4,5
Publiée le 21 août 2014
A ceux qui ont peur de voir ce film devant les tonnes de critiques ultra négatives, j'espère contribuer à vous rassurer. Devant Lucy on ne s'ennuie pas une seconde, le scénario n'est pas d'une complexité incroyable mais ce film est une petite bombe de 1h30, le casting est bon, le jeu des têtes d'affiche est largement à la hauteur (qui doute encore de Scarlett et Morgan?). Alors à tous ceux qui ont descendu ce film je dirais: prenez un peu de recul lorsque vous allez dans les salles obscures! Jamais ce film ne prétend être rigoureux scientifiquement ou encore réaliste. Luc Besson se livre seulement à une remise en question de l'existence au sein de la société humaine à travers l'analyse d'un cerveau qui évolue vers l'utilisation absolu de son potentiel et de sa compréhension de l'être et du monde. A aucun moment le film ne veut prouver quoi que ce soit de scientifique ni même apporter une hypotèse crédible sur les capacités cérébrales humaine (ce qu'ont l'air de penser pas mal d'abonnés d'allociné). Il soulève juste quelques questions sur l'existence et les mécanismes de notre société au détour d'un film qui vous emportera pendant une heure et demi dans l'étrange destinée de Lucy. Si vous savez prendre du recul ne cherchez pas analyser ce que personne ne prétend démontrer, FONCEZ!
4,0
Publiée le 21 août 2014
Il faut bien sûr aimer la science-fiction et le ton qui parodie certains films d'actions asiatiques. Le seul problème c'est le thème choisi, forcément casse-gueule et qui ne mène nulle part. Mais cette réserve importante mise à part, le film est bon, les premières séquences sont exceptionnelles (après il y une petite baisse de régime). La fin mélange le gélatineux, le foutraque et se termine par des propos philosophiques dont tout le monde se fout (Besson le premier sans doute). Scarlett Johansson est réellement fabuleuse dans ce rôle, elle crève l'écran de façon incroyable, les méchants sont vraiment des méchants de bande dessinée, ce qui passe très, très bien, les images sont splendides, la bande son agréable et efficace. Bref c'est très bon.
4,5
Publiée le 22 décembre 2014
Besson, si controversé, mais pourtant si talentueux sur bien des domaines de compétences. Son génie artistique est à l'égale de la France, ce que Ridley Scott est aux américains. Il peut d'ailleurs, à juste titre, être considéré comme un intrus. Sa touche américanisée va à l'encontre des mœurs franchouillards stéréotypés. Mais c'est toujours un réel plaisir que de découvrir le nouveau bébé de ce grand Monsieur. Lucy est à bien des égards un modèle d'originalité, d'un point de vu scénaristique et de mise en scène. Néanmoins je ne peux que revendiquer ma déception face à un potentiel si peu exploité. A mon sens, Besson choisi volontairement la facilité en tentant de rendre son œuvre accessible à une grande majorité. C'est une erreur en sois. Le point de vue philosophique et théorique sur les facultés du cortex cérébral est assez évocateur pour être assimiler, mais beaucoup trop succin pour être complet. De ce fait, la crédibilité descend d'un niveau car le développement du métrage semble bâclé. En effet, sur une durée d'1h30 fulgurante, on ne voit pas le temps passé, c'est indéniable. Malgré tout, je persiste à croire que la durée de ce film, pourtant si palpitant, est beaucoup trop courte. D'un point de vue technique, tout y est; l'action gérée à merveille, les effets spéciaux esthétiques et sans débordements, sans oublier le jeu magistrale de Scarlett Johansson au cœur d'une science fiction théoriquement extraordinaire. Le fait d'exploiter les 100% de nos facultés cérébrales dépasse l'entendement. Une déception coupable que de descendre cette création du rang de chef d’œuvre à quelque chose de simplement mémorable. A voir. 4,5/5
4,0
Publiée le 20 août 2014
Lucy, ah ce film a fait parler de lui, entre tous les détracteurs de Luc Besson, à tord ou à raison, et la fausse explication des 10% d'utilisation des capacités du cerveau. J'ai fait abstraction de tout ça, et me suis laissé porter par le film, qui il faut bien le dire, est plutôt à mon sens une réussite dans ce vers quoi, le pitch pouvait tendre. D'abord Scarlett Johansson joue très bien son rôle, d'abord de petite étudiante crédule, qui petit à petit avec l'acquisition de ses pouvoirs perd de plus en plus d'humanité, à savoir une conscience. Et c'est là, que le film prend vraiment un sens à mon goût, car à l'image d'Akira le manga de Katsuhiro Otomo, Lucy en développant ses pouvoirs a une soif de connaissance sans limite, devenant addict du CPH4 mis vraiment en avant la scène de l'avion qui démontre que sans ce substitut elle n'est plus rien, et elle prend conscience qu'elle n'est plus humaine (là c'est vrai que ça copie Limitless pour le coup, mais ce n'est pas pour son profit personnel contrairement à dans Limitless). Elle cherche à comprendre, Scarlett joue magnifiquement la femme qui prend conscience qu'elle n'a plus rien d'humain, mais que le point d'encrage de la vie c'est le temps. spoiler: D'ailleurs l'élypse final où elle finit par remonter aux origines de l'univers, la création du big bang etc ... nous démontre qu'elle devient une sorte de déesse, comme le créateur. La loi métaphysique de l'espèce humaine étant en effet, toujours l'avidité du pouvoir et du contrôle, elle cherche à y mettre un terme. Le clin d'oeil où elle va jusqu'à "donner" la connaissance à la Lucy ostalopithèque, est particulièrement touchante, car c'est comme le dit Morgan Freeman, le besoin de transmettre.
