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    Twixt
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    2,3
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    314 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 avril 2012
    C'est très beau mais je n'ai RIEN compris du tout... :(
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 avril 2012
    Les films de FF Coppola sont toujours un mini événement quelque soit leur budget et leur médiatisation.
    Véritable patriarche du cinéma américain, tant à Hollywood qu'au sein de sa grande famille, le père du Parrain et d'Apocalypse Now s'en essayerait presque au cinéma d'auteur du circuit indépendant avec ce petit film fantastique narrant l'histoire d'un écrivain à bout de souffle et à court d'imagination qui va trouver l'idée de son prochain roman au travers de ses rêves et de faits divers morbides.
    Réalisateur, producteur et scénariste, Coppola comme à son habitude ne fait pas un film de commande mais une nouvelle œuvre un peu ovniesque où il se raconte un peu sous les traits de ce romancier qui se cherche, qui revisite son passé pour mieux se réinventer, sur fond de conte de vampires et d'enquête fantomatique. Hall baltimore, joué par Val Kilmer, observe plus qu'il n'agit dans son enquête objet de son idée de nouveau roman. Le rythme général est donc assez lent, l'histoire enchaîne les discussions, ses petits mystères entre événements d'aujourd'hui et ceux du passé, entre rêves et réalités : mieux vaut ne pas perdre le fil pour ne pas se retrouver totalement largué dans cette ambiance noire et brumeuse où fantômes et vampires sautent d'une dimension à une autre.
    Difficile d'être totalement captivé : on aurait préféré un registre beaucoup plus thriller que toutes ces divagations mais telle n'était pas vraiment la volonté de Francis Ford Coppola qui n'avait pas pour objectif de faire un film lambda déjà vu, de ce côté là le pari est réussi.
    Au delà de la nouvelle sortie du maître, Twixt est surtout l'occasion de revoir la prodige Elle Fanning après Super 8 et Somewhere dans lequel Coppola l'avait déjà chapeauté sous la caméra de sa fille Sofia; pas étonnant qu'il la choisisse de nouveau pour son film à lui.
    Alors que Val Kilmer n'est plus que l'ombre de lui même (il est loin le temps du Saint, de Heat et de Batman 3), la jeune actrice étonne par son naturel et son talent à chacun de ses nouveaux films et signe là son premier rôle de vampire comme l'avait fait il y a deux ans sa non moins surdouée compatriote Chloe Grace Moretz dans le remake de Morse, Laisse Moi-Entrez.
    On l'attend avec impatience dans We bought a Zoo qui sort le 18 avril dans un film définitivement plus gai mais pour l'instant......we can call her V !
    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 avril 2012
    Twixt est un film décevant dont on reconnaît à peine la "patte" de Coppola. Le film, si il est brillant visuellement (jeu des couleurs, alternance noir et blanc) est très creux sans que la terreur voulue ne soit réellement suscitée. On n'éprouve pas beaucoup de gêne dans un film parfois un peu ridicule, très répétitif et chichiteux. A noter une belle idée cependant, le personnage fantôme d'Edgar Poe, bien cerné. Le reste est plat, répétitif et ennuyeux. Seules les dix dernières minutes, superbes, rendent hommage au cinéaste et à sa vie personnelle tragique (la mort de son fils dans un accident de bâteau). Ceci est à la limite du narcissisme. Il est fait allusion à Stephen King mais ce dernier aurait sûrement écrit un meilleur scénario. En 1995, John Carpenter, dans l'Antre de la folie, était d'une bien plus grande tenue. Le film le plus faible de Francis Ford Coppola qui nous livre un médiocfre cru, réitération de l'homme sans ombre.
    madmax1
    madmax1

    11 abonnés 440 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2012
    L'histoire de kKng est bien transposée. Un beau moment de cinèma, avec tout de même quelques longueurs...
    pitch22
    pitch22

