AlloCiné
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Votre avis sur [REC] 4 ?
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Julien D
On nous a vendu le quatrième Rec comme un retour aux fondamentaux des deux premiers opus, violemment probants, après un troisième que même les fans ont trouvé déplorable. Donc, la question à poser est incontestablement « Quels sont ces fameux fondamentaux qui ont rendu populaire la saga horrifique espagnol ? ». La réponse est tout aussi évidente : Des films de zombies tournés en found-footage avec une tension qui prend aux tripes. Or, justement il ne reste rien de tout ça dans ce quatrième épisode. Déjà, si on avait reproché au précédent film d’abandonner le processus de found-footage après quelques minutes, il est cette fois complétement passé à la trappe. Il est certain que ce système de point de vue subjectif, qui à l’époque de Rec 1 surfait sur l’effet de mode lancé par Le projet Blair Witch, a depuis montrer ses limites en matière d’immersion et de fluidité mais il demeure, dans l’esprit des spectateurs, inhérent au charme des deux films que Jaume Balagueró a coréalisé avec Paco Plaza. Pour ce qui est du film de zombie, le problème est plus grave, puisque ce huis-clos sur un navire repose sur un scénario qui ne ressemble plus que de loin à un survival peuplé de mort-vivants (rassurez-vous, ils sont toujours là mais ne sont plus que des obstacles et non la menace principale), puisqu’il a pour base un schéma paranoïaque calqué sur The thing de John Carpenter. Evidemment, ça reste potentiellement terrifiant mais la tension ne se créé jamais, la mise en scène nerveuse cherchant davantage à mettre en avant l’action et la peur des personnages qu’à en engendrer chez le spectateur avec une quelconque ambiance suffocante ni aucun effort pour rendre les jump-scares efficaces. Résultat, hormis quelques effusions de sang qui lèveront le cœur des spectateurs les plus sensibles, Rec 4 ne suscite pas le moindre frisson ni sursaut, et donc n’est source que d’un ennui profond qui devrait convaincre les producteurs de chez Filmax qu’il est temps d’enterrer la franchise pour ne plus la faire revenir d’entre les morts.
Jorik V
Le premier « REC » avait fait date dans l’histoire du cinéma found-footage et du cinéma horrifique tout court. Le second confirmait en ajoutant une bonne dose d’action à l’horreur, un peu comme « Aliens » pour « Alien »… Mais la catastrophe du troisième opus qui voulait intégrer de l’humour à une saga qui n’en demandait pas avait réfréner nos attentes pour le dernier volet. Ouf, celui-ci remonte la barre en retrouvant ce qui faisait le succès des deux originaux avec un premier degré nécessaire mais un format de cinéma traditionnel. Malheureusement, deux choses l’empêchent d’égaler la réussite des deux premiers : il n’y a plus l’effet de surprise, ce qui est logique mais il est beaucoup moins angoissant et fait moins peur, ce qui est plus gênant. Hormis ces manquements, on en apprend un peu plus sur l’origine du virus, même si tout cela n’est pas très développé. « REC 4 » est cependant réalisé avec maîtrise, ne laisse aucune minute de répit et bénéficie d’effets très réussis que ce soit au niveau des maquillages ou des effets spéciaux. Avec le recul, il s’avère pourtant évident que la saga de zombies aurait du s’en tenir aux deux premiers films, voire même au premier. Une tendance systématique à la suite en cas de succès qui est finalement rarement gage de réussite et encore moins résultant d’une quelconque nécessité artistique mais plutôt commerciale.
La caméra à l'épaule est désormais totalement abandonnée. On retrouve ainsi un huit clos classique où zombies, cris et hémoglobine se relaient pendant 1h30. Aucun charme, aucune originalité. Un doublage catastrophique, et même une seconde moitié du film visionnée en VOST qui ne suffira pas à remonter la moyenne. Pour finir, les explications relatives au mystérieux virus sont bâclées. Tout faux.