Ensuite, au niveau de la réalisation, toutes les métaphores montrés avec les images de documentaire m'ont beaucoup plu, ça coupe le rythme du film pour mieux faire comprendre encore les intentions de Besson, et ce qui va arriver aux protagonistes.Sinon, bien evidemment, l'aspect un peu Matrix de la télékinésie pourra en rebuter plus d'un, mais n'oublions pas que c'est un film de SF. Les quelques reproches que je pourrai faire à Lucy est la durée du film, trop court pour vraiment faire comprendre la volonté de Lucy et le pourquoi du comment. Néanmoins, le film n'est pas exempt de défaut, notamment les courses poursuites voitures dans Paris largement dispensable, et qui rappelle trop Taxi. Ensuite, la quête de vengeance des mafieux de Taipei; est un peu trop appuyé, et n'a pas énormément d'intérêt. spoiler: Elle aurait dû s'arrêter quand Lucy récupère les 3 autres poches.
Mais dans l'ensemble un excellent divertissement, et n'en déplaise un bon retour de Luc Besson, qui a eu l'audace d'essayer du SF métaphysique, et ce que beaucoup appellent le n'importe quoi des 30 dernières minutes, qui certes est osé mais ça nous change des films français plats et sans risques.
4,5
Publiée le 8 septembre 2014
Alors oui, je sais d'emblée que ma note paraîtra exagérée, et qu'ainsi je m'attirerais les foudres des détracteurs de Besson, et de ceux qui n'ont pas du tout apprécié ce "Lucy", sorte d'union entre "Le Cinquième Élément", "Léon" et "Nikita". Je vous invite donc à lire ma critique jusqu'au bout. Je viens tout juste de dire que "Lucy" était une sorte d'hybride entre plusieurs films de la carrière de Besson. Tout du moins, c'est comme ça que je le percevais quand je me matais les bandes-annonces. Et pour tout vous dire, je n'étais pas très chaud. Je dirai même plus, les images montrées ne me laissaient ni chaud ni froid, entre l'appréhension et l'envie. Et donc, comme j'ai eu l'occasion d'aller le voir un week end ( pas cette semaine, mais celle d'avant, et comme j'avais trop de critiques à rattraper, j'ai mis celle ci en stand-by ), j'ai essayé de ne m'attendre à rien d'autre qu'un nouveau film du réalisateur, ni a un "Cinquième Élément" ni a un "Léon", espérant tout de même que le résultat ne serait pas aussi catastrophique que celui de "Malavita", que j'avais tant attendu et qui, au final, n'avait presque que fait me décevoir. Sauf que "Lucy" n'est pas de cette trempe. "Lucy", c'est la vision d'un mythe moderne par Luc Besson, c'est quelque chose de personnel, quelque chose qui n'est ni vendu ni destiné qu'aux Américains : c'est le surhomme, enfin, la surfemme, me demandez pas pourquoi le mec aime tant les dominatrices, vu(e) par ce même gars qui nous avait pondu "Le Grand Bleu". C'est une vision purement personnelle, certes, et pour cela, autant apprécieront ou détesteront. Moi, j'ai adoré. Littéralement. Pas seulement parce que cette approche est complètement nouvelle, non, parce que j'ai ressenti des choses que je n'avais pas encore ressenti, ou que j'avais ressenti il y a de cela très longtemps. Déja, j'ai eu la chance de le voir seul au cinéma, parce que ce n'est clairement pas le film à voir entre potes juste pour s'amuser. Parce que "Lucy" n'est clairement pas un divertissement typé. Pourquoi typé? Parce qu'il faut bien le dire, énormément de blockbusters se ressemblent ( surtout les Marvel ) : humour, encore humour, explosions, morts, effets spéciaux à tout va, et scénario peu intéressant. Je généralise, c'est vrai, mais citez moi quatre blockbusters de cette année qui ait un scénario original. Voila. Et donc, "Lucy", avec de l'usé, il parvient à innover. Je ne dis pas qu'il a un scénario original ( encore que je n'ai jamais vu, au cinéma, quelqu'un avec toutes ses capacités mentales parvenir à un tel résultat ), non, ce qui est original, c'est la manière de le traiter. Honnêtement, quand je suis entré dans la salle, je m'attendais à autre film de super-héros. Et c'est principalement pour cela, je pense, que le film n'a pas plût. Les gens ne sont pas tombés sur ce à quoi ils s'attendaient, et n'ont donc pas eu ce pour quoi ils étaient venus. Honnêtement, dès le début, je me suis régalé. Et quelle introduction! Très originale et qui n'assure que du bon pour la suite. Déja, on sent vraiment la patte Besson. Dès le début, on aperçoit les deux gros points positifs du film : il est porté par sa mise en scène, et par son actrice principale. Je reviendrai sur Scarlett Johansson. Et donc, la mise en scène, elle est impressionnante. Vraiment, je n'exagère pas. En tant que cinéphile, je peux bel et bien vous avouer que j'ai pris mon pied. Encore une fois, je n'exagère pas, je suis vraiment sincère, la