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thiboy
25 abonnés
514 critiques
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1,0
Publiée le 23 novembre 2015
Première réalisation de Nicolas Benamou, grand complice de Mickael Youn qui passe ici pour la première fois derrière la caméra. Il a choisi par le biais d'une comédie de s'attaquer au racisme et afin de montrer l'absurdité du repli identitaire qui grandit de plus en plus en France, pour en parler il utilise un humour assez dévastateur qui reprend au passage tous les clichés sur les arabes et les chinois, tout y passe pour notre plus grand malheur. Le réalisateur accumule les caricatures dans la surenchère renvoyant directement au film des années 70/80, c'est d'ailleurs ce cinéma populaire que le réalisateur convoque dans plusieurs scènes à plusieurs reprises Claude Gensac qui peut apparaitre ici comme une sorte d’hommage aux comédies de Jean Girault, ou encore des citations comme celui faisant référence au films le Guignolo. Même le jeu des acteurs est assez mauvais, excepté la prestation assez convaincante de Vincent Lacoste qui ne cesse de monter en puissance, on n'aura que d'autres choix que de se reporter sur les gags assez présents et efficaces, dommage que cela ne soit pas plus poussé vers l'absurde et manque cruellement de variété, quelques scènes à l’humour douteuse pourront déconcerter plus d'un, Le film est à regarder au second degré, dommage étant donné que le but est de parler de tolérance. On retiendra aussi la prestation de Alice Belaïdi qui nous surprendra. Certains pourront être partagé sur le film, personnellement il est a oublié aussi rapidement qu'il a été vu.
Sans grande réussite, ce film aborde une lutte des communautés au travers d'une guerre des restaurants. Si on aime Vincent Lacoste, on aimera voir ses facéties, si on ne l'aime pas, on aura juste envie de le trucider. Moi j'aime! Malgré ça, quelques sourires et toujours le grand plaisir de revoir Claude Gensac, il ne se passe pas grand chose et on n'en retiendra encore moins.
Voila un veritable petit bijou ! Bravo a Nicolas Benamou et a tous les comédiens pour ce tour de force. Quant aux "critiques presse", vous pouvez les reléguer la ou elle méritent d'être, c'est au dire au néant. Critiques qui au passage ne connaissent meme pas les règles fondamentales de l'écriture d'un scénario digne de ce nom. Il y a incontestablement un énorme travail de la part du scénariste pour créer, définir et faire vivre chacun de nombreux personnages de cette comédie et je salue l'attention qui est donné a chacun d'entre eux, et je sais que tous les comédiens ne sont pas prêts de retrouver des personnages aussi vifs, attachants et délirants de bonheur a interpreter de si tot. Je ne connaissais pas Nicolas Benamou avant ce film et je puis dire qu'il fait partie du très petit cercle de scénaristes et réalisateurs de comédie. La comédie étant ce qu'il y a de plus difficile a écrire. J'ai aimé la justesse de chacun des comédiens, le respect du rythme dans l'écriture et meme si les enjeux ne sont pas poussés a l'extreme, je salue la performance générale du cast. Chacun des caractères, a été pensé et dessiné avec soin, et c'est d'autant plus dur, que comme dans un comédie chorale, il y a beaucoup de personnages, et l'équilibre est dans ce cas particulièrement bien respecté. Je suis en admiration devant le travail et le talent de cette équipe, et dévasté par le manque de reconnaissance de cette profession pour cette pépite du rire, qui sera redécouverte un jour quand on arrêtera d'encenser trop de "films" qui n'en sont pas, des films sans travail d'écriture, sans rythme, fruit d'un travail de gens sans talent et paresseux. A voir de toute urgence pour en rire, c'est tout ce que l'on demande a une comédie pour le temps d'une projection, et dans ce cas, c'est plus que mission accomplie. Recevez ma palme d'or du coeur pour la comédie de l'année, ma distinction est sincère et n'est entachée d'aucune compromission, obligation ou influence. Bonne continuation a toute l'équipe !
Encore une bouse très drôle avec Vincent Lacoste. Comme si le téléfilm vivrensemble d'ordinaire bâclé et dégoulinant avait été piraté. spoiler: ___Ah tu fais de l'internet? Cool, j'aime bien en faire moi aussi, c'est sympa. Ecoute Samir, c'est pas facile à dire mais t'es mon frère... ___Ta gueule, ta gueule, viens voir ___C'est la femme du Chinois? Tu peux l'enregistrer ça? ...... Une bouse qui s'assume (et quand ça s'assume, ça me fait triper...(je crois qu'ch'us amoureuse))
« De l’huile sur le feu » est une de ces comédies dont le ressort est la confrontation entre deux « communautés » et qui reposent sur les stéréotypes et préjugés qu’elles entretiennent entre elles. Mais ici les scénaristes nous ont évité l’habituelle confrontation français de souche vs une autre communauté ou celle toute aussi fréquente juifs vs arabes ; ils ont innové (un peu) en mettant aux prises une famille de restaurateur d’origine algérienne face à une famille restaurateurs d’origine chinoise. Le scénario sur cette base fait place à une grosse comédie où plus le temps passe plus c’est l’escalade dans l’affrontement et où les gags les plus gros, voire les plus lourds, se succèdent. Si les farces ne sont pas votre tasse de thé vous risquez fort de peu goûter l’humour ce long-métrage qui ne s’épargne aucun calembour lourdingue ni aucune situation outrancière. Les personnages sont parfois caricaturaux, comme celui de Vincent Lacoste carrément grotesque en français qui se prend pour un chinois, le plus souvent très stéréotypés au point de n’en être plus vraiment drôles juste agaçants. À côté de cet affrontement communautaire se noue une histoire d’amour pas vraiment crédible pastichant un Roméo et Juliette du pauvre qui donne au film un côté on-veut-finir-sur-un-happy-end qui se sent des heures avant que ça ne se passe. Alors on pourra jouer à essayer de reconnaître les nombreux petits rôles tenus par des comiques qui se glissent dans le casting, mais ça fait peu sur un film dont la volonté de faire rire à tout prix confine à l’indigestion. Une grosse comédie distrayante, mais qui reste trop pauvre dans son scénario et trop lourdingue dans son humour pour convaincre un public qui aurait plus de vingt ans, voire qui aurait passé la prime adolescence. À voir à la rigueur… sans plus.
Ce film nous prouve que Vincent Lacoste est bel et bien un des nouveaux grands acteurs du cinéma français malgré son jeune âge. Cet acteur a tout d'un futur très grand. Après avoir vu ce film ,un autre acteur nous montre également que son rôle dans "Les Barons" n'a pas été décroché par hasard , je veux bien sûr parler de Nader Boussandel. Un film à prendre avec des pincettes car il traite d'un sujet extrêmement tendu en France : Le racisme. Je ne peux pas mettre 5 étoiles car il est d'une violence dont certains pourront qualifier d'extrême.
C'est du "un peu n'importe quoi" qui distrait malgré tout !! Alice Belaïdi et Vincent Lacoste sont convaincants dans leur rôle respectif mais le scénario n'est pas suffisamment structuré et part dans tous les sens. Ary Abittan (le serveur de la pizzeria) a une excellente interprétation qui se distingue particulièrement. ☆☆ = pas terrible
Scénario ? Absent. Humour ? Absent. Comédiens ? En récréation ou à la poursuite du cachet. Ce film mériterait mille fois d'avoir une accroche à la Baffie : "N'y allez pas, c'est une bouse !"
Et si vous tenez spécialement à l'huile sur feu malgré tout, il reste Babylon Circus !
Du gros n'importe quoi qui fait sourire de temps à autre, beaucoup d'apparition de guest : la bande à Michaël Youn et les Kaira. Mais le film ne séduit pas tellement malgré deux bons comédiens : Vincent Lacoste et Alice Belaïdi (leur scène sont les plus intéressante...).
Un film sans prétention qui m'a fait énormément rire. Comédie légère et drôle comme j'aime avec énormément de rythme et de fraicheur. Il y a des clichés, des stéréotypes et c'est justement ( mais pas que ) ça qui est drôle pour ceux qui ne comprendrai que le 1er degré !!!!
Pas prétentieux, un peu burlesque, beaucoup de rythme et de la bonne humeur. Belleville semble chaleureux (et heureusement toujours bouillonnant). Les deux chefs de famille dégagent une sacrée énergie (limite Louis de Funès) et s'imposent comme les locomotives dans les nombreux gags (pas toujours finauds certes). Déception de Vincent Lacoste enfermé dans son personnage de Droopy. Une pelletée de personnages clin d'oeil également. De la bonne cuisine de quartier en somme.
Alors lui je l'adore!! J'ai passé un bon moment j'ai beaucoup ris..les clichés sur les uns et les autres y vont bon train, y du rythme, des acteurs très enjoués il donne vraiment le sourire..ça fait du bien!!