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    Twixt
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    2,3
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    314 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 septembre 2012
    Très difficile d'émettre un avis sur ce film. Il est ambitieux, esthétique, et comporte différents plans de lecture. Il se regarde avec une facilité déconcertante et est menée d'une main de maître par coppola. Cependant sa faiblesse réside dans son histoire qui est trop prévisible et du coup passionne pas.....
    Rudee
    Rudee

    56 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 juin 2012
    Je ne sais meme pas pourquoi ce film à été fait, un M... sans nom, j'y est crue jusqu'au bout, mais rien, vraiment rien..... qu'elle perte de temps
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 avril 2012
    Un film très esthétique qui peut perdre son spectateur en alternant réalité/rêve/roman. Le film, fort de nombreuses lectures possibles semble se dresser comme un hommage au cinéma et à la culture en général. Malheureusement le scénario ne suit pas et le film déçoit.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 avril 2012
    Coppola , nous étonne toujours , un film dans la veine de Dracula ! Un bon film d'épouvante avec un univers super a la sin city ! La chute surprenante mais un "epilogue trop long " , Film a voir !
    Acidus
    Acidus

    716 abonnés 3 707 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 avril 2012
    Coppola nous pond ici un film de série B doté d'une histoire de revenants digne d'un film d'horreur de la fin des 70's (Carpenter en tête), d'un léger aspect gothique propre à Tim Burton avec le délire barré d'un David Lynch (sur la fin du film notamment). Le problème pour l'auteur de la trilogie du Parrain est que sa volonté de jouer sur tous ces tableaux à la fois, en partant dans tous les sens, ne donne absolument rien et rend son "Twixt" bordélique et incompréhensible dans sa démarche. C'est lent, vide d'ambiances, plat et les acteurs ne relève pas le niveau. Selon moi, "Twixt" ne doit sa publicité et son exposition médiatique qu'au simple nom de son réalisateur et non en raison de sa qualité.
    ATON2512
    ATON2512

    58 abonnés 1 124 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 avril 2012
    Un délire certes esthétique mais où on se perd constamment entre rêves réalité conscience et inconscience . Plan d'images et plan de scènes incohérents . A l'abandon de toute compréhension , on y viens à s'endormir . Comme c'est Coppola la critique est sur évaluée . La salle certes petite était vide .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 avril 2012
    Hallucination, rêve, roman filmé, mise en abîme, ou réalité ?

    La voix-off du narrateur est celle de Tom Waits :

    Il était une fois :

    Hall Baltimore, écrivain en mal d’inspiration œnologique arrive dans une petite bourgade de Californie du nord où rien ne vit, « apparemment », hormis deux vieux policiers et une bande de jeunes gothiques. Certitude ?

    Il vient pour dédicacer son dernier livre sur les sorcières dans une quincaillerie.

    Œuvre baroque, ce film nous emmène à travers des miroirs dans un jeu de pistes réelles ou imaginaires mêlant habilement présent et passé.

    La fiction réelle se mêle progressivement au rêve, ou l’inverse. Les deux mondes s’imbriquent dans un kaléidoscope temporel. L’imagination est dédoublée, le miroir est-il l’envers de l’imaginaire ? On le comprend ce film joue sur les frontières poreuses entre le rêve et la réalité, entre le passé et le présent, entre le noir et blanc et la couleur, entre la clarté et l’opacité, transfigurée par le brouillard. Le brouillard inquiétant de la forêt un soir d’hiver, le petit chaperon blanc ,V, comme vampire, accompagne Hall , perdu dans ses pensées, ses actes manqués, il découvre à travers elle les abîmes de son inconscient torturé.

    Ce double parcours, ou plutôt cette douce promenade, nous emmène au beffroi, tour de bois mobile employée au moyen âge dans le siège des villages. 7 horloges n’indiquant pas la même heure tournent inlassablement.

    Les gothiques campant autour du siège sont près, peut-être, à assaillir le village

    Les vampires sont-ils cette bande de gothique qui colle au village ?

    N’ y-a-t-il pas eu un horrible meurtre au 19ème siècle ou est-ce le fait d’un tueur en série aujourd’hui? La morgue du sheriff nous montre encore les traces d’un crime récent

    Le lieu mythique est hanté par Edgar Allan Poe dans une apparente certitude. Le double de Hall ?

    La technique du split-screen surajoute l’espace à la dimension du miroir :

    Le village semble désert et les voitures sans âmes ressemblent plus à de vieux pick up des années 60 qu’à la Volvo de Hall Baltimore. Ainsi le temps se détache laissant place au rêve.