réalisation est magnifique. Pleine de sous-entendus, d'images "hors-film" ( qui n'ont pas de rapport avec les personnages ) toutes mieux choisies les unes que les autres, c'est simple, Monsieur Besson exprime, par la caméra, ce que les personnages pensent et ne disent pas. Et pour vous illustrer cela, j'ai deux images qui reviennent en tête. Déja, quand Lucy entre dans le bâtiment des japonais, elle comprend qu'elle est tombée dans un piège. Et donc, pour illustrer cela, qu'est-ce qu'on utilise? Un court extrait d'une sourie qui se fourre dans un piège à rat. Et pour la capture, à votre avis? On montre des images d'un animal ( honnêtement, je ne me souviens plus duquel ) se faire pourchasser par une meute de fauves ( des léopards? ). Et au final, quand la scène se termine, l'animal n'est plus. C'est excellent, bien pensé et très recherché. Et perso, en lisant les avis de beaucoup de spectateurs sur ce film, je ne m'attendais pas du tout à un tel résultat. Niveau mise en scène, c'est vraiment le top. Il nous ressort même le style de réalisation qu'il avait employé pour l'arrivée finale des bad guys dans "Léon". Alors oui, je ne vais pas être de mauvaise foi, c'est vrai qu'il y a des ratés, notamment quand Lucy se "transforme". Aussi étrange que cela puisse paraître, c'est peut-être la scène la moins réussie du film. Elle est assez lourde, en fait. Bon, ce n'est pas ridicule, mais force est de constater qu'elle vieillira très mal. En fait, c'est surtout à cause du jeu de Johansson. Autant, dans tout le film, elle était excellente, autant là, la pauvre, elle ne savais pas trop quoi faire, et était à la limite du surjeu. Mais on reviendra sur elle, laissez moi finir de vous dire ce que je pense de la mise en scène. Donc, dès le début, elle est très expressive, ça, y'a même pas besoin de revenir dessus. Je pense que je peux le dire sans même sourciller, "Lucy" est un film expérimental. Oui, je sais, vous n'êtes surement pas d'accord, mais je vais m'expliquer,e ne vous inquiétez pas. Déja, ce film, il est vraiment atypique, comme la scène finale le démontre. Non, je ne vais pas vous spoiler, seulement vous dire que sa réalisation est impressionnament inventive, et qu'elle envoie du lourd, nous apprenant une chose, tout ce qui se passe dans ce film aura une utilité par la suite. Luc Besson a vraiment une vision unique des choses, il te sort une oeuvre qui dépasse l'imaginaire du commun des mortels ( les fils pour les portables reliés aux satellites sont vraiment très originaux ). La scène du monologue de Lucy dans l'hôpital est magnifique, vraiment émouvante, lyrique, poétique et impensablement belle, je n'avais jamais entendu cela! Et pour cette scène, il faut voir ce "Lucy". Parce que oui, ce film, c'est un enchaînement de scènes cultes. Celle de fin est tout simplement impensable et inimaginable, l'autre du retour dans le temps est tout simplement bluffante et parfaite, d'une beauté dure à égaler ( avec l'évolution de Times Square et de la Terre entière ), celle de la course poursuite dans Paris est extrêmement bonne et rythmée, et j'en passe! Bon, comme je le disais, il y a quelques fausses notes dans l'écriture. Certains dialogues sont en effet loin d'être parfaits, la scène de "transformation" dans la prison n'est pas terrible et complètement exagérée ( oui, je sais, je l'ai déja dit ) et l'humour est parfois trop lourd. Y'a qu'à voir la tentative en début de film, quand Lucy va ouvrir la mallette et que tous les hommes de main du bad guy ont sortis chacun un bouclier anti-émeute. Un passage taillé pour les américains, c'est sûr! Alors c'est vrai que le scénario est loin d'être parfait, mais je le vois plus comme un prétexte que comme une intrigue qui prend le pas sur l'action. Parce que clairement, le film n'essaie pas d'être le nouveau "2001 l'odyssée de l'espace", non, il fait son truc et divertit quand même, malgré sa courte durée. Mais bon, il n'y a pas une lenteur, donc le tout est quand même assez éprouvant, alors honnêtement, la courte durée ne m'a même pas dérangé. Je préfère un film de moins d'une heure trente qui nous en met plein la vue à un autre de trois heures où l'on ne sait plus quoi faire tellement le temps passe lentement. Alors oui, c'est vrai que le scénar aurait gagné à être un peu plus approfondis, surtout que l'on se trouve quand même dans de la SF, mais bon, ce n'est pas trop gênant non plus. Au moins est-il un minimum original. L'histoire, quand à elle, est largement meilleure. Ah oui et puis à la fin, le mec part dans un délire! Non mais j'ai jamais vu ça! C'est simple, il a complètement dépassé le cadre du film de surhomme pour partir dans un trip dont lui seul à le