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    Laurence Anyways
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    321 critiques spectateurs

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    aymericl
    aymericl

    18 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juin 2014
    Un pur chef d'œuvre ! Je ne comprend pas que ce film n'ait pas été sélectionné pour la palme d'or !! Suzanne clément est parfaite dans ce rôle !!! L'esthétique vintage du film ma vraiment touche .. Un film qui reste gravė dans ma mémoire malgré le temps qui passe ! Carton plein pour Nolan après j'ai tué ma mère et les amours imaginaires . Je suis fan !!
    Alain B
    Alain B

    14 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2013
    Film très intense qui aborde le thème de l'homosexualité sous l'angle identitaire et le chaos que peut provoquer dans un couple, un homme qui veut vivre pleinement son homosexualité . La femme accepte beaucoup de la part de l'homme qu'elle aime mais qui s'éloigne petit à petit
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 mai 2015
    Xavier Dolan propose un très beau film avec de très bonnes idées pour l'histoire mais encore une fois, le scénario n'est pas du tout à la hauteur (même si mieux que celui de "Les amoures imaginaires"). Alors que la réalisation est véritablement épatante, les acteurs géniaux (magistrale Suzanne Clément) et de bonnes volontés scénaristiques, l'intrigue trop longue tire souvent le film vers le bas, et c'est bien dommage. Il rend également le film quelque peu lent, il faudrait peut-être d'avantage se concentrer sur le scénario... Le film reste très poétique et intéressant tout de même.
    vanou97
    vanou97

    44 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 novembre 2012
    Quand on est devant le cinéma Québécois, c'est souvent étrange, voir malsain. Mais là, on est au summum ! 2h 39min d'atroce perversité de ce "Laurence" répugnant, le tout dans un amoncellement de scènes répétitives et longues. Seule une scène vaut le coup, quand le couple se ballade avec des vêtements pleuvant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 octobre 2014
    Un cinéma sincère comme on l'aime, de la modernité et du talent dans la réalisation comme dans la mise en scène. "Laurence Anyways" fait parti de ses films que l'on aime dévorer sans forcément en comprendre le sens, que l'on aime admirer simplement pour sa raison d'exister. Xavier Dolan signe là un film pudique et réservé, maîtrisé de main de maître dans le narration.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    167 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juillet 2012
    Un film splendide ! On ne voyait pas bien comment faire un film de 2h40 (!!!) simplement sur la base d'un changement d'identité sexuelle. Surtout dans un milieu socio-culturel où un tel changement n'a rien de définitivement rédhibitoire ; certaines scènes du film le démontrent. Et bien, le pari est réussi, grâce à la puissance extraordinaire de la mise en scène et l'implication des comédiens. De ces derniers, on retiendra surtout l'exceptionnelle Suzanne Clément qui a droit à plusieurs scènes d’anthologie, mais aussi la surprenante Nathalie Baye, le flegme incarné ! Melvil Poupaud tient son rang. Tous ces acteurs sont magnifiés par l'inventivité constante de la mise en scène qui joue des cadres, des couleurs, du découpage, de la voix-off pour vivifier chaque scène et relancer constamment l'attention dans ce film-fleuve. Xavier Dolan a énormément mûri depuis "Les Amours imaginaires" (et il a gagné en budget...). Quand on pense qu'à 23 ans, il assure scénario, dialogues, mise en scène, montage, costume, etc. C'est étourdissant. Attendons qu'il trouve des thèmes plus forts encore (il semble parfois enfermé dans son univers branché et arty) et ce sera un immense cinéaste.
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2015
    L'objet de cinéma. Xavier Dolan y met tout ses fantasmes de cinéphile. Trop? Oui, c'est sur. Mais franchement, çà fait du bien quand même. Vu l'âge du gars quand il réalise çà, on peut se demander jusqu'où son univers se prolongera. Esbroufe, malice, "Laurence Anyways" est un pamphlet canadien, dans le ton, dans l'humanité de cette langue. Quand on utilise du mouvement, des cris, car on pleur et on rit. Vraiment Xavier, continu.
    Timdu26
    Timdu26

    91 abonnés 481 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 août 2012
    Mais qu''est-ce qu'on peut dire devant un tel film ? Devant le talent évident de Xavier Dolan qui signe ici, pour moi, son meilleur film. Un film unique qui raconte une histoire d'amour unique. Rempli de mélancolie, de tristesse mais aussi de bonheur, de joie, Dolan arrive à arrêter le temps, grâce à sa réalisation originale, accompagnée par le montage divin dont la musique mystique nous fait voyager, penser, aimer. Une histoire si puissante, si forte. Laurence Anyways n'est pas un film seulement sur un homme qui se transforme en femme, c'est tout d'abord une histoire d'amour entre deux personnes qui s'aiment et qui s'aimeront toujours. Deux personnes liées jusqu'à la fin qui vont petit à petit s'égarer, ne plus pouvoir se voir, en ayant toujours ce sentiment que rien ne peut détruire leur amour, et que rien ne le détruira. Une fresque monumentale aux scènes remarquables, à la photographie majestueuse, aux costumes typiquement Dolannien, un film qui a la grande classe car il arrive à nous faire tenir pendant 2h40 par la succession des scènes originalement mises en places. Bref, Laurence Anyways est un film qui parle de la complexité de l'amour et de l'être humain, c'est un film magnifique et mélancolique, un film qui nous brise le cœur tout en nous donnant de l'espoir.
    Babar
    Babar

    53 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 octobre 2012
    Un film bouleversant à tout niveau ... Xavier Dolan un jeune réalisateur Canadien qui fait un boulot très intéressant. Il bouleverse les codes établie de la trans-sexualité et aborde un sujet très contemporain encore peu exploré par d'autres réalisateurs (selon moi). Seul regret, j'ai l'impression que quelques scènes aurai pu être plus développer pour mieux comprendre certain personnage ou certaines scènes. Manque de temps, d'argent ? Ceci étant dit je conseil à tout amoureux du 7ième art d'aller voir ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 octobre 2012
    Il a un prénom de femme, elle a un prénom d’homme. Laurence et Fred sont amoureux, fous amoureux. Mais ils ne vivent pas une histoire d’amour comme les autres. Parce que nous sommes en 1990 et parce que Laurence veut devenir une femme.

    Dans son troisième long-métrage, Xavier Dolan dépeint la passion amoureuse sous les traits d’un drame identitaire. Un scénario de 2h40 qui file à toute allure, des costumes extravagants et de la musique des années 90, nous voilà emportés dans la vie de Fred et Laurence sur plus d’une décennie.

    Lire la suite ici: http://quaiducinema.wordpress.com/2012/08/13/dolan-calme-et-volupte-laurence-anyways-xavier-dolan-2012/
    saxoman
    saxoman

    15 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2012
    Complétement abasourdi, comme hypnotisé, c'est ainsi que je ressors de la salle ! Cette histoire d'amour unique en son genre, à la limite de l'invraisemblance, est admirablement servie par un scénario de haut vol et des personnages d'une incroyable densité : le jeu d'acteur de Suzanne Clément d'abord, sublime, de Melvil Poupaud et de Nathalie Baye est époustouflant. Tout concourt à faire de Laurence Anyways un chef d'œuvre : une image hyper soignée au service de plans recherchés et la musique parfaite, parfois mystique, parfois nostalgique, a le rôle primordial qu'elle devrait toujours avoir. Les dialogues allient profondeur, humour et nous font voyager dans la "Belle Province" avec cet accent unique (merci quand même d'avoir ajouté certains sous-titres indispensables pour nous "maudits Français"). La réalisation hyper originale de Xavier Dolan propulse le cinéma québécois à la tête de la modernité dans le cinéma mondial. Dolan passe de scènes lyriques à des scènes réalistes à la Ken Loach avec une virtuosité sans faille.
    Pour ne pas abuser de l'adverbe hyper - car tout est hyper dans ce film - je livre à regrets quelques points qui m'ont déplu : d’abord pourquoi ce parti pris de la prise de vue rapprochée ? Laurence et Fred sont des homme et femme-tronc et Xavier Dolan nous prive de leur corps. Est-ce par crainte de la nudité ? Alors que la masculinité de Laurence aurait pu être affirmée comme postulat avant sa "transformation" (psychologique, elle ne sera jamais physique), aucune épaule, aucun torse, aucun dos musclé ne viennent contredire une éventuelle androgynie. Et le corps nu de Fred ne se laisse deviner que de loin, en contrejour au bout d'un couloir ! Ensuite Xavier Dolan filme systématiquement les échanges passionnés ou violents au sein du couple en très gros plans, la caméra à l'épaule, avec des mouvements rapides et saccadés, genre film de vacances du petit dernier à qui on vient d'offrir un caméscope ! Et ça devient à la longue pénible pour le spectateur.
    Mais tout ça de m'empêche pas de mettre la note maxi pour ce film qui nous donne la chair de poule et que j’irai revoir, à condition que les distributeurs ne le retirent pas trop tôt de l’affiche, comme ils font trop souvent !
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    686 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mars 2020
    Laurence Anyways est un film aussi déterminé que son protagoniste principal, un film qui n’a pas peur de se couvrir de filtres de couleur et de plages musicales enivrantes pour avancer du long de ses deux heures quarante minutes et afficher sa différence, son droit fondamental à la différence. Xavier Dolan ne se refuse rien, mais ce faisant, il sacrifie son sujet sur l’autel de la fièvre et de la fougue artistique ; et si nous percevons bien l’entrelacs des tons dans le temps, ce mélange d’amour-passion et de haine qui animent les personnages, notamment Fred, la recherche d’une forme finit par triompher du traitement accordé au fond. C’est surtout le montage du film qui est en cause : certaines séquences se répètent inutilement ou ne semblent obéir qu’aux exigences du clip musical avec ralentis à outrance, gros plans et mouvements de caméra sophistiqués. Pourtant, l’embarras occasionné par la virtuosité formelle ne doit pas laisser de côté les moments de grâce durant lesquels le long métrage atteint des sommets de justesse : il s’agit par exemple des dialogues entre Laurence et Fred, avec l’explosion de cette dernière en plein restaurant – une des scènes les plus belles et les plus fortes jamais réalisées par le cinéaste –, des envolées poétiques dans la neige ou sous les feuilles, de cette main tendue vers celui que l’on a frappé en raison de sa différence. Laurence Anyways souffre de lourdeurs, se revendique d’une esthétique de la copia, caricature volontiers l’enseignement de la philosophie au cours de sa première partie, mais travaille au corps un sujet délicat et difficile avec brio. Et quel corps ! Melvil Poupaud tient là l’un de ses meilleurs rôles. Face à lui, Suzanne Clément irradie toutes les scènes dans lesquelles elle joue. Leur duo est magnifique. Un film important.
    Vivien19
    Vivien19

    63 abonnés 443 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juillet 2012
    Si les précédentes réalisations de Xavier Dolan étaient loin d'être exemptes de défauts (Les Amours Imaginaires et J'ai tué ma mère), il était évident que le jeune réalisateur (âgé de seulement 23 ans, rappelons le) était l'un des talents à suivre. Et pour le coup, c'est une surprise qu'il atteint déjà son apogée avec sa troisième réalisation : Laurence Anyways, conte coloré et désenchanté sur l'histoire d'un jeune homme qui déclare à sa petite amie qu'il veut se travestir. Les 2h40 sur lesquelles s'étendent le nouveau Dolan passent en une demi-heure. Alors, peut-être que Laurence Anyways n'est pas parfait, on sent encore que Xavier Dolan peut faire mieux et que le tout a encore quelques défauts. Mais ce n'est pas là que Laurence Anyways se définit : le tout est coloré, avec des séquences musicales absolument déconcertantes de beauté et d'hypnose (à noter la bande-originale, disons-le, parfaite), des acteurs incroyables, des scènes prenantes, le tout étant à la fois décalé et d'un réalisme dérangeant. Drôle, lunatique, hypnotique, si certains trouveront des longueurs, il est évident qu'une fois entrée dans Laurence Anyways on en sort plus, durant 2h40 d'envol, redorant une nouvelle fois le blason du cinéma québécois souvent sous-estimé.
    De bout en bout, le nouveau Dolan fascine, avec son aspect rétro et complètement détaché de toute référence qui en font une grande réussite, portant sur un sujet bizarrement rarement évoqué au cinéma, celui de la transsexualité. Laurence Anyways se révèle magique, enchanté, et porte son casting à des hauteurs qu'on imaginait pas : Melvil Poupaud, incroyable, secondé par une Suzanne Clément, charismatique, une Nathalie Baye méconnaissable mais excellente ainsi que Monia Chokri, révélée dans Les Amours Imaginaire et qui confirme ici son talent. Porté par la main d'un futur maître, Laurence Anyways laisse une empreinte indéfectible dans l'esprit de chacun : de par ses scènes d'une grande beauté, son aspect rétro musical-coloré qui lui est unique, mais aussi purement et simplement parce qu'il s'agit d'un des plus beaux films de ces dernières années, et dans la sélection Cannoise, bien plus original et touchant qu'un De rouille et d'os plus que décevant. Tout simplement grandiose.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 juillet 2014
    Magnifique œuvre cinématographique, chef d'œuvre de plus dans la filmographie du jeune Xavier Dolan. Plans et mouvement de caméra sublimes et d'une rare subtilité et une Suzanne Clément merveilleuse finiront mon éloge de ce jeune mais immensément brillant cinéaste.
    felix-cobb
    felix-cobb

    18 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 mai 2015
    Laurence Anyways : soit le juste balancement entre les nuances, leurs variations, leurs effets sur les personnages et sur la composition des plans, leurs jeux, formant un seul tout, c'est-à-dire dans l'ensemble une authentique autopsie de l'identité.
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