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    Le Hobbit : la Désolation de Smaug
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    2 108 critiques spectateurs

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    traversay1
    traversay1

    3 623 abonnés 4 872 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 décembre 2013
    Le Hobbit : La désolation de Smaug est aussi spectaculaire que fondamentalement lisse. Spectaculaire parce que Peter Jackson a mis le paquet côté action. Des bagarres à n'en plus finir : nains contre elfes, nains contre orques, elfes contre orques, nains contre dragon. On en a oublié ? La machinerie pyrotechnique est au point, le film crache le feu, on ne va pas lui dénier ces qualités-là. N'empêche que ce second Hobbit a tendance à tirer à la ligne et à s'étirer plus que de raison, multipliant les péripéties comme si le but ultime était d'atteindre la durée des 3 heures. Paradoxalement, le film est lisse, quasi insipide dans un approfondissement proche du néant des personnages. On n'est pas là pour ça ? Mais pour en prendre plein les yeux ? Mais pardon, divertissement ne signifie pas obligatoirement absence de développement des caractères. A l'extrême limite, on se fiche un peu de ce qui peut arriver à nos héros, sachant qu'ils seront bel et bien là dans le troisième épisode. Question empathie : zéro pointé. Et le caractère ludique a aussi largement disparu au profit d'un sérieux parfois professoral (les dialogues sont sans saveur). Evidemment, il n'y a plus le bonheur de découvrir un univers nouveau. La désolation de Smaug reprend la même recette que le premier Hobbit et lui adjoint une bonne dose de grand huit en plus. Mais de supplément d'âme, nullement.
    T-rhy
    T-rhy

    81 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 décembre 2013
    OUAOU... J'avais déjà beaucoup aimé Un voyage inattendu ! Le film n'était pas parfait, et avec du recul souffrait de problèmes de rythme et de ton, mais il restait tout de même une bonne surprise et un premier chapitre intéressant ! Un film d'exposition qui préparait parfaitement le terrain pour des suites ! Et là, La désolation de Smaug est une pure réussite ! 2h45 qu'on ne voit pas passer qui se terminent d'une manière relativement abrupte, laissant le spectateur pantois et clairement sur sa faim ! Les effets spéciaux sont superbes, la réalisation toujours aussi léchée (voir même plus fluide qu'avant), et les acteurs (anciens comme nouveaux venus) sont vraiment excellents !!! Les liens avec la trilogie Le seigneur des anneaux sont plus que présents, et le film reste parfaitement visionnable sans nécessairement connaître tout le back Ground des précédents volets !! Bref... Le hobbit la désolation de Smaug est définitivement un de mes coups de coeur de cette année 2013 aux côtés de Pacific Rim et Man of steel.!!! À voir absolument en cette fin d'année !
    Lu34s
    Lu34s

