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    Le Hobbit : la Désolation de Smaug
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    4,2
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    2 108 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 avril 2014
    Après avoir traversé les montages un certain temps dans le précédent opus, Bilbon Saquet et nos 13 valeureux nains sont dorénavant non loin des portes d’Erebor, leur mythique cité. Seul une forêt et un village les séparent encore de leur ennemi le dragon. C’est justement dans ces endroits que nous découvrirons de nouveaux personnages phares de la saga pour certains déjà connu. C’est le cas pour Legolas (Orlando Bloom), archer redoutable et inoubliable, que l’on découvre ici comme étant le prince des elfes. Celui-ci n’est pas encore l’ami des nains que nous connaissons de la précédente trilogie mais plutôt leur ennemi qui les qualifie comme inférieurs. On découvre néanmoins l’amour qu’il éprouvait pour la charmante Tauriel (Evangeline Lilly), une elfe jusque-là inconnu et tout bonnement inventé par Peter Jackson pour féminiser le récit. L’atmosphère comique de ces opus permet d’accentuer ses cascades déjà invraisemblables par le passé et d’ainsi les rendre totalement délirantes. Bard (Luke Evans) fait également partie des nouveaux venus mais la star est ici bien évidement le dragon Smaug interpréter par le grand Benedict Cumberbatch. Le résultat est bluffant et nous offre sans conteste l’un des plus impressionnants dragons de l’histoire du cinéma. Après avoir introduit l’anneau et Gollum dans le précédent opus, le récit continue quant à lui de tracer de nouveaux liens avec la trilogie antérieure. Nous assistons cette fois-ci spoiler: à la renaissance de Sauron et au départ de sa nouvelle armée
    . La mise en scène se distingue de son côté par des affrontements plus nombreux et plus épiques et la présence des elfes beaucoup plus marquée. Le toujours très excellent Martin Freeman se retrouve donc ici face à son acolyte de la série « Sherlock » dans une aventure plus efficace et plus variée qui laisse présager un dernier opus magistral.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 25 mars 2014
    Pour la seconde partie du préquel de la trilogie d’heroic fantasy du Seigneur des Anneaux, Peter Jackson nous replonge sur les Terres du Milieu. Basé sur l’œuvre de J.R.R. Tolkien, le réalisateur s’est quelque peu laissé aller, souhaitant rendre cette saga plus épique encore que son aînée. Mais il s’est quelque peu fourvoyé sur le scénario qui perd du sens et du charme : passages bâclés, personnages inventés ou scènes trop redondantes…
    200 pages : c’était le défi de Jackson voulant transformer ce petit bouquin en une trilogie, rivalisant avec Le Seigneur des Anneaux. Epaulé par Andy Serkis (Gollum), il trouva ingénieux de faire des clins d’œil et d’ajouter certains traits de l’histoire oubliés… Mais à la longue, cela en devient lassant. Le film se perd dans les méandres du scénario et on ne sait plus exactement sur quel pied danser ! Des séquences qui s’empilent et où l’action rebondit encore et toujours. Le spectateur est entraîné dans un tourbillon d’aventures plus dramatiques suivant malheureusement souvent le même schéma qu’à chaque fois (cfr. Le seigneur des anneaux).
    Le développement des nains, sert juste à donner un sens au film. Le livre ne s'attarde pas dessus, et c'est beaucoup mieux ainsi. Et faire de l'un d'eux la source de la seule romance du film, c'est juste incroyable. Tout ça pour ne pas avoir de critiques concernant le manque de féminité (que Tolkien a délibérément instauré, au vu de son époque).
    L’absence de chansons ou d’atmosphères plus conviviales manque à l’appel. Le film prend vite l’apparence dramatique et on perd le fantastique et l’humour que Tolkien a voulu transmettre via son œuvre. D’ailleurs, on remarquera qu’on changera de registre et qu’on entrera plus dans un film plus sérieux que « Le Hobbit : un voyage inattendu ».
