Mon compte
    Laurence Anyways
    Note moyenne
    4,2
    4138 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Laurence Anyways ?

    321 critiques spectateurs

    5
    79 critiques
    4
    128 critiques
    3
    57 critiques
    2
    26 critiques
    1
    11 critiques
    0
    20 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    kibruk
    kibruk

    145 abonnés 2 547 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 décembre 2014
    "Laurence anyways" est un film courageux et audacieux, c'est à la fois une réussite et un échec. C'est un film beaucoup trop long, très imparfait et bancal, qui alterne séquences brillantes et scènes maniérées quasi ridicules. Il donne une vision totalement erronée de la transsexualité. En dehors de la scène où le héros révèle sa nature à sa compagne, sa souffrance morale et son cheminement psychologique ne sont que très peu abordés par la suite. Pire encore, qu'il n'y ait aucun changements physiques de Laurence porte atteinte à la crédibilité et prête même à confondre transsexualité et travestisme. Mais là où le film est une véritable réussite, c'est dans la maîtrise de la narration de la passion amoureuse vécue par les deux personnages principaux, ce qui est en fait le véritable cœur du film. Et l'on comprend ce que voulait faire le réalisateur : un film sur le droit à la différence et la tolérance, mais surtout raconter l'histoire d'un amour impossible.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 décembre 2014
    Beaucoup trop long, le film témoigne de la vie amoureuse du couple S.Clément dons M.Poupaud et leur soucis de relations social, famille couple, amis, etc.

    Mélodrame, super bo, et bref il as le mérite d'allez le voir pour comprendre et d'évolué dans nos notions humanistes.
    Noémie Laurent
    Noémie Laurent

    49 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 décembre 2014
    Waaaaw ! Des emotions fortes, un theme nouveau et jamais vu, loin des cliché sur ce sujet.. Les deux personnages sont complexes et on prend beaucoup de plaisir a suivre cette histoire hors du commun..
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 novembre 2014
    Absolument sublime, Dolan est vraiment extraordinaire ! Porté par des acteurs parfaits, ce film nous transporte de bout en bout. Rien à redire, ce film est vraiment parfait.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 novembre 2014
    Ce film est magnifique. Tant par son esthétique kitsch qui colle parfaitement à son ambiance rétro, que par sa bande-son magistrale et par le jeu des acteurs (mention spéciale à Suzanne Clément qui est vraiment excellente). Selon moi, Laurence Anyways c'est LE chef d'oeuvre de Xavier Dolan. Un chef-d'oeuvre où en 2h40 on suit une progression montante de la sensibilité du film, où la longueur parvient à nous amener au bouleversement le plus total et où la valse des sentiments parvient avec beaucoup de justesse à nous troubler. Et ça, c'est fort.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 novembre 2014
    Considéré comme le meilleur film de Dolan avant la sortie de "Mommy", que vaut véritablement ce "Laurence Anyways" ? D'abord, "Laurence Anyways" est un film de Dolan et ça se voit. Le film possède une surabondance d'effets de style, de positions de caméra douteux, certains sont justifiés et ajoutent un vrai plus, d'autres ne sont là que pour faire joli. De plus, le film dure 2h40 et possède quand même quelques longueurs. Seulement, ce sont les seuls défauts de ce film touchant. En effet, le scénario est brillant et possède quelques scènes d'une intensité émotionnelle forte. En plus, ces scènes sont sublimés par des dialogues extrêmement puissants. L'interprétation de Melvil Poupaud et Suzanne Clément est très bonne. Bref, un film beau et intelligent mais qui manque de maturité.
    E.nigma
    E.nigma