    62 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 novembre 2014
    Après le début du voyage de Bilbon Sacquet et des 13 nains du royaume perdu d'Erebor accompagnés du magicien Gandalf Le Gris, place ici à l'aventure pure et dure dans la suite du célèbre ouvrage de Tolkien. Et on remarque un réel changement entre le premier opus, qui avait connu une préproduction chaotique rappelons le, et celui-ci où l'action démarre tambour battant. En effet, Peter Jackson reprend son aise comme sur Le Seigneur Des Anneaux avec un épisode plus rythmé, plus noir mais qui comporte son lot de défauts. Tout d'abord le scénario, écrit par le même quatuor que sur le premier volet, tient la route et reprend quelques éléments fidèles au livre mais l'ajout de certains personnages pour combler les espaces manquants est quelque peu troublant. On note donc l'apparition d'un Legolas plus jeune, interprété par un Orlando Bloom bien fade, et de Tauriel, l'elfe féminine qui se démarque de toute cette testostérone, incarnée par la magnifique Evangeline Lilly, dont on bave littéralement devant elle, et vole en quelque sorte la vedette à un Legolas trop fade. Cela laisse donc place à quelques scènes d'amour qui viennent un peu gâcher l'ambiance du film. Mais qu'importe puisque que l'action repart aussitôt et on retient surtout la magistrale scène de la descente de la rivière en tonneaux ainsi que la scène finale avec Smaug le terrible, incarné par le parfait Benedict Cumberbatch, dont on est vraiment bluffé par sa beauté informatique. Les effets spéciaux eux, sont pour la plupart réussis dont certains allient prises de vue réelles, avec de sublimes paysages de la Nouvelle-Zélande, et CGI. Mais certains effets spéciaux rendent assez mal avec le High Frame Rate ou HFR, soit le fameux 48 images par seconde, qui lui est vraiment mieux maitrisé par rapport au précédent film, et s'allie à une 3D fluide et qui fait pour une fois son petit effet. Le film est aussi agrémenté par quelques petites touches d'humour dont souvent le génial Martin Freeman en est l'expéditeur et on regrette le peu d'apparition de Gandalf à l'écran, interprété par Sir Ian McKellen. Et si vous êtes concentrés dès les premières secondes du film, vous pourrez ainsi apercevoir le fameux caméo du réalisateur. Mais le gros point noir du film, c'est que ce dernier est atteint, comme pour beaucoup d'autres films dont un en particulier diffusé en ce moment au cinéma, du syndrome spoiler: Matrix Reloaded
    (comme ça si vous devez comprendre, vous devrez chercher et vous vous spoilerez vous même le film), ce qui gâche un peu la fin du film mais ouvre une voie royale pour la suite du film. Pour résumer, Le Hobbit : La Désolation De Smaug est un poil supérieur à son prédécesseur et constitue un honnête divertissement pour tous les fans de la saga ou non malgré quelques erreurs qui auraient pu être évitées et des choix purement commerciaux vraiment dérangeants, à voir de préférence en HFR 3D.
    Yves G.
    Yves G.

    1 488 abonnés 3 503 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 décembre 2013
    Ne reculant devant aucune démagogie, je suis allé avec mon fils voir Le hobbit 2 - qui, comme Hunger Games ne s'appelle pas Le hobbit 2 (enfin bref, ne pinaillez pas, vous avez compris ce que je voulais dire !).
    J'avais trouvé le Hobbit 1 (qui ne s'appelle pas etc etc .) bruyant et incompréhensible.
    J'ai trouvé le 2 moins bruyant - signe que mes acouphènes s'aggravent ? - et tout autant incompréhensible - signe que mon Alzheimer ne s'arrange pas ?
    L'histoire - si je l'ai comprise - nous mène sur les pas d'une bande de nains, accompagné d'un hobbit, à la recherche d'une pierre précieuse protégée par un dragon.
    Cette quête est un prétexte à autant de scènes dont on imagine qu'elles ont été conçues pour servir de base à une attraction de parc à thèmes ou de jeux videos : Bilbo libère les nains prisonniers des elfes, les nains descendent une rivière dans un tonneau, Bilbo doit trouver l'Arkenstone sans réveiller le dragon, etc .
    Je ne comprends pas le succès de ce film - alors que je comprends ceux des Harry Potter ou des Hunger Games. Qui s'identifie à Bilbo ? Des ados qui ont des problèmes de chaussure ? Quel est le sens de ses aventures ? Quelle résonance ces combats médiévaux et fantastiques éveille-t-elle ?
    Je ne comprends pas ...
    Chevalier du cinéma
    Chevalier du cinéma