secret. Incroyable. Et donc, maintenant, on va parler de Johansson. Honnêtement, cette actrice, je ne l'ai jamais adorée. Je reconnais qu'elle a du talent ( et un physique ), mais je ne sais pas, il y a quelque chose chez elle qui ne m'a jamais accroché. Enfin, c'était avant ce film. Là, je dois bien vous avouer qu'elle m'a vraiment énormément surpris. Elle est vraiment charismatique et joue constamment très bien ( oui, à part dans la scène de "transformation" ). Honnêtement, elle tient le casting sur ses bien fines épaules, et pas un ne parvient à l'égaler. On retrouve également Morgan Freeman, qui semble abonné, depuis quelques temps, aux films de SF ( "Oblivion", "Insaisissables", "Transcendance" et "Lucy" en moins d'un an, faut le faire! ). Le gars a 77 ans quand même! Respect et chapeau bas! Une excellente surprise. Je ne m'attendais pas du tout à cela, un excellent film, prenant, passionnant et un tant soit peu original. Génial.
4,0
Publiée le 15 décembre 2014
j'ai bien aimé ce film sans temps mort, on est pris dans le flot pour ne jamais s'arrêter.
L'interprétation de l'actrice est remarquable, bon casting.
Dommage que le rôle de morgan freeman ne soit pas plus étoffé .
L'histoire est bonne, j'ai pensé par moment à Limitless pour les capacités intellectuelles décuplées.
De bons effets spéciaux, de l'action du bon besson
à voir
4,5
Publiée le 21 août 2014
En sachant que Luc Besson était aux manettes de ce film, j'étais sincèrement peu tenté de le voir. La trilogie Arthur ayant eu droit à un deuxième épisode navrant et un troisième seulement sympathique; n'aimant pas les films de la saga Taxi, et Les aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec m'ayant ennuyé comme jamais au cinéma, j'étais donc loin de partir confiant. Et bien il me faut reconnaître que pour une fois, ce cher Luc m'a littéralement emporté et subjugué par son histoire. "Lucy" est un pur chef-d'oeuvre et une vraie perle du cinéma actuel. Par son scénario original, captivant et inédit, ses acteurs impeccable avec la superbe interprétation de Scarlett Johansson; sa musique, ses effets-spéciaux, sa réalisation et son style unique, c'est pour moi le meilleur film de l'année 2014, du moins à ce jour.
4,5
Publiée le 24 juin 2015
Luc Besson se surpasse. Réussir a réalisé un film doté d'une expérience implaccable et d'une beauté spectaculaire. Un scénario chargé, très original. Des effets spéciaux époustouflants, d'une qualité spectaculaire. Luc Besson laisse ses acteurs s'exprimés et ceux-ci s'en donnent à coeur joie. Des courses poursuites haletantes. Une bande son rythmé, palpitante. Luc Besson réalise un film époustouflants, au-delà de l'imagination. 4,5/5
4,0
Publiée le 25 juillet 2015
Effets spéciaux monstrueux, une Scarlett Johansson une fois de plus irréprochable et tout ça est pour une fois... français. Malgré l'absence d'un scénario sans fautes, Lucy en est rattrapé par ses scènes d'action a couper le souffle et le charisme d'une des meilleurs actrices du 21 siècle. Il faut avouer que le scénario est quand même très intuitif malgré ses quelques défauts qui le guette. La fin est un vrai festival, on s'en prends plein la vu, on s'en prends tellement que tout n'es pas clair et on se pose pas mal de question sur une éventuelle suite.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 22 août 2014
Personnellement, j’ai adoré ce film. Je l’ai trouvé très complet et efficace. Il est vrai que le scénario est un peu bancal et pas très travaillé, mais ce n’est pas ça qui est important et cela n’empêche pas le film d’être excellent. En effet, l’histoire est mise au second plan pour que le spectateur puisse pleinement se concentrer sur l’évolution du personnage principal qui constitue la pierre angulaire de l'oeuvre. Le coté action donne parfois lieu à des scènes assez violentes mais impressionnantes et bien filmées. Les phases de science-fiction sont magnifiques avec des effets spéciaux très bien réalisés et des scènes parfois même poétiques, ce qui crée un véritable contraste avec la barbarie évoquée juste avant. A cela vient s’ajouter des questionnements d’ordre philosophiques sur le but de la vie. L’humour est également de la partie de manière ponctuelle et sous différents aspects. On a également le droit à quelques séquences émotions qui permettent de nous remettre les idées en place entre deux situations chaotiques. Cet ensemble s’enchaîne très bien et donne un film au rythme très soutenu qui m’a tenu captivé du début à la fin, sans me perdre un seul instant. Pour ce qui est du casting, Scarlett Johansson est très bien dans son rôle. Elle retranscrit parfaitement les différents stades de l’évolution de son personnage. Morgan Freeman n’est pas au mieux de sa forme mais reste bien. En revanche, Min-Sik Choi est également très bon en parrain d’une mafia asiatique. Il est à fond dans le rôle ce qui lui donne une excellente crédibilité. Un film à voir absolument.Critique plus détaillée sur ma page Facebook :
