Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Il y a une double détente dans le cinéma faussement superficiel de Dolan : un style tapageur et une distance ironique (...) forment un voisinage heurté et tout en ruptures. Ses films ressemblent à une bouche bavant de rouge à lèvres, d'où jailliraient des vérités cruelles sur l'amour, les sentiments, la difficulté de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
C'est brillant, moderne, bouleversant. D'une insolente beauté.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
par Julien Welter
C'est exacerbé, parfois fastidieux, mais c'est toujours magnifique et interprété avec les tripes.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Dominique Widemann
Si l'époque et le lieu soutiennent la floraison, Xavier Dolan efface les seuils et place le spectateur en vacillement constant. Par les moyens du cinéma que son substantiel talent lui autorise, il puise l'universalité à l'intime, engage sa puissance dramatique aux profondeurs de l'empathie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film qui en ressort est un monstre déconcertant. D'un côté, la fuite baroque (...). De l'autre, un bon vieux mélo des familles, qui ne déroge pas aux canons : primat du romanesque, exposition limpide du conflit, respect du déroulement narratif, dialogues ciselés, morceaux de bravoure pathétiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Dolan renoue avec un certain cinéma, celui de cette période hollywoodienne un peu incertaine du début des années 70 (...). [Il] redonne à ce genre plutôt mineur un regain de juvénilité et de modernité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Ghys
En mai, à Cannes (...) Xavier Dolan déclarait à l'AFP que son troisième long métrage était son oeuvre "la plus aboutie, la plus complète, la plus accessible et la plus touchante". Passons sur le caractère présomptueux du propos. Le réalisateur québécois méché de 23 ans a raison.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heyman
Fulgurant et cahotique, séduisant et égotiste, rythmé par toutes les musiques possibles (...), "Laurence Anyways" est un manifeste passionné sur la porosité des genres, un plaidoyer tendre en faveur de l'abolition des frontières sexuelles, un beau film à la première personne.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Entre hystérie criarde et réalisme romanesque, [Xavier Dolan] ose la sobriété jusqu'à ce que des fulgurances stylistiques viennent nous rappeler à intervalles réguliers son indécent talent.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
C'est précisément de sa morgue, de son aspect bordélique et délibérément too much que "Laurence Anyways" tire sa force. (...) Dolan jette à l'écran tout ce qu'il aime, absolument tout (...) au fil d'un récit à la vitesse d'exécution renversante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
"Laurence Anyways" est un film fleuve qui ne cesse de s'ouvrir, de nous emmener plus loin, avec un formidable appétit de cinéma. (...) Au lieu de se couler dans le moule romanesque lyrique des fresques cinématographiques, Dolan ose un étonnant collage, juxtapose toutes sortes d'images. (...) La force de Xavier Dolan, c'est qu'il n'a peur de rien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Melvil Poupaud porte avec talent cette chronique inégale mais convaincante et esthétiquement bluffante.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Nicolas Maille
L'ambition est là : plus grave, plus long, plus de budget... et la présence de têtes d'affiches qui rejoignent certains visages connus du cinéma de Dolan. Mais est-ce suffisant pour réussir à réconcilier admirateurs et réfractaires au jeune cinéaste ? Autant le dire tout de suite, le pari n'est qu'à moitié gagné.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
C'est un film à combustion lente, malgré l'incandescence du feu qui l'habite et lui donne son énergie. Un long poème d'amour fou, jusqu'au bord du précipice et de la destruction.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) c'est le charme et la limite du film, qui nous égare dans ses élucubrations sur les leurres de la norme et de la marginalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Alain Grasset
[La] performance de [Melvil Poupaud] en transsexuel pourrait bien lui valoir une nomination aux prochains César.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Héligon
Xavier Dolan livre un film-fleuve bouillonnant, porté par deux acteurs principaux (Melvil Poupaud et Suzanne Clément) qu'il dirige magistralement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
[Xavier Dolan] montre une fois encore son tempérament de cinéaste. Comme s'il avait déjà bien mûri, il s'est défait de quelques tics de jeunesse pour assagir ses formes. (...) Il aurait tout de même pu aborder [son sujet] plus sobrement que dans ce très long mélodrame interminable.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Philippe Rouyer
(...) on espérait voir le jeune prodige du cinéma québécois trouver enfin la juste mesure. Au contraire, il livre un film-fleuve de 2h41 qui cite pêle-mêle Almodovar, Wong Kar-Wai et quelques autres dans une esthétique qui lorgne ostensiblement vers le clip.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Ecran Large
par Simon Riaux
Quelques beaux moments, une poignée de jolies répliques, noyés dans un amoncellement répétitif, qui rendrait presque Jean-Paul Goude supportable.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Excessif
par Romain Le Vern
Les thèmes sont forts (...) mais cristallisés autour d'un personnage au départ complexe et mystérieux puis agaçant. A l'arrivée, le résultat n'est jamais troublant, presque sur des rails, dépourvu de surprises.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
Il y a une double détente dans le cinéma faussement superficiel de Dolan : un style tapageur et une distance ironique (...) forment un voisinage heurté et tout en ruptures. Ses films ressemblent à une bouche bavant de rouge à lèvres, d'où jailliraient des vérités cruelles sur l'amour, les sentiments, la difficulté de vivre.
