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7eme critique
531 abonnés
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1,5
Publiée le 12 décembre 2014
Absente lors du précédent épisode, Manuela Velasco, l'actrice principale de la saga "[Rec]" revient dans ce 4ème volet. Bourré de facilités, cette saga persévère dans la médiocrité et alimente sa propre caricature. "Oh zut, il n y a pas de canot de sauvetage", "Ah, voilà une fuite maintenant", il faut donc aller activer le moteur de secours qui se trouve bien entendu dans la salle des machines... euh... vous êtes sérieux là les mecs ? "[Rec] 4" propose un véritable scénario classique de jeux vidéo, à mi-chemin entre "Resident Evil Revelations" (zombies on the boat) et "Dead rising" (moteur décapitant). Le film se lance dans des rebondissements à la mords-moi-le-nœud avant de s'éteindre sur un final ridicule (ce n'est plus une surprise en même temps...). Bon bah voilà, cette fois-ci c’était sur un bateau, peut être que le volume 5 se déroulera dans un avion...allez savoir.
Rec4 pêche clairement côté scénario. A la différence de Rec1 et 2, l'impression de déjà-vu nous guette tout le long du film. Dommage, car le fait d'être cloitré sur un bateau aurait pu ajouter de la tension, mais les éléments de décors exploités sont trop réccurents. Tout se passe dans 4 salles. L'acteur principal est impassible, ce qui entâche énormément la fin du film: une sorte de twist qui ne tient pas ses promesses. Les effets spéciaux avec les vues aériennes du bateau sont ridicules. Bref, rien de bien exaltant dans ce 4ème opus, et c'est bien dommage pour cette production espagnole qui avait pourtant réussi un tour de force en revisitant le genre zombie.
Que dire... Une énorme déception, mais pas vraiment une surprise. Comment passer d'une très bon film d'horreur (REC1) à un film prévisible, plat et sans saveur... c'est très simple il suffit de prendre un mauvais scénario interprété par de mauvais acteurs. spoiler: De plus, le personnage principale qui fait tout pour quitter le navire pendant 1h30 et qui hésite au dernier moment à sauter alors qu'une armée de zombies (qui ressembles à des clones au passage) la talonne et pendant toute la durée du film les personnages civils qui se baladent librement sur un navire sur le pieds de guerre n'aident pas franchement à améliorer le film... Sans oublier le bon spécialiste radio/pirate informatique de haut vol qui se fait marcher dessus par tout le monde et laisse son pote se faire picorer par les zombies, qui devient Rambo face au professeur qui lui propose une porte de sortie... Heureusement les singes sont amusant.
Rec 4 termine la licence avec un je-m'en-foutisme total, qui fait peine à voir. Quel gâchis que cette licence, qui se perd dans de l'action beaucoup trop exagérée, un scénario crétin au possible, et un manque de réponses tout simplement honteux. Balaguero avait promis de faire toute la lumière sur le Mal à l'oeuvre depuis Rec 1, il n'en est rien. Le dernier plan restera à jamais comme une preuve que le réalisateur peut, sciemment, saboter ses propres films. Désolant, même si le petit côté hommage à Resident Evil est un peu distrayant.
Déception car il n'a pas de grands frissons dans ce REC 4, on s'éloigne pas mal du concept de caméra embarquée de REC 1. Cependant l'apport de ce 4ème opus est plus que correct pour ceux qui aiment le genre comme moi.
Ouh que je l'attendais celui là et mon attente a été à la mesure de ma déception!!! Ok le 3ème opus était jusque là le plus faiblard ormis le fait qu'il reprenne l'histoire du début mais son traitement sur un ton décalé lorgnant presque sur de la comédie en avait déstabilisé plus d'un. C'est donc avec impatience que j'attendais ce chapitre final qui devait nous mettre le feu surtout avec un sous titre comme celui ci. Et bien non, on a rien eu mais rien de rien. J'ai même du mal à croire que ce soit le même réalisateur qui soit aux commandes de cette purge digne d'un DTV diffusé dur NRJ12. On dirait un produit de commande réalisé sans inspiration et sans aucun respect des précédents opus. J'attendais quelques réponses concernant la petite Medeiros, le niveau d'implication de l'Eglise par exemple mais non rien que dalle. Et puis les acteurs semblent eux aussi avoir été contaminés par le virus du réalisateur : la flémingite aigue. Ils assurent le minimum syndical et pas plus. A leur décharge, c'est peut être en lisant le script que l'épidémie se propage. Tout sent la chaussette de mémé réchauffée, c'est indigeste et insultant pour les amateurs de cinéma de genre. Et que dire de la fin...PITOYABLE !!! Encore une franchise dévastée par son propre créateur.
On a certes l'actrice principale de REC (1) mais le scénario est vraiment léger et le tournage mauvais. On ne voit rien des scènes d'action. La caméra bouge dans tous les sens à nous donner le tournis. Coté crédibilité, c'est faible. Quant à la version française, elle est vraiment mauvaise. Le jeu des acteurs est pas bon non plus. Bref, sans intérêt. Il est temps que la série se termine.
A trop tirer la corde, elle finit par céder. Si le premier du nom, de part son effet de surprise, était loin d'être mauvais, les suites s'enchaînent mais ne s'embellissent pas. Nous sommes pile-poil dans du cinéma business, qui prend le spectateur pour un pigeon en lui servant un scénario risible à souhait, multipliant les invraisemblances et les ficelles du genre. Navrant.