4,5
Publiée le 21 août 2014
Réalisé par Luc Besson, son nouveau film intitulé Lucy est le succès inattendu de l’été pour un film français sur les sols américain et français. Le réalisateur de Nikita et de Léon revient à la science-fiction après son cultissime Cinquième Elément sorti en 1997 avec ce qui est son film le plus ambitieux de sa filmographie où Scarlett Johansson joue les héroïnes vengeresse badass. Lucy est une jeune étudiante normale de 25 ans qui vie à Taipei à Taïwan. Mais le jour où elle est prise dans un guet-apens par la mafia coréenne, elle est contrainte de faire la « mule » pour des trafiquants de drogue qui insèrent dans son ventre un paquet de poudre bleue, produit de synthèse expérimental, le CPH4. Mais la drogue présente dans son ventre va se rependre dans son organisme et lui procurer des pouvoirs psychiques. Lucy va alors « coloniser » son cerveau et acquérir des pouvoirs illimités. Après des années peu glorieuses, Luc Besson, le plus américain des réalisateurs français, revient avec un nouveau film de science-fiction très ambitieux intitulé Lucy. Le réalisateur du Grand Bleu et de Léon revient à la science-fiction, dix sept ans après Le Cinquième Elément avec Bruce Willis et Milla Jovovich, sans doute l’une de ses plus grandes réussites, délirante, cool et explosive, qui lui avait valu le César du Meilleur réalisateur en 1998. Après un impressionnant démarrage aux Etats-Unis, 44 millions de dollars lors de son premier week-end d’exploitation, on était en droit d’en attendre un peu plus de Lucy, ce mystérieux film de science-fiction signé Luc Besson. Malgré des critiques peu élogieuses, le film est un carton en France avec déjà presque deux millions d’entrées, ce que je trouve assez surprenant. A croire que Luc Besson a gardé une certaine popularité quand il fait de la science-fiction et des films estivaux. Et je doit dire que même en n’ayant pas vraiment regarder de bandes-annonces ou attendu le film avec une grande impatience, j’ai tout simplement adoré ! Je suis moi-même surpris d’avoir autant aimé ce film qui se fait quand même pas mal descendre par les spectateurs. Le fait de ne pas avoir vu de bandes-annonces, une ou deux fois en fait, je ne savais pas trop a quoi m’attendre devant Lucy même en ayant la connaissance du synopsis et de quelques détails du film. Ce fut donc une surprise quasi-totale pour moi, et je peux maintenant dire que j’adore la sensation de découverte d’un film au cinéma dont on ne sait quasiment rien. D’abord il faut savoir que l’idée est née dans l’esprit de Luc Besson il y a presque dix ans où il s’est pris de passion pour le sujet tournant autour de l’étude du cerveau humain. C’est donc en 2010 qu’il annonce vouloir réaliser un nouveau film de science-fiction, juste après avoir vu les immenses progrès des effets spéciaux avec la sortie d’Avatar de James Cameron en 2009. Il se concentre sur d’autre projets comme Malavita, avant d’aller se lancer dans le tournage de son nouveau film de SF. Après des rumeurs sur lesquels Angelina Jolie serait en négociations pour le rôle titre, c’est finalement Scarlett Johansson qui l’obtient en avril 2013. Le tournage de ce qui sera la plus grosse production du studio EuropaCorp commence en septembre 2013 pour un budget de plus de 40 millions de dollars. Après quelques problèmes de tournage, notamment à Taipei, capitale de Taïwan, où des paparazzis perturbent le tournage, le film est mit en boîte, fin près pour une sortie pendant l’été 2014, mais avant, il fera l’ouverture de la 67ème édition du Festival du Film de Locarno. Le film étant sorti depuis le 6 août 2014, il est actuellement le plus gros succès de Luc Besson aux Etats-Unis avec un total de plus de 102 millions de dollars de recettes, pour le moment, confirmant ainsi sa popularité à l’étranger. Alors entrons dans les détails désormais. Je pense qu’avec Lucy, c’est soit on aime ou on n’aime pas. Luc Besson réalise ici son film le plus ambitieux depuis Jeanne d’Arc en 1999. Et en effet car, pour réaliser Lucy, le cinéaste français dit s’être inspiré de trois films : son film culte Léon sorti en 1994, le chef-d’œuvre Inception de Christopher Nolan sorti en 2010 et enfin le chef-d’œuvre métaphysique et spatial de Stanley Kubrick, j’ai nommé, 2001 : l’Odyssée de l’Espace sorti en 1968. Autant dire que Besson vise haut, même très haut, en disant s’inspirer