    165 abonnés 682 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 avril 2012
    Coppola nous offre une plongée tortueuse dans un subconscient macabre à travers un processus créatif qui prend appui sur une sorte de métascript de la méthode psy-analyste jungienne en lien avec un rêve (qu'il a fait à Istanbul en 1999). TWIXT se voit affublé du genre film d'horreur, ce qui est réducteur, malgré quelques scènes assez violentes. Ce thriller captivant, complexe voire foutraque en apparence, nous embarque dans un voyage parallèle au sein de la conscience dédoublée, qui prend la forme d'un sombre conte dramatico-fantastique aux allures surréalistes et aux voix caverneuses. Son originalité se fonde sur le réveil d'un passé douloureux effectué par le mode opératoire du sommeil, qui sert de voie révélatrice, voire de catalyse apocalyptique pour l'acte de création. Par-dessus l'élucidation d'une affaire de meurtre locale liée à un étrange milieu gothique ricain vient se greffer, dans l'esprit tortueux d'un écrivain à la ramasse, le souvenir rémanent de la perte brutale de sa fille. Elle Fanning incarne V. (pour Virginia, vierge sacrifiée de l'entre-deux, Victime Vengeresse), son équivalent transmuté; l'actrice manifeste un potentiel certain. Cette figure fantomatique, évanescente, permet à Francis Ford Coppola de transposer la mort de son fils G.-Carlo, dont la beauté emportée dans la fleur de l'âge par l'élément yang aqueux lui fait opérer une translation genrée. L'archaïsme anglais «twixt» signifie d'ailleurs entre deux: situation d'inconfort mais aussi de dépassement du manichéisme binaire religieux. Ainsi, nous voici plongés dans une folle hybridité: fille mais en réalité garçon, mi-enfant mi-adulte, pureté souillée, rêve mêlé de réalité ou inversement, amour mortel... L'événement traumatique de cette disparition, par l'expression de sa sphère réflectrice, semble avoir littéralement vampirisé le cinéaste, sur fond de culpabilité. Il va donc affronter le démon de son subconscient (symbolisé par le beffroi); le cinéma, pareil à l'écriture (par effet gigogne), représente le moyen pour tenter d'en découdre. Val Kilmer alias Hall, joue le jeu adéquatement (mais sans force) en nouvelliste bouffi has been, au milieu d'une bourgade indolente aux tréfonds hitchcockiens (Bruce Dern en schizo). Il semble rassurant que le rêve obsédant l'emporte sur la transe sous alcool dans le processus d'inspiration de Hall, l'écrivain en porte-à-faux avec son éditeur. Or c'est que l'alcool se révèle ici impropre à la pénétration de l'état second nécessaire à l'exploration de l'intime profond. L'introduction du personnage d'Edgar Allan Poe (Ben Chaplin, convainquant), qui alors sert de guide à l'auteur lors de ses recherches subconscientes, si elle ajoute à l'ambiance hallucinatoire, s'avère discutable, puisqu'une confusion s'instaure entre la démarche poétique, qui n'a pas à voir avec l'inspiration, et celle du romancier, en quête d'accroches littéraires; en fait, Coppola tend à dire par là que sa vérité constitue la raison d'être de son film. Rapportée à son personnage, un telle approche atypique et a priori incongrue, tient la route, ceci d'autant qu'il semble vénérer ce monument de la poésie étatsunienne qu'est «Feuilles d'Herbe» de Walt Whitman. Quant à Poe le maudit (traduit par Baudelaire et ici académiquement cité), il illustre trois figures: le coach artistique, l'éclaireur criminologue et le voyant sataniste (cf. son poème «Alone»). Quoi qu'il en soit, l'issue du subconscient s'exprime à travers le sang. Lors des scènes lunaires en noir-et-blanc, la permanence des couleurs rouge et feu signale ainsi la poussée karmique de l'être aural. L'auteur accepte donc de faire face aux démons, le sien mais aussi ceux d'existences parallèles au microcosme commun. Le hic, c'est que l'entreprise n'a pas pour objectif d'aboutir à un état de conscience différent, libérateur -via l'exercice d'un développement gnostique personnel- mais de parvenir à exprimer une histoire transcendante, vectrice de réussite matérielle. La purification passe par le sang, par les noces noires, incestueuses, avec ce mal réveillé des ténèbres- un zeste de citron... Par là, Coppola, membre supposé du Bohemian Club, affirme préférer les terres dites satanistes au changement spirituel pour améliorer sa vie. Le brisement du moi, qui autorise sa renaissance, pourrait s'opérer de manière naturelle; or c'est l'acte dément qui y pourvoit, comme une hybris permettant d'accéder à un état second. C'est pourquoi TWIXT résonne comme une sorte de mise à nu, un testament théiste noir, une exploration satanique dont la dimension occulte en brouillera plus d'un. Dense malgré ses 1h25 et faussement simple, ce film d'auteur peut déconcerter par ses choix esthétiques et par sa cadence. On comprend qu'on aime ou qu'on déteste... Difficile à noter. Néanmoins, force est de constater la cohérence de l’œuvre (malgré l'aspect décousu), sa richesse analytique tout comme, sous des dehors anodins (liés à un budget limité), son pouvoir de prégnance.
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 136 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 avril 2012
    Si vous aimez le cinéma de Francis Ford Coppola, n'allez pas voir ce film. Le réalisateur de chef d'oeuvres tels que le parrain et apocalypse now a réalisé un des films les plus creux et ennuyeux de sa carrière. Si sur le papier Twixt semblait intéressant (réflexion sur la création, film sur la perte d'un enfant, thriller surnaturel d'épouvante), le projet réalisé et monté est juste abscon. Creux, lent,incompréhensible, hésitant toujours entre second degré et esprit farcesque d'un côté et ambiance onirique lourde et cauchemardesque de l'autre, Twixt est un film raté de Coppola père qui semble se prendre pour Lynch. Esthétiquement le film est néanmoins intéressant, le visuel expressionniste et le caractère sombre des images peut en effet intrigué. Mais la surprise passée, le film devient vite grotesque comme la figure de Poe, en guide des cauchemars. Elle Fanning, aussi excellente que dans Somewhere et super 8, est l'autre intérêt du film, c'est bien peu, amateurs de cinéma et de Coppola, passez votre chemin.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 avril 2012
    Le film le plus nul de ces 10 dernières années. Un véritable navet. Fuyez devant cette série z indigne de ce réalisateur qui a perdu toute sa créativité.
    sonia-f
    sonia-f