    Néanmoins, on ne peut nier les effets spéciaux spectaculaires et les scènes de combat incroyables, bien que certaines farfelues. On peut aussi remarquer un très bon casting (Evangeline Lilly) qui vient s’ajouter ainsi qu’un très bon doublage pour Smaug (Benedict Timberbach). Les paysages nous coupent encore plus le souffle que son prédécesseur.
    Cela en reste tout de même un très bon film à partager en famille. En espérant que le troisième volet saura déjouer les quelques problèmes scénaristiques dont « La désolation de Smaug » a fait part.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 12 décembre 2013
    Peter Jackson, ce message est pour toi. J'ai aimé et apprécié tous tes films et particulièrement ta monstrueuse saga du seigneur des anneaux. J'ai aussi aimé le premier hobbit (tu m'avais rassuré et je m'étais dit "ok tu ne vas pas te Georgelucaiser") mais aujourd'hui tu m'as déçu et c'est d'autant plus difficile pour moi de te le dire si brutalement. J'espère que tu ne m'en tiendras pas rigueur Peter, mais je dois être franc avec toi.
    Franchement What The Fuck ! T'as déconné Pete ! Tu fais de la merde !
    J'ai été voir ton film et dés le début ça sentait le roussi, dés cette première scène entre Thorin et Gandalf, censé nous apprendre des trucs important. Cette introduction est encore plus molle qu'un chibre après l'acte ! Mais bon c'est pas grave ça encore, ça arrive à tout le monde d'avoir un coup de mou et ça ne remettrait pas notre relation en cause si ce n'était qu'une fois, mais c'est pire dans la suite. Arrive le passage chez les elfes de la forêt, et voilà qu'on retrouve Dégol..Légolas et sa nouvelle copine badass. Alors je sais bien ce que tu vas me dire: "C'est pas moi, c'est les méchants financiers qui voulaient un personnage du seigneur des anneaux et un personnage féminin pour élargir l'audience". Ce n'est pas une excuse Pete ! Tu pouvais quand même en faire quelque chose de bien, tu n'étais pas obligé de nous servir un triangle amoureux entre ces deux là et un nain séducteur (Un nain et une elfe ! Mais tu déconnes mon gars !). Triangle amoureux qui n'apporte rien et dont tout le monde se fout. Eh oui mec, on s'en contrefout ! On s'en fout tellement qu'on imagine juste ce que ça pourrait donner si ce nain la prenait en levrette. On est là pour voir un dragon, putain ! Donc voilà tu prends pas mal de temps à décrire tout ça et hop une demi-heure de film est passée. Et c'est là le gros problème du film si tu veux mon avis PJ. Tu meubles, tu meubles avec tout ce que tu peux, et au final ta déco est dégueulasse ! Avant je te sentais à l'étroit avec tes films de 3 heures et maintenant j'ai l'impression que tu luttes pour atteindre les 2h40. Alors oui je t'entends déjà Jax : "Mais heu, c'est les méchants financiers qui m'ont dit de faire trois films au lieux de deux alors que j'ai qu'un livre de 350 pages". Arrête de geindre ! C'est une bonne idée d'essayer de faire le lien avec le seigneur des anneaux en rajoutant des passages supplémentaires. Mais pas avec des scènes aussi vides sérieusement ! Alors que y a plein d'autres trucs avec lesquels tu pouvais prendre des libertés et que tu pouvais explorer (le contexte autour des mecs qui vivent en dessous de la montagne, approfondir le personnage de Béorn). Je ne te demande pas de respecter religieusement le livre, d'ailleurs Tolkien se retourne surement dans sa tombe depuis le premier film, mais ne fais pas n'importe quoi non plus (pour ce film, Tolkien essaie de défoncer son cercueil façon Uma Thurman). Et ya plein d'autres trucs qui vont pas : l'histoire de révolte qui gronde à Lacville et qui ne débouche sur rien, les états d'âmes de Baard et sa famille (olala des claques pour sa gamine !), la lutte entre les nains et smaug imbuvable, les allers retours incessants entre les différents lieux de l'action, le montage raté, la musique foirée (comment t'as pu foirer la musique ?), l’esthétisme général moche (elle est ou