Elle arrive quand le frère Armando, Raul (Diego Luna), promettant de restaurer l'exploitation à son ancienne gloire.
L'idéal de Armando est Sonia (Genesis Rodriguez, une star de soap mexicain de la vie réelle), la fiancée ravissante de Raul, un trafiquant de drogue qui croit bêtement qu'il peut dissimuler ce fait à sa famille. Voici un exemplede gag : Raul s'habille comme un personnage tout droit sorti de Scarface.
Ceci étant une parodie de telenovelas surmenés, les drames arrivent de toutes les directions. Dès l'instant où ils se rencontrent, Armando et Sonia se rendent compte qu'ils ont été destinés à être ensemble. Je ne crois pas que je vais être accusé d'hyperbole pour décrire la consommation de leur amour comme la scène de sexe la plus bizarre dans l'histoire du cinéma populaire. Il s'agit de très gros plans de fesses des deux interprètes et l'utilisation de mannequins comme des doubles du corps.
Les lacunes du film sont plus que compensées par des touches délires surréalistes: des intermèdes musicaux , une quête de vision dirigée par un lion de montagne animatronic , et d'innombrables riffs sur les valeurs des productions des célèbres soaps mexicains. 3/5 quand même
Ferrell joue Armando, le fils aîné d'un éleveur fier qui connait des temps difficiles. Le personnage est une variation sur le film mexicain homme-enfant, de sorte que nous ne sommes pas surpris d'apprendre qu'il est un peu lent d'esprit et attend une vierge pour femme. Elle arrive quand le frère Armando, Raul (Diego Luna), promettant de restaurer l'exploitation à son ancienne gloire.
L'idéal de Armando est Sonia (Genesis Rodriguez, une star de soap mexicain de la vie réelle), la fiancée ravissante de Raul, un trafiquant de drogue qui croit bêtement qu'il peut dissimuler ce fait à sa famille. Voici un exemplede gag : Raul s'habille comme un personnage tout droit sorti de Scarface.
Ceci étant une parodie de telenovelas surmenés, les drames arrivent de toutes les directions. Dès l'instant où ils se rencontrent, Armando et Sonia se rendent compte qu'ils ont été destinés à être ensemble. Je ne crois pas que je vais être accusé d'hyperbole pour décrire la consommation de leur amour comme la scène de sexe la plus bizarre dans l'histoire du cinéma populaire. Il s'agit de très gros plans de fesses des deux interprètes et l'utilisation de mannequins comme des doubles du corps.
Les lacunes du film sont plus que compensées par des touches délires surréalistes: des intermèdes musicaux , une quête de vision dirigée par un lion de montagne animatronic , et d'innombrables riffs sur les valeurs des productions des célèbres soaps mexicains. 3/5 quand même
Un film 3eme degré qui m'a fait perdre 1h30 de ma vie, je vais vite faire quelque chose pour l'oublier. Ok pour les faux effets spéciaux mais quand même! Rien de drôle ou d'intéressant!
On ne le répètera jamais assez : Will Ferrell est sous-estimé. Du moins en France où ses films font généralement de sacrés flops ou ne sont adulés que par une minorité de fans hardcore. Aussi, entre ses films toujours inédits et ses multiples cameos, on comprendra pourquoi certains films atterrissent chez nous directement en DVD à l'instar de ce Casa de Mi Padre incroyablement décalé. Et pour cause : le film est une parodie des telenovelas (sortes de soaps hispaniques) dont la particularité est qu'il est intégralement tourné en espagnol. Difficile de passer ça en salles et on se demande même comment les distributeurs vont faire passer ça... Réalisé par un vieil ami de Ferrell dont c'est ici le premier long-métrage, Casa de Mi Padre n'a absolument rien d'original en soi avec son scénario cousu de fil blanc et ses personnages presque caricaturaux. Mais c'est justement dans cette forme moqueuse voire grossière que le film va s'avérer jubilatoire ! Tout est exagéré, de la personnalité des personnages ibériques, riant à pleins poumons et roulant sans cesse des cigarettes artisanales, aux décors factices et aux situations très souvent mal jouées. On prend donc un malin plaisir à s'égosiller devant une foule de séquences toutes plus ridicules les unes que les autres et surtout devant un Will Ferrell comme un poisson dans l'eau dans la peau de ce fermier un brin bêta qui va s'improviser héros face à de méchants trafiquants de drogue. Au-delà de tout ça, il y a une mise en scène parfaitement déjantée, mélange d'humour débile et de subtilités anglaises (aaah les scènes qui durent, qui durent), le tout saupoudré de détails volontairement cheap comme les animaux généralement en peluche, les incrustations laborieuses ou encore un quartier urbain tout en miniatures ringardes. Partiellement semé de passages ratés (la bobine qui saute, l'équipe technique clairement visible à travers les lunettes de soleil...) et doté d'un ton moqueur omniprésent, Casa de Mi Padre est un OFNI délectable et original et l'un des meilleurs rôles de composition de Will Ferrell, ici parfait en ranchero mexicain aux côtés de Diego Luna, Pedro Armendáriz Jr. et surtout Gael García Bernal en méchant caricatural des plus merveilleux.
Will Ferrell s'attaque aux productions mexicaine avec CASA DE MI PADRE et ça fait mal !
Entouré d'acteurs hispaniques, Ferrell joue son rôle habituel d'abruti avec une aisance rare. Toutefois, et contrairement à un RICKY BOBBY ou un ROIS DU PATIN, il garde le frein à main en tentant un numéro d'équilibriste : En effet, CASA DE MI PADRE est autant une parodie qu'un hommage. On sent beaucoup d'amour pour les films d’Amérique centrale. Cela explique donc que le film fait sourire mais rarement rire aux grands éclats.
En bref, un assez bon Will Ferrell dans l'absolu mais loin des méga délires qu'il sait proposer.
Entouré d'acteurs hispaniques, Ferrell joue son rôle habituel d'abruti avec une aisance rare. Toutefois, et contrairement à un RICKY BOBBY ou un ROIS DU PATIN, il garde le frein à main en tentant un numéro d'équilibriste : En effet, CASA DE MI PADRE est autant une parodie qu'un hommage. On sent beaucoup d'amour pour les films d’Amérique centrale. Cela explique donc que le film fait sourire mais rarement rire aux grands éclats.
En bref, un assez bon Will Ferrell dans l'absolu mais loin des méga délires qu'il sait proposer.
Will Ferrell maniant la langue espagnole et pratiquant le second degré tout le film, nous embarque dans cette telenovela mexicaine. Pas une minute du film ne semble jouée sérieusement, les dialogues sont exagérément déjantés. Par contre les décors en maquette miniature et les séquences "cigarrillo Armando" sont somptueuses. Malheureusement cet humour aux références un peu trop lointaines ne m'a pas convaincu plus que ça.
Excellent film, bien décalé à souhait, l'absurde et le troisième degré sont maîtres ici. on pense a Monthy Python, aux Nuls ou à Tarantino ! un traitement psyché et subtil derrière une facade primaire. Will Ferrell toujours énorme...Merci a ce genre de film d'exister
A regarder en VO, il parle mexicain avec un super accent !, et si vous aimez les décors des Zorro de France 3, alors vous serez subjugué par tous les effets spéciaux de ce film.
Kurosawa
Si les films avec Will Ferrell sont d'habitude très drôles, pour ne pas dire totalement délirants, ce "Casa de mi padre" laisse de marbre. Quelques scènes sont plutôt bien faites, notamment celles comportant un comique de situation et les expressions inimitables de Ferrell. Mais le principal problème réside dans l'écriture du film, de très mauvaise qualité. Les dialogues sont en effet très répétitifs et presque dépourvus d'originalité. On sourit par instants, mais trop rarement pour dire que cette parodie est réussie.
Loin d'être un des meilleurs Will Ferrell, on peut cependant passer un très bon moment en regardant cette oeuvre complètement décalée. Un délire d'une heure trente où chacun plonge dans le second degré sans manquer un seul des clichés mexicains. Quelques scènes sont bien entendu inoubliables.
Un film avec Will Ferrell est généralement plutôt original. Mais Casa de mi Padre est vraiment n'importe quoi que ce soit le scénario, la réalisation ou le jeu d'acteur. Globalement assez drôle.
AMCHI
En règle général j'apprécie les comédies avec Will Ferrell mais ici tout tombe à plat et c'est dommage car faire une parodie des télénovelas n'était pas une mauvaise idée pourtant Casa de mi Padre ne suscite jamais le rire même Will Ferrell ne semble pas inspiré.
Malgré tout son talent d'humoriste, la carrière de Will Ferrell est jalonnée de navets et ce "Casa de mi padre" vient malheureusement s'ajouter à cette longue liste. Le problème de cette comédie vient du fait que, même au 1000ème degré, l'humour du film ne fonctionne pas. Les gags sont gros et lourds et l'abus volontaire de la caricature fait chuter l'histoire dans la facilité. Will Ferrell lui même peine à être crédible dans une langue (l'espagnol) qu'il ne maitrise apparemment pas assez. "Casa de mi Padre" est à réserver à ceux qui aiment perdre leur temps.
Ciné2909
Ce n'est pas tous les jours qu'on a l'occasion de voir notre pote Will Ferrell parler espagnol et ça faisait déjà de Casa de mi padre une curiosité. L'humour pratiqué ici est plutôt primitif ce qui n'est pas vraiment pour nous gêner mais en dépit de quelques bonnes idées, on sent que le potentiel de cette comédie n'a pas été exploité à fond par le réalisateur Matt Piedmont. La seule chose qu'on retiendra c'est finalement ce running-gag avec les cigarettes jusqu'à cette fausse pub après le générique de fin.On ne risque donc pas de s'étouffer de rires, quelques sourires tout au plus qui ne pèsent malheureusement pas lourds face aux nombreux moments d'ennui et c'est dommage car Gael García Bernal faisait un beau méchant de service.
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