    Songe, fantôme, chimère .
    Julien D
    Julien D

    1 195 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 avril 2012
    Pour son troisième et dernier film de sa trilogie intimiste (qu’il a commencé avec L’HOMME SANS AGE puis TETRO, et qu’il promet de faire suivre par une superproduction alléchante), Francis Ford Coppola a choisit de revenir au genre fantastique avec lequel il débuta difficilement sa carrière. Son scénario sert surtout à mettre en place les doutes d’un auteur en manque d’inspiration à travers lequel on reconnait aisément le cinéaste. Val Kilmer et son embonpoint incarnent donc cet auteur dont les doutes existentiels vont se mêler à une histoire fantomatique plein de clichés grotesques issus des pires séries Z jamais réalisés. Si cette autothérapie, faisant grossièrement référence à la mort de son jeune fils, de l’ancien maestro du Nouvel Hollywood a l’avantage de disposer d’images rendues effrayantes par un travail impressionnant sur les couleurs, sa construction abstraite et son intrigue diablement alambiquée font de cette œuvre singulière un ratage artistique rapidement oubliable.
    selenie
    selenie

    6 213 abonnés 6 178 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2012
    FF Coppola se lance dans un film qui nous fait saliver par avance... Un retour aux sources pour le maestro qui fait un retour en arrière et revisite le genre avec le quel il a débuté aux côtés de Roger Corman au début des années 60. Et Coppola a de l'audace car il fait appel au has been (on peut le dire même si j'aime) Val Kilmer et en plus il y ajoute une pincée de vie privée pour en faire un film aussi personnel que nostalgique... C'est autant son défaut que sa qualité. En effet Coppola nous emmène dans des méandres très denses, entre cauchemar éveillé, une réflexion sur la création et l'art avec un esthétisme particulièrement travaillé (et que perso j'adore). Le problème c'est que c'est peut-être un peu bavard (un peu) et que le rythme ne s'accélère que vers la toute fin. Entre l'hommage à Edgar Poe (via Corman of course) et l'envie d'y mettre une bonne dose personnelle Coppola prend aussi le risque d'en laisser sur le bord de la route. Je suis donc mitigé mais ça reste une expérience réjouissante à mon humble avis même si "Tetro" est mieux maitrisé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 mai 2012
    Un bel hommage à E.A. Poe. Une belle mise en scène poétique. L'atmosphère est là.
    Après Somewhere, Elle Fanning confirme tout le bien qu'on attend de cette futur grande actrice : mystérieuse, douce, mélancolique dans la peau de Annabel Lee plus vrai que nature. Val Kilmer est à l'aise dans un rôle d'écrivain raté, alcoolique : un air de dejà vu. Finalement, un film sur l'ôde au deuil et une bel hommage à Poe maîtrisé
    mais sans surprise.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    92 abonnés 1 549 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 septembre 2013
    J'ai beaucoup aimé le véritable style graphique qu'a voulu imprimer à son film Francis Ford Coppola ainsi que son montage qui ne laisse pas de temps mort et qui est, il faut l'avouer, assez osé. Twixt ne plaira pas à tout le monde, ça c'est sûr, mais il captera le spectateur qui apprécie dès le début ce film et ne le lâchera pas même si le scénario n'est pas forcément exceptionnel. Toutefois, ce scénario conte une histoire assez poétique et magnifiée par la maîtrise de la lumière et du maquillage. On pourrait presque penser à Sin City parfois !
    En clair, il y aura 2 catégories de spectateurs : ceux qui trouveront ça nul et ceux qui seront happés par le film. Il n'y aura pas d'entre deux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 avril 2012
    Film sur la beauté, sur la création, sur la mort, sur la perte, sur l'inconscient, sur l'acceptation de soi : tous ces thèmes intriqués les uns dans les autres et dans une enquête mêlant épouvante, polar noir et thriller. En seulement 1h30, ça pourrait donner du grand n'importe quoi comme dans une bonne vieille série Z (le film tire clairement son inspiration des séries B et même, leur rend hommage), mais le résultat est d'une rare cohérence parce que la logique du film est onirique et personnelle. L'ambiance sied à merveille à l'incantation d'Edgar Allan Poe et aux récitations de Baudelaire (rappelons que Baudelaire était le traducteur français de Poe) qui dans Les fleurs du Mal évoquait les mêmes thèmes et avec la même esthétique macabre. Mais la plus grande réussite du film, à mon avis, c'est de combiner des mises en abyme labyrinthiques et de jouer avec le temps tout en restant compréhensible. La dose d'humour en plus met la cerise sur le gâteau. C'est du travail de maître !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 avril 2012
    Une œuvre à l'esthétique d'un rare poétisme. Coppola nous livre une réflexion très personnelle ornée de thèmes récurent dans sa filmographie tel l'écrivain raté, la relation père-fils et justement la culpabilité d'un père face à la perte d'un enfant. Tout comme l'était "Tetro" ou "Rusty James", "Twixt" est une œuvre forte, comprenant du caractère et une mise en scène juste et reflétant les pensées de son auteur. Expressionniste, artistique, ça plaît où ça ne plaît pas, mais le moins qu'on puisse dire lorsqu'on est pas langue de bois c'est que le tout est maîtrisé et que Coppola, malgré des défauts évidents (longueur, trouble etc...), est un grand cinéaste, cinéaste du temps, et il le traite admirablement une fois encore ici. Lorsqu'on assiste à un film où même n'importe quelle autre œuvres d'arts, car ici cela dépasse le simple fait du cinéma, aussi travaillé, aussi maitrisé, réflexive et personnelle que "Twixt", peu importe les défauts, c'est le respect qui l'emporte!
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    91 abonnés 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2012
    Dans le personnage de l’écrivain en panne d’inspiration, dévasté par l’alcool et surtout la perte de sa fille et la perspective de voir son couple péricliter (Val Kilmer carrément empâté), difficile de ne pas voir un double, un portrait en creux de l’artiste par lui-même, dont l’existence, et par conséquent l’œuvre, fut marquée par la disparition tragique de son fils en 1986 à l’âge de 22 ans. La famille est de toute manière une thématique récurrente chez le cinéaste avec, par-dessus tout, l’image et la place du père – notion qui traversait la saga des Corleone et plus récemment le vénéneux et sombre Tetro. En écho à son titre, qui signifie ‘entre’ en vieil anglais, Twixt, à la structure multiple et bancale, est bel et bien un film de l’entre-deux, entre jour et nuit, rêve et réalité, horreur et gentille loufoquerie. Coppola ne cherche surtout pas ici à renouveler le genre du film d’horreur ou de vampires, d’ailleurs on n’a pas peur une seule seconde tant nulle part n’apparaît le désir de réalisme. Twixt est aussi une métaphore sur le dérèglement comme l’illustre l’imposant beffroi de la ville au sommet duquel sept horloges n’affichent jamais la même heure. D’un shérif se rêvant auteur de polars à la figure tutélaire et fantomatique d’Edgar Allan Poe, d’une jeune morte diaphane et hantant les souvenirs de tous, tout peut sembler effectivement incongru et absurde dans Twixt.



