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    Twixt
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    314 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 mars 2013
    Un gloubi-boulga horrifique dont la réelle teneur restera à jamais secrète… Les seules idées intéressantes de ce film sont liées à la clé des songes et à l’introduction fantasmée d’Edgar Allan Poe. Pour le reste, on sent un réalisateur qui ressasse nombre de ses films d’antan ("Rusty James" ; "Outsiders" ; "Apocalypse Now" notamment) mais le brio n’y est pas, l’aspect génial non plus. Le rôle de Val Kilmer n’est pas sans accointances caractéristiques (production matérialiste (Autos/Livres) vouée à l’échec = Perdant) avec celui du héros de «Tucker » (un autre de ses films) mais là non plus, le jeu de l’acteur a minima et engoncé au sens propre comme au sens figuré, gêne aux encoignures. Tout a l’air de se construire, de se mettre en place mais l’incohérence, le flou, l’abscons voire le ridicule règnent sur et autour de cet hôtel damné. Si l’idée de départ naît véritablement lors d’une nuit d’hôtel en Grèce, on notera que c’est plutôt le pays visité qui a depuis sombré dans l’horreur. La tourmente horlogère, c’est le temps qui passe selon le sens que l’on donne à la vie et les aiguilles en sont les dards impitoyables qui s’enfoncent dans la chair, le cœur et l'âme du réalisateur. Cette œuvre est symptomatique des souffrances intériorisées de Coppola. Reste à savoir si cela aura été, pour lui, libératoire… Pour l’écriture du scénario en tous cas, n’est pas Roald Dahl qui veut.
    Akamaru
    Akamaru

    3 085 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 mars 2013
    Depuis quelques films,Francis Ford Coppola semble retomber en enfance,et se remettre à expérimenter les formes kafaïennes et oniriques qu'il affectionne tant. Mais son "Twixt" confine à l'abstraction. Image kitsch de spuermarché,références littéraires pataudes et plombantes,imagerie rassis de la vierge,du prêtre et du vampire et un Val Kilmer plus ridicule que jamais en écrivain bouffi et sans talent,sauf celui d'être un racontard. Le film est un immense foutoir,qui accuse de surcroît un rythme cahin-caha. Que dire de plus si ce n'est qu'il est consternant de voir FFC perdre son temps(il ne lui en reste plus tellement)et son talent dans ces âneries absconses et fermées à double tour.
    gabdias
    gabdias

    85 abonnés 1 800 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 mars 2013
    Quand Coppola se la joue Tim Burton, c'est esthétiquement à côté de la plaque, et même si Coppola y met ses tripes et fait de nombreuses allusions à la mort de son fils, ce polar fantastique est trop tortueux et baroque pour impressionner qui que se soit. Bref Coppola devrait arrêter le pinard ça rend idiot.
    Olivier D
    Olivier D

    31 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 août 2016
    Dommage qu'il n'y ai plus de lettre après le Z pour définir dans qu'elle catégorie appartient ce film. Quelques belles images en noir et blanc avec des jeux de couleurs. Mis à part sa, on est gêné tant c'est nul.
    Plume231
    Plume231

    3 876 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 mars 2013
    Avec Francis Ford Coppola c'est bien simple, autant le roi des années 70 -4 films 4 chefs d'oeuvre- a toute mon admiration, autant celui d'après au mieux me laisse indifférent au pire m'ennuie. Là avec "Twixt", il me laisse indifférent, il m'ennuie mais en plus il est franchement médiocre. De bonnes idées, comme l'utilisation d'Edgar Allan Poe comme guide dans les rêves, mais totalement engluées dans un scénario hyper-confus, dans un mauvais goût très vite lassant et des effets spéciaux aussi laids que kitschs. Le peu qui aurait pu être bouleversant, à savoir la mort d'un enfant, est entièrement desservi par Val Kilmer qui ne se donne même pas la peine de faire au moins le minimum syndical. Bref, le roi Coppola est définitivement mort.
    FaRem
    FaRem

