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    Un été à Osage County
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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 avril 2014
    Oh, si l'on s'abstient de se rapporter au scénario des plus banals, par contre, l'interprétation magistrale de la Super Star Meryl Streep, mais en exergue les autres stars du film qui eux aussi jouent admirablement bien leurs rôles respectifs, tellement elle joue bien son rôle d'une mère de famille acariâtre de par sa vie passée et amère de son avenir maudit d'un cancer, elle se drogue à mort aux médocs qui ceux-ci la rendent complètement accrocs et de très nombreux moments de folie la font complètement tomber dans des moments terribles pour son entourage, mais certains moments sont empreints quand même d'une vérité tellement refoulée qu'elle fait imploser sa famille. Tout ce que j'écris ici n'est que du blabla, il faut voir ce film, pour son interprétation, et non ressortir tous les déjà vu dans d'autres films. Rien que pour tout cela la grande classe du cinéma d'interprétation est omniprésente dans ce film, que je note de 5 belles étoiles sur 5. Rien que pour l'interprétation de ce film.
    philhag
    philhag

    28 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 mars 2014
    Que Merryt Streep et Julia Roberts sont de merveilleuses actrices, on le les autres actrices de ce film sont excellentes : c'est juste. Que les acteurs sont bons : OK. Que l'image et le son sont bons (surtout le choix musical), d'accord. Mais tout cela ne suffit pas à faire un film. Le scénario est sans intérêt ou plutôt il reste à l'état de brouillon d'une idée peut-être intéressante. Mais voir 1h30 d'acteurs criant dans des rapports faux et violents a peu de contenu. Aucun des personnages ne développe une once de sympathie si ce n'est l'aide ménagère. Ce film ne tient pas un regard soutenu sur un écran hors cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 mars 2014
    Les Weston ont tout testé...de l'adultère au cancer, en passant par l'addiction, le divorce et plus si affinités.

    Mais, il faut bien le dire, j'ai quand même passé un bon moment. J'ai été scotchée par l'interprétation de Meryl Streep qui est remarquable, elle s'est littéralement transformée en une espèce de monstrueuse bonne femme lunatique aveuglée par son orgueil, terrassée par son cancer et son addiction. Selon moi, elle aurait du recevoir l'Oscar de la meilleure actrice.
    Julia Robert a gagné mon admiration grâce à ce rôle bien loin de ceux de bimbos rigolotes dans lesquels je la voyais tout le temps. Elle a vieillit, elle le porte bien et ce rôle la sublime.
    Entre elles deux, entre la mère et la fille, c'est un combat magnifique qui se joue.

    A côté de ces deux "titans", tous sortent leur épingle du jeu. J'ai été touchée par la délicatesse de Julianne Nicholson, j'ai été bluffée par Benedict Cumberbatch....
    Julien D
    Julien D

    1 194 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mars 2014
    Suivant à la lettre le schéma classique de l'histoire de famille qui, au cours d'une réunion, s’entre déchire en ressortant tous les vieux squelettes du placard (un sous-genre dans lequel Le repas des fauves et Festen restent les références incontournables), le scénario de Terry Letts avait abouti à une pièce de théâtre encensée par le public et, aujourd'hui à un long-métrage qui, justement, souffre de son écriture bien trop théâtrale. Que le réalisateur John Wells, qui jusque là avait essentiellement travaillé sur des séries, ne parvienne pas à tirer partie du décor bucolique et des vastes espaces dans lesquels se déroule ce mélodrame ajoute à ce manque de souffle et au poids que devrait pouvoir y ajouter la température estivale. Mais on oublie vite à quel point le la mise en scène est limitée à quelques champs-contre champs et à des paysages ensoleillés tant on est ébahi par cette myriade d'acteurs issus de générations différentes mais tous aussi talentueux (Chris Cooper, Benedict Cumberbatch ou Abigail Breslin pour ne citer qu'eux) qui s'échangent des dialogues cruels et des répliques cinglantes qui transforment ce repas de famille en véritable guerre psychologique. De ce casting ahurissant, c'est évidemment le face-à-face tant attendu entre Meryl Streep et Julia Roberts qui devient un grand moment de cinéma tant la première relève, une nouvelle fois, merveilleusement son nouveau défi d'incarner une mégère toxicomane et que l'on n'a plus revu la seconde s'impliquer avec autant d'intensité dans un rôle depuis une dizaine d'années. Le fait que chaque personnage devienne la source d'une sous-intrigue d'un intérêt variable entraîne que tous ne puissent pas sembler aussi utile à l'ampleur dramatique globale du film, en particulier ce pauvre Ewan McGregor qui, hormis lors des quelques allusions faites à une vieille affaire de tromperie, semble parfois littéralement invisible à l'écran. Pour peu que l'on parvienne à s'identifier à l'un ou l'autre des membres de la famille Weston, les voir ainsi laver leur linge sale peut aisément devenir un spectacle captivant tant les échanges qui s'y échangent sont percutants et certaines révélations sont franchement poignantes.
    tixou0
    tixou0