    1 abonné 65 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 avril 2012
    Twixt, c'est un ovni cinématographique comme il en traverse le ciel d'Hollywood de temps en temps, c'est un film qui laisse dubitatif (''est-ce que j'ai aimé ou est-ce que je n'ai pas aimé ?''), c'est tout sauf un léger divertissement du dimanche après-midi. C'est un de ces films d'ambiance dans lequel le message du réalisateur se traduit par un travail esthétique fouillé et précis sur la lumière et la couleur. Dans un univers dont Lynch aurait pu revendiquer la paternité, le spectateur partage avec un Val Kilmer bouffi et pas toujours très convaincant le lourd et nécessaire voyage introspectif qui est au cœur du principe même de la création, avec comme guide et maître en la matière l'écrivain Edgar Allan Poe. C'est beau, c'est poétique, c'est romantique, mais c'est long, c'est lent, et ça s'éparpille un peu (avait-on vraiment besoin du vampire comme figure romantique au milieu de cette histoire ?). Une chose est sûre, quoiqu'on en dise : c'est de l'art.
    romano31
    romano31

    277 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2012
    Twixt marque le retour de Francis Ford Coppola au fantastique aprés son excellentissime Dracula. Et autant le dire de suite, ce retour est tout bonnement réussi. Twixt est un film sombre où l'on alterne habilement entre rêve et réalité. Le film est porté par un super Val Kilmer et une magnifique Elle Fanning. L'histoire est subtilement écrite et la réalisation de Coppola est superbe, en particulier la partie des rêves où il n'y a que quelques teintes de couleur pour sublimer ce monde sombre et froid qui sent la mort à plein nez. Il y a encore pleins d'autres choses à découvrir dans ce superbe film mais je vous laisse les découvrir par vous même. Twixt est un film à part qui vaut le détour, vraiment, et qui est d'une beauté rare. Un petit bijou.
    laurence l
    laurence l

    136 abonnés 1 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 avril 2012
    Un peu déçue par ce film qui m'interressait énormément en vue de la bande annonce.
    Ou est la réalité du rêves ? on se perd dans ce labyrinthe même si il y a de belles images et que les acteurs sont bons.
    Coppola a voulu changé de style pourquoi pas mais un scénario plus clair aurait été souhaitable.
    Cuzion
    Cuzion