    8 608 abonnés 9 508 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 mars 2013
    Le registre épouvante horreur est vraiment associé à n'important quoi ce film est plus ennuyeux qu’effrayant, c'est vrai qu'il y a un vrai univers qui se dégage mais bon j'ai pas du tout accroché.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    688 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2013
    On sent une maitrise évidente, celle de Coppola, mais avec "Twixt" il ne révolutionne pas le genre, il est même en dessous des bons long métrages du genre. Mais le film n'est pas déplaisant, avec sa photographie à la "Sin city" et un Val Kilmer pas si mauvais que ça et en fin de compte on ne ressort pas déçu.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    68 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mars 2013
    D'une grande beauté plastique, très innovant, et assez intriguant, le film de Coppola est une belle surprise. Le réalisateur parvient à instaurer une ambiance envoutante, dans laquelle on se love avec plaisir, plus qu'avec angoisse. Le village dans lequel se passe l'histoire ressemble au final plus à un cocon qu'à un piège de film d'horreur et on s'y sent terriblement bien. Le plus troublant est sûrement la dichotomie du film : à la fois drôle et poignant, il ne se prend pas vraiment au sérieux mais transperce le cœur quand on connaît l'histoire personnelle de Coppola. Elle Fanning est absolument géniale et habitée et on retrouve avec beaucoup de plaisir un Val Kilmer en forme qui se moque de lui-même.
    dai72
    dai72

    145 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 mars 2013
    C'est vraiment Coppola qui a réalisé cela? On a plus l'impression que c'est son cousin tellement nous somems loin des formidables films que FF Coppola nous a offert par le passé. Peu de rythme, des dialogues plutôt ridicules, seuls les décors sortent du lot et la perfomance d'Elle Fanning que je trouve admirable. Sinon pour le reste, c'est assez ennuyeux, lent et peu captivant finalement, loin du thriller ou de l'histoire policière que j'avais imaginé au début !!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 mars 2013
    Un film sombre d'un écrivain qui va dans un délire d'une histoire sordide. Les images sont belles mais classique.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 25 février 2013
    Mauvais.. on s'ennuie, on a du mal à garder le fil de l'histoire.. les images ne sont pas très belles.. Val Kimer est pas très bon (les autres aussi d'ailleurs..)
    Bref, film à très vite oublier !
    NewBoorn
    NewBoorn

    60 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 février 2013
    Coppola, l'un des plus grands, nous propose donc un des navets de l'année, Twixt. Scénario pathétique, dialogues inintéressant, Val Kilmer désastreux... La liste est longue et ce n'est pas la peine d'en rajouter.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    112 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 février 2013
    Aïe! Dans le making of, Coppola explique que s'est après avoir abusé du raki lors d'un séjour à Istanbul qu'il a imaginé ce film…Ben c'est très précisément se que je me suis dit à la découverte de cette étrangeté qui n'aurait pas dû voir le jour. De plus on apprend qu'il a manifestement eu des problèmes avec le studio pour faire travailler Elle Fanning perturbant son tournage…Ces quelques informations + un comportement assez étrange sur le plateau à l'approche de ses 72 ans me font penser qu'on ne pourra pas toujours compter sur l'immense talent qu'on lui connaît. Pour ce qui est de cette histoire, rien de bien méchant, c'est classique et sans surprise. Le début n'est pas mauvais mais plutôt comique et on a plus l'impression d'entrer dans la caricature d'un compte pour enfant qu'une histoire d'horreur. C'est très stylisé avec de gros contrastres de couleurs criardes avec quelques jolis plans bien inspirés (le raki doit avoir de bons côtés). Mais tout le reste est ridicule et très ennuyeux surtout qu'on ne voit vraiment pas où Coppola veut nous mener. Vu la durée du métrage d'à peine 1H20 je ne peux m'empêcher de penser qu'on a sous les yeux un film râté et baclé sorti de l'esprit pas toujours clair d'un artiste en fin de carrière. Les plus grands réalisateurs ne commettent pas d'erreur, Coppola en a fait partie…
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 février 2013
    Francis Ford Coppola réalise ce que sa stature lui permet de réaliser, du n’importe quoi. Oui, fort d’être le cinéaste à la tête d’énormités telles que le Parrain ou encore Apocalypse Now, l’ami Coppola semble avoir laissé maintenant sa place à la descendance, sa fille, Sofia, du moins qualitativement. Oui, à l’inverse d’un Spielberg, d’un Ridley Scott et j’en passe, cinéastes constants, à peu de chose près, Coppola, lui, s’est gentiment mais sûrement effacé pour ne pointer que parfois le bout de son nez au travers, ici, d’une œuvre insignifiante, telles que celle-ci. Twixt, fable néo-gothique à l’esthétisme soigné mais à la maigreur scénaristique absolue.

    Oui, ici le maître cinéaste trace le destin d’un écrivain romancier en mal d’inspirations, fort d’un semi succès ne faisant pas de lui un incontournable. Val Kilmer, lui aussi un individu échappé d’une gloire d’antan que l’on ne rencontre plus très souvent, incarne ledit romancier. Père d’une jeune fille décédée, un mariage difficile et des finances contraignantes, voilà la route toute tracée pour notre ami Hall Baltimore, qui trouve à Swann Valley, petite bourgade austère comme le cinéma nous en a servi des tonnes, une nouvelle inspiration, un nouveau sens à sa vie. Coppola traite ici, l’on semble comprendre, du deuil, de légendes et de religion.