la terre du milieu, j'ai l'impression d'être dans un jeu vidéo avec une succession de lieux en images de synthèses qui s'enchaînent et dont on ne me dis rien), et yen à d'autres... Ne fais pas cette tête Peter, tout n'est pas à jeter non plus, il y a quand même des moments bien kiffants, notamment le face à face entre Bilbon et Smaug. Mais ça ne suffit pas pour rattraper tes erreurs. Je serais bien tenté de mettre un terme à notre histoire dés maintenant mais je crois encore en toi malgré tout et je suis donc prêt à t'accorder une deuxième chance pour rectifier le tir en décembre 2014. En attendant, je pense qu'il est préférable qu'on fasse un break...
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 345 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 janvier 2015
    Et pourtant je n’avais vraiment rien d’autre à faire ! Mon ennui ce jour là était tel que n’importe quoi pouvait suffire pour me délasser et me satisfaire ! N’importe quoi ! Et j’ai eu ça… Un spectacle interminable où des gens passent leur temps à marcher au milieu d’une bouillie numérique. L’intrigue de l’épisode ? Bah en fait elle est simple : il faut aller d’un point A à un point B. Oui, c’est tout. En même temps, à vouloir découper en trois épisodes interminables un bouquin qui à l’origine n’était pas bien épais, on arrive forcément à ce genre d’absurdité. Et comment on fait pour durer trois heures avec une intrigue qui consiste juste à rejoindre un point donné ? Eh bah on multiplie les embuches en allant piocher dans ce bon vieux sac à Tolkienneries ! Vas-y que je te balance des araignées géantes, des hommes-ours, des Orques, des vilains Elfes, des dragons… Aucune logique dans l’enchainement bien sûr ! ça s’enchaine comme ça, en mode random. Et puisque ce n’est pas suffisant pour ralentir l’intrigue, alors on va faire prendre aux personnages des décisions très connes, histoire de rajouter du mordant : « Eh je suis Gandalf et je pourrais vous être d’une grande aide dans cette forêt avec mes super-pouvoirs, mais comme ce serait trop facile, j’ai décidé de me barrer on ne sait où, là où je tiendrais un discours tout aussi long qu’inutile, car tout ce que je raconterais avec mon interlocuteur aura déjà été dit dans les quatre épisodes précédents ! – Mais je t’en prie Gandalf, fais donc ! Ne t’inquiète pas, je saurais me ralentir tout seul comme un grand ! Car, vois-tu, bien que je dispose d’un anneau d’invisiblité qui me permet d’échapper aux ennemis, je le retirerai de manière totalement aléatoire dans les moments les plus dangereux, comme ça je serai sûr de me faire capturer et de ralentir ma progression avec mes camarades nains ! ha ! ha ! – Oh mais pas besoin de ça camarade Hobbit ! Moi le nain, je peux t’assurer que dès qu’un roi elfe me proposera de l’aide, je lui cracherai à la gueule afin qu’on finisse tous en taule et qu’on perde encore davantage de temps à se lamenter en cellule sur notre sort pendant vingt bonnes minutes ! » Je ne rigole pas : revoyez le film, c’est exactement ce qui se passe, et je ne parle pour l’occasion que du premier tiers du film. Alors certains me diront qu’ils s’en moqueront royalement et qu’ils se gaveront de ce merveilleux univers fantastique. Soit, mais ça fait un peu la quatrième fois qu’on nous le sert cet univers fantastique, et il ne s’y passe foutrement rien quand même ! Et puis bon, OK Tolkien est peut-être à l’origine de tout cela, mais ses histoires d’elfes et d’orques, ça fait un peu trente ans qu’on s’en bouffe dans tous les films, jeux et BD de Fantasy, donc niveau originalité, on repassera. Et si au moins, ce film avait su se faire numériquement beau… Mais non… Même ça ils l’ont loupé… Non, il n’y a pas à dire, mais à mes yeux, ce film c’est vraiment une « Désolation »…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 décembre 2013
    Rien a dire mis a part: courrez le voir 1 fois, 2 fois, 100 fois !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 décembre 2013
    Un poil spoiler

