Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Perceval et Klotz ont trouvé les solutions cinématographiques pour (trans)figurer une jeunesse magnifique (...). Vision trop romantique, objecteront certains, souvent les mêmes qui se gaussent des films de Garrel, mais tant pis pour eux s'ils ne voient pas que ce geste de cinéma produit une puissance et une beauté qui tranchent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Le beau lyrisme de la mise en scène sert une vision très spécieuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Oscillant entre saillies documentaires et conte fantastique, ce beau film de résistance se présente comme un labyrinthe où l'on croise aussi des zombies vaudous, des envolées de musique électro-punk, des impasses...
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par David Nathanson
Film engagé et chronique d'un amour sur fond de chasse aux sans-papiers, "Low Life" séduit (parfois) et irrite (souvent). Restent malgré tout quelques images fortes, qui rappellent le meilleur de ce qu'a pu faire Nicolas Klotz.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un somptueux poème politique et tourmenté.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Pierre Eugène
La naïveté désarmante de "Low life" offre au spectateur une sidération anxieuse, inquiétante étrangeté qui porte moins sur le contenu du film que l'incongruité de son existence même.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Aureliano Tonet
Servi par une bande-son admirable (...) le film souffre hélas de ses lourdeurs. Malgré des fulgurances éparses, le lyrisme appuyé du filmage, la théâtralité de l'interprétation et le symbolisme pesant du scénario achèvent de nous mettre à distance de cette parabole fiévreuse et ombrageuse (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Julien Gester
"Low Life", bardé de registres hybrides, s'enlise trop souvent dans l'emphase pompeuse de son texte, entre schématisme rhétorique et raideur de scénographies théâtralisées.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Bernard Achour
L'impressionnante maîtrise technique du réalisateur véhicule aujourd'hui une telle emphase, une complaisance si cafardeuse et un "romantisme" tellement éloignés de nos préoccupations actuelles qu'ils finissent par produire (...) un anachronisme aussi ridicule qu'embarrassant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
C'est une allégorie politique, au romantisme malade, qui fait penser aux "Amants réguliers", de Philippe Garrel. Pourquoi tout passe chez Garrel et pas ici ? La faute à cette théâtralité sentencieuse (...). Les acteurs, l'image, les décors, tout est somptueux, mais monocorde, pesant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
On est souvent consterné par ce spectacle de théâtreux chevelus et de khâgneux en vacances scolaires déclamant des blocs de poésie faussement brute, en vérité hyperaffectée.
Positif
par Elise Domenach
Tant de symboliques et d'envolées lyriques sentencieuses ne peuvent que conduire au dérapage.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Les Inrockuptibles
Perceval et Klotz ont trouvé les solutions cinématographiques pour (trans)figurer une jeunesse magnifique (...). Vision trop romantique, objecteront certains, souvent les mêmes qui se gaussent des films de Garrel, mais tant pis pour eux s'ils ne voient pas que ce geste de cinéma produit une puissance et une beauté qui tranchent.
Le Figaroscope
Le beau lyrisme de la mise en scène sert une vision très spécieuse.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Le Journal du Dimanche
Oscillant entre saillies documentaires et conte fantastique, ce beau film de résistance se présente comme un labyrinthe où l'on croise aussi des zombies vaudous, des envolées de musique électro-punk, des impasses...
Les Fiches du Cinéma
Film engagé et chronique d'un amour sur fond de chasse aux sans-papiers, "Low Life" séduit (parfois) et irrite (souvent). Restent malgré tout quelques images fortes, qui rappellent le meilleur de ce qu'a pu faire Nicolas Klotz.
TéléCinéObs
Un somptueux poème politique et tourmenté.
Critikat.com
La naïveté désarmante de "Low life" offre au spectateur une sidération anxieuse, inquiétante étrangeté qui porte moins sur le contenu du film que l'incongruité de son existence même.
Le Monde
Servi par une bande-son admirable (...) le film souffre hélas de ses lourdeurs. Malgré des fulgurances éparses, le lyrisme appuyé du filmage, la théâtralité de l'interprétation et le symbolisme pesant du scénario achèvent de nous mettre à distance de cette parabole fiévreuse et ombrageuse (...).
Libération
"Low Life", bardé de registres hybrides, s'enlise trop souvent dans l'emphase pompeuse de son texte, entre schématisme rhétorique et raideur de scénographies théâtralisées.
Première
L'impressionnante maîtrise technique du réalisateur véhicule aujourd'hui une telle emphase, une complaisance si cafardeuse et un "romantisme" tellement éloignés de nos préoccupations actuelles qu'ils finissent par produire (...) un anachronisme aussi ridicule qu'embarrassant.
Télérama
C'est une allégorie politique, au romantisme malade, qui fait penser aux "Amants réguliers", de Philippe Garrel. Pourquoi tout passe chez Garrel et pas ici ? La faute à cette théâtralité sentencieuse (...). Les acteurs, l'image, les décors, tout est somptueux, mais monocorde, pesant.
Cahiers du Cinéma
On est souvent consterné par ce spectacle de théâtreux chevelus et de khâgneux en vacances scolaires déclamant des blocs de poésie faussement brute, en vérité hyperaffectée.
Positif
Tant de symboliques et d'envolées lyriques sentencieuses ne peuvent que conduire au dérapage.