AlloCiné
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Il n'a pas fallu beaucoup d'encre et de papier de faire le scénario du film mais on ne peut pas dire non plus que ça soit du bacler. A priori les non-amateurs de Hockey pourraient trouver ça lourd et trop sanguinolent mais pour les autres vous pouvez vous y mettre sans problèmes. Nos protagonistes sont un peu brutes primitives au premier abort mais tout de même attachant !
Seann William Scott est un acteur qui a tout pour réussir dans les comédies américaines actuelles.
Mais dans celle-ci, son personnage de "gentil idiot" qui semble inspiré d' Averell Dalton est malheureusement beaucoup moins drôle que ce dernier.
Comme son héros ce film n'a aucun pouvoir comique.
Mais dans celle-ci, son personnage de "gentil idiot" qui semble inspiré d' Averell Dalton est malheureusement beaucoup moins drôle que ce dernier.
Comme son héros ce film n'a aucun pouvoir comique.
Un bon petit moment de détente. Par contre le synopsis fait sur le site est vraiment pas bon.
gabdias
Les films sportifs ne volent pas souvent haut et celui-là tourné sur le Hockey et son côté dramatiquement drôle que sont les bastons n'échappe pas à la règle. Même le trublion S William Scott en débile assumé ne porte pas suffisamment le film, les gags frôlent le pathétique. Bref pour se marrer on ira mater autre chose.
stallonefan62
sean william scott porte le film a lui tout seul et certaines scènes de baston sont drôle
Comédie très réussie, un bon casting, une B.O. top, une ambiance géniale entre bière et uppercut, bref c'est jouissif, et c'est pas trop con! A matter sur!
Alors est-ce mon ignorance par rapport au hockey qui a fait que je n'ai pas accroché à ce film ou est-ce tout simplement parce que les gags annoncés ne volent pas bien haut et que l'on s'ennuie plus que l'on ne s'amuse, je ne sais pas. Ce dont je suis certain, c'est que cette soi-disante comédie ne restera pas longtemps dans ma mémoire. Le film commence pourtant bien, ça ne dure que quelques minutes. On se rend vite compte que ça va tourner en rond et que ça va être long jusqu'à la fin !!
On le sait, le hockey sur glace a un potentiel cinématographique infini avec ses bagarres incessantes. Après le raté Slap Shot dans les années 70’s, Jay Baruchel et Evan Goldberg s’attelèrent à l’écriture d’un nouvel essai.
Mis en images plutôt décemment par Michael Dowse, Goon n’est pas l’habituel film de sports auquel on pourrait s’attendre, avec tous les passages obligés (même s’ils y sont), mais c’est une comédie tendre et humaine sur un héros, chaînon manquant entre Forrest Gump et Rocky Balboa, aussi gentil et bêta que les deux, mais jamais considéré comme simplet, porté par une interprétation exceptionnelle de Seann William Scott, qui y déroule tous ses talents d’acteur, sous-coté comme jamais. En effet, le film tourne totalement autour de ce Doug Glatt et c’est sa principale force.
S’il ne convainc pas vraiment (ou très peu) pendant ses deux premiers actes, un peu lents et paresseux, le film monte clairement en puissance dans sa dernière demi-heure où la Némésis du héros, Ross Rhea, un bagarreur loyal et au sens de l’honneur, joué par l’impeccable Liev Schreiber entre en scène. On trouve aussi un des meilleurs gags du film dans cette dernière demi-heure. En effet, Glatt rentre sur le terrain pour se battre avec un joueur adverse. Ces derniers se parlent de manière très courtoise, se foutent sur la tronche, sont séparés par les arbitres, se serrent la main avec un clin d’œil d’approbation quand ils vont vers la prison et Doug de conclure ”Sympa, ce gars-là”. Car là est la force du film : la tendresse qu’il porte à ses personnages.
En parlant de tendresse et de dramatique, c’est, encore une fois, là que le film s’élève à un niveau très élevé : dans son final qui mêle Turandot au hockey, le film prend des allures lyriques et romantiques très inattendues mais plus que bienvenues car jamais ridicules malgré l’apparente incompatibilité des deux médiums. Goon est un film sacrément original, qui aurait mérité une meilleure introduction afin d’acquérir la reconnaissance qu’il mérite. Pour ce qui est de la technique, elle est irréprochable, même si l’on sent les limites du budget du film. La musique, hors Turandot, est assez bien choisie et les seconds rôles, comme Marc-André Grondin (son histoire semble être le sujet du film avant de bifurquer, bien heureusement), Kim Coates ou Eugene Levy font le boulot très sobrement.
Ne serait-ce que pour son final, absolument exceptionnel, inoubliable et presque déchirant, Goon doit obligatoirement être vu afin que des tentatives aussi osées que celle-ci se répètent.
Mis en images plutôt décemment par Michael Dowse, Goon n’est pas l’habituel film de sports auquel on pourrait s’attendre, avec tous les passages obligés (même s’ils y sont), mais c’est une comédie tendre et humaine sur un héros, chaînon manquant entre Forrest Gump et Rocky Balboa, aussi gentil et bêta que les deux, mais jamais considéré comme simplet, porté par une interprétation exceptionnelle de Seann William Scott, qui y déroule tous ses talents d’acteur, sous-coté comme jamais. En effet, le film tourne totalement autour de ce Doug Glatt et c’est sa principale force.
S’il ne convainc pas vraiment (ou très peu) pendant ses deux premiers actes, un peu lents et paresseux, le film monte clairement en puissance dans sa dernière demi-heure où la Némésis du héros, Ross Rhea, un bagarreur loyal et au sens de l’honneur, joué par l’impeccable Liev Schreiber entre en scène. On trouve aussi un des meilleurs gags du film dans cette dernière demi-heure. En effet, Glatt rentre sur le terrain pour se battre avec un joueur adverse. Ces derniers se parlent de manière très courtoise, se foutent sur la tronche, sont séparés par les arbitres, se serrent la main avec un clin d’œil d’approbation quand ils vont vers la prison et Doug de conclure ”Sympa, ce gars-là”. Car là est la force du film : la tendresse qu’il porte à ses personnages.
En parlant de tendresse et de dramatique, c’est, encore une fois, là que le film s’élève à un niveau très élevé : dans son final qui mêle Turandot au hockey, le film prend des allures lyriques et romantiques très inattendues mais plus que bienvenues car jamais ridicules malgré l’apparente incompatibilité des deux médiums. Goon est un film sacrément original, qui aurait mérité une meilleure introduction afin d’acquérir la reconnaissance qu’il mérite. Pour ce qui est de la technique, elle est irréprochable, même si l’on sent les limites du budget du film. La musique, hors Turandot, est assez bien choisie et les seconds rôles, comme Marc-André Grondin (son histoire semble être le sujet du film avant de bifurquer, bien heureusement), Kim Coates ou Eugene Levy font le boulot très sobrement.
Ne serait-ce que pour son final, absolument exceptionnel, inoubliable et presque déchirant, Goon doit obligatoirement être vu afin que des tentatives aussi osées que celle-ci se répètent.
La plupart des films (américains) qui s'attaquent au sport, se tournent vers le basket ball ou le football américain. De temps en temps, ils abordent le base ball ou le hockey sur glace. Ce qui est le cas avec Goon, un film sympa racontant l'histoire d'un bagarreur qui devient pro dans une équipe de hockey. il aura pour mission de bastonner les joueurs adverses qui montrent un peu trop d'agressivité envers la star de l'équipe. Étant tour à tour la risée puis la star de l'équipe, Doug Glatt va se démener pour être un tant soit peu crédible. L'acteur principal Seann William Scott ( alias le Stifler d'american pie) surprend positivement en colosse un peu simplet. On aperçoit aussi Liev Schreiber en joueur en fin de carrière qui veut finir en beauté. On se laisse facilement prendre au jeu de ce film d'action qui s'attarde sur un élément central de ce sport glacial.