    Quand le premier Hobbit est sorti l'année dernière, les critiques étaient quasi-unanimes ; on assistait au grand retour de Pete Jackson, dans un film fort, bourré de fun et de moments de bravoure. Mais c'était surtout l'occasion, pour le spectateur, de retrouver la terre du milieu qu'il avait tant aimé, des années auparavant.

    D'où ma surprise en lisant les premières critiques de LDDS (La Désolation De Smaug, donc) : qui en substance criaient enfin au génie après la mollesse du premier épisode...
    ?!?
    Il y a retournement de veste, là, ou c'est moi ?

    Et bien moi je suis un peu de l'avis contraire en sortant de cette projection.
    À l'instar des "deux tours", dans la trilogie initiale, qui baignait un poil dans l'hystérie et la surenchère en comparaison de son prédécesseur, LDDS part un peu dans tout les sens lui aussi.

    On sent qu'après l'introduction en bonne et due forme du premier Hobbit, Jackson ait voulu passer la seconde. Mais malheureusement la manière est un peu lourde.

    Mettre de l'action pour de l'action n'a pas vraiment de sens en soit, même si quelques scènes sont particulièrement réussies. Il manque la petite flamme, le petit frisson du premier épisode qui nous faisait croire en cette quête et comprendre ô combien elle allait être périlleuse.
    Dans cet opus, on ne craint presque plus pour la vie du groupe (surtout quand Legolas l'invincible les accompagne) alors que Gandalf de son côté fait une découverte majeure qui laisse à penser que l'on assistera à une troisième partie sombre et épique.

    On retrouve tout au long du film quelques défauts mineurs mais qui passent mal quand on connait le niveau d'exigence de Peter Jackson ; certains effets spéciaux ratés, alors qu'on atteint la perfection pour d'autres (j'avoue ne pas comprendre comment certaines incrustations hideuses puissent être validés par le metteur en scène) ; des fondus "aïe" enchaînés, qui font mal au crâne quand on porte des lunettes 3D sur le museau ; des amourettes insipides qui n'ont pas vraiment lieu d'être...

    Malgré toute ces critiques qui ne représentent qu'une petite partie du travail présenté à l'écran, il faut bien avouer que le réalisateur néo-Zélandais reste un des meilleurs faiseur de divertissement intelligent de la planète, à l'image de la dernière demi-heure où nous faisons (enfin) connaissance avec Smaug, l'impressionnant dragon caché sous la montagne. Et là on prend très cher !

    Appréciation en demi-teinte, donc. Si je ne boude pas le plaisir qu'il m'a procuré, certains défauts ternissent l'ensemble à mes yeux. Mais après tout ce n'est qu'une critique à chaud. Je vais laisser l'eau couler sous les ponts et attendre l'épilogue de cette deuxième trilogie pour en tirer des conclusions définitives.
    MC4815162342
    MC4815162342

    400 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 décembre 2013
    Le Hobbit : la Désolation de Smaug est une suite fantastique, une aventure épique rempli d'action et parfumé d'une sympathique touche d'humour, au effet spéciaux incroyablement stupéfiants, au casting toujours aussi splendide, un casting doté de costumes et de maquillages époustouflant, le film est également amené par une bande son fabuleuse et une réalisation magnifique du très grand Peter Jackson qui soit dit en passant fait une très brève apparition au début du film.
    En bref une petite merveille qui promet un troisième volets des plus envoûtant.
    Alice025
    Alice025