Grand fan des 2 premiers volets, un peu moins du 3ème, j'ai été franchement déçu par ce dénouement.
spoiler:
On rentre directement dans l'action avec des attaques bien sauvages qui en deviennent presque comiques.
Il n'y a plus la progression et la montée en puissance des premiers opus si bien qu'on a l'impression de se retrouver devant une série B sans grand intérêt.
spoiler: Quant au plan final, heureusement que le ridicule ne tue pas!
Tout ceci est vraiment dommage car il y avait matière à faire beaucoup, beaucoup mieux.
Il n'y a plus la progression et la montée en puissance des premiers opus si bien qu'on a l'impression de se retrouver devant une série B sans grand intérêt.
spoiler: Quant au plan final, heureusement que le ridicule ne tue pas!
Tout ceci est vraiment dommage car il y avait matière à faire beaucoup, beaucoup mieux.
J'ai adoré le 1 et le 2, mais alors la.... on est tombé encore plus bas que le 3, et déjà ça c'étais dur...
Pour un film "Epouvante-horreur" il n'y a rien qui fait peur dedans. Des clichés qui s'empile à la pelle et des incohérence de scénario tellement énorme.... j'ai juste un truc a dire, que c'est il passé????
Pour un film "Epouvante-horreur" il n'y a rien qui fait peur dedans. Des clichés qui s'empile à la pelle et des incohérence de scénario tellement énorme.... j'ai juste un truc a dire, que c'est il passé????
J'avais hâte de le voir car on me l'a conseillé mais j'en suis très déçue...Un film plus d'apocalypse zombies que d'horreur!! Tout ce qu'il y a 'effrayant c'est le ver c'est tout c'est la seule chose qui m'a donné mal au ventre le reste est nul...
RedArrow
Un énième film d'infectés sans aucune originalité, voilà le triste constat que l'on dresse à la sortie de ce quatrième volet. Si le premier Rec a été un petit phénomène en son temps en utilisant de manière percutante le procédé du found-footage, ses deux suites n'avaient pas démérité pour autant car, que l'on y adhère ou pas, force est de constater que chacune avait apporté quelque chose de neuf à la saga : Rec 2 y avait injecté une dose de surnaturel plutôt bien vue en donnant une nature démoniaque au virus et le fameux Rec 3 tant décrié (à tort selon moi même si le film est imparfait) avait adopté un ton comico-romantico-horrifique pour évoquer des événements parallèles au premier film. Le problème de Rec 4 c'est qu'il n'a absolument rien de nouveau à raconter se contentant de reprendre l'idée de contamination en espace confiné (fini l'immeuble, cette fois c'est une virée en bateau) et en y mêlant les éléments mis en place par les précédents opus (le gros tout vilain ver) sans jamais rien en faire de pertinent. Heureusement le film mise avant tout sur l'action et ne déçoit pas trop de ce côté-là avec de "beaux" infectés bien mordants et quelques mises à mort saignantes, le tout dans une ambiance très "residentevilienne" avec son cargo et son mystérieux labo. Au milieu de tout ça se débat tout un tas de personnages transparents d'où seuls se détachent Manuela Velasco (encore que certaines de ses réactions laissent un peu perplexe), l'héroïne de la saga, et Héctor Colomé en médecin particulièrement retors.
On sort donc de Rec 4 non pas avec l'impression d'avoir vu un mauvais film mais avec celle d'en avoir vu un inutile. Et c'est peut-être pire.
On sort donc de Rec 4 non pas avec l'impression d'avoir vu un mauvais film mais avec celle d'en avoir vu un inutile. Et c'est peut-être pire.
Un film très attendu par les fans des deux REC, pout moi c'est une Tuerie ce film!!!! Dès les premières minutes on est plongés dans l'ambiance du premier Rec. Une réussite ce REC4, bien gore, bien rythmé. J'ai passée un bon moment de frisson. Un 5ème serait super si on reste dans cette ambiance bien gore et flippante!!!!!!!