    13 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 novembre 2014
    Laurence Anyways est superbement sinistre, caustique et très esthétique. Jamais je n'ai vu un film à la mise en scène aussi gracieuse et poignante. Xavier Dolan ne tombe jamais dans la caricature avec ce sujet de la transsexualité pourtant si tendancieux. Alors que la première parti du film s'organise autour de l'émergence, de la transformation et de l'assimilation de cette nouvelle apparence de l'excellent Melvil Poupaud en femme, la seconde partie nous bouleverse encore plus puisque elle nous transporte au gré des identités de chacun des protagonistes dans cette délirante histoire d'amour d'un transsexuel pour la gente féminine. La relation lesbienne qui se crée n'impacte jamais n'autre jugement puisque elle n'est jamais explicité ni sous entendu à aucun moment. C'est là qu'on retrouve le génie de Xavier Dolan, prendre l'homme et le traiter comme un homme, sans jamais le juger ni l'influencer, seulement lui montrer que la différence n'existe pas quand elle s'illustre et s’oriente autour du bonheur et du ressenti de notre corps. L’accompagnement sonore est bien entendu unique puisque en plus de nous faire vivre la scène en puissance il nous transporte dans cet univers "élitiste" auquel n'importe qui d'entre nous révons d'appartenir. Comme toujours, le jeune réalisateur s'amuse à jouer avec les œuvres d'art afin de servir toujours au mieux son oeuvre à lui.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    187 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 novembre 2014
    Dans Laurence Anyways, Xavier Dolan donne la plupart des codes du film qui le fera primer à Cannes, aussi bien pour l'histoire que pour la réalisation. La tumultueuse histoire d'amour que vit ce couple est originale par son propos. Le point de vue est traditionnel. La réalisation reste fidèle à Dolan ce qui la démarque et tant mieux car on l'apprécie. Seul un manque de rythme perceptible aurait pu être évité. Malheureusement, Melvil Poupaud n'est pas le bon comédien pour ce rôle. Même s'il se prête au jeu du début à la fin, il n'est pas assez convainquant. Par contre, Suzanne Clément est tout simplement incroyable et époustouflante. Elle vole la vedette à tout le casting et elle nous fait incroyablement ressentir ses émotions. La bande son est entrainante, comme toujours chez Dolan. Un bon film qui annonçait l'arrivée d'un chef d’œuvre. A noter, au début du film, le petit clin d’œil au Amours Imaginaires et plus tard dans le film, Fred croise un personnage ressemblant très étrangement à la mère dans Mommy.
    ZZelig
    ZZelig

    13 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 novembre 2014
    Xavier Dolan est célébré car il traite de sujets si à la mode dans la postmodernité comme ici le côté transexuel, ce qu'on appelle un déni de réel ou un déni de sexe. Une maladie mentale qui deviendra tout à fait naturelle par culpabilisation, ce qui ne retire pas ce déni de réel pour faire croire que tout est culturel. Or, le "ressenti" ne repose pas sur rien car on ne choisit pas son sexe, il est donné. Alors sous le prétexte de la "différence", l'individu devient Dieu, et veut changer le donné pour être en phase avec son "ressenti" qui ne dit jamais rien de l'automanipulation,ou des mensonges que l'on a opérés sur soi (le fantasme). Ca intéresse tout d'abord une déstructuration anthropologique propre à un marché (médical, scientifique, prothèse). Mais de faire croire que tout cela est "normal" est la ruse victimaire. Et Xavier Dolan qui devrait régler ses problèmes avec sa mère, enfourche sur la mode Nouvelle Vague un long récit bavard et pathos des atermoiements de son personnage principal. Diable que c'est bavard et long où on hurle et où on pleure pour impressionner le spectateur dans la séquence "émotion" bouleversifiante. Le misérabilisme du film qui accentue sur un tel personnage n'est là que pour cacher la réelle misère sociale bien plus grande et dont Xavier Dolan ne parlera jamais, préférant les bobos des bobos, histoire de cacher l'un par l'autre. Bref, un auteur fabriqué pour complaire aux médias et au marché. A quand l'homme heureux de s'accoupler avec une machine parce c'est "son" choix ?
    Mephiless s.
    Mephiless s.

    62 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2015
    Laurence Anyways est vraiment un film magnifique, une ode à la vie presque! Son histoire reste assez originale, malgré quelques défauts par ici et par là. Les thèmes abordés sont assez intéressants, comme l'amour, la vie,la quête d'identité... Les acteurs sont quant à eux remarquables, on y croit du début jusqu'à la fin! Ce qui est le plus incroyable c'est de voir l'évolution de la réalisation de Dolan, déjà rien que dans son 1er film il tentait des choses, là il livre des séquences grandioses et poétiques, soutenues par une bande originale superbe! A découvrir!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 octobre 2014
    Un cinéma sincère comme on l'aime, de la modernité et du talent dans la réalisation comme dans la mise en scène. "Laurence Anyways" fait parti de ses films que l'on aime dévorer sans forcément en comprendre le sens, que l'on aime admirer simplement pour sa raison d'exister. Xavier Dolan signe là un film pudique et réservé, maîtrisé de main de maître dans le narration.
    kermalec
    kermalec

    8 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2014
    Xavier Dolan nous propose de nouveau un film artistique, émouvant et profondément intelligent. Il fait partie de ces rares cinéastes qui ne se contentent pas de raconter une histoire mais préfère donner forme aux sentiments, aussi confus soient-ils.
    Il signe ici, selon moi, son film le plus abouti à ce moment de sa carrière : un film contemplatif éminemment artistique. Son expertise dans le maniement de la musique, des lumières, des décors et costumes et de la photographie m’a rappelé le talent de Wong Kar-Wai. Et quel casting ! Melvil Poupaud, Suzanne Clément et Nathalie Baye sont magnifiques de sincérité.
    Ce film est bouleversant, sans être abusivement bien-pensant : le spectateur est pris aux tripes et se retrouve aussi tiraillé que les personnages centraux.
    N’ayons pas peur des mots, ceci est un chef d’œuvre. Bravo l’artiste !
    MC4815162342
    MC4815162342

    397 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 octobre 2014
    Laurence Anyways, quatrième film de Dolan et son plus long, surement car son plus travaillé, je ne veux pas dire par là que les autres sont bâclés, non du tout, mais ici il signe un scénario tout simplement magique et profond, porté par un sujet rarement aussi bien traité, "l'envie de changer de sexe", j'ai tout simplement jamais vu de film avec un sujet comme celui ci aussi bien traité et aussi complet, voir même complexe, puisque l'histoire première n'est même pas le changement de sexe du personnage de Laurence, mais sa relation avec Fred, son grand amour, car bien qu'il veuille devenir femme il n'est pas pour autant un homosexuel, il veut devenir et femme et garder la sienne, mais elle dans tout ça, comment va t'elle réagir à cela ? Comment les relations de travail, sa famille et autres de Laurence vont prendre ça ?

    Tout cela nous sera livré par une mise en scène remarquable, surtout quand ça vient d'un jeune réalisateur de même pas 25 ans, je vois bien les gens face à cette phrase, "Et alors, les jeunes n'ont pas le droit d'être talentueux ?", c'est vrai que c'est étonnant de dire ça, que pour un jeune c'est une prouesse, d'habitude on dit ça car c'est en grandissant qu'on prend de la graine, qu'on soigne de plus en plus ses projets, on évolue etc..., donc voilà pourquoi on a vite tendance à être surpris qu'un jeune sorte des films aussi complexes et réalistes, mais au final on ne devrait même pas considérer Dolan comme un jeune, tellement ce gars a un recul et un œil sur la vie très mature.

    Laurence Anyways est une preuve de plus de son incroyable maturité et vision des gens, ses personnages ne sont jamais des personnages mais carrément de vraies personnes, il saisi tellement les gens que ses films pourrait passer pour des documentaires.
    Pendant près d'un peu moins de trois heures nous allons suivre la relation épique donc entre Laurence Alia et Fred Belair, une romance impossible comme souvent dans les films romantiques mais là c'est à un niveau bien plus spécial, et pour le moins original, un changement de sexe qui bouscule un amour unique, c'est une histoire belle, triste, émouvante et tout bonnement magnifique, je ne veux pas trop en dire sur le film donc je me contente de citer des compliments je sais, mais bon comment citer autre chose, il est impossible de descendre ce film, on ne peut que le saluer, et puis cette mise en scène quoi, là franchement Dolan est un pro, j'ai pas d'autres mots, il sait parfaitement comment livrer son histoire et présenter ses personnages, et sa réalisation m'épate toujours, on le sent toujours au plus proche de son histoire, ce qui fait que le spectateur peut pratiquement se sentir concerner par l'histoire, et il utilise pour la première fois le format 4:3, ce qui ne nuis pas du tout à l'histoire, ça lui fait même l'effet inverse, ça colle parfaitement avec le film, et puis ce que j'adore chez Dolan, c'est sa maîtrise de la bande son, il sait toujours placer ses musiques, et toujours des musiques miraculeuse dont je suis fan, rien que dans celui ci il m'offre "Fade to Grey" de Visage, et en plus il nous la balance sur une scène excise, la scène du bal où d'ailleurs il apparaît le temps d'un plan de quelques secondes, où il a une classe folle.

    En parlant de musique, celle de l'intro est époustouflante, je l'ai entendu pour la première fois dans la série "Breaking Bad", et bon sang quelle va trop bien sur l'intro du film, surtout juste après un monologue plus que parfait du personnage de Laurence, personnage joué par un Melvil Poupaud incroyable, sa transition d'homme en femme est transcendante, il adopte à merveille les petites gestes féminins, la démarche et tout le reste, et ce qui est bien c'est qu'on suit cette évolution, on retrouve ensuite une habitué de Dolan, Suzanne Clément, qui est tout simplement superbe, elle est naturelle, sincère et ne surjoue jamais, le duo est vraiment formidable, on croirait voir un vrai couple et leur histoire est passionnante, sinon nous avons également Nathalie Baye et évidement Anne Dorval même si c'est pour une petite apparition.