    Celui qui finance dorénavant ses productions, certes à petit budget, grâce à l’argent que lui rapporte l’exploitation de ses vignes californiennes, compare d’ailleurs ses films à des vins, capables de se bonifier dans le temps et d’ainsi susciter des réactions moins vives et moins négatives. Débarrassé des contraintes de financement et des diktats des majors, Francis Ford Coppola prône et fabrique un cinéma artisanal et personnel, expérimental et chercheur. Twixt séduit aussi par ses qualités esthétiques, l’alternance entre couleur et noir et blanc avec des incrustations très colorées (procédé déjà employé dans Rusty James), l’utilisation de la caméra numérique HD, le recours à l’écran divisé, la présence de la femme de l’écrivain à travers un ordinateur et une webcam. En faisant le chemin à l’envers, c’est-à-dire des films magistraux, récoltant les plus prestigieuses récompenses, aux œuvres mineures qu’il aime à qualifier de films d’étudiant, le réalisateur de Conversation secrète se révèle bien plus singulier et attachant que son image de mégalomane le laisse paraître. La figure du vampire, mêlant érotisme et romantisme, étrangeté et douleur secrète, ne pouvait qu’attirer Coppola qui en fait la porte-parole personnelle et déroutante de ses angoisses et de ses échecs.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 avril 2012
    Francis Ford Coppola s'amuse et laisse perplexe devant ce film sortant de ses sentiers battus. On sort de ce film perplexe avec comme question, mais où veut-il en venir ? Pourtant le charme de ce poème gothique opère, on ne s’ennuie pas et on en sort envouté.
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