Le mauvais à parfois du bon. Tout est ridicule dans cet épisode de [REC]. Le film est donc tellement pathétique que c'en est très drôle. C'est une suite de bévues et de stupidités effarantes.
Les personnages sont tous pitoyables. La journaliste Ángela Vidal est insignifiante et donne une vilaine image de la femme. Objet de fantasmes, elle ne fait jamais preuve de tempérament ni de discernement. Autour d'elle, des seconds rôles très limités. Il y aussi un informaticien obsédé, un méchant très méchant, des musclés protecteurs et une grand-mère complètement zinzin. Aucune dimension ou originalité dans ses personnages.
Le scénario aussi est d'une affligeante nullité. Intrigue inintéressante dès le départ, qui déambule ensuite vers des péripéties vaseuses. C'est très poussif.
La mise en forme est également très affligeante. C'est ringards dans l’accélération de l'action et dans les effets d'épouvantes. Aussi balourds que les zombies, les moments de frayeur sont foireux.
Avec un récit et une réalisation dignes d'un téléfilm, ce quatrième [REC] est une agréable surprise dans sa drôlerie. Ce n'est évidement pas la visée du film que de faire rire; qu'importe, moquons nous de cet épouvantable daube qui restreint quand même tristement la visibilité du cinéma espagnol à Almodovar et aux films d'horreur (aussi bonne période ce genre eut-il en Espagne).
Mais rappelons que de cette franchise était sorti l'un des remakes les plus inutiles de l'histoire, "En Quarantaine" version américaine juste copié/collé, avec la pauvre Jennifer Carpenter.
Allez on prends tous les clichés moisis de ce genre de films et on rassemble tout en un seul film. Une horrible bouse !!!! Au point que j'ai raconté à ma copine une blague sur la possible fin , et bah ils ont réellement fait exactement la fin racontée dans ma blague ... Et il n'y a personne que ça a choqué le fait que spoiler: la nana , alors qu'elle est poursuivie par une horde de zombies hurle de terreur de sauter ...DANS L EAU ?!!!
Après un médiocre 3ème volet, spin off inutile des deux premiers films, la saga revient donc à une véritable suite des deux premiers films, bouclant ainsi la "vraie" trilogie REC, centrée sur le personnage d'Angela. Le troisième film n'est cependant pas oublié et ce film en constitue également la suite, bien que plus centré sur la continuation de REC 2. Depuis le précédent volet, le procédé du found foutage est abandonné et la saga ne s'appelle plus REC que parce que c'est la suite des premiers volets.
L'histoire donne un peu plus de précision sur la propagation du virus, sur les liens entre l'Eglise, le démon et les médecins et les trous de l'intrigue sont bouchés. Cela dit le film n'est pas parfait pour autant, le film qui s'intitule Apocalypse et laisse présager à un World War Z hispanique n'est en fait qu'un énième huis clot horrifique. Mais ce qu'il perd en originalité, REC 4 le gagne en efficacité, en décidant, l'effet de surprise étant passé, de plus s'orienté actioner horrifique que film d'épouvante. Angel devenant carrément un ersatz de Sarah Connor et Ellen Ripley.
Cet ultime (?) volet est donc un film efficace, inférieur aux deux premiers volets mais bien meilleur que le troisième, qui réussit à conclure la saga de manière correcte, tout en laissant la possibilité d'un cinquième volet qui partirait lui sur des territoires bien différent. Mais au cas où ce film ne verrait pas le jour, il constitue une fin correcte.
J'ai pas aimé, voilà comment gacher la licence.. pourtant cetait pas compliqué.. refaire ce qui la fait connaitre, en "found footage" une invation dans la ville quand elle sorte de l'appartement avec la camera d'une journaliste ou bien plusieur film (smartphone, gopro, camera) 4 histoires parallelle de 25-30 min.
Caméra CHIANTISSIMEMENT chaotique , scénario absurde (mais alors totalement !!!!), incohérences omniprésentes. Le tout assaisonné de bruitage et de beuglements tout bonnement insupportables.
Récompense spéciale pour l'actrice principale la plus creuse de tout les temps ayant deux façon de s'exprimer: - Soit elle dit rien de rien et ce même quand on lui adresse la parole - Soit elle fait comme sur l'affiche en essayant de taper partout
Affligeant(e
Chapeau vivement la suite
0,5/5 pour ne pas avoir fait mourir le seul noir en premier.... c'était l'asiatique cette fois...
C'est dommage que le 4ème volet ne suit pas le style qui faisait la force de la saga [REC] (pour le 1er et le 2d film). Comme pour le 3ème volet, le film part dans quelque chose de complètement différent. Ici on a plus un film de type "zombie" avec quelques passages gores mais rien ne fait peur et il n'y a pas vraiment de surprises ! Il y a pas mal d'action mais le scénario est très basique.
Une suite de Rec 2 qui se passe dans un Cargo,Un lieu intéressant pour mettre en œuvre la peur car c'est un endroit sinistre, lugubre pour accueillir des possédés/zombie, dans cette suite nous retrouvons bien évidement Angela et de nouveaux protagonistes, pour ma part ce Rec 4 nous emmène plus dans la peur que dans le 2 et le 3 car les jeux d'ombres et de sons sont plus présent surtout pour les bruits et les hurlements qui mettent en valeur la peur, mais je dois avouer que je suis un peut déçus par le scénario de ce 4ème opus que je trouve trop simple et classique et la fin du film aussi où l'on pourrait croire que c'est un cycle sans fin.