de ces grands films. Car Lucy est un film de science-fiction sérieux qui reprend les styles de Stanley Kubrick pour ses côtés métaphysiques et philosophiques ainsi que de Terrence Malick pour le côté cosmique. Ce sont peut-être les raisons pour lesquelles le film n’a pas plu à une majeur partie du public français. Alors bien évidemment le film est moins complexe et prise de tête que 2001 : L’Odyssée de l’Espace, mais on sent que Besson s’en est fortement inspiré puisque le film s’ouvre comme chez Stanley Kubrick, à l’aube de l’humanité où la vie commençait à se propager, et ici sur le premier australopithèque de sexe féminin découvert quasiment dans son intégralité en 1974 et que tout le monde connaît sous le nom de Lucy. Dés le début, Luc Besson montre ses folles ambitions de science-fiction. Et le film passe de nos jours, sous le son de la voix off de Scarlett Johansson. Et je dois avouer que la première partie du film, qui s’arrête en gros quand Lucy décide de quitter Taipei pour Paris, est vraiment géniale. J’ai prit mon pied tout simplement. Le film commence comme un thriller, un début comme Léon en fait, sur des trafiquants de drogue qui enlèvent des jeunes femmes pour faire ce qu’on appelle les « mules ». Et là Luc Besson nous emporte où le montage mêle les plans du film à des plans d’un documentaire animalier, c’est une trouvaille que j’ai vraiment apprécié. Le fait de comparer Lucy, une étudiante naïve, à une gazelle qui s’apprête à se faire pourchasser par des léopards, évocation animale des mafieux coréens, c’est brillantissime je trouve et cela permet au film de se créer un style. Et juste avant, quand Lucy arrive pour voir son ami, un plan d’une souris se dirigeant sur une tapette, vient nous indiquer que notre héroïne vient de tomber dans la gueule du loup. Un détails de réalisation qui m’a vraiment fait aimer ce début de film. Et ensuite place à des scènes de tensions et de suspenses, toujours agrémentées d’un petite touche d’humour signé Luc Besson, quand Lucy rencontre le chef de la mafia coréenne, Monsieur Jang, un homme élégant mais très violent. Et l’apothéose de cette première partie, je l’ai trouvé dans la scène où Lucy, une fois que la drogue s’est rependue dans son corps, retourne dans le repère de Mr. Jang afin de se venger, armée de deux pistolet silencieux, filmée au ralentit et sous le son du Requiem de Mozart. Une scène qui m’a fasciné tant elle était sublime et puissante, cette première partie de Lucy m’a complètement emporté dans le délire de Luc Besson qui mêle film d’action et film de science-fiction. Après la deuxième partie est très bonne mais un peu en dessous de la première je trouve. Parmi les scènes d’action on retrouve les cascades de la saga Taxi avec les voitures de police qui s’encastrent les unes sur les autres mais seulement lors d’une courte scène, des fusillades violente à la Léon, mais du point de vue de l’action le film très réussit, il est très divertissant, c’est du Luc Besson comme on en a l’habitude de voir, dans ses films et dans ses productions genre Taken et la saga du Transporteur. Et c’est là qu’arrive la troisième partie du film, qui il paraît est très inspirée de 2001 : L’Odyssée de l’Espace. Lucy y acquiert les fameux 100% des capacités de son cerveau et le réalisateur nous entraîne dans une succession de scène épileptiques où le personnage voyage dans le temps, comprend l’origine de l’univers, de l’existence, rencontre des dinosaures, d’où le fait d’évoquer Terrence Malik puisque des dinosaures apparaissent dans son film The Tree of Life, et Lucy a droit à une rencontre avec la Lucy australopithèque pour une scène directement inspiré de la Création d’Adam de Michel-Ange dans la Chapelle Sixtine. On nous entraine dans l’espace, des images de la destruction de la Terre, de sa naissance,… bref Luc Besson montre son caractère philosophique et métaphysique ambitieux de son film quand le personnage disparaît après son « voyage » et se retrouve dans le continuum Espace-temps. Le film est plus intelligent qu’il n’y paraît si on enlève ses scènes de fusillades et d’action, c’est une sorte de fable philosophique où un être humain commence à posséder des pouvoirs divins et à avoir le savoir infini que les être humains normaux à 10% des capacités de leur cerveau, n’ont pas. Dans le fond, le scénario est assez basique et c’est ce que l’on pourrait reprocher à Luc Besson car son film ne dure qu’1h23 sans le générique. C’est très court et on aimerait que cela dure un peu plus pour avoir plus de détails sur l’aspect « acquérir 100% des capacités de son cerveau » ou alors Besson aurait du aller plus lentement dans l’acquisition des pouvoirs de