D'entrée de jeu, on sent que ce film ne va rien nous proposer d'autres que de la bonne bagarre, des dialogues bien crus en dessous de la ceinture, et accessoirement quelques coups de patins et de crosse. On sait donc à quoi s'attendre en se lançant dans "Goon". La présence de Sean William Scott dans un rôle de Goon, "joueur" de hockey bagarreur qui ne justifie sa présence que pour ses capacités de bagarreur tire également en ce sens. Pourtant, sur ce point, on est surpris. L'acteur s'écarte de ses rôles habituels pour incarner un jeune homme un peu simplet et rejeté plutôt attachant.
Pour le reste, le scénario est fin comme du papier à cigarette et n'offrira aucune surprise. Il n'offrira d'ailleurs rien d'autres que de bonnes scènes de bagarres et des dialogues parfois drôles bien que très très limités. Avec en trame, la fameuse histoire d'amour à la noix, indispensable pour ce genre de teen-movie américain.
Un film pop corn, qui se regarde. Ca fait pas de mal de temps à autres, même si ça n'apporte strictement rien.
Pour le reste, le scénario est fin comme du papier à cigarette et n'offrira aucune surprise. Il n'offrira d'ailleurs rien d'autres que de bonnes scènes de bagarres et des dialogues parfois drôles bien que très très limités. Avec en trame, la fameuse histoire d'amour à la noix, indispensable pour ce genre de teen-movie américain.
Un film pop corn, qui se regarde. Ca fait pas de mal de temps à autres, même si ça n'apporte strictement rien.
On nous le vend comme un espèce de "Fight Club" mais le film n'en a pas vraiment le rapport. Il y a un bobet, du hockey sur glace, et de la baston. Dit comme ça, cela ne donne pas vraiment envie, et pourtant, le rythme y est bon et Seann William Scott efficace. Un film aux airs 90th, qui fait passer le temps et détend après une bonne journée de travail ...
FaRem
Très bon film c'est une belle surprise et peu importe si on aime ou pas le hockey j'ai beaucoup rigolé et Sean William Scott m'a assez touché dans ce rôle là ça le change de ces rôles habituels.
Nul et inintéressant : les commentaire sont du genre s... moi , n....ta mère : écrit et réalisé par un jeune de banlieue ? Bref à éviter, je connais des jeunes qui font ce sport certes brutal, heureusement qu'ils ne s'expriment pas en permanence comme eux ......
Benito G
Et un DTV de plus... On comprend vite pourquoi. Apres la lecture d'un scénario un peu évasif. On se dit, qu'il doit bien cacher quelques choses pour être vendu ainsi. Eh bien non, il s'agit d'un film fait pour combler 1h30 de votre temps ; mais qui n'ira pas chercher bien loin (même au niveau intellectuel^^). Là, ou l'on aurait pu s'attendre à des surprises tout le long du film (surtout lorsque l'on voit le casting, le potentiel est là pour certains), on assiste en réalité à une "comédie sportive" qui ne fait que méler "hockey" et "baston". Quelques séquences peuvent prêter à sourire, admettons. Mais pour le reste, sa se bastonne à tout va. Enfin on ne peut nier que le scénario ne nous avait pas prévenu. L'histoire n'est donc pas vraiment exploité en profondeur et se limite à ce que l'on peut lire à son sujet. Pour la final, bien que prévisible ; à la lecture même de celle-ci. On se dit, que quelques choses va ce passer... Toujours pas le cas, un final prévisible au possible et qui ; à peine se veut expédier assez rapidement. Bref, on reste sur sa faim. Et je pense que même les amateurs de hockey, le seront également. Apres sinon, pour trouver des bons points ; on va dire que cela se bastonne bien et que notre Stifler... A un coté un peu plus touchant, niais que dans American Pie. Je reste sur ma faim, mais je n'en attendais rien à la base. Donc, si vous être fans de Seann William Scott et que vous voulez le voir dans un registre un peu différent. A la limite.
Un bon film pop-corn comme on les aimait tant dans les années 80, à voir absolument pour les nostalgiques de l'époque...
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