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Un visiteur
4,5
Publiée le 11 octobre 2011
Un joli film tout en sensibilité, en humour et en tendresse. Un trés bon moment, et un baiser qui est bien plus qu'un baiser...!! A VOIR ABSOLUMENT (à mon avis).
Adapté des mémoires d’un célèbre chef cuisinier anglais par Lee Hall (scénariste de Billy Elliot), Toast est le très joli premier film de S.J.Clarkson. J'en suis ressorti ravi. C’est plein de charme et vraiment très émouvant. Un vrai bonbon acidulé anglais... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/
Voici l'un de mes coups de coeur de l'année ! En prenant mon billet pour voir Toast, je savais uniquement qu'il s'agissait de l'adaptation d'une autobiographie et que l'action se passerait principalement dans une cuisine. Passons sur l'enfance de Nigel Slater, incarné par un petit acteur malicieux au prénom prémonitoire, Oscar Kennedy. Une enfance pas si facile, entre une mère malade et un père pas vraiment compréhensif. Un tas de détails nous montrent l'adolescent que deviendra Nigel, qui prend alors les traits de Freddie Highmore, bien connu du jeune public. Et c'est de lui que vient la surprise ! On dirait qu'il a décidé de briser l'image proprette que lui ont forgé Charlie et la chocolaterie et la saga Arthur et les Minimoys en se mettant en danger dans ce rôle quelque peu inattendu. En plus il est totalement crédible et semble même y prendre du plaisir, le bougre ! Le spectateur, lui, aura sans doute une féroce envie de tarte au citron meringuée en sortant de la salle. Un conseil : allez voir ce film avant de manger. "Bon appétite !"
J'aime : * i love english accent * Helena Bonham Carter & Freddie "cutie" Highmore * la tarte au citron * la 1ère partie du film * les petites sucreries bercées de poésie
J'aime pas : * les émotions peu développées * les lourdes lenteurs
Un pur chef d'oeuvre British so British. Très belle reconstitution de l'époque et que de douceur dans la méchanceté et la lutte pour l'amour d'un père.
Nase et le lent aucun rapport avec la Cuisine les acteurs nul et même le Freddie Highmore a la fin en a ras le bol donc en 2 mots ppurrave a en crever et merdique
Au lieu de donner à voir la naissance d'un génie gastronomique, on assiste à un étalage de pitié et de larmoyant qui font paraître cette histoire (vraie pourtant!) comme une énième redite du conte de Cendrillon et les personnages ne sont que caricatures, grotesques et insipides. Tout le monde n'est pas capable d'exorciser ses démons par le cinéma.
Une histoire douce amère vraiment agréable, au ton un peu décalé qui apporte une certaine poésie et transforme en conte l’histoire d’enfance de ce Chef anglais reconnu, qui a du mal à trouver sa place et à se construire une identité propre entre une mère malade et un père absent.
Soyons honnêtes : je n'attendais vraiment pas d’étincelles de ce film sur l’enfance et l’adolescence du célèbre (du moins Outre-Manche) cuisinier Nigel Slater. En effet, le cinéma nous a rarement gâté en matière de film "culinaire" : « Le goût de la vie », « Julie et Julia » et bien d'autres... La sauce ne prend pas toujours et la sensation d’écoeurement n’est jamais très loin. « Toast » ne déroge pas à la règle, même s'il y a quelques petites choses à sauver, à l'image des couleurs chaudes et agréables, quelques scènes aussi amusantes que bien senties et d'un casting impeccable que domine la grande Helena Bonham Carter, savoureuse en gouvernante puis belle-mère légèrement vulgaire. Mais l'intrigue est à la limite de la purge, se limitant la plupart du temps à une opposition assez grossière entre ces différents protagonistes, où finalement seul celui du père évolue sensiblement. Pour le reste, on devra se contenter d’un héros peu charismatique ayant pour seul but dans la vie de cuisiner et d’une belle-mère finalement beaucoup moins antipathique que ne cherche à la montrer la réalisatrice. On a beau apprécier cette démarche consistant à ne montrer personne tout noir ou tout blanc durant 90 minutes, on ne peut s’empêcher de trouver le temps long. La raison principale est que nous nous prenons plus d’attachement pour le personnage de Bonham Carter, bien plus méritante et dynamique, que pour le jeune Nigel, ne faisant jamais aucun effort d’amabilité et de partage au point de finir par nous gonfler au plus haut point. Non pas que nous soyons pour les petits garçons modèles, mais à ce niveau d’énervement, cela devient problématique. D’autant que niveau rythme et enjeux, ça coince aussi : entre questions existentielles captivantes (Nigel réussira t-il une meilleure meringue au citron que Miss Potter ? C’est les candidats d’ « Un dîner presque parfait » qui vont se régaler...) et intrigues secondaires traitées à l’arrache (l’homosexualité de l’apprenti cuisinier), il n’y a rien de bien croustillant à se mettre sous la dent. Une cuisine encore une fois beaucoup trop fade pour nous passionner.
Une bonne comédie dramatique retranscrite dans une époque anglaise que l'on aurait surement tous aimé connaître. L'histoire est vraiment touchante et les émotions sont très communicatives. Les deux jeunes acteurs qui interprètent le protagoniste Nigel sont superbement convaincants. Le genre est fidèle à lui même car on peut à la fois être ému et à la fