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    Le cochon de Gaza
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    3,6
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    268 critiques spectateurs

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    Biloba63
    Biloba63

    53 abonnés 847 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juillet 2012
    En annonçant clairement ses intentions de "fable à caractère humain, assaisonné d'une pointe de naiveté". Il fallait bien ça pour dénoncer sans engagement aucun la situation absurde entre Israël et Palestine.
    Un chant de liberté et d'humanisme, emprunt de burlesque et d'humour. Les situations sont très cocasses, et surtout surprenante.
    Ce film est loin d'être parfait, mais finalement je n'ai pas envie de m'étendre sur ces défauts ou fausses notes, tellement son originalité et son naturel en dégagent une richesse et un attachement qui en fait un petit bijou à découvrir !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 juillet 2012
    Quand un cochon sert de pont entre Gaza et Israël, le monde va beaucoup mieux. Fable délirante autour d'un cochon, honni par les juifs et les musulmans, Le Cochon de Gaza ose tout, se moque des terroristes, des soldats de Tsahal, des kibboutz et des fondamentalisme de tout bord. Avec une légèreté et un talent qui ont valu au film le césar de la meilleure première œuvre. Evidemment mérité tant ce film sonne juste d'un bout à l'autre. Il montre que ces voisins ennemis ont sans doute plus de points communs que de différences…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 juin 2012
    Très beau film, humain, drole, et à la fois réaliste sur une situation dramatique.
    Un message d'espoir pour ces peuples qui souffrent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 juin 2012
    normalement je suis plus film d action, et je voulais me tenter pas ce film car en voyant la bande annonce l avais très envie de voir ce film , et ce film est une merveille, j ai rigolé et on apprend sur leurs leur vie pas mal de chose. C est un film à voir d urgence , on ne s ennuis pas
    ForestEnt
    ForestEnt

    2 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juin 2012
    Ca m'a laissé perplexe. Il y a des scènes très droles. La vie au quotidienne est fort bien brossée. Mais je n'ai pas compris de quoi parlait l'histoire au fond.
    joevebulle
    joevebulle

    4 abonnés 515 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2013
    Une comédie qui montre bien dans quelles impasses peuvent mener certaines croyances religieuses. Très intelligemment réalisé
    Fodscraft
    Fodscraft

    21 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2015
    Voici une fable burlesque comme on en voit rarement. Elle traite avec une intelligence rare, et sur le ton de la comédie, du conflit israélo-palestinien, sans jamais connaître de lourdeur ou de parti pris. Le cochon en est d’ailleurs le pivot, impur chez les juifs comme chez les musulmans, et engendre une foule de situations très drôles.
    L’acteur principal, Sasson Gabai, repéré dans La Visite de la fanfare, joue avec excellence le pêcheur pris malgré lui dans une succession de problèmes, remettant au goût du jour le comique de situation des Keaton, Charlot et autres Lloyd.
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    109 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mai 2012
    "Le cochon de Gaza" est une farce interethnique en mode allégorique qui m'évoque par moments l'humour de Kusturica. Le trait est volontairement grossi pour provoquer l'hilarité mais aussi pour aborder sans hypocrisie et sous différentes facettes le conflit israelo-palestinien. Ce cochon jugé impur par les deux communautés rivales bouscule le quotidien et révèle les absurdités comportementales des humains. Sasson Gabai est épatant avec ses mimiques chaplinesques et le film se conclut avec émotion comme une fable humaniste en laissant la porte ouverte à l'utopie malgré une situation qui semble désespérée.
    pfloyd1
    pfloyd1

    129 abonnés 2 108 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2012
    Malgré les apparences,"le cochon de gaza" est un film "frais" et original par son scénario.L'histoire en elle meme est une agréable surprise et on se surprend à sourire souvent.Les acteurs jouent bien et la réalisation est impeccable.Mi drame,mi comedie c'est une bouffée d'air frais dans un univers qui nous est completement inconnu à nous les occidentaux:la bande de Gaza.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 mai 2012
    Une comédie légère au coeur d'un conflit pour le moins sérieux. C'est émouvant et drôle à la fois. Bien joué!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 mai 2012
    Un film qui sort totalement des sentiers battus. Un éclectisme peut être lié à la diversité des gens qui ont fait de ce film une jolie fable humaniste et burlesque. Un film cosmopolite donc pour aborder un sujet non moins cosmopolite. A commencer par son réalisateur, journaliste français, qui vit en Uruguay, une co-production franco-germano-belge, le tournage en hébreu et en arabe réalisé à Malte, le tout interprété par d'excellents acteurs : un énergique israélien d’origine irakienne (déjà excellent dans "La visite de la fanfare", une impeccable actrice tunisienne née en Italie et un cochon (ou probablement plusieurs) sorti d'un filet de pêche !!! Dans ce Cochon, au départ détesté par les deux camps, tout est vraiment très bon, excepté peut être un final quelque peu onirique à mon goût.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 avril 2012
    Un pêcheur palestinien pauvre remonte dans ses filets un cochon. Que faire de la bête impure ? La vendre afin d’améliorer le quotidien… L’idée est bonne, mais à qui ? Le cochon n’est ni hallal ,ni casher… Dans une Palestine truffée de militaires israéliens, de barbus et de colons ; Jafaar doit se démener pour trouver une solution.
    Un film français incroyablement atypique. Sous forme de fable humaniste et burlesque, Sylvain Estibal distille un message de paix autour d’une situation d’un absurde absolu. Très drôle dans sa première heure surtout, Sasson Gabay (Jafaar) campe un charlot arabe lunaire. La fin, trop onirique à mon goût, perd en intensité.
    On retiendra surtout un scénario original pour un une comédie plus profonde qu’il n’y paraît en premier lieu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 avril 2012
    « N'est pas Corneille qui veut », lançait Racine à son producteur Louis Legrand tout en lorgnant Titus d'un regard porcin avant de jeter son dévolu sur Bérénice (La Reine de Palestine, pas la Béjo*, aux yeux d'une si sombre beauté qu'un empereur s'y perdrait sans remord).
    Dans Le Cochon de Gaza, Sylvain Estibal renoue avec la tragédie antique en la replaçant toutefois dans un contexte politique actuel, ce qui lui fait perdre en crédibilité. Qui pourrait en effet imaginer que, de nos jours, l'idéologie et la raison d'état peuvent encore empêcher les hommes de faire des affaires et les femmes d'en avoir ?
    Selon les statistiques de l'ONU, le XXIème siècle sonne le glas des conflits utérins et la hache de guerre est définitivement enterrée sous les décombres des palais de Bagdad. C'est vous dire les progrès effectués depuis l'époque où Ajax célébrait l'Aïd devant Troie.
    Jafaar n'était qu'un pêcheur pauvre, il va devenir un pauvre pécheur un jour que Dieu était d'humeur taquine.
    Ayant maille à partir avec un cochon vietnamien venu aux bains en Terre Sainte, son bon cœur l'entraîne à lui donner asile sur son chalutier en attendant de l'exfiltrer de cette bande de Gaza refermée sur elle-même telle un trou noir se regardant dans le miroir au point de snober la communauté internationale et interdire les régates humanitaires, preuve de l'ostracisme d'une population trop fière de sa disette endémique pour s'ouvrir à la gastronomie occidentale. Même l'ONU, pourtant prompte à aider les réfugiés de bâbord comme de tribord, refuse d'accueillir le suidé naufragé, trop occupée qu'elle est à construire des écoles avec des sacs de riz.
    Heureusement, pour les israéliens - sans qui la vie dans le désert serait aussi morne qu'une plaine wallonne après le passage de l'Empereur et Ur-i-Salem, la ville de la paix, un simple cimetière de martyrs, saints, prophètes et autres fiers-à-bras pré-apocalyptiques dont on pourrait vendre avec profit les reliques et autres produits dérivés aux touristes asiatiques avec le même succès que les Tours Eiffel clignotantes fabriquées par leurs enfants dans des centres d'esclavagisme climatisés - heureusement donc, pour les israéliens, et bien qu'ils aient tué le veau d'or depuis des siècles, dans le cochon tout est bon, à condition toutefois qu'il garde ses pantoufles et mette sa petite laine quand il sort, on ne sait jamais, dès fois qu'il s'enrhume au vent mauvais d'une roquette ou d'un chasseur-bombardier en rase-mottes, parce qu'il faut bien que les militaires, ces grands enfants, laissent exploser leur amour de la farce lorsque la chair est faible et les chèvres rétives. (Ça y est, j'ai retrouvé la touche point.)
    Ainsi se renoue l'ancienne alliance sémite qui fit la joie de Nabuchodonosor à l'époque bénie où Ishtar hésitait entre la guerre et l'amour, ce qui laissait encore une chance à l'humanité. Mais je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Depuis, les enfants du tiers-monde ont dévoré les murs des écoles made in ONU, tandis que s'écroulent ceux des nôtres, aux frontons desquelles Marianne s'étiole dans sa robe d'espérance rongée aux mites par les nouveaux aristocrates du bâtiment et de la télé réunis. A court d'argument, Jafaar décide de frapper un grand un coup et embrasse le métier de martyr, très en vogue parmi les jeunes de la gazouillante cité gazaouie frappée par le chômage et la désolation, ce qui leur permet de s'éclater une bonne fois pour toute et montrer ce qu'ils ont dans les tripes. L'accès à cette profession de foi se fait sans diplôme, ce qui leur va à ravir puisque l'ONU n'a toujours pas retrouvé les plans du lycée qu'elle doit bâtir avec les stocks de corned-beef périmé qu'elle vient enfin de recevoir.
    Malheureusement pour le héros, son cochon lui joue un tour à sa façon et le martyr du pauvre pêcheur se prolonge ad vitam eternam. Avec deux femmes sur les bras, l'une plus belle que l'autre, et la bourse toujours vide, une vie de galérien s'annonce et l'horizon bouché par le mur de la honte n'en devient que plus sombre. Fuyant ce que d'aucuns prendraient pour le paradis, il finit par atteindre sa Terre Promise et s'aperçoit qu'elle ressemble furieusement à sa terre natale. Tout est dit.
    L'humour de Dieu est inhumain, les juifs en savent quelque chose.
    [...] La suite et mes autres critiques absurdes sur http://ad-absurdum.eklablog.net/
    Julien D
    Julien D

    59 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2012
    Un film très drôle, intelligent et d'une fraicheur remarquable. Un vrai sens du burlesque (qui n'est pas sans rappeler un Tati ou un Chaplin... la parole en plus...) dans un contexte difficile. Même quand le sérieux reprend ses droits, le film parvient à distiller une malice "non-sensique" des plus savoureuses. Les situations cocasses s'enchaînent afin de mieux souligner l'absurdité d'un conflit israélo-palestinien (semble-t-il...) sans fin. Le message est évidemment utopiste (la fin du film le montre bien...) voire naïf, mais le ton léger et la conviction beaucoup plus appuyée à défendre des idéaux font bon ménage... Un film qui fait du bien...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 avril 2012
    un film sympathique qui se laisse regarder, un dernier tiers de film un peu en baisse. à voir.
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