Tres bon film. J'étais tres impatient del e voir et bien je ne le regrette pas du tous. Quelque scène bien gore et de temp en temp de l'humour franchement je vous le conseille si vous avez aimez les précédents.
La saga horrifique espagnole se conclue en beauté, en sueur, et en sang !
On est loin de la tentative d'humour du numéro 3, qui tombait trop souvent à l'eau.
On retourne aux sources du genre, avec un film nerveux, particulièrement efficace dans l'action, et visuellement prenant.
Angela Vidal, remporte haut la main le titre de la Scream Queen badass de l'année.
Un pur plaisir !
On est loin de la tentative d'humour du numéro 3, qui tombait trop souvent à l'eau.
On retourne aux sources du genre, avec un film nerveux, particulièrement efficace dans l'action, et visuellement prenant.
Angela Vidal, remporte haut la main le titre de la Scream Queen badass de l'année.
Un pur plaisir !
Dément !!! Je suis fan de ce film, c'est tout ce que j'attend d'un film d'horreur! De l'humour, des scènes d'action hallucinantes, du suspense et en plus j'ai eu peur !!! Vraiment un choc, j'ai même envie de le revoir!
Une tuerie !!!!! A la hauteur de l'excellent REC 1 le film est haletant, prenant, les scènes d'actions sont démentes, l'actrice est canon !! Il y a de l'humour et des zombies, à ne pas rater !!!
Mondocine
Après les déceptions [REC] 2 et 3, ce quatrième volet remonte un peu le niveau d’une saga qui s’était enlisée dans la médiocrité post-chef d’oeuvre initial. Mais malheureusement, "trop peu". [REC] 4 est quand même bien loin de venir tutoyer les sommets de son illustre modèle.
On attendait un final en apothéose, [REC] 4 nous propose un énième « petit » film de zombie sur un bateau emmené par une ribambelle de personnages pour une majorité insupportables, en plus d’être campé par des acteurs au jeu loin de l’actor’s studio. La créativité envolée, [REC] 4 est conventionnel, faible, prévisible et surtout mécanique. Un film lambda, regardable et divertissant dans son ensemble, mais tellement loin de ce que l’on en attendait. Reste que la saga remonte d’un cran. Un petit cran, mais un cran quand même. On saura s’en satisfaire. Ou pas.
La critique complète sur mondocine.net
On attendait un final en apothéose, [REC] 4 nous propose un énième « petit » film de zombie sur un bateau emmené par une ribambelle de personnages pour une majorité insupportables, en plus d’être campé par des acteurs au jeu loin de l’actor’s studio. La créativité envolée, [REC] 4 est conventionnel, faible, prévisible et surtout mécanique. Un film lambda, regardable et divertissant dans son ensemble, mais tellement loin de ce que l’on en attendait. Reste que la saga remonte d’un cran. Un petit cran, mais un cran quand même. On saura s’en satisfaire. Ou pas.
La critique complète sur mondocine.net
bravo pour cette magnifique suite
dans l'esprit du premier film:peut, angoisse, surprise, suspence!!!
c'est rare que l'on puisse voir une vrai fin pour une série
foncez y!!
dans l'esprit du premier film:peut, angoisse, surprise, suspence!!!
c'est rare que l'on puisse voir une vrai fin pour une série
foncez y!!
Premières impressions qui se résument en deux mots : Oui ! Mais...
OUI car c'est tout d'abord un très bon survival, pris en tant que tel, qui peut même se voir de façon indépendante sans connaître les 3 (2 qui valent le coup) opus précédents. Certes, les codes du genre sont respectés sans grande originalité, mais ça reste de très bon niveau.