    255 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 octobre 2019
    Après avoir cartonné au box-office mondial en 2012 avec Un Voyage Inattendu qui rapporta plus d’un milliard de dollars de recettes dans le monde, le réalisateur Peter Jackson revenait donc en très grande forme avec ce deuxième film intitulé La Désolation de Smaug qui n’a certes pas franchi le milliard de recettes dans le monde mais est une totale réussite dans le genre, qui surpasse son prédécesseur et est clairement l’un des meilleurs films de son metteur en scène. La compagnie des treize nains menée par Thorin Ecu-de-Chêne, toujours accompagnée de Bilbon Sacquet et du magicien Gandalf le Gris, a réussi à survivre aux hordes de Gobelins des montagnes mais est toujours poursuivie par Azog le Profanateur et ses impitoyables Orques. La petite compagnie va alors trouver refuge chez Beorn, un Changeur de Peau, et s’enfoncera ensuite dans la Forêt Noire où elle affrontera des araignées géantes mais sans l’aide de Gandalf, parti réglé une mystérieuse et sombre affaire dans la forteresse de Dol Guldur. De multiples péripéties s’annoncent pour nos héros alors qu’ils approchent de plus en plus de leur objectif : la Montagne Solitaire où réside le puissant dragon Smaug, qui règne en maître absolu sur le royaume perdu d’Erebor et sur le trésor des nains. Le Hobbit : La Désolation de Smaug était certainement le film le plus attendu de la fin de l’année 2013 car étant la suite très attendue des aventures de Bilbon et des treize nains d’Erebor guidés par le magicien Gandalf, toujours mis en scène par le grand Peter Jackson. Si le premier opus Un Voyage Inattendu avait, il faut l’avouer, un peu déçus et peut-être même énormément déçus certains fans, ce deuxième film mettra normalement tout le monde d’accord puisque cette Désolation de Smaug est pour le moment le meilleur film de la trilogie du Hobbit, l’un des meilleurs films de Peter Jackson et est un divertissement d’une très très grande qualité. Et en effet, nous pouvons voir que Peter Jackson est revenu en force et à retrouver tout son sens du spectacle car maintenant c’est bel et bien terminé les petites balades en poneys, les chansons sous les étoiles et l’ambiance du conte pour enfants. Maintenant, avec La Désolation de Smaug, nous entrons dans le vif du sujet avec les moments les plus fascinants du roman de Tolkien : les araignées de la Forêt Noire, les Elfes Sylvestres, l’arrivée à Lacville, la rencontre entre Smaug et Bilbon,… bref ce nouveau film sur l’univers de la Terre du Milieu met le feu aux poudres et surpasse le précédent à tous les niveaux, que ce soit en termes de rythme, de scénario, de scènes d’action, d’interprétation et d’effets visuels. Avec ce fracassant vrai retour, le roi Peter Jackson montre qu’il maîtrise parfaitement son film de bout en bout en le dotant enfin de combats et de morceaux de bravoures à la hauteur de la trilogie originelle qui sont donc ici plus dynamiques, plus violents, plus intenses et plus présents dans ce deuxième film des aventures du Hobbit. Dans ce film, tout est pensé comme plus grand (voire gigantesque), plus majestueux et plus beau car les décors y sont une fois de plus magnifiques. Mais le grand changement qui saute tout de suite aux yeux par rapport à Un Voyage Inattendu c’est le rythme. Ce qui en effet clochait dans le premier film c’était son incroyable lenteur pendant près d’une heure et demie alors qu’ici dans La Désolation de Smaug il n’y a pas un moment de répit pour le spectateur ! On peut donc voir que Peter Jackson a procédé à un grand nettoyage puisqu’il nous offre enfin d’impressionnantes scènes d’action à n’en plus finir ce qui renvoie le premier opus au bac à sable ! Le film enchaîne avec de multiples combats entre des Orques et des Elfes, un affrontement avec des araignées géantes, une descente de rivière en tonneaux d’anthologie où les nains, dans les tonneaux, sont poursuivis par des Orques qui sont eux même poursuivis par des Elfes, et pour finir en beauté Peter Jackson nous offre environ quarante démentielles et cultes minutes de combat avec un dragon cracheur de feu. Pour faire simple, Le Hobbit : La Désolation de Smaug explose tout sur son passage ! Mais là je n’évoque que le domaine rythmique du film et la mise en scène jouissive de Peter Jackson qui livre donc l’une de ses plus grandes réussites de sa filmographie, car ce deuxième film possède aussi une histoire plus passionnante que le premier volet même si l’histoire globale du Hobbit restera moins dense que celle du Seigneur des Anneaux, mais grâce à ce rythme effréné imposé par le