    Pour résumer, je dois dire que je ne savais pas du tout quoi écrire à la base, et j'ai finalement réussi à m'épater, oh oh oh, calme les gars, arrêtez les applaudissements c'est bon ça va.
    Bref^^, film exceptionnel à voir absolument, un sujet fascinant, écrit et travaillé avec un soin irréprochable, un casting impeccable, une mise en scène grandiose et une bande son démente, du pur Dolan donc.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 octobre 2014
    Là où ses films précédents péchaient par la modestie du scénario, Xavier Dolan nous offre avec Laurence Anyways une vraie histoire pleine de souffle, de lyrisme et d’amour. On ne peut reprocher au réalisateur Dolan de manquer d’idées en termes de mise en scène : le choix des cadrages, des plans de coupe, des couleurs de l’éclairage, des décors, des costumes, des musiques, du montage sonore, rien n’est laissé au hasard et cette créativité est souvent enthousiasmante. Mais une fois de plus avec lui, trop d’effet peut tuer l’effet recherché et trop de maniérisme dans la réalisation peut tuer l’émotion, surtout dans les scènes où la caméra devrait se faire oublier. Mais sa prise de risque dans le sujet traité comme dans son traitement est tellement louable, et surtout le film tellement débordant de sincérité et de vie, que l’on a envie de lui pardonner ces défauts. Dans un premier temps, le film suit le cheminement de Laurence (Melvil Poupaud) dans sa quête identitaire et, dans un deuxième temps, dans les déchirements intermittents de celui-ci avec sa compagne Fred (Suzanne Clément), sur une période de plusieurs années. On voit bien dans la première partie du film à quel point Xavier Dolan et Melvil Poupaud (tout en retenue) ont eu le souci de gommer toute trace d’excentricité et d’altérité dans le personnage de Laurence pour en faire un homme comme les autres, dont le couple et la profession sont tout à fait ordinaires, qui revendique juste le droit de vivre en harmonie avec lui-même. D’ailleurs, si sa bande d’amis (sa famille d’adoption) ressemble à une panoplie de « freaks » tout droit sortis d’un 8 ½ de Fellini, c’est bien pour nous montrer que Laurence n’est pas l’un d’eux, il est avec nous, comme nous, et pour nous rendre complice de sa métamorphose – et c’est là sa belle réussite. C’est aussi sa limite, car Laurence ne devient jamais complètement crédible en femme. On regrette que sa psychologie, les raisons profondes de son changement ne soient pas mieux explorées. Le personnage de Laurence nous reste, du coup, toujours un peu étranger alors que celui de Fred, en comparaison, nous semble plus humain, plus vulnérable et plus proche. En se trouvant lui-même, Laurence prend le risque de perdre Fred et c’est là le deuxième volet du film. À mon sens, c’est là que le film se délite, tourne en rond et perd de son impact. Dolan s’interroge sur le pouvoir de l’amour, celui qui devrait permettre d’accepter l’autre tel qu’il est, « no matter what ». Belle question, mais une accumulation de disputes, de scènes oniriques, une escapade sur une île ne suffisent pas à y répondre. Dommage, parce que Laurence Anyways est une formidable ode au droit de tous à disposer d’eux-mêmes – et par la même d’aspirer au bonheur – et un conte beau et triste sur les limites de l’amour. Une belle leçon de vie et une réflexion intéressante qui auraient pu être exposées de façon plus percutante.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2014
    Laurence a 30 ans et fait son coming out… pire encore… Il vit avec Fred, sa copine, et lui avoue n’avoir jamais supporté son corps d’homme et de vouloir changer de sexe. On va donc suivre sur plusieurs années cette histoire d’amour impossible au travers la mue du personnage principal ainsi qu’au travers des retrouvailles et séparations du couple.
    Xavier Dolan a seulement 23 ans lorsqu’il se lance dans ce film fleuve de 2h45. Le jeune homme a du talent, il incarne par sa maitrise du cadre, ses influences, ses expérimentations visuelles multiples paraissant sans limite, le cinéma contemporain. Visuellement très souvent bluffant par son inventivité, les dialogues souvent bien sentis, un fond musical très présent mais souvent bien placé ; un concentré de pop art moderne. Après, son film est trop… limite boursoufflé à l’excès ; la boulimie de l’auteur finit par donner le tournis. Son film ressemble trop souvent à un clip ; mais çà dure 2h45 tout de même ; successions de saynètes, parenthèses ouvertes sur un abîme, quelques scènes excessives,… La vertu d’une œuvre d’art est de faire réagir et de faire parler ; c’est le cas, ici ; c’est positif même si on a tous ses goûts
    Dolan un talent incontestable… vivement la maturité
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top