Lucy et offrir plus d’explications. Mais là où le film excelle et où il m’a bluffé, c’est d’abord dans sa réalisation avec notamment ce montage parallèle qui peuple le film d’images documentaires qui s’interposent pendant le discours du personnage de Morgan Freeman et également au début quand Lucy s’apprête à se faire enlever par les narcotrafiquants. Cela donne au film un style visuel propre et ajoutons également les moments où l’écran affiche le pourcentage qu’atteint le cerveau de Lucy, ce qui permet l’avancée du film d’une certaine manière. Au début on est à 1%, à l’aube de l’humanité avec l’australopithèque Lucy, et ainsi de suite jusqu’à ce qu’on arrive aux 100%. Ensuite il faut dire qu’au niveau du son le film envois du très lourd car les moments où Lucy effectue son voyage sur l’origine de tout, le son est très important et donne de l’intensité au film. Et là où on se rend le plus compte de la puissance sonore de Lucy c’est dans la musique démentielle qu’a composé Eric Serra, fidèle à Luc Besson depuis son premier court-métrage L’Avant Dernier qui date de 1981. C’est sans doute mon coup de cœur du film, la bande-originale de Serra est un petit bijoux de morceaux électroniques et symphoniques comme le décrit le compositeur. Rien que la musique qui ouvre le film avec les noms des acteurs vaut le détour. Et ne parlons pas de l’utilisation du Requiem de Mozart, magnifique. Et si le film marche autant dans les salles, c’est peut-être grâce à la présence de Scarlett Johansson qui interprète Lucy. Nouvelle héroïne bessoniènne, l’actrice américaine s’encre parfaitement dans le genre des personnages féminin à la sauce du réalisateur. Il faut remarquer que le cinéaste aime filmer des femmes au départ faibles et qui se révèlent ensuite plus fortes comme Nikita, Mathilda dans Léon, Leeloo dans Le Cinquième Elément, Jeanne d’Arc dans le film éponyme, Adèle Blanc-Sec ou Aung San Suu Kyi. Dans Lucy, Scarlett Johansson est excellente dans le rôle de cette étudiante qui finit par devenir très intelligente et à se doter de pouvoirs surnaturels, elle devient froide et mécanique, comme un robot, et l’actrice intègre ainsi le palmarès des personnages féminin de Luc Besson : badass, séduisante et attachante. Lucy de Luc Besson fut donc une excellente surprise, une petite claque inattendue venant d’un film de science-fiction aux accents de 2001 : L’Odyssée de l’Espace avec une mise en scène stylisée, une bande-originale juste géniale, des acteurs très bon même si le personnage de l’excellent Min-sik Choi aurait pu être plus développé, les scènes d’action sont efficaces et bien réalisées, et le scénario est très bon même s’il aurait pu être beaucoup plus long et détaillé. Bref, Lucy fut une expérience de cinéma aussi inattendue que jouissive.
4,0
Publiée le 20 août 2014
Lucy : Nouveau film du français Luc Besson qui aime faire des films a l’américain. Sa carrière na pas était fleurissant ses dernière années (le bon temps : Léon, Nikita…). Donc la question, est ce que ce film de grand ampleur va relancer sa carrière ? Ce que je peux vous dire, c’est que le film a de l’ambition. Avec un scénario assez original mais qui pioche de bonne idée dans des films du genre : Limitness (il va quand même beaucoup plus loin), 2001 l’Oddysee de l’espace… Mais, l’univers est assez bien conçu et le film très bien rythmé, on ne voit pas passer le temps certes le film ne dure pas longtemps mais je pense que tout est dis, pas besoin de plus. Mais, le problème de Besson et de son écriture c’est qu’après une première partie ou les rebondissements sont nombreux, le film ne propose plus de challenge à son personnage car on sent qu’il est invincible et tout donc il manque de la peur pour le spectateur. Mais, ce qui a de bien fait, est son acensions, avec les différents pourcentages… On voit bien qu’elle devint de plus en plus puissante et c’est assez jouissif. Sinon, toujours une femme comme héroïne : une femme fragile au départ qui devint fort. Et la elle ingurgite de force de la drogue et peut exploiter 100% de son cerveau : ce contrôle, contrôle les autres, le temps, le monde… Et c’est assez impressionnant à voir et les explications données par Morgan Freeman sont ludiques. Sinon, la réalisation est plutôt bonne et les effets spéciaux convaincants même si le rythme est assez haché et les scènes d’actions sans surprises, un peu comme toujours du made in Besson. Les musiques singées Serra sont bien dans le ton du film. Et pour finir, les acteurs sont plutôt convaincants, même si le policier principal est cliché, mais Scarlett Johansson est excellente et impliqué dans son rôle. Donc voila, un film Besson qui ma diverti et convaincu.