réalisateur, le film est juste captivant. Il commence sur un flashback où nous assistons à une discussion entre Thorin et Gandalf dans l’Auberge du Poney Fringant à Bree à propos de reprendre le royaume d’Erebor et de tuer le dragon Smaug. Douze mois plus tard et nous retrouvons la compagnie des treize nains accompagnée de Bilbon et de Gandalf et vous connaissez la suite concernant l’intrigue autour de la quête pour reconquérir Erebor. Mais ce qu’il y a d’intéressant dans ce film c’est que Peter Jackson fait toujours des liens avec la trilogie du Seigneur des Anneaux en mettant en place une histoire parallèle avec pour protagonistes principaux Gandalf et Radagast le Brun. Cette intrigue parallèle concerne le réveil d’une puissance maléfique appelée le Nécromancien et que vous connaissez sous le nom de Sauron et que nous voyons dans ce film rassembler son armée dont Azog, le fameux orque pâle, est un des généraux. Eléments scénaristiques absents dans le roman Bilbo le Hobbit de J.R.R. Tolkien ou qui étaient seulement évoqués sans plus de précisions, cette histoire parallèle avec Sauron permet donc de créer un lien avec la première trilogie et ainsi de complexifier l’intrigue de la trilogie du Hobbit qui ne raconte finalement pas que la mission de Thorin et des nains, mais va bien au-delà de ceci en faisant un lien direct avec Le Seigneur des Anneaux même si l’on sent que cette histoire est là pour meubler un peu le tout et densifier l’histoire générale, mais cela reste intéressant. Le film, en dehors de ces rajouts scénaristiques, reste toujours très fidèle aux écrits de Tolkien mais en choisissant de faire un lien avec le Seigneur des Anneaux, Peter Jackson s’écarte ainsi de l’histoire originelle de Bilbo le Hobbit. Il n’empêche qu’à ma grande surprise le film s’arrête lorsque Smaug décide d’aller détruire Lacville et tuer tous ses habitants après un combat épique entre lui et les nains, ce qui permet ainsi à Peter Jackson de réserver le meilleur pour le dernier film de la trilogie intitulé La Bataille des Cinq Armées. Mais si le troisième film commence sur ceci il ne restera quasiment plus rien à raconter hormis la fameuse Bataille des Cinq Armées qui s’annonce plus qu’épique, espérons que les scénaristes aient trouvé le moyen de combler les blancs avec l’intrigue autour de Sauron. Le scénario de ce deuxième film du Hobbit reprend donc dans la continuité directe des évènements du premier, là où on s’était arrêté et nous entraîne dans une seconde partie de l’aventure plus sombre et violente, un peu comme avec Les Deux Tours qui était le film le plus sombre et violent de la trilogie de l’Anneau. Après nous avons les arrivées de nouveaux personnages qui permettent aussi de densifier l’intrigue de La Désolation de Smaug. Legolas, l’elfe blond qu’incarnait Orlando Bloom dans la première trilogie fait son grand retour même s’il n’est pas présent dans le roman de Tolkien. Le personnage nous apparaît différent puisque durant le Hobbit il réside chez les Elfes Sylvestres et est un peu plus haineux envers les nains, la scène où il demande qui sont les deux personnes sur une gravure à l’un des nains est assez comique puisque l’enfant qui est dessus se nomme Gimli, le futur compagnon de Legolas qui deviendra par ailleurs son grand ami dans Le Seigneur des Anneaux. Le personnage est aussi plus acrobatique et implacable lors des combats, que ce soit avec l’épée ou l’arc et les flèches, le nombre de décapitations a ainsi sérieusement augmenté par rapport au premier film, et on en est ravi ! Ensuite l’autre nouveauté chez les personnages c’est celui de Tauriel, une Elfe qui est le seul personnage féminin central du film et qui est très bien interprété par Evangeline Lilly qui était attendue au tournant car son personnage est un rajout inédit et inventé spécifiquement pour le film par Peter Jackson. Ce personnage permet d’intégrer une histoire d’amour entre elle et Legolas mais également de créer un triangle amoureux entre elle, Legolas et le nain Kili. Ces deux personnages inédits s’ajoutent donc aux nouveaux protagonistes qui sont eux par contre bel et bien présents dans le roman. Bard, très bien interprété par Luke Evans, fait son entrée remarquée dans l’univers du film et ce personnage va devenir la clef d’un évènement central du troisième film, il est l’un des rares protagonistes à apporter un certain souffle d’humanité dans le film avec celui de Bilbon, ensuite il y a le roi Thranduil interprété par Lee Pace, le roi des Elfes Sylvestres et le père de Legolas qui apparaissait un court instant dans le premier Hobbit et est ici bien plus présent. Et enfin