    692 abonnés 1 994 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mars 2014
    "August" : Osage County" (soit "Un moment en août dans le comté d'Osage" devenu pour la distribution en France un été tout entier, contre la dramaturgie...) est une pièce à succès adaptée par son auteur (Tracy Letts) pour l'écran. John Wells, vétéran des séries télé, signe là son 2ème long métrage (après "The Company Men", en 2010). A nouveau un beau casting, surtout féminin - quand "The Company Men" était un film au masculin - les hommes d'Osage County étant, soit vite disparu (Tom Shepard, alias Beverly Weston), soit condamnés aux arrière-plans (les Britanniques Ewan McGregor, alias Bill Fordman, et Benedict Cumberbatch, alias Charles Aiken Jr - gommant de leur mieux leur accent, écossais pour l'un, anglais pour l'autre), soit en position peu reluisante (Dermot Mulroney, alias Steve, le fiancé de Karen). Seul Chris Cooper, déjà distribué dans "The Company Men", s'en tire un peu mieux en Charles Aiken Sr. Le drame se joue entre Violet Weston (Meryl Streep), ses 3 filles (Barbara/Julia Roberts, Ivy/Julianne Nicholson et - dans une moindre mesure - Karen/Juliette Lewis), sa petite-fille Jean (Abigail Breslin) et sa soeur Mattie Fae Aiken (Margo Martindale). Sous l'oeil de la domestique cheyenne Johnna. Cette histoire de famille (avec secret ad hoc) est incroyablement chargée : c'est "Règlement de comptes (au féminin) en Oklahoma", dans la touffeur estivale des Plaines ! Il y a, théâtralité oblige, de nombreuses surcharges. Et pas seulement dans l'accumulation de rancoeurs, de douleurs, de révélations sordides, ou, au minimum, de mesquineries diverses, s'enchaînant sans répit. Mais aussi dans le jeu des interprètes principales, Meryl Streep, qui en fait des tonnes dans le rôle d'une mère raidie dans la douleur physique (soignée à coup d'analgésiques très costauds et très addictifs) et l'aigreur tous azimuts, en finit par mal jouer..... et Julia Roberts est fort peu convaincante en Barbara. C'est Margo Martindale qui s'en sort finalement le mieux, côté actrices. Et Sam Shepard, côté acteurs - mais pour un rôle très court.
    Quelques scènes qui font mouche (rares, et loin des "morceaux de bravoure" comme le cauchemardesque repas d'après funérailles), une réalisation sans imagination..... Finalement, à nouveau 2 étoiles seulement (comme pour "The Company Men" !).
    titicaca120
    titicaca120

    382 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mars 2014
    un casting de rêve pour une réunion de famille phénoménale où tous les coups sont permis,
    les secrets révélés , les coups bas, le grand déballage , des scènes jubilatoires
    et interprétées de façon magistrale.
    on en prend plein la figure.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    282 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 avril 2014
    Deuxième film de John Wells après l’excellentissime The Company Men, qui racontait l’histoire de trois hommes au chômage après avoir été virés par la même entreprise, Un Eté à Osage County est l’adaptation cinématographique d’une pièce de Tracy Letts créée en 2007 à Broadway. Elle remporta le Prix Pullitzer en 2008. Tracy Letts adapta lui-même sa pièce en écrivant le scénario du film. Ce n’est pas forcément la meilleure idée possible…

    Le film raconte l’histoire de la famille Weston, qui se retrouve dans la tempête quand le patriarche de la famille, le très distant Beverly Weston, disparaît un matin en laissant sa femme à la langue bien pendue, Violet Weston, atteinte d’un cancer de la bouche et constamment sous médicaments et donc dépourvue d’inhibitions. Tous les Weston se retrouvent sous le toit de Beverly & Violet, une maison en plein Oklahoma où les secrets familiaux vont tous être découverts durant un mois d’Août particulièrement chaud.

    Le premier plan du film annonce la couleur : le film va être hystérique. En effet, on voit Meryl Streep, sans cheveux, en train de délirer et de déambuler dans sa sombre maison. Tout de suite, on apprend donc qu’elle est cancéreuse et qu’il ne lui reste probablement plus beaucoup de temps à vivre. La scène suivante nous présente son mari, joué par Sam Shepard, un professeur poète et écrivain un peu fuyant. Le reste des personnages est à l’avenant. On a l’apparente vieille fille jouée par Julianne Nicholson, le couple séparé qui tente de se faire passer pour toujours fonctionnel avec leur fille rebelle, joué par Julia Roberts, un pauvre Ewan McGregor sous-utilisé et Abigail Breslin. Il y a aussi la sœur sans gêne jouée par une fabuleuse Margo Martindale (elle aurait dû être nominée, elle) et son mari effacé qui va évidemment lui tenir tête dans le climax (le toujours impeccable Chris Cooper), leur fils timide et maladroit, que sa mère ne cesse de fustiger mais qu’elle aime quand même et bien évidemment la bimbo débile et son copain flambeur, volage et vieux beau joués par Juliette Lewis et Dermot Mulroney qui méritent franchement mieux que ça.

