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    Laurence Anyways
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    321 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 octobre 2012
    Très bon film, j'en profite pour conseiller d'aller le voir au Brady où il est actuellement diffusé, cette salle dispose en effet d'un écran 4/3, et ce film en 4/3 est parfaitement projeté en plein écran dans celle-ci.
    aymericl
    aymericl

    18 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juin 2014
    Un pur chef d'œuvre ! Je ne comprend pas que ce film n'ait pas été sélectionné pour la palme d'or !! Suzanne clément est parfaite dans ce rôle !!! L'esthétique vintage du film ma vraiment touche .. Un film qui reste gravė dans ma mémoire malgré le temps qui passe ! Carton plein pour Nolan après j'ai tué ma mère et les amours imaginaires . Je suis fan !!
    jd78
    jd78

    7 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2012
    À 23 ans, Xavier Dolan en est déjà à son troisième long métrage… Après les remarqués « J’ai tué ma mère« , qui évoquait les relations on ne peu plus tendues entre un ado homosexuel et sa mère, et « Les amours imaginaires« , l’histoire d’une sorte de ménage à trois platonique dans lequel deux amis (un gars, une fille) se disputaient le même éphèbe, il revient sur les écrans avec « Laurence Anyways« , une histoire d’amour sur fond de transidenté. Si son style baroque et volontiers esthétisant peu agacer, il faut reconnaître que le jeune cinéaste québécois a réussi en quelques petites années à marqué sa patte faite entre autres de ralentis bariolés sur fond de musique pop dans le paysage du film francophone. Son dernier film s’est d’ailleurs vu récompensé de la Queer Palm au dernier Festival de Cannes, qui a toujours fait honneur aux films de Xavier Dolan dans la sélection « Un certain regard ».

    Si « Laurence Anyways » parle d’un homme qui veut (et va) devenir femme, c’est avant tout d’une histoire d’amour dont il est question. Celle d’un couple passionné : lui, Laurence (Melvil Poupaud), prof de littérature de 35 ans et jeune romancier prometteur. Elle, Fred (Suzanne Clément), scripte dans le cinéma, qui l’aime depuis quelques années. Sauf qu’un jour, Laurence révèle à Fred qu’il a toujours voulu être une femme, et lui demande de l’accompagner dans son processus de transformation. Voilà de quoi ajouter à la confusion des genres déjà instaurée dans le choix de leurs prénoms (comme Fred, Laurence est un prénom mixte au Québec)… Cette métamorphose de Laurence en femme, que l’on suivra sur une dizaine d’années (de la fin des années 80 à la fin des années 90) n’est pourtant pas le sujet central du film, puisque c’est sur la relation entre ces deux personnages qui s’aiment et se déchirent que Dolan se concentre.

    A travers les différentes étapes qui marquent le parcours de Laurence vers sa transformation finale, le cinéaste explore des thèmes multiples. Comment accepter que ce qu’on aime chez l’autre est tout ce qu’il déteste chez lui, comme lui crie Fred quand il apprend sa décision. Comment l’accompagner malgré tout dans sa transformation et faire face au regard des autres et de la société. Comment conserver le désir pour quelqu’un qui change de genre… Si Fred tente au départ tant bien que mal de soutenir Laurence dans sa démarche et son parcours du combattant, au détriment de ce qu’elle veut (« un homme »), leur couple ne pourra survivre à la volonté d’être elle-même de Laurence. Une histoire d’amour tragique et moderne en somme, mais pleine de vie, de force et d’espoir. L’espoir que Laurence garde de retrouver un jour celle qu’elle aime, mais qui ne peut pas l’aimer telle qu’elle se veut être.

    Il faut saluer ici la prestation d’une grande sobriété de Melvil Poupaud, qui évite l’écueil d’en faire trop et s’avère à la fois convainquant et très touchant. Sa prestation est cela dit quasiment éclipsée par celle de sa partenaire Suzanne Clément, criante de vérité, d’amour, et d’une rage qu’elle laisse éclater au détour de scènes particulièrement intenses. Le reste du casting n’est pas en reste avec notamment une Nathalie Baye épatante dans le rôle parfaitement écrit de la mère de Laurence, et Monia Chokri, irrésistible, qui incarne la soeur lesbienne de Fred.

    Si on peut reprocher au film sa durée peut-être un peu excessive et ses effets de style parfois un peu trop appuyés (il faut aimer), il faut reconnaître que « Laurence Anyways » est un film d’une grande force et d’une grande beauté, qui ne laisse pas le spectateur indifférent. Son auteur est décidément un jeune réalisateur à suivre.
    Babar
    Babar

    53 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 octobre 2012
    Un film bouleversant à tout niveau ... Xavier Dolan un jeune réalisateur Canadien qui fait un boulot très intéressant. Il bouleverse les codes établie de la trans-sexualité et aborde un sujet très contemporain encore peu exploré par d'autres réalisateurs (selon moi). Seul regret, j'ai l'impression que quelques scènes aurai pu être plus développer pour mieux comprendre certain personnage ou certaines scènes. Manque de temps, d'argent ? Ceci étant dit je conseil à tout amoureux du 7ième art d'aller voir ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 octobre 2012
    J'ai vu ce film il y a 2 mois mais j'ai décidé de poster une critique maintenant car je ne voulais pas que la dernière, c'est à dire celle qui apparaît en 1er dans la liste des critiques de spectateurs soit mauvaise à l'encontre de ce film émouvant et fin. Même après tout ce temps, des images restent gravées dans ma mémoire. Le casting est fabuleux. Les tableaux plein de poésies et de références. Dolan ne filme pas la facilité, il nous emmène dans un tourbillon de plus de 2 heures pour nous laisser, échoués sur cette île enneigée, rêveurs, émerveillés.
    Cluny
    Cluny

    75 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 octobre 2012
    On ne peut pas reprocher à Xavier Dolan de manquer d'ambition, ni d'avoir une assez haute idée de lui-même, sentiment il est vrai potentiellement légitimé par les dithyrambes que la critique lui a attribués à l'occasion de ses deux premières apparitions cannoises. Ainsi, à la question qu'on lui posait de savoir pourquoi il estimait que "Laurence Anyways" était son film le plus abouti, il répondait au printemps dernier : " Parce que c’est le plus émouvant, pour moi. Celui dont j’apprécie le plus le rythme, la production, les costumes, le jeu. Celui que je trouve le plus harmonieux; l’émotion et le style je pense s’y accordent avec équilibre et j’en suis fier. Enfin, c’est celui que j’aime vraiment, pour la première fois. J’ai été surpris d’être fier de mon film." Bigre !
    Il faut avoir cette certitude bien chevillée au corps pour imposer un film de 2 h 39, et surtout avoir de la matière pour justifier une telle durée. Or, Dolan raconte lui-même que c'est lors du tournage de "J'ai tué ma mère" qu'il a entendu une fille dire que son "chum" lui avait annoncé qu'il voulait devenir une femme, et que le soir même il avait écrit trente pages : "Je connaissais le titre du film, et la fin, aussi. Tout s’est dessiné très rapidement, mais écrit lentement." Cette anectode me rappelle ce que Cronenberg racontait de l'écriture du scénario de " Cosmopolis", autre film surévalué du dernier festival de Cannes : il ne suffit pas d'une idée entendue à l'arrière d'une voiture pour faire un film, et contrairement à ce que dit Dolan, "Laurence Anyways" présente par rapport à ses deux films précédents le défaut majeur de ne pas être tiré directement de son expérience personnelle.
    Ce qui était irrigué par une fraicheur enthousiaste et sincère dans "J'ai tué ma mère", ce qui évitait l'agacement par la justesse de la description juvénile et provocatrice dans "Les Amours imaginaires" devient ici prétentieux et risible par manque de chair, et les scènes de pétages de plombs (la révélation dans la voiture, la colère de Fred au restaurant) évoque plus l'atelier théâtre de la 1ère B que "Un tramway nommé désir". Car de quoi parle le film ? De la difficulté de passer d'un genre à un autre ? De la force de l'amour entre deux êtres qui pourrait surmonter les contingences physiques ? De la puissance destructrice de l'environnement sociétal et familial ? Semble-t-il de tous ces sujets, mais du coup, d'aucun véritablement.
    Il y a une ambiguïté fondamentale dans le personnage de Laurence, renforcé par le choix d'un acteur aussi peu féminin que Melvil Poupaud. Il explique qu'il s'est toujours senti mal à l'aise dans son corps masculin, réduisant son choix à la volonté de ressembler "à celle que je suis né(e) pour être". Sa féminisation se limite à du maquillage, une perruque puis des cheveux longs et des vêtements de femme, et il s'agit juste d'un travestissement, pas d'un véritable changement identitaire. Pas étonnant alors que, par ses ellipses sur le processus de transformation de Laurence et l'insistance de son désir pour Fred, ce film soit rejeté par de nombreuses personnes qui sur internet le définissent comme "une véritable atteinte aux personnes qui entament une transformation".
    Face à ce personnage central dont on ne cerne finalement pas les véritables motivations, il y a donc celui de Fred (belle idée que ces deux prénoms épicènes) jouée par Suzanne Clément, déjà vue dans "J'ai tué ma mère", et encensée par la critique cannoise. Ce personnage aussi est marqué par des incohérences, comme la contradiction entre sa force de caractère et la rapidité avec laquelle elle devient une bonne mère au foyer (ah, sa choucroute style Blasko dans "Nuit d'ivresse" !). Et que dire des autres personnages qui ne sont qu'esquissés, comme la mère de Laurence, jouée par Nathalie Baye qui s'en sort mieux que les autres, les freaks des Four Roses ou le personnage de Stéfanie, la soeur lesbienne de Fred. Faute de les faire réellement exister, Dolan les limite à des apparitions caricaturales parfois dignes du bestiaire de Michou.
    Certes, on retrouve la flamboyance du style de Dolan, fait de jeux sur le cadrage (gros plans ou plans très larges ultra-composés) ou sur la profondeur de champ, usant et abusant du flou et du ralenti, du soin particulier apporté à la couleur, par les costumes (dessinés par Dolan lui-même), les décors d'Ann Pritchard et la très belle photographie de Yves Bélanger. On retrouve aussi la place accordée à la musique, avec Beethoven et la 5° en clip, Tchaïkovski, Brahms ou Vivaldi, The Cure, Duran Duran, Kim Carnes et Depeche Mode, sans oublier les régionaux de l'étape, Céline Dion, Jean Leloup ou Patricia Tulasne ("Que m´importent les mensonges dont on broda nos berceaux"). Mais cette indéniable identité visuelle et sonore perd le charme de la nouveauté, se dilue au fil d'un récit interminable et pourtant sans fin, et qui pour tout dire, tourne à vide. Manque aussi ce qui faisait le charme des ses opus précédents, l'humour et l'autodérision. Reste à savoir si nous avons trop attendu du petit prodige, ou bien si c'est nous qui l'avons transformé en enfant gâté...
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    Felipe Dla Serna
    Felipe Dla Serna

    20 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2014
    Un film bien particulier et improbable, tout comme la mise en scène qui rappèle, par moments, celle d'Almodovar. En fait, la longue histoire d'un couple à travers une bonne decenie (années 80-2000) où les roles au sein du couple ne finissent pas de se définir....même le film n'en finit pas de finir, sauf a la fin qui arrive .....au commencement. Allez le voir, quand même, vous comprendrez mieux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 juin 2013
    L'esthétique "clipisante" voire "pubisante" peut agacer, mais la maîtrise formelle de ce troisième film de Xavier Dolan est grande.
    Le film est long (2h40), mais on ne s'ennuie pas. Le scénario est bien tissé, les dialogues très travaillés, et les acteurs sont bons.
    Le sujet est actuel : il fallait un film sur le changement de sexe et les questions de genre, un questionnement absolument propre à notre époque.
    Xavier Dolan réussit parfaitement ce rendez-vous, produisant un film qui intéressera à ces questions des personnes qui ne souhaitent pas forcément changer de sexe ou qui ne sont pas homosexuelles.
    C'est son meilleur film selon moi.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 septembre 2012
    Pas grand à dire sur ce film. C'est tout simplement un chef d'oeuvre ! Amour, émotion, beauté des sentiments, courage, audace, angle de vue ! Bref, ce film est simplement parfait
    Claire undefined.
    Claire undefined.

    4 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 septembre 2012
    L’histoire, c’est celle d’un couple en début de trentaine, dans les années 80. L’homme, professeur dans un lycée, souhaite un jour – je dirais sans crier gare –, devenir femme. La femme doit faire face à cette déclaration qui lui fait l’effet d’une bombe. Ces deux-là s’aiment vraiment, cela se voit comme le nez au milieu de la figure, et permettez-moi de vous le dire, cela en fait mal. S’ensuivent une suite inépuisable de complications, de variations énervées sur les plans humains, familiaux, sociaux.
    Leur parcours, le parcours de chacun, trace comme un sillon dans la neige froide du Québec, dans le vertige d’un amour qui ne veut pas mourir, qui ne veut pas se résoudre.

    Je ne connais pas Xavier Dolan. Je n’avais vu aucun de ses films auparavant.
    Une chose est sûre : je ne le soupçonnais pas si jeune.
    Qu’on aime ou qu’on déteste Laurence Anyways, on peut se demander si ce réalisateur a vraiment son âge. Difficile de traîner avec soi, comme une gigantesque croix, autant de souffrance et de rage intense, mêlées à autant de soif de tout ce qu’on peut imaginer et plus encore.

    Des grenades dégoupillées lancées à tout bout de champ dans ce film, hautes en couleur, sur fond de musique entêtante des années 80. Des scènes baroques, surchargées, des ralentis parfois à la limite du supportable.
    Ces plans de dos à répétition, comme ces personnages qui veulent tellement avancer qu’ils tournent parfois le dos à leur propre vie.

    Comment savoir à 23 ans que certains êtres sont fichus dès leur rencontre, qui constitue pourtant sans doute la plus belle chose de leur vie ? Comment réussir à le filmer ?
    Ils iront jusqu’au bout. Ils y survivront. Ils ne s’en remettront jamais.
    Cette rencontre est de celles-là, et le film m’a beaucoup touchée pour cela.

    La suite de la critique sur http://clairedanslessallesobscures.over-blog.com/
    DENISHCL
    DENISHCL

    6 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 septembre 2012
    2h30 ça peut faire peur on prend une place près de la sortie. Inutile on est pris par le film son rythme la beauté picturale le jeu époustouflant de l'héroïne, la sensibilité de la mise en
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 décembre 2012
    Il y a des mois ou il n'y a pas grand chose au cinéma, nanars cinématographiques ou juste de bons films qui se laissent regarder; et puis, il a des mois ou parmi la fournée l'on trouve des perles, Laurence Anyways c'est ça, c'est une perle, un des meilleurs films de Xavier Dolan de mon point de vue.
    Une bande son qui ne laisse pas de marbre, des acteurs flamboyants, le cinéma québécois ne risque pas d'être oublié de si tôt.
    saxoman
    saxoman

    15 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2012
    Complétement abasourdi, comme hypnotisé, c'est ainsi que je ressors de la salle ! Cette histoire d'amour unique en son genre, à la limite de l'invraisemblance, est admirablement servie par un scénario de haut vol et des personnages d'une incroyable densité : le jeu d'acteur de Suzanne Clément d'abord, sublime, de Melvil Poupaud et de Nathalie Baye est époustouflant. Tout concourt à faire de Laurence Anyways un chef d'œuvre : une image hyper soignée au service de plans recherchés et la musique parfaite, parfois mystique, parfois nostalgique, a le rôle primordial qu'elle devrait toujours avoir. Les dialogues allient profondeur, humour et nous font voyager dans la "Belle Province" avec cet accent unique (merci quand même d'avoir ajouté certains sous-titres indispensables pour nous "maudits Français"). La réalisation hyper originale de Xavier Dolan propulse le cinéma québécois à la tête de la modernité dans le cinéma mondial. Dolan passe de scènes lyriques à des scènes réalistes à la Ken Loach avec une virtuosité sans faille.
    Pour ne pas abuser de l'adverbe hyper - car tout est hyper dans ce film - je livre à regrets quelques points qui m'ont déplu : d’abord pourquoi ce parti pris de la prise de vue rapprochée ? Laurence et Fred sont des homme et femme-tronc et Xavier Dolan nous prive de leur corps. Est-ce par crainte de la nudité ? Alors que la masculinité de Laurence aurait pu être affirmée comme postulat avant sa "transformation" (psychologique, elle ne sera jamais physique), aucune épaule, aucun torse, aucun dos musclé ne viennent contredire une éventuelle androgynie. Et le corps nu de Fred ne se laisse deviner que de loin, en contrejour au bout d'un couloir ! Ensuite Xavier Dolan filme systématiquement les échanges passionnés ou violents au sein du couple en très gros plans, la caméra à l'épaule, avec des mouvements rapides et saccadés, genre film de vacances du petit dernier à qui on vient d'offrir un caméscope ! Et ça devient à la longue pénible pour le spectateur.
    Mais tout ça de m'empêche pas de mettre la note maxi pour ce film qui nous donne la chair de poule et que j’irai revoir, à condition que les distributeurs ne le retirent pas trop tôt de l’affiche, comme ils font trop souvent !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 septembre 2012
    Une put*** de claque cinématographique !!! Les critiques négatives sur ce film ne courent pas les rues. Les 2h40 de film défilent à toute allure. Les acteurs (principaux comme secondaires) vivent à fond leurs personnages. Tout y est : images sublimes, émotion, sentiments en tous genre, BO + QU'HYPNOTISANTE qui berce magnifiquement les 15 ans de cette trop belle histoire d'amour impossible, qui ne tombe jamais dans le cliché. Presque 2 mois après sa sortie, la salle était pleine. On en ressort avec la chair de poule et on vit malgré nous cette superbe histoire..
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 septembre 2012
    Pour la musique, pour les acteurs, tous formidables, et par dessus tout, pour Nathalie Baye, extraordinaire.
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