Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ambitieux, "Lucy" atteint ses objectifs comme spectacle de divertissement, spectaculaire et intelligent.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Scarlett Johansson en superwoman, sous la caméra bourrée aux amphétamines s-f de Luc Besson : spectaculaire !
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Ne boudons pas notre plaisir, Luc Besson signe un thriller d'anticipation réussi qui a le talent de distraire et de tenir en haleine. (...) On en aurait bien pris un peu plus.
Le Parisien
par Magali Gruet
Certains ont qualifié le film de féministe, nous n'irons pas jusque-là, mais pour une fois qu'une femme est à la source de solutions pour sauver le monde, on aurait tort de s'en priver.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le divertissement d’anticipation, (...) est surtout un audacieux blockbuster qui, à l’instar du boulot accompli sur Le Cinquième élément confirme que Besson, avant d’être un paroissien de la formule qui fâche, est surtout un auteur sacrément barré. Alléluia.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Au milieu de cette série B friquée, fonçant à toute allure pour ne pas être prise en flagrant délit d’inconséquence, surnage cependant un second film passionnant, mené par Scarlett Johansson.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Murat
Petit conseil amical : que Luc Besson continue à filmer des poursuites, des complots et des règlements de comptes. Il est fait pour ça et c'est l'un des rares, en France, à le réussir aussi bien. Mais surtout, surtout, surtout, qu'il évite de penser.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Besson revient au cinéma d'action avec ce croisement farfelu entre le film de super héros et le film de gangsters asiatique, dopé par la toujours sexy Scarlett Johansson.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
On peut toujours essayer de sauver quelque chose chez Besson, par exemple cette sorte de panache qu’il met à filmer des héroïnes terrassant des hommes plus faibles qu’elles. Mais l’état d’esprit si bêta du film gangrène par trop ce magma informe et tourbillonnant.
Le Monde
par Mathieu Macheret
(La) représentation (de Luc Besson) d'une cognition supérieure se fonde moins sur des rapports inédits d'espace-temps qu'elle ne reproduit à son compte l'univers des publicités pour smartphones ou fournisseurs d'accès à Internet (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Un film d'action pétaradant, doublé d'une fantaisie SF mégalo. C'est du n'importe quoi bling-bling, privant Scarlett Johansson de glamour.
Libération
par Julien Gester
Par-delà la réussite ou le grotesque dont se pare chaque nouvelle scène d’épate spectaculaire de cette violente et invraisemblable embardée, domine le sentiment que Luc Besson filme désormais tout cela depuis un au-delà d’indifférence marketeuse (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Dans l'état actuel des connaissances, on peut dire que c'est très mauvais, mais qu'en matière de pure excentricité, ça vaut le détour.
Positif
par Christian Viviani
Ça caracole, ça rutile, ça explose (...) On ne saurait nier que le cinéaste donne à son public en pâmoison exactement ce que ce dernier attend, même si la surprise est quelque peu éventée: "Lucy" est tout à fait ce qu'il espère.
Première
par Damien Leblanc
En se privant progressivement de toutes attaches affectives pour devenir un pur objet de savoir scientifique, Lucy se révèle être une protagoniste moins touchante que les Nikita, Mathilda et autres héroïnes bessoniennes auquel le scénario fait parfois penser.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Matthieu Santelli
Besson ne filme pas vraiment son histoire, il la survole, il brasse ses scènes comme on fait défiler les pages d’un annuaire avant d’arriver à la bonne lettre. Autrement dit : il s’en tape complètement !
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
(...) on voit mal comment un tel bidule peut faire illusion chez nous une fois le buzz dissipé, tant "Lucy" ne contente personne (...).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Franceinfo Culture
Ambitieux, "Lucy" atteint ses objectifs comme spectacle de divertissement, spectaculaire et intelligent.
Le Dauphiné Libéré
Scarlett Johansson en superwoman, sous la caméra bourrée aux amphétamines s-f de Luc Besson : spectaculaire !
Le Journal du Dimanche
Ne boudons pas notre plaisir, Luc Besson signe un thriller d'anticipation réussi qui a le talent de distraire et de tenir en haleine. (...) On en aurait bien pris un peu plus.
Le Parisien
Certains ont qualifié le film de féministe, nous n'irons pas jusque-là, mais pour une fois qu'une femme est à la source de solutions pour sauver le monde, on aurait tort de s'en priver.
aVoir-aLire.com
Le divertissement d’anticipation, (...) est surtout un audacieux blockbuster qui, à l’instar du boulot accompli sur Le Cinquième élément confirme que Besson, avant d’être un paroissien de la formule qui fâche, est surtout un auteur sacrément barré. Alléluia.
Les Inrockuptibles
Au milieu de cette série B friquée, fonçant à toute allure pour ne pas être prise en flagrant délit d’inconséquence, surnage cependant un second film passionnant, mené par Scarlett Johansson.
Télérama
Petit conseil amical : que Luc Besson continue à filmer des poursuites, des complots et des règlements de comptes. Il est fait pour ça et c'est l'un des rares, en France, à le réussir aussi bien. Mais surtout, surtout, surtout, qu'il évite de penser.
Voici
Besson revient au cinéma d'action avec ce croisement farfelu entre le film de super héros et le film de gangsters asiatique, dopé par la toujours sexy Scarlett Johansson.
Cahiers du Cinéma
On peut toujours essayer de sauver quelque chose chez Besson, par exemple cette sorte de panache qu’il met à filmer des héroïnes terrassant des hommes plus faibles qu’elles. Mais l’état d’esprit si bêta du film gangrène par trop ce magma informe et tourbillonnant.
Le Monde
(La) représentation (de Luc Besson) d'une cognition supérieure se fonde moins sur des rapports inédits d'espace-temps qu'elle ne reproduit à son compte l'univers des publicités pour smartphones ou fournisseurs d'accès à Internet (...).
Les Fiches du Cinéma
Un film d'action pétaradant, doublé d'une fantaisie SF mégalo. C'est du n'importe quoi bling-bling, privant Scarlett Johansson de glamour.
Libération
Par-delà la réussite ou le grotesque dont se pare chaque nouvelle scène d’épate spectaculaire de cette violente et invraisemblable embardée, domine le sentiment que Luc Besson filme désormais tout cela depuis un au-delà d’indifférence marketeuse (...).
Mad Movies
Dans l'état actuel des connaissances, on peut dire que c'est très mauvais, mais qu'en matière de pure excentricité, ça vaut le détour.
Positif
Ça caracole, ça rutile, ça explose (...) On ne saurait nier que le cinéaste donne à son public en pâmoison exactement ce que ce dernier attend, même si la surprise est quelque peu éventée: "Lucy" est tout à fait ce qu'il espère.
Première
En se privant progressivement de toutes attaches affectives pour devenir un pur objet de savoir scientifique, Lucy se révèle être une protagoniste moins touchante que les Nikita, Mathilda et autres héroïnes bessoniennes auquel le scénario fait parfois penser.
Critikat.com
Besson ne filme pas vraiment son histoire, il la survole, il brasse ses scènes comme on fait défiler les pages d’un annuaire avant d’arriver à la bonne lettre. Autrement dit : il s’en tape complètement !
TéléCinéObs
(...) on voit mal comment un tel bidule peut faire illusion chez nous une fois le buzz dissipé, tant "Lucy" ne contente personne (...).