    1 676 abonnés 1 366 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 décembre 2013
    Pouvoir faire mieux que le premier volet des aventures de Bilbon Saquet ? C'est réussi !
    Qu'il est bon de retrouver l'univers de la Terre du milieu, de ces paysages époustouflants, de ces créatures magnifiques comme horrifiques, de nos chers nains favoris, de Gandalf, des elfes, de l'anneau et j'en passe... !
    Encore mieux rythmé que le premier volet, beaucoup plus dense et plus entraînant, je n'aurais pas pensé que cela aurait été possible. Les deux heures quarante passent comme une flèche.
    Le point le plus vif qui m'a marqué, c'est la qualité de l'image. Exceptionnelle et superbe, on s'y croirait tellement ! Les images sont spectaculaires.
    Ce que j'apprécie beaucoup dans cet univers, ce sont donc les créatures diverses et variées, rythmant avec intensité les aventures de nos compères, comme les Orques ou encore les araignées géantes (j'en frissonne rien que d'y repenser). Mais celle que j'attendais le plus, c'est bien sur le dragon Smaug. Chapeau aux effets spéciaux, cette créature est parfaite ! La dernière heure nous absorbe littéralement par ce dragon.
    Les combats sont également riches, parfois drôles et soutenus, et c'est avec un malin plaisir de revoir Legolas, elfe chouchou du Seigneur des Anneaux.
    Il faut s'y attendre, la fin est très frustrante et nous sommes tous obligés de patienter encore un an avant la suite et fin de cette aventure...
    La désolation de Smaug est une suite réussie, peuplée de fantaisie sombre, de combats intenses, de nombreuses péripéties, de personnages attachants et de paysages à en couper le souffle. Savourez !
    Julien D
    Julien D

    1 206 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 décembre 2013
    Le rythme de l’action et la noirceur des personnages du premier opus prennent toute leur ampleur dans cette suite tant attendue des aventures de Bilbon Sacquet auxquelles il a été reproché d’être top puéril. Même si certaines scènes sont véritablement impressionnantes (notamment celles des tonneaux et des forges), nous sommes encore bien loin des grands combats épiques du Retour du roi, mais la façon dont le comportement de Thorin va, à l’approche du trésor de la montagne, va évoluer vers une sorte de folie obsessionnelle apportant au long-métrage une dimension philosophique sur l’attrait de l’argent et du pouvoir assez simple mais efficace et étonnante. La grande attente venait de la découverte du visuel des deux créatures doublées par Benedict Cumberbatch, et la satisfaction de découvrir la puissance du nécromancien et la prestance de Smaug fait de ce second volet un pur plaisir. Pour ce qui est de la fidélité aux différents textes de Tolkien dont Peter Jackson s’est inspiré, on notera que les ajouts ne s’avèrent pas indispensables, Legolas sert évidemment de lien avec la première trilogie mais la place importante qu’il va prendre dans l’intrigue nous prouve bien que la présence au casting d’Orlando Bloom n'était pas qu'un vulgaire argument commerciale, pour ce qui est de Tauriel, la jolie elfe incarnée par Evangeline Lilly, en revanche, elle ne sert que de prétexte qu’à une bluette mielleuse, sur schéma de triangle amoureux interracial, elle-même source de scènes plombantes pour la dynamique globale. En plus d'être prometteuse d’une conclusion de la saga littéralement ardente, cette cinquième aventure en Terre du milieu, avec son bestiaire foisonnant et ses décors toujours plus impressionnants, ne cesse à aucun moment de nous stupéfier.
    Nicolas.BSN
    Nicolas.BSN

    83 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 décembre 2013
    Quel pied de voir ce long (2h40 quand même...) métrage en Imax 3D! On est totalement transporté dans le monde de Tolkien et Peter Jackson. Il y a un peu plus de combats que dans la première partie. Mais la grosse surprise est d'enfin voir Smaug: tellement grand et malfaisant! Sa voix caverneuse résonne encore dans ma tête... Vivement le dernier épisode...
    ler0rqual .
    ler0rqual .