le personnage que tout le monde attendait dans ce deuxième opus du Hobbit et qui est l’attraction principale du film : le dragon cracheur de feu Smaug. Brillamment joué par l’excellent acteur britannique Benedict Cumberbatch, Smaug est le plus beau dragon que j’ai jamais vu dans le cinéma ! En fait il est certainement LE meilleur dragon jamais vu au cinéma car magnifiquement mit en images de synthèse par la société WETA et dont la voix caverneuse digne des entrailles des enfers vous fait vibrer sur votre siège, la VF est juste énorme mais la VO doit envoyer du très très lourd. Et en plus de prêter ses traits, ses mouvements et sa voix au dragon Smaug, Benedict Cumberbatch interprète également le rôle du Nécromancien qui aura certainement un rôle plus important dans le troisième film de la trilogie. Mais pour revenir à Smaug ce qu’il y a de fascinant dans cette créature c’est qu’il possède une vraie psychologie, c’est un monstre obsédé par l’or, qui se croit sans doute la créature la plus puissante de la Terre du Milieu, qui ne pense qu’à la richesse, il est en plus un peu paranoïaque puisqu’il croit que ce sont les villageois de Lacville qui ont envoyé les nains chez lui et s’apprête à exercer sa vengeance sur eux à la fin du film. Personnage le plus impressionnant du film, Smaug est bien évidemment le dragon le plus terrifiant mais aussi le plus beau du cinéma et constitue la grande attraction de ce film où les quarante dernières minutes sont un affrontement, déjà culte dans l’histoire du blockbuster et de l’entertainment, plein de bruit, de flammes, de fureur, et de destructions entre les nains et le monstre. Le Hobbit : La Désolation de Smaug possède donc toute une galerie de personnages tous différents les uns des autres mais certains du premier film ont droit à une évolution dans leur psychologie. Prenons par exemple le héros du film, Bilbon, toujours interprété par l’excellent Martin Freeman, qui retrouve par ailleurs son complice de la série britannique Sherlock qui n’est autre que Benedict Cumberbatch alias Smaug. Le personnage de Bilbon a évolué puisque le fait qu’il soit en possession de l’Anneau Unique lui procure un certain changement de caractère, il est désormais totalement dépendant du « précieux ». On peut le voir lors du combat avec les araignées où celui-ci perd l’Anneau et le retrouve, mais le problème c’est qu’une créature se trouve sur son chemin et il ne va pas hésiter à massacrer cette sorte d’insecte pour reprendre son anneau, on voit dans son regard une violence encore jamais vu auparavant et il se rend même compte de son changement de comportement. Et ensuite l’autre personnage qui subit une évolution, et surement la plus intéressante, c’est Thorin Ecu-de-Chêne interprété par le génial Richard Armitage. Le Roi sous la Montagne devient de plus en plus attirer par le trésor gardé par Smaug et est prêt à sacrifier la vie de Bilbon pour retrouver son royaume perdu. Le personnage de Thorin a fortement évolué par rapport à Un Voyage Inattendu, il devient plus grave, plus tenté par l’or, plus obsédé et plus impitoyable dans ses décisions. On a vraiment qu’une hâte c’est de voir comment il va évoluer dans le dernier opus de la trilogie. Le Hobbit : La Désolation de Smaug a donc tout du parfait blockbuster car possédant des effets spéciaux magnifiques, des morceaux de bravoures d’anthologie plein d’inventivité, une réalisation ultra-dynamique, un scénario qui a été densifié, des acteurs géniaux et une bande-originale toujours prenante, accompagnez le tout d’un énorme succès mondial, 952 363 104 dollars de recette précisément, plus de quatre millions d’entrées en France et c’est plus que le premier film, trois nominations aux Oscars et deux aux BAFTA 2014. Le Hobbit : La Désolation de Smaug permet donc à Peter Jackson de revenir sur le devant de la scène en prouvant qu’il est un des maîtres du pur divertissement de cinéma en livrant un film épique, grandiose et galvanisant. La quête pour reconquérir le royaume d’Erebor approche à sa fin et donc vivement le troisième et dernier volet de la trilogie intitulé La Bataille des Cinq Armées qui conclura, avec on l’espère une grande réussite, le voyage en Terre du Milieu de Peter Jackson.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 décembre 2013
    J'ai évidemment passé un bon moment, depuis le temps que j'attendais la suite mais j'ai été déçue sur plusieurs points : 50% du film est une totale (et absurde?) invention par rapport au livre et certains effets spéciaux semblaient dater d'un autre âge. Le dragon est cependant une merveille!
    MadMax-68
    MadMax-68