    Si les premières scènes avec Margo Martindale sont plutôt réussies, le film coule minute après minute dans l’hystérie totale, partiellement à cause des deux actrices nominées aux Oscars. Julia Roberts en fait trop en femme au bord de la crise de nerfs bloquée entre un couple qui ne marche plus et une mère envahissante et Meryl Streep livre une performance type Oscars 2000’s. En gros, elle joue la malade mentale avec tant d’hystérie qu’on se croirait en 2003 quand Sean Penn osait le coup de l’attardé avec Sam, I Am Sam. En d’autres termes, elle est catastrophique. Disons qu’elle force autant son Oscar que les frères Hughes forcent leur point de vue nihiliste dans Menace 2 Society. C’est dire la finesse. En parlant de finesse justement, le matériau original n’est peut-être pas génial non plus.

    La perte d’un patriarche est déjà un élément fort dans la vie d’une famille. Le fait de se retrouver tous ensemble autour d’une table pour en parler aurait totalement suffi pour faire un film, au vu des talents en présence (quoique la désormais célèbre scène du repas, sans doute ce qu’on verra de pire cette année au cinéma).Tracy Letts a voulu aller plus loin en y incorporant plein de rebondissements censés faire pleurer dans les chaumières. En effet, en y mélangeant de l’inceste, de la pédophilie, des enfants illégitimes et autres joyeusetés, Un Eté à Osage County en devient une adaptation non officielle des Feux de l’Amour ou d’un autre Soap Opera dans ce type-là. Le pire dans tout cela, c’est que le film dure deux longues heures.

    Cette année, il y avait donc 2 chances sur 5 pour que l’Oscar de la Meilleure Actrice soit décerné à une habituée qui ne le mérite absolument pas (la deuxième étant la fade Amy Adams dans l’abominable American Bluff). Par chance, la statuette est repartie dans les mains de Cate Blanchett (pour Blue Jasmine).
    Velma21
    Velma21

    27 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 avril 2014
    Quoi de mieux qu’un bon crêpage de chignon en famille ? Voilà en peu de mots comment résumer le pitch d’Un Eté à Osage County. Adapté d’une pièce de Tracy Letts, le film suit les « charmantes » retrouvailles d’un clan suite à la disparition du patriarche. Sur le papier, ces confrontations familiales qui tournent au pugilat constituent toujours un bon sujet de cinéma. Comment, par exemple, oublier Festen, de Thomas Vinterberg, un monstre du genre, ou le plus joyeux Skylab, de Julie Delpy ?

    Malheureusement pour John Wells, les comparaisons flatteuses s’arrêtent là. Car cet Eté à Osage County préfère le verbe à la chair et à l’esprit. La chair car jamais, ou presque, ce verbiage incessant ne permet la moindre empathie avec les personnages. Un peu navrant pour une oeuvre qui tente de percer à jour le secret des relations humaines. Et l’esprit car l’humour, même amer, n’est franchement pas de la partie. Bien sûr quelques répliques prêtent à sourire, mais le coeur n’y est pas vraiment.

    Résultat, le spectateur assiste, impuissant, à un déballage des pires situations que l’on peut imaginer vivre en famille : divorce, adultère, alcoolisme, hystérie et secrets… tout y passe. Et ce n’est pas les vaines tentatives pour introduire quelques rebondissements, bien trop prévisibles, qui changent la donne.

    Heureusement, le casting impeccable permet de relever un peu le niveau. De Sam Shepard à Ewan McGregor, en passant par Benedict Cumberbatch et Juliette Lewis, ils incarnent tous avec justesse une jolie note dans cette partition imparfaite. Meryl Streep est impressionnante, même si elle abuse un peu par moments de la méthode Actor Studio. Julia Roberts, plus nuancée, lui vole largement la vedette. Quel plaisir de la retrouver, toujours aussi radieuse, après ces quelques années de pause bébé. Rien que pour elle, Un Eté à Osage County vaut presque le détour.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 avril 2015
    Osage County est un grand règlement de compte familial particulièrement bien écrit. Le casting de choix rend le tout oscarisable pour le prix de la meilleure actrice pour Meryl Streep et le prix de la meilleure actrice pour un second rôle pour Julia Roberts.
    Patricemarie
    Patricemarie

