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    Laurence Anyways
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    4,2
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    321 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 août 2012
    Tout simplement le plus beau film que j'ai vu cette année... Une histoire d'amour complexe qui soulève la complexe lien entre l'amour et la sexualité ! Avec de très beaux tableaux stromboscopiques à la musique hypnotique...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 août 2012
    Moi je n'ai cru à rien et adhérer à rien. Seul intérêt : N. Baye, toujours formidable. Aucun intérêt à cette succession distendue de clips.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 août 2012
    Xavier Dolan signe avec Laurence Anyways un chef d'oeuvre époustouflant. Que dire de ce film, mis à part employer des adjectifs dithyrambiques ? Merveilleux, bouleversant, sublime de beauté, sidérant d'intelligence, de sensibilité, d'humour, de délicatesse. Les comédiens sont tous exceptionnels, avec une mention spéciale pour Nathalie Baye, géniale en mère aimante et très distante. Laurence Anyways est à l'instar de Tree of life, Le nouveau monde, Le pianiste, Mulholland drive ou Mysterious skin l'une des oeuvres majeures de cette dernière décennie, un objet filmique "total" qui peut être vu et revu sans se lasser, et qui laisse des traces indélébiles dans les mémoires. Un grand mystère reste dans l'absence de ce film en compétition au dernier Festival de Cannes. Comment expliquer que Laurence Anyways, si novateur, ambitieux, réussi, ait pu être relégué à la sélection Un Certain Regard, la deuxième division cannoise, alors que des navets épouvantables, d'un académisme rance, d'un ennui abyssal, réalisés par des cinéastes de seconde zone, figuraient eux dans la sélection reine : Paperboy, Cogan - l'amour en fuite, Des hommes sans loi, La chasse etc. ? Est-ce la jeunesse du réalisateur, sa soi-disant arrogance, son génie qui dérangent tant ? Quelle injustice !!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 août 2012
    Magnifique! Splendide! Merveilleux! C'est tous ce qu'est Xavier Dolan et ce film. Très très rarement vu un casting complet qui joue au delà de la perfection. M. Dolan ne vous arrêtez pas. Votre style unique laisseras une
    trace sur le "Ruban du cinéma" comme le dirais Orson Welles.
    GRETA MARILYN
    GRETA MARILYN

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 août 2012
    Film boulversant,inoubliable.Bravo à..
    Xavier Dolan que je ne connaissais pas.
    C 'est magnifiquement interprété par Melvil Poupaud et Suzanne Clément .
    Dialogues,décors,B.O parfaits
    On passe un grand moment .
    BirdyNumNum
    BirdyNumNum

    1 abonné 26 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 août 2012
    De toute beauté !
    Comment Xavier Dolan, si jeune, parvient-il à nous émerveiller et nous surprendre à chaque film ? C'est ce miracle qui se reproduit encore une fois avec celui-ci ! Un pur bijou : un scénario magnifique, des acteurs époustouflants (mention très spéciale pour Suzanne Clément) et une mise en scène féérique très esthétique et touchante à la fois.
    Courez voir ce film : c'est ce que j'ai vu de mieux cette année.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 août 2012
    La durée du film a dû en décourager plus d'un mais c'est encore une fois un chef d'oeuvre que signe Xavier Dolan. Musique et prises de vue rythment le film et nous font oublier sa longueur. Brilliant et loin de stereotypes, Dolan nous étonne une nouvelle fois.
    Colette L.
    Colette L.

    2 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 août 2012
    A voir absolument.
    Un film génial et bouleversant porté par des acteurs prodigieux.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 août 2012
    2h39 de pur bonheur!
    Un film qui montre toute la difficulté et les problèmes engendrés par un tel choix de vie.
    sophiet22
    sophiet22

    15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 août 2012
    Une histoire d' amour contrariée filmée avec émotion. Une réalisation plutôt originale et une BO qui m'a donné des frisons.
    Lucas65
    Lucas65