    13 abonnés 418 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    Dans la droite lignée du premier opus décevant, après une trilogie pourtant époustouflante dix ans plus tôt: des longueurs pénibles, la moitié des effets spéciaux sont vraiment bas de gamme, bref Jackson ne fait que meubler l'histoire d'un seul livre dont il n'y avait absolument pas de quoi tirer une autre trilogie! Même s'il faut bien avouer que les paysages de Nouvelle-Zélande sont toujours aussi magnifiques!

    Au final, un bilan très mitigé donc... loin, TRES loin du Seigneur Des Anneaux...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 janvier 2014
    J'avais déjà trouvé le premier hobbit moyen, mais là c'est clairement 3h d'ennui.

    Pour faire vite
    - plein de scènes juste pour faire de la 3d
    - une histoire très très longue et qui n'avance pas
    - aucun respect pour l'histoire original
    - sur la fin du premier film, on se disait "c'est bon, on arrive enfin au dragon", et bien non, il faut encore attendre 2 heures avant de le voir
    - plein de petites scènes d'actions répétives, il doit bien y avoir 1h avec des elfes qui tuent des orcs sans jamais se faire blesser.
    - une histoire d'amour pas crédible et qui n'apporte rien au film
    - 4 groupes de personnages à suivre en même temps à la fin >> il n'y a plus aucun rythme
    - On coupe encore le film juste quand ça devient intéressant. Même si c'est peut être une fausse promesse comme pour le premier.

    Bref, quelle arnaque. Il y avait un bon film de 2h à faire avec le hobbit, mais en faisant une pompe à fric de 3 film de 3 heures, tout devient super lent et bien trop long.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 janvier 2014
    La voix de Smaug est la voix la plus géniale que j'ai entendue !! P. Jackson remporte haut la main ce deuxième volet ... Une réussite ! Passionnant, frissonnant, immersif .. On a bien envie d'aller le revoir tellement qu'on a peur d'avoir manquer quelque chose de l'histoire ou des actions ! Le top de cette année bien évidemment !
    Santu2b
    Santu2b

    254 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 décembre 2013
    Elle aura fait beaucoup parler cette "Désolation de Smaug" ! Mais au-delà des infidélités à Tolkien, il faut dire que la totalité du projet avait de quoi susciter des interrogations : trois films de plus de deux heures trente chacun pour un livre d'à peine 300 pages ? Si le premier épisode restait tout de même honorable, celui-ci permet au contraire de dévoiler l'étendue de ces visées commerciales. Définitivement axé sur le seul spectaculaire, l'opus n'est qu'une addition bricolée de morceaux de bravoure que le cinéaste entrecoupe de temps à autre de quelques instants de sentimentalisme de bas-étage. La musique, si belle d'ordinaire, est curieusement rare et quant à la problématique Tauriel, elle n'apporte strictement rien à l'intrigue. Tenant absolument à réaliser trois films là où deux auraient largement suffis, Peter Jackson passe ainsi beaucoup plus de temps à meubler qu'à créer, d'où au final la criante impression d'une œuvre tirée et usée jusqu'à la corde Ce deuxième volet est clairement celui de trop.
    SYLVAIN L
    SYLVAIN L

    26 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 décembre 2013
    Ce film est tout simplement prenant... tout comme l'opus précédent, on est plongé dans le film jusque là dernière minute. Le troisième opus devras être à la hauteur des deux précédent. bon film à vous.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 décembre 2013
    Avis très mitigé sur ce second volet...
    Par moments on a l impression que Peter Jackson a un peu bâclé la réal (dans la scène du poney fringuant à bree, on se croirait chez flunch) et qu il a filmé sans filtre... Les couleurs dont on a l habitude avec le SdA ne sont pas très présentes et manquent terriblement. Certaines scènes, sensées apporter un peu d humour, tournent au ridicule de par leur longueur (tonneaux...)... Très grosse erreur de casting pour le maire de Lacville qui ne correspond pas du tout à l univers de tolkien, avec sa déco et ses toiles du 17eme, sans parler de son sbire... Tauriel n apporte rien au film... L introduction de sauron est bizarrement faite... La scène finale de la statue en or est vraiment minable... Bref beaucoup de négatif!! Après smaug est très très bien fait, les nains sont toujours aussi attachants, bilbon est bien dans son rôle, gandalf également, le barde, tout fonctionne bien, le film est très sympa quand on ne regarde pas dans les détails... Quand on s y connaît un peu, on regarde certaines scènes avec beaucoup d incompréhension!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 janvier 2014
    Mon dieu que c'est mauvais!
    des looooongueurs, des longueurs, des scènes inutiles, et des scènes inutilement longue!
    pourquoi vouloir faire tenir un livre de 309 pages (je viens de vérifier ma version livre) sur le même format qu'un dictionnaire comme le SDA! Alors monsieur Jackson, on avait un trou dans son compte a comblé?