    7 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 mars 2014
    Avant tout, je n'ai pas utilisé la fonction SPOILER volontairement. Je m'adresse à ceux qui ont vu le film et/ou lu le livre. Si ce n'est pas le cas ATTENTION, je dévoile certaines choses du film (rien de bien génant en fait.
    Il m'a fallu un moment pour décider quelle note mettre à ce film. 2 étoiles cela peut paraitre sévère mais je vais tenter de m'expliquer : Fan de l'univers de Tolkien, j'ai une tendresse particulière pour son livre "le Hobbit".
    Et si je me suis régalé avec le 1er volet, c'est que je trouvais qu'il collé bien à cette histoire singulière, et qu’il n’augurait pas un pseudo copier-coller du SDA. "Le Hobbit" est certes plus "enfantin" mais c'est la tout son charme. Assez loin je l'avoue de la noirceur du SDA (alors pourquoi avoir noirci le trait ?
    Le Hobbit, c'est l'histoire d'un hobbit, pas un préquel. Et si je sais m'accommoder de certaines largesses prises avec l'œuvre originale, si je peux comprendre les besoins d'une adaptation cinématographique, je ne peux passer 2h40mn à me poser cette question : "Pourquoi ?"
    Pourquoi ne pas mettre l'accent sur Bilbo? C’est son histoire après tout.
    Pourquoi Legolas ? Pire, Pourquoi Tauriel ? Et si Tauriel; Pourquoi une romance avec un nain ?
    Pourquoi bâcler la rencontre avec Beorn ?
    Pourquoi les Elfes dans la scène avec les araignées, alors que c'est là, en partie, que Bilbo s'affirme et fais le plein de courage (et qu'il révèle aux nains qu'il possède l’anneau
    Pourquoi modifier autant l’évasion du royaume des Elfes ? (Il n’y a aucun Elfes, et surtout aucun Orcs dans ce passage, au fait comment les Orcs pénètrent aussi loin chez les Elfes sans que personnes ne les voient ?) La rivière est paisible pas une sorte de torrent déchainé.
    Pourquoi nains et hobbit doivent ils user de stratagème pour rentrer dans Lacville alors qu’une garnison d’Orcs y arrive sans problème ?
    Une pause : Smaug est très bien fait. Impressionnant et son apparition fait sensation. La rencontre entre le dragon et Bilbo, les dialogues qui s’en suivent furent aussi un bon moment.
    Mais, bordel, Pourquoi ? (oui je sais ça n’a pas duré longtemps)
    Pourquoi haché ce passage sous la montagne avec la bataille entre Elfes et Orcs à Lacville, et la rencontre entre Gandalf et le nécromancien ? (Pourquoi Sauron à ce moment du film ??? Non parce que moi si je suis Sauron, là, je le zigouille le magicien gris et je suis tranquille pour les mille ans qui viennent
    Je termine par l’Arkenstone. Il n’est que le cadeau que veut s’approprier Bilbo, pas une espece de « Précieux ».Pourquoi créer une intrigue sur ce caillou capable de réunir les peuples et courroner un roi ? Il servira de monnaie d’échange plus loin dans l’histoire
    J’arrête là, de peur de vous saouler (il est peut être déjà trop tard) bien qu’il y ait encore bcp à dire.
    Merci à toi qui a lu ces lignes jusqu’au bout.
    J’ai mis 5 etoiles au 1er film, 2 etoiles à celui-ci. Une moyenne de 3.5. Bien sans plus.
    J’espere vraiment un final époustouflant et que l’on se rapproche plus du roman, de l’histoire de ce petit homme qui devint ce a quoi il n’était pas destiné...
    legend13
    legend13