    118 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 août 2012
    Pour moi, Laurence Anyways est LE choc cinématographique en 2012, un véritable rêve de cinéma d'ont l'on ne voudrait jamais sortir. Un film complètement abouti, maitrisé à tous les niveaux. Xavier Dolan est pour moi un génie, qui à l'instar d'un Stanley Kubrick (si, si !) mobilise avec une rare virtuosité tous les moyens de cinéma, en terme de son, d'image, de montage, de musique, d'imaginaire fictionnel, d'écriture, d'influences cinématographiques pour livrer un objet filmique "total", "cosmique", d'une puissance quasi inégalable dans le paysage cinématographique actuel.
    La différence avec un Stanley Kubrick - cerises sur le gâteau - c'est qu'il rajoute à son cinéma de "mégalomane" (au bon sens du terme : l'ambition et le goût du risque sont 2 qualités essentielles que doivent posséder tout grand cinéaste), une sensibilité "queer", une compréhension incroyablement fine de l'humain, un humour ravageur, un sens incroyable de la réplique, une esthétique du "mauvais goût" et de la vulgarité extrêmement élaborée, une manière - presque un art - de digérer des influences multiples et variées (Almodovar, Araki, Cassavetes, Cameron, Wong-Kar-Wai etc.) et de les incorporer avec une rare intelligence dans son imaginaire de cinéaste, pour livrer au final une oeuvre qui n'appartient qu'à lui.
    Dolan est peut-être un pilleur fou (mais qui ne l'est pas parmi les grands cinéastes actuels ? : difficile de faire l'impasse sur l'histoire du cinéma !), mais un pilleur d'une cohérence et d'une virtuosité inouie.
    Tout dans Laurence Anyways, plus encore que dans J'ai tué ma mère et Les amours imaginaires, me parle, me séduit, me bouleverse :
    - Les dialogues sont profonds, pertinents, caustiques, brillants, drôles. Les échanges entre Melvil Poupaud et Nathalie Baye sont un régal dont je ne me lasserai jamais. Idem pour toutes les scènes entre Laurence et Fred.
    - la direction d'acteurs, qui est exceptionnelle : Suzanne Clément dans un registre hyper spectaculaire, émotif, "félin", explosif, Melvil Poupaud dans un registre plus "infra", délicat, secret, pudique. Tous les acteurs secondaires (Nathalie Baye absolument géniale) sont idéalement castés et dirigés !
    - Dolan gagne sur tous les registres : la fresque lyrique, la comédie queer, la drame sentimental, le clip au délicieux mauvais goût... Il n'y a dans son film, aucune minute à enlever. Les 2h 30 passent comme un rêve que l'on souhaiterait éternel...
    - Tout, dans le film, bouleverse, touche vraiment au plus profond. Tout ce que dit Laurence Anyways sur l'affirmation de soi, le courage, l'égoisme parfois nécessaire, l'impossibilité du couple, la nécessité d'honnêteté envers soi-même et les autres, la solitude, l'impuissance à comprendre autrui, le poids écrasant des parents etc. témoigne d'une intelligence émotionnelle, d'une sensibilité, d'une finesse absolument prodigieuses pour un cinéaste de seulement 23 ans.
    - Quant à la BO, je vais faire bref tellement elle est parfaite (le morceau final "Let's go out tonight" de Craig Armstrong, quelle merveille !)...
    En bref, des films comme cela, aussi amples, puissants, ambitieux, risqués, bouleversants, euphorisants, il y en a très, très peu dans l'histoire du cinéma. Une chose est sûre : Xavier Dolan peut être désormais considéré comme l'un des très grands maitres du cinéma mondial !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 août 2012
    Je peux parler de tout ce que je n’ai pas aimé : les scènes du début, très fabriquées, petits dispositifs hystériques censés dire l’amour fou des 2 personnages, les costumes (signés Xavier Nolan) d’un mauvais goût stupéfiant (même avec l’alibi de la reconstitution, les années 80/90 n’excusent pas tout !), et la "Nolanette", cette machine à clips qui se met en marche toutes les 5 minutes et tartine d’images exubérantes une BO sans accroc. Mais je peux dire aussi à quel point ces 2 heures quarante m’ont paru courtes, sans un poil d’ennui, et combien j’ai été scotchée par les deux acteurs, un Melvil Poupaud bouleversant et une Suzanne Clément incandescente.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 août 2012
    film dont la violence n'a d'égal que la profondeur du sujet traité. Violence des rapports de couple sans fard ni concession. Suzanne Clément est extraordinaire, melvil Poupaud compose un personnage complexe et ambigu de façon remarquable.
    A voir absolument.
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    30 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2012