    41 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 avril 2014
    Il ne se passe pas grand chose durant deux heures, on parle chiffon, on se suicide, et on révèle un secret de famille qui n'en était pas un.
    fivejune
    fivejune

    22 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2014
    Un film sur des secrets de familles autant choquant les uns que les autres avec une Meryl Streep qui joue à merveille le rôle de la mère déjantée, malade et droguée ainsi qu'une Julia Roberts qui depuis Le sourire de Mona Lisa ne m'avait pas autant épatée.
    Septième Sens
    Septième Sens

    83 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 mars 2014
    La vie est trop longue. Deux êtres amoureux finissent, au fil des années, par se détester. Idem pour un clan qui, à force de rancœurs et de secrets inavoués, se détruit de l'intérieur. Les relations devraient être plus brèves pour garder leur intensité intacte. Un été à Osage County est l'histoire d'une famille comme il en existe des millions. Mais ce que que le réalisateur John Wells a oublié de mentionner, c'est que les films aussi durent parfois trop longtemps.

    Dans la famille « Cliché », je voudrais d'abord la fille aînée (Roberts). Celle considérée comme la rebelle de la fratrie et qui n'a pas peur de s'opposer à sa pauvre mère malade. Ensuite, je demande la tante (Martindale), vous savez, la grosse bonne femme qui veut toujours embrasser tout le monde. Puis j'aimerais avoir la benjamine (Juliette Lewis), une petite cruche qui n'a pas le cerveau plus grand qu'une moule et qui ramène à chaque réunion de famille un nouveau salaud. Enfin je voudrais la petite fille (Breslin), entrée en pleine crise d'adolescence et refusant de parler à quiconque parce que le monde est trop naze. Cette famille vous dit quelque chose ? Peut-être parce que nous avons pratiquement vu le même schéma dans Rock the Casbah, film franco-marocain tout aussi raté.

    Malgré des acteurs qui se démènent comme ils peuvent dans ce festival grand-guignolesque, la surabondance de personnages ne nous permet à aucun moment de les apprécier et de compatir à leurs soucis. Bien au contraire, ils nous énervent tous car ils sont trop rapidement évoqués, et nous avons l'impression de zapper sur leurs problèmes comme si nous étions devant notre poste de télévision. C'est d'ailleurs le principal soucis du film, qui semble se servir des tourments familiaux faciles et sans profondeur pour divertir un public en manque de sensation. Repas se transformant en règlement de comptes, inceste, bagarre, viol, Un été à Osage County vous réserve bien des surprises pour que vous passiez deux heures des plus distrayantes !
    selenie
    selenie

    6 184 abonnés 6 168 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 février 2014
    Adapté d'une pièce de théâtre multiprimée notamment aux Tony Awards en 2008 d'après Tracy Letts, également scénariste du film, on se trouve plongé dans l'intimité d'une réunion familiale suite à un décès. Mis en scène par un des réalisateurs atitré de la série "Urgences" qui en a profité pour devenir ami avec Geroge Clooney qui officie donc comme producteur. Il s'agit avant tout du parfait prototype du film à Oscars en témoignent déjà plusieurs nominations pour les acteurs en premier lieu desquels Meryl Streep et Julia Roberts. Car le casting reste le premier atout promotionnel du film avec en plus la jeune Abigail Breslin, Juliette Leis, Ean McGregor, Chris Cooper, Dermot Mulroney et même la star montante Benedict Cumberbatch... Rien d'extraordinaire en soi, il s'agit d'une chronique familiale avec son lot de crises et de secrets. Mais le film offre surtout son lot d'agacements et devient de plus en plus long et lourd à supporter. La plupart des personnages sont antipathiques, on oscille entre secrets dévoilés mais attendus, hystérie et moments plus calmes mais toujours teintés de haine et/ou d'hypocrisie. On ne dira pas famille dégénérée mais on est pas loin. Dommage car les acteurs sont eux impeccables, leur performance est clairement le seul point fort du film. Cette hystérie collective arase surtout une tension presque trop "belle" pour être vraie. Un mélo à Oscars mais qui manque un minimum d'attachement aux personnages dont finalement seul deux pièces rapportées (comme on dit) semblent être "normaux". Douloureux...
    defleppard
    defleppard

    374 abonnés 3 362 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 avril 2014
    J'ai arrêté rapidement, décrépi, comme la façade de cette maison, type Louisianne. 1 étoile.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 mars 2014
    Un décès, une réunion de famille difficile avec la maladie d'un des membres plus les problèmes de chacun, on ne peut pas dire que le sujet soit très original. Bon le casting est excellent mais ils ont vraiment trop forcé sur les problèmes et la personnalité des personnages ça devient une réunion de psychopathes assez pénible..
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