    250 abonnés 1 056 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 septembre 2022
    Dans cette trilogie du "Hobbit" si un opus arrive à se défaire du fantôme de la saga originelle cest bien "La Désolation de Smaug". Les 2h30 du métrage sont de très bonnes factures et nous proposent de grands moments de bravoure jusqu'au génial affrontement avec le dragon dans le fabuleux royaume d'Erebor. Une fois de plus les équipes de Peter Jackson n'ont pas lésinées sur les incroyables décors. Bref, un second opus très réussi malgré quelques faiblesses à l'image de la lamentable romance entre un nain et une elfe.....
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    179 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2014
    Ce deuxième opus du hobbit est dans la lignée des films précédents : une longue épopée pleine de péripéties. La on ne va pas vers l'anneau mais vers un terrible dragon. La qualité est de bonne facture avec des moments d'anthologie comme le combat dans la descente de rivière ou les scènes avec le Dragon. La durée du film pêche, Peter Jackson aurait du faire plus court pour garder un rythme homogène tout au long du film.
    Vivien19
    Vivien19

    64 abonnés 443 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2013
    C'est sans doute pas l'heure pour écrire une critique (04h00), donc ça sera bourré de fautes et de non-sens, et je risque d'oublier plein de choses. Juste pour l'anecdote, j'ai été dans le cinéma de ma ville de province pour me taper les deux films (Un Voyage Inattendu + La Désolation de Smaug) en HFR (le fameux 48 fps) et en 3D, et ceci pour la modique somme de 10€. Il faut savoir que c'était la première fois que le dit-ciné diffusait en HFR, et ça a été une catastrophe : 4 à 5 coupures de 10 minutes / un quart d'heure ont ponctuées le premier film, transformant la première séance en un véritable cauchemar à la fois cérébral et cinéphilique. 'fin bref, l'avantage c'est que j'ai pris beaucoup plus de recul par rapport au premier volet du Hobbit, cette séance m'en ayant complètement dégoûté. Ensuite, faut de savoir comment régler ce problème technique, on nous a déplacé dans une autre salle (et donné au passage une place gratuite pour une séance future), où, avec une heure de retard (le film qui devait commencer à minuit a finalement débuté à une heure du mat'), j'ai pu découvrir "La Désolation de Smaug".

    Un peu fatigué et exténué par la précédente séance, j'étais sans doute pas dans les meilleures conditions pour la découverte du film, mais peu importe : tout d'abord, c'est nettement plus dynamique que le premier "Le Hobbit". Attention ! J'ai pas dit que c'était dynamique, juste que ça l'était d'avantage. Car cette "Désolation de Smaug" souffre encore une fois de longues lenteurs, d'étirement d'intrigues, de choix et d'ajouts narratifs douteux (Mais sérieusement qui a eu l'idée de cette Love Story complètement ringarde / ridicule / inappropriée, en plus d'être chiante au possible et de rendre le dernier tiers du film en grande partie moins épique et plus ringard, alors que sans ça il aurait été excellent ? Sans parler de l'ajout de Legolas, qui à défaut d'être plutôt bien amené, ne trouve aucune justification de fond à part de foutre en l'air une partie de la cohérence de la trilogie "Le Seigneur des Anneaux"). Le rythme du film est donc très irrégulier : y a des passages amusants mais inconséquents, on fait des détours de scénario complètement useless, et je ne peux qu'évoquer une erreur de scénario de débutant pour le dernier tiers (précédemment évoqué) du film. En gros pour faire court et sans trop de spoilers (ou du moins, pas plus que dans la bande-annonce), ce dernier tiers suit cinq intrigues simultanément : la confrontation avec Smaug du point de vu de deux groupes de personnages, une Love Story à la noix disséminée dans une sorte de "bagarre", encore une fois avec la présence de deux points de vu, ainsi qu'un cinquième et dernier arc narratif autour de Gandalf. A moins d'être un génie du montage ou d'avoir obtenu des faits d'arme dans l'écriture de série télé, ce genre de situation est impossible à gérer : on passe d'un point de vu à l'autre, accumulant frustration et ennui (puisqu'en réalité, un seul, à la rigueur deux, de ces "intrigues" sont réussi(s)). A force de vouloir à la fois faire du fan service (je parle pas des fans des livres, mais de ceux des films) en réintroduisant des personnages qui n'ont rien à foutre là, assumer des quotas en nous imposant des personnages féminins mal écrits et essayer de combler trois heures de films (le film dure en réalité 2h40 avec générique, environ 2h20/2h25 sans, mais on aurait pu le réduire à une durée de 2h, voir moins, facilement).

    Quelques moments de grâce cependant : la première partie des scènes avec Smaug est géniale (mais vraiment, hein, j'en ai eu des frissons, d'autant plus que Smaug est vraiment super bien réussi, et le doublage VF admirable), ensuite ça part un peu trop dans tous les sens dans une forme d'hystérie collective très mal montée et construite. Mais aussi quelques passages où on remarque une nouvelle norme du film qui va faire plaisir à beaucoup : il faut savoir que, contrairement à son aîné, "La Désolation de Smaug" assume enfin, à peu près, son statut d'adaptation de "conte pour enfant". Si le film se prend encore parfois au sérieux alors qu'il aurait mieux fait de rendre un peu d'humour, on remarque une nette amélioration à beaucoup de niveaux : on a vraiment plus peur des scènes "tirées par les cheveux" (dans le bon sens du terme), les scènes de combat en mode "Disney" à la fois jouissive et très bien (numériquement) chorégraphiée, sans parler d'un humour très présent et plutôt réussi. Alors que "Un Voyage Inattendu" avait clairement le cul entre deux chaises, hésitant entre respecter le bouquin et faire plaisir aux spectateurs de la trilogie SDA non-lecteurs de Tolkien, ici le virage est fait : Fuck le public, on arrive à créer une véritable atmosphère à cette histoire qui, si elle reste différente de celle du livre, et se permet encore des faux pas (j'ai de mauvais souvenirs de ma lecture du bouquin mais... Il y avait tous ces délires autour du Nécromancien ?) au ton trop sérieux.

    Les acteurs sont bons, particulièrement Martin Freeman qui révèle une nouvelle fois qu'il EST Bilbon, respectueux du personnage et arrivant à faire de ce dernier une entité cinématographique très réussie, jouant beaucoup sur les mouvements par ailleurs, je l'ai trouvé excellent. Par contre grosse déception : Howard Shore. En dehors de sa BO du SDA, ce mec n'a rien fait de folichon, et si sa partition du premier "Hobbit" trouvé beaucoup d'intérêt dans l'utilisation d'un "thème des nains" (Misty Mountains Cold) épique à souhait, ici c'est complètement plat. Sérieux la bande-originale est naze et fait parfois très mal aux oreilles. Y a quelques moments de grâce, mais on a l'impression que le mec s'auto-parodie.

    Dans tous les cas, même si je peux paraître méchant avec le film, "La Désolation de Smaug" remplit son cahier des charges : on en attendait ni plus ni moins. Les défauts attendus sont là, quelques qualités aussi, quelques bonnes surprises et quelques déceptions. Si vous avez à peu près aimé le premier film, vous devriez d'avantage apprécier cette suite. Pour ceux qui n'avait pas aimé "Un Voyage Inattendu", c'est plus difficile à juger : ça m'étonnerait qu'ils apprécient d'avantage celui-là, mais on est jamais à l'abris d'une bonne surprise. Dernier point : la HFR (48 fps), c'est juste atroce, ça donne mal au crâne, c'est moche et ça donne l'impression de regarder une cinématique de "The Witcher" quand y a pas mal de numérique. Cette technologie est à éviter.
    marineSR
    marineSR

    19 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 janvier 2014
    Un second volet un peu poussif par rapport au premier. L'action semble trainer en longueur, et certaines scènes frôlent la farce (le combat des nains dans leurs tonneaux au fil de la rivière) ce qui détonne avec l'atmosphère globalement épique de la saga.
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