    Après un premier long-métrage sympathique (J’ai tué ma mère) et un second que je n’ai pas encore eu l’occasion de voir (Les Amours imaginaires), Xavier Dolan semble avoir fait le grand saut en laissant de côté son propre vécu pour se lancer dans une histoire purement fictive, sans délaisser la sexualité pour autant. Bien au contraire, en abordant le thème des transgenres, on pourrait penser que l’auteur québécois réalise sa confrontation la plus directe avec ses sujets de prédilection. L’identité, l’amour impossible, tout ça (bien entendu, comme dit précédemment, je n’ai pas vu Les Amours imaginaires). Les premières minutes de Laurence Anyways suffisent à retrouver l’esprit qui occupait déjà chaque plan de J’ai tué ma mère. La symétrie, les couleurs, les lumières... Tout est de nouveau présent pour ce troisième long-métrage qui confirme l’aisance du réalisateur à imposer sa Dolan Touch. Cette certaine élégance publicitaire qui s’étale ici sur 2h40… Une durée qui ne se fait pourtant pas sentir, tant l’univers de ce couple s’avère intéressant. Intéressant par leur volonté de surmonter ce qui semble insurmontable, Laurence ayant – semble-t-il – fait un choix décisif, qui ne peut lui permettre de conserver le confort de sa vie d’avant. Il ne peut pas tout avoir et ses proches ne manquent pas de le lui rappeler. Confort en apparence uniquement, puisque si tout semblait d’amour et d’eau fraiche pour Fred (la copine de Laurence), la présence d’un service trois pièces chez ce dernier paraissait devenir de plus en plus malvenue, jusqu’au jour de ses trente ans, où tout explose. Comme si, tout à coup, la présence d’un nom féminin sur le corps d’un homme reprenait ce qui lui est dû, et que Laurence était voué à devenir la femme qu’il aurait dû être. Malgré tout, on ne peut s’empêcher de penser que, en suivant cette logique, Fred aurait pu elle aussi décider de changer de sexe, comme semble le laisser entrevoir la fin du film (la coupe androgyne de celle-ci me laissant sceptique concernant un éventuel retour à la source). Et puis de toute manière, une telle interprétation est purement française puisque si l’on en croit les dires de Dolan, Laurence serait un prénom mixte, au Québec. Ainsi donc, c’est un amour impossible. Cette solitude récoltée par le protagoniste, était-ce réellement le choix de Laurence ? L’existence d’un éventuel bonheur serait donc impossible pour elle ? Voilà ce que semblent sous-entendre les yeux qui occupent l’excellent prologue du film, où les mœurs d’une certaine population semblent concentrés en une multitude de regards jugeurs, où l’ouverture d’esprit ne se fait pas percevoir. Par ailleurs, si Laurence se soucie plus de la perduration de son couple que du regard des autres, le long-métrage s’intéresse nettement à ces mœurs, que l’on peut voir changer plus ou moins à mesure que cette dernière devient femme. C’est ainsi que le film se voit étalé sur toute une décennie, nous abandonnant à une fin de millénaire. Conversation explicite où une journaliste décrète des « on entre dans une nouvelle ère ». Où l’évocation d’un « bug de l’an 2000 » prend la forme d’une révolution, d’une ouverture d’esprit plus grande. Où les questions condescendantes qui sortaient de la bouche d’une serveuse deviennent un « vous êtes belle » de la part de cette journaliste. Enfin, cette génération 90’s est aussi un prétexte pour développer toute une imagerie grotesque et kitsch au possible, où une galerie de personnages magistralement stéréotypés (les Rose, hilarants) apportent au long-métrage une touche d’humour extravagant. De fait, les pullovers à feuilles mortes et les foulards bleus pétants finissent par apparaitre tout naturellement – avec un mauvais goût faussement involontaire de la part du réalisateur –, sur les épaules de Melvil Poupaud et Suzanne Clément, les deux interprètes de cette tragique romance qui ne peut avoir de happy end. Lorsque la naïveté qui apparait sous les traits de Poupaud est mêlée à son ambition démesurée, Clément voit une occasion de se déchainer face à la caméra, lors de disputes où elle explose littéralement. Un fabuleux couple d’acteur qui sont parvenus avec brio à rendre leur personnage attachant, au point de ne voir défiler les minutes, les heures du film. En conclusion, Laurence Anyways est une très belle ode à la vie, à la tolérance, à l’amour. En gros, tout ce que l’on peut trouver de bon dans un film de Xavier Dolan, ici, dans une histoire d’amour peu banale.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 août 2012
    Film en même temps très réaliste et romanesque. La bande musicale est excellente. C'est drôle et aussi très triste. On passe un moment formidable.
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