    24 abonnés 197 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 avril 2012
    Mais qu’est-ce qu’il nous a fait là Francis? Il a quand même réalisé de très grands films (Le parrain / Apocalypse now), ce n’est pas un petit nouveau du cinéma, il doit connaitre deux ou trois trucs pour ne pas tomber dans le mauvais. Bah là, avec Twixt, il fonce en plein dedans! Ce film est une pure bonne idée qui tourne super mal.
    Le scénario, faute d’être super original est quand même bien ficelé avec quelques détails qui mènent à suivre ce qui se passe. Donc là-dessus, il n’y a pas de soucis. Par contre, pour les acteurs, ils sont perdus au milieu de ce flou cinématographique.Val Kilmer (qu’il a changé, ça faisait longtemps que je ne l’avais pas vu sur l’écran), il est le cliché de l’auteur d’épouvante, une sorte de « Stephen King au rabais » (dialogue du film quand même, Coppola se rend compte que ce personnage n’est pas crédible ou pas?). Bruce Dern, à part dans les nanars, je n’ai jamais vu de shérif aussi débile et convaincu de sa stupidité. Son passe-temps, à part purifier le monde des vampires? Construire des nichoirs à chauve-souris … Bah voilà, ça vaut pas son pesant de cacahuètes ça? Toutes les scènes où il s’emballe ressemble à un mauvais film d’épouvante des années 40 (Hommage à Ed Wood ou Coppola était possédé par l’esprit d’EdWood?). Le rôle féminin, Elle Fanning, elle est jeune mais a déjà une belle filmographie. Donc juste sur la lecture du scénario, elle a dû flairer le piège de son personnage, mais bon, est-ce que l’on peut refuser de jouer dans un film de F.F. Coppola, j’en doute (Surtout quand on a déjà joué pour Sofia Coppola). En tout cas, son personnage de V est tout simplement caricaturale, une Mercredi de seconde zone (Christina Ricci était bien plus convaincante et flippante) mélangée aux personnages de Tim Burton (Par exemple, Christina Ricci dans Sleepy Hollow, et oui, encore elle!) avec le mascara du Chapelier Fou par Johnny Depp (toujours du Tim Burton). Enfin, Ben Chaplin en Edgar Allan Poe, l’écrivain fantôme qui vient aider son collègue en lui apprenant à écrire … pas crédible non plus, voir pénible. A la rapide dans cette saga de personnages tous aussi tartes les uns que les autres, un second du shérif qui n’en branle pas une de la journée et qui paume aux cartes, une femme d’écrivain juste ce qu’il faut de pénible et d’hystérique et des jeunes gothico-techno-satano-paumés (Ils ont choppé leur look à Mozart l’opéra rock ou quoi ? Ils sont juste ridicules). Enfin l’environnement, sombre, mais alors plus sombre et retouché par ordinateur, t’as pas ! C’est simple l’effet de rêverie est tellement présent que l’on s’y perd, on ne sait plus quoi voir (je pense que c’est volontaire, mais ce n’est pas bien rendu). Le mélange d’ambiance lourde et de musique légère est originale, mais ne permet pas de rentrer dans le film.
    Donc au final, qu’est-ce que c’est que ce film? Un film d’épouvante? Non, Twilight ferait plus peur. Un polar? non, il n’y a pas de suspens, tout est trouvé très rapidement. Un fantastique? haaa peut-être, mais pas un bon. Une comédie? pas volontairement en tout cas (à part la scène d’écriture sous 3 litres de Whisky). Je penche pour un beau bordel hommage à plein de films, tels que L’étrange Noël de Monsieur Jack, Twilight, La famille Addams, et aussi un hommage à Stephen King.
    Définitivement, c’est surement la tâche d’huile que ne pourra jamais enlever Francis Ford Coppola. Ou alors, il re-pond son film en se concentrant sur un genre, sans s’éparpiller et surtout en ne pompant pas tous les films « étranges » qu’il a aimé.
    Vu que F. F. Coppola n’est pas un jeunot, que ce film est raté ou beaucoup trop second degré et que ce couple ne va pas ensemble, le résultat mauvais donne donc le 2/5 que je lui attribut. C’est une belle déception.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 avril 2012
    Plutôt mauvais, et pourtant il y avait de quoi faire ! L'histoire d'Edgar Poe en arrière plan, des images somptueuses (ce qui d'habitude ne me touche pas, mais alors là c'est vraiment beau !) Et au final, ça devient alambiqué, on s'ennuie. Et puis le personnage de Flamingo qui singe COMPLÈTEMENT Heath Ledger dans le dernier Batman, ça n'a pas trop d'intérêt. Je ne crois vraiment pas que Coppola soit un grand réalisateur. Déjà, pour moi, "Le Parrain" est l'un des films les plus surcôtés de l'histoire du cinéma. Comme l'interprétation d'Heath Ledger d'ailleurs, paix à son âme.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 avril 2012
    Voilà longtemps que je n'avais pas vu au cinéma un film aussi bien réalisé. Le genre est maîtrisé et assumé, avec une ambiance extrêmement bien réussie. La seule chose qui n'en fait pas à mes yeux un chef d'oeuvre, c'est la légère confusion par endroits mais qui n'est pas gênante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 avril 2012
    Un film un peu fou, touffu, à la fois simple dans son propos et riche de ses multiples niveaux de lecture. D'une grande beauté formelle, cette réflexion sur la perte et le temps se révèle souvent émouvante. Une fois de plus, Elle Fanning est étonnante.
    PetiteCerise
    PetiteCerise

    11 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2012
    Un mélange entre Burton et Sin City... Le film est très poétique malgré des scènes difficiles. Le graphisme est top. Une fin qui laisse libre cours à son interprétation. Un poil burlesque sur les scènes éveillées qui restent
    un peu trop en décalage avec les scénes oniriques...
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