TéléCinéObs
C'est brillant, moderne, bouleversant. D'une insolente beauté.
L'Express
C'est exacerbé, parfois fastidieux, mais c'est toujours magnifique et interprété avec les tripes.
L'Humanité
Si l'époque et le lieu soutiennent la floraison, Xavier Dolan efface les seuils et place le spectateur en vacillement constant. Par les moyens du cinéma que son substantiel talent lui autorise, il puise l'universalité à l'intime, engage sa puissance dramatique aux profondeurs de l'empathie.
Le Monde
Le film qui en ressort est un monstre déconcertant. D'un côté, la fuite baroque (...). De l'autre, un bon vieux mélo des familles, qui ne déroge pas aux canons : primat du romanesque, exposition limpide du conflit, respect du déroulement narratif, dialogues ciselés, morceaux de bravoure pathétiques.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
Dolan renoue avec un certain cinéma, celui de cette période hollywoodienne un peu incertaine du début des années 70 (...). [Il] redonne à ce genre plutôt mineur un regain de juvénilité et de modernité.
Libération
En mai, à Cannes (...) Xavier Dolan déclarait à l'AFP que son troisième long métrage était son oeuvre "la plus aboutie, la plus complète, la plus accessible et la plus touchante". Passons sur le caractère présomptueux du propos. Le réalisateur québécois méché de 23 ans a raison.
Marianne
Fulgurant et cahotique, séduisant et égotiste, rythmé par toutes les musiques possibles (...), "Laurence Anyways" est un manifeste passionné sur la porosité des genres, un plaidoyer tendre en faveur de l'abolition des frontières sexuelles, un beau film à la première personne.
Paris Match
Entre hystérie criarde et réalisme romanesque, [Xavier Dolan] ose la sobriété jusqu'à ce que des fulgurances stylistiques viennent nous rappeler à intervalles réguliers son indécent talent.
Première
C'est précisément de sa morgue, de son aspect bordélique et délibérément too much que "Laurence Anyways" tire sa force. (...) Dolan jette à l'écran tout ce qu'il aime, absolument tout (...) au fil d'un récit à la vitesse d'exécution renversante.
Télérama
"Laurence Anyways" est un film fleuve qui ne cesse de s'ouvrir, de nous emmener plus loin, avec un formidable appétit de cinéma. (...) Au lieu de se couler dans le moule romanesque lyrique des fresques cinématographiques, Dolan ose un étonnant collage, juxtapose toutes sortes d'images. (...) La force de Xavier Dolan, c'est qu'il n'a peur de rien.
CinemaTeaser
Melvil Poupaud porte avec talent cette chronique inégale mais convaincante et esthétiquement bluffante.
Critikat.com
L'ambition est là : plus grave, plus long, plus de budget... et la présence de têtes d'affiches qui rejoignent certains visages connus du cinéma de Dolan. Mais est-ce suffisant pour réussir à réconcilier admirateurs et réfractaires au jeune cinéaste ? Autant le dire tout de suite, le pari n'est qu'à moitié gagné.
La Croix
C'est un film à combustion lente, malgré l'incandescence du feu qui l'habite et lui donne son énergie. Un long poème d'amour fou, jusqu'au bord du précipice et de la destruction.
Le Journal du Dimanche
(...) c'est le charme et la limite du film, qui nous égare dans ses élucubrations sur les leurres de la norme et de la marginalité.
Le Parisien
[La] performance de [Melvil Poupaud] en transsexuel pourrait bien lui valoir une nomination aux prochains César.
Les Fiches du Cinéma
Xavier Dolan livre un film-fleuve bouillonnant, porté par deux acteurs principaux (Melvil Poupaud et Suzanne Clément) qu'il dirige magistralement.
Ouest France
[Xavier Dolan] montre une fois encore son tempérament de cinéaste. Comme s'il avait déjà bien mûri, il s'est défait de quelques tics de jeunesse pour assagir ses formes. (...) Il aurait tout de même pu aborder [son sujet] plus sobrement que dans ce très long mélodrame interminable.
Positif
(...) on espérait voir le jeune prodige du cinéma québécois trouver enfin la juste mesure. Au contraire, il livre un film-fleuve de 2h41 qui cite pêle-mêle Almodovar, Wong Kar-Wai et quelques autres dans une esthétique qui lorgne ostensiblement vers le clip.
Ecran Large
Quelques beaux moments, une poignée de jolies répliques, noyés dans un amoncellement répétitif, qui rendrait presque Jean-Paul Goude supportable.
Excessif
Les thèmes sont forts (...) mais cristallisés autour d'un personnage au départ complexe et mystérieux puis agaçant. A l'arrivée, le résultat n'est jamais troublant, presque sur des rails, dépourvu de surprises.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.