Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Johnny Knoxville joue au papi dégueu dans un mélange savoureux de fiction et de caméra cachée.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Parisien
par Alain Grasset
Pour une métamorphose, elle est réussie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
L’Amérique profonde revisitée par les gags irrévérencieux d’un Johnny Knoxville plus fanfaron que réellement nocif, grimé en grand-père de très mauvaise influence. L’excès peut provoquer l’hilarité comme consterner.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Pierre-Édouard Peillon
Quelques bons gags d’un mauvais goût cathartique qui n’avaient sûrement pas besoin d’une intrigue aussi artificielle que banale.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Sandrine Marques
Un défouloir foutraque, nul sur le plan du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Nicolas Didier
(...) les sketchs en caméra cachée, filmés par Jeff Tremaine, sont moins trash et moins drôles que dans les précédents épisodes.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Johnny Knoxville et sa bande tournent le dos au slapstick bourrin de @Jackass : une interminable succession de caméras cachées d'une rare inanité, au service d'un sommet de vaine vulgarité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
CinemaTeaser
Johnny Knoxville joue au papi dégueu dans un mélange savoureux de fiction et de caméra cachée.
Le Parisien
Pour une métamorphose, elle est réussie.
aVoir-aLire.com
L’Amérique profonde revisitée par les gags irrévérencieux d’un Johnny Knoxville plus fanfaron que réellement nocif, grimé en grand-père de très mauvaise influence. L’excès peut provoquer l’hilarité comme consterner.
Critikat.com
Quelques bons gags d’un mauvais goût cathartique qui n’avaient sûrement pas besoin d’une intrigue aussi artificielle que banale.
Le Monde
Un défouloir foutraque, nul sur le plan du cinéma.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
(...) les sketchs en caméra cachée, filmés par Jeff Tremaine, sont moins trash et moins drôles que dans les précédents épisodes.
Les Fiches du Cinéma
Johnny Knoxville et sa bande tournent le dos au slapstick bourrin de @Jackass : une interminable succession de caméras cachées d'une rare inanité, au service d'un sommet de vaine vulgarité.