    Pour être honnête, l’on ne discerne pas franchement ou le cinéaste tente de nous entraîner. Sans doute dans les méandres de son inconscient, dans un film hybride qui n’a ni stature ni but précis si ce n’est fantasmer sur un univers bien particulier. L’écrivain rêve, se propulsant dans les ténèbres, rencontrant des personnalités douteuses, Edgar Allan Poe, plus particulièrement, tentant de revenir sur un tragique évènement d’antan. Oui, que vient faire là le célèbre écrivain de son temps, que vient faire dans la soi-disant réalité un shérif détraqué, quel est le sens du clocher à plusieurs horloges? Il apparaît très vite, à moins de perdre un temps fou à sonder son esprit, que l’on ne nous amènera pas de réponses, et pire encore d’un point de vue engouement, que l’on s’en fiche royalement.

    Seul élément à sauver le film d’un sinistre désenchantement, son esthétique. Oui, Coppola, malgré tout, est resté un savant vendeur d’images, un cadreur hors pair, un cinéaste génial à qui l’on a malheureusement coupé les ailes en termes d’inspirations. Regrettable alors qu’on image à quel point le bonhomme peut être énorme si l’on lui confie quelque chose de substantielle. Pour ne pas être impoli, disons simplement que Twixt apparaît comme un fantasme de vieillard, comme une œuvre loufoque d’un cinéaste dépassé qui tente de s’exhiber dans des registres peu communs. Une véritable souffrance que d’endurer, heureusement, l’heure et demie qui constitue son dernier film, un navet en puissance et ce malgré une prestation plutôt sympathique de l’autre oublié du cinéma, Val Kilmer. 05/20
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    982 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 février 2013
    Malgré son retour surprenant, un nouveau film de Francis Ford Coppola, c'est toujours un évènement, le réalisateur d'Apocalypse Now étant revenu derrière les écrans après dix ans d'inactivité. Passé au numérique, le metteur en scène nous a pondu deux œuvres pour le moins singulières. Il continue donc dans cette voie avec son 22e film, Twixt, nous présentant à nouveau une étrangeté difficilement abordable, revenant pour le coup à ses premiers amours... En effet, l'ex-assistant de Roger Corman qui a, comme beaucoup, commencé avec le cinéma de genre, retrouve le fantastique à travers cette histoire d'enquête fortuite dans les méandres d'une petite bourgade. Notre héros, un écrivain déchu, atterrit dans ce coin paumé plein de secrets et de gens atypiques, afin de dédicacer en vain son nouveau roman. Les différentes rencontres qu'il va faire ainsi que la disparition d'une jeune fille vont lui donner une certaine nouvelle inspiration et le pousser à mener sa propre petite enquête sur cette mystérieuse disparition, se faisant pour cela aider par un shérif fan de ses œuvres et même le fantôme d'Edgar Allan Poe, l'écrivain américain ayant lui-même passé un certain temps dans la bourgade maudite. Au premier abord dénué de toute logique (les apparitions fantomatiques ne sont guère expliquées), garni de quelques séquences déstabilisantes et de dialogues peu abordables, Twixt rejoint les deux précédents films du réalisateur dans cette atmosphère aussi bizarre qu'intrigante. Ainsi, à travers son investigation, notre héros de base torturé va pénétrer dans un monde de mystères, de secrets et de révélations douteuses et insoupçonnées, le changeant à jamais. Ce protagoniste est incarné par un Val Kilmer éternellement sur le retour, bouffi et sans plus aucun charme mais néanmoins ici brillant, la sobriété générale de son jeu et sa conviction naturelle en faisant un héros tout à fait attachant. En soi, Twixt est un film indéniablement inégal, déroutant et peu mémorable, la qualité visuelle du long-métrage pouvait aisément faire passer Sin City pour un chef-d’œuvre. De plus, de nombreux passages inutiles et un certain rythme lancinant ne favorisent aucunement la compréhension du film. Toutefois et au final, le long-métrage demeure intrigant et par moments d'une poésie macabre envoutante qui ne mérite pas intégralement le blâme mais qui dévoile au contraire une nouvelle facette d'un metteur en scène déchu qui trouve une certaine renaissance à travers des œuvres plus personnelles que jamais.
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