4,0
Publiée le 21 août 2014
Après Malavita l'année dernière, Luc Besson revient avec sa nouvelle réalisation : Lucy. L'histoire est simple : a la suite de circonstances indépendantes de sa volonté, une jeune étudiante voit ses capacités intellectuelles se développer à l’infini. Elle « colonise » son cerveau, et acquiert des pouvoirs illimités. Si le film parait simple au premier abord, il pose des questions intéressantes sur la capacité de notre cerveau et sur l'utilisation que l'on en fait. Porté par deux acteurs de renom (Scarlett Johansson et Morgan Freeman), Lucy est un très bon film d'action doublé d'une réalisation maîtrisée. Certains plans sont vraiment beaux (ceux avec les animaux ou ceux sur l'univers par exemple). Les scènes d'actions sont efficaces et je trouve que le méchant joué par l'immense Choi Min-sik (bien que sous exploité avec un rôle plutôt creux) a vraiment de la gueule. Alors oui, ce n'est pas le film de l'année ni le meilleur film de SF que l'on est pu voir ces dernières années mais force est de constater que Lucy est un divertissement de qualité devant lequel on passe un très bon moment. Pour moi, le meilleur film de Luc Besson depuis Jeanne d'Arc.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 7 août 2014
"Lucy", nouveau bébé de notre Luc Besson national, sorti aujourd'hui ce 6 août.

J'ai été le voir un soir, à 20h10, et je m'attendais à une salle assez remplie, étant donné la promo et l'engouement qui montait autour de ce film. Résultat : plus aucune place. Au bout d'un moment, les gens rentraient, sortaient de la salle. J'habite Dunkerque, je n'ai jamais vu ça, et j'en ai vu des films dans ce cinéma. (La salle faisait 300 places, ce qui est quand même respectable).

Cette masse de monde attend avec impatience le dernier film de Besson. Et moi aussi. Les lumières s'éteignent, un 1er plan numérique cellulaire sublime, et puis : Lucy, l’australopithèque. C'est à ce moment précis que je me suis dit : "Oh là, cette fois, il va sortir le grand jeu." Je ne me suis pas trompé.

Dans un premier temps c'est un très bon film d'action. Les scènes de baston sont toutes très bien foutue. Nous avons droit à notre cocktail méchant-drogue-costard-sang-poursuite, qui peut paraître cliché (et les détracteurs de Besson s'en serviront encore une foi comme arme pour démonter ce film), mais qui rend très bien, sous la patte stylistique de notre cher réalisateur. Concernant l'intrigue de base (les 10% de capacité cérébrale), tout le monde sait que c'est un peu faux, mais bon. C'est de la SF après tout. Si Marty retournait en 1955, il ne devrait logiquement pas avoir 17 ans, si on prend en compte l'effet de causalité.

On se laisse prendre au jeu (la course-poursuite dans Paris est juste PARFAITE), on a droit à quelques touche d'humour "à la Besson" qui font ici mouche, et enfin on arrive à LA scène du film : le voyage temporel.

spoiler: Lucy traverse les époques de l'Histoire pour en arriver à la rencontre avec Lucy, l'australopithèque.
J'étais accroché à mon siège, je n'en pouvais plus. Le travelling circulaire employé est parfait, la musique est déchirante d'émotion, et tout ça reste lourd de sens quant à l'intrigue que je ne peux dévoiler ici.

Bref, allez voir Lucy, selon moi le film de l'été en attendant Les Gardiens de la Galaxie. Mais je doute que celui-ci ne soit à la hauteur.
4,0
Publiée le 1 janvier 2015
Les américains ont Steven Spielberg ou encore James Cameron, pour nous les français, ont se reposent uniquement sur Luc Besson. La formule Lucy est un très bon divertissement au féminin dans lequel, Scarlett Johansson incarne une héroïne hors du commun et totalement sublime."Lucy" de Luc Besson est un film humain qui pose des questions pertinentes sur les capacités mise en sommeils du cerveaux humains, de ses limites, de l'impossible qui pourrait être possible, si un jour, nous les être humains puissions avoir une intelligence supérieure, de possédés des capacités intellectuelles et physiques poussées à l’extrême, et de percer tous les secrets de l'univers. Cette hypothèse est bien exploitée. Dans le film c'est possible. Ont suis l'évolution du personnage et sa transformation dans les moindres détails, malgré elle, en super ordinateur et redoutable machine à tuer. Luc Besson nous sort l'artillerie lourde, dans ce blockbuster à la fois film de science-fiction, de thriller et film d'actions, pour lequel Lucy est une combattante remarquable et spectaculaire. Scarlett Johansson réussie à camper ce personnage à la perfection. Le scènario est riche en actions, en émotions et de sensations fortes ou se mêle courses-poursuites effrénées, duels et règlements de comptes. Le travail de mise en scène est excellent, surtout au niveau des effets bluffants, très bien calibrés, lorsque Lucy développe ses pouvoirs à l'écran. Vraiment bluffant. Et le reste de la distribution est convaincante. Même s'il faut reconnaitre que le film ne vaut que pour la présence de Scarlett Johansson et de Morgan Freeman. Des héroïnes emblématiques comme Lucy, ont en voit pas tout les jours, sauf dans les films de Luc Besson. C'est un très grand film d'action. Du grand Luc Besson.
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