    Trêve de plaisanteries: que fout le nécromancien ici? qui est cette splendide mais inutile elfette? et legolas pourquoi tu reviens simplement au nom du fan service?
    Je ne suis pas contre quelques libertés scénaristique, a condition qu'elles servent ce dernier! Tauriel part de mon film, gandalf toi aussi!

    je reconnais que faire vivre 13 personnage quasi identique a l’écran n'est pas chose facile, mais prendre un nain au hasard pour lui faire dire une bêtise toute les 5min c c'est pas faire vivre ni même donner de la profondeur a un personnage mais juste a rajouter 20min de film!
    Et puis c'est quoi ce combat contre Sauron on dirait un mauvais episode de dragonball! Et je parle même pas de la sceance de médecine elfique pour soigner le pauvre kili qui apparemment est en manque...

    Et pourquoi les orques sont si moche, Jackson a déjà prouver dans le passé son talent pour les costumes, alors pourquoi mettre des cinématique de jeux ratée pour faire parler deux orques moche (rien a voir avec le fait qu'il soit orque

    attention tout n'est pas noir pour autant. Même si legolas n'a rien a faire ici je reconnais que les combats sont vraiment très jolie et parsemer de "wooooh trop classe" même si la mise en scène nous montre clairement "j'ai ete tourné pour la 3D" assez de tête de méchants qui saute aux yeux, assez des grosse abeilles devant le nez! on a compris!!
    Malgres tout les acteurs reste bon (martin freeman, love you) l'univers et l'image reste globalement très réussi (a part les passagses en GOpro dans les tonneaux)
    Gros point positif sur Smaug et l'animation des millions de pièces et rubis de la mine (en mettant de coté le coup de la statue en or numérique moche

    Bref une mauvaise adaptation, dommage quand on sait que la matière de base est aussi bonne!
    Pas besoin de faire de chichi: on prend un bon livre, on fait ce qu'il y a dedans et hop ca nous fait un bon film!!!
    défi raté pour Jackson qui par avant avait prouver son talent dans la magnifique trilogie du seigneur des anneaux!
    E.nigma
    E.nigma

    14 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 décembre 2013
    Avec cette deuxième partie des aventures de Bilbon, la fin d'une excellente saga s'annonce.
    De nombreuses longueurs inutiles tant pour les curieux que pour les adeptes de l'univers de Tolkien, n'apportent absolument rien à l'intrigue qui de surcroît en perd de son intérêt.
    Entre amertume et extrême frustration, la fin en queue de "smaug" traduit à mon avis la désolation du spectateur qui n'a plus qu'a attendre la sortie blu ray de cette seconde partie puis la sortie blu ray de la version longue ....puis la sortie du coffret regroupant les deux premières parties .... afin de pouvoir assister je l'espère à un final grandiose fin 2014 !!!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 avril 2014
    Peter chie sur le livre, sur le premier film et sur son travail sur le seigneur des anneaux. On se demandais ce qu'il allais inventer, n'ayant plus rien a tirer du livre, le constat est fait : une histoire d'amour bidon, des personnages inutiles, pleins de scènes sans enjeux...
    Il s'amuse a gâcher des scènes qui aurais put être plus belles, smaug est con comme un balais, je l'ai trouvé sérieusement moins convainquant que l'âne de shrek. Bilbo se la pète contre des arraignées de 6m on sait pas trop pourquoi.
    Bon jeu d'acteur, des décors magnifiques, un passage très sympa dans la fôret... Mais un film très lourd qui n'invente rien et comble le vide avec du carton pâte, avec un réalisme qui s'est barré depuis longtemps, on est très proche d'un pirate des caraïbes qui s'assume pas.

    Peter a tout les moyens du monde, sortir ce film c'est une insulte au cinéma.
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