OUI car on sent le retour du couple Balaguero/Plaza à la réalisation et par là même leur patte, le tout restant dans l'esprit de ce qui a contribué au succès des deux premiers épisodes (le confinement notamment, les références, etc...)
OUI (et aussi MAIS) pour l'abandon du style "found footage" qui permet de mieux suivre l'action et aurait dû donner plus d'épaisseur à l'histoire, tout du moins permettre d'avoir plus d'explications...
MAIS justement l'abandon du style "caméra au poing" rend l'histoire moins immersive, empêche l'installation d'un sentiment de claustrophobie propre à la franchise ; et surtout le point de vue extérieur qui rend habituellement le spectateur omniscient et lui permet de recueillir de réelles explications sur le pourquoi du comment de l'histoire n'a hélas pas été assez exploité.
Il aurait également été opportun, en guise de piqûre de rappel, de placer une séquence en vue subjective (le meilleur moment étant selon moi la scène où ATTENTION SPOILER Angela se retrouve enfermée dans le noir dans la cale -> après le fondu au noir elle aurait pu trouver une caméra et utiliser la vision nocturne pour se guider dans les cales juste pendant 5 minutes)
MAIS alors que le 1er était une grosse claque filmique, alors que le second réussissait, pour expliquer l'origine du mal, le tour de force de faire une synthèse parfaite entre deux genres du film d'horreur (virus et possession démoniaque) ce qui laissait entrevoir des perspectives intéressantes ; l'aspect "religieux" est ici quasiment occulté pour retomber dans le "simple" sous-genre de "film de contamination" ce qui ne fait que semer la confusion et risque de décevoir un peu - à mon humble avis - les fans de la franchise. On s' est un peu éloigné de "l'esprit REC"...
Enfin, malgré ces quelques côtés négatifs ça reste un bon moment à passer, vous pouvez y aller sans crainte !
OUI car c'est tout d'abord un très bon survival, pris en tant que tel, qui peut même se voir de façon indépendante sans connaître les 3 (2 qui valent le coup) opus précédents. Certes, les codes du genre sont respectés sans grande originalité, mais ça reste de très bon niveau.
OUI car on sent le retour du couple Balaguero/Plaza à la réalisation et par là même leur patte, le tout restant dans l'esprit de ce qui a contribué au succès des deux premiers épisodes (le confinement notamment, les références, etc...)
OUI (et aussi MAIS) pour l'abandon du style "found footage" qui permet de mieux suivre l'action et aurait dû donner plus d'épaisseur à l'histoire, tout du moins permettre d'avoir plus d'explications...
MAIS justement l'abandon du style "caméra au poing" rend l'histoire moins immersive, empêche l'installation d'un sentiment de claustrophobie propre à la franchise ; et surtout le point de vue extérieur qui rend habituellement le spectateur omniscient et lui permet de recueillir de réelles explications sur le pourquoi du comment de l'histoire n'a hélas pas été assez exploité.
Il aurait également été opportun, en guise de piqûre de rappel, de placer une séquence en vue subjective (le meilleur moment étant selon moi la scène où ATTENTION SPOILER Angela se retrouve enfermée dans le noir dans la cale -> après le fondu au noir elle aurait pu trouver une caméra et utiliser la vision nocturne pour se guider dans les cales juste pendant 5 minutes)
MAIS alors que le 1er était une grosse claque filmique, alors que le second réussissait, pour expliquer l'origine du mal, le tour de force de faire une synthèse parfaite entre deux genres du film d'horreur (virus et possession démoniaque) ce qui laissait entrevoir des perspectives intéressantes ; l'aspect "religieux" est ici quasiment occulté pour retomber dans le "simple" sous-genre de "film de contamination" ce qui ne fait que semer la confusion et risque de décevoir un peu - à mon humble avis - les fans de la franchise. On s' est un peu éloigné de "l'esprit REC"...
Enfin, malgré ces quelques côtés négatifs ça reste un bon moment à passer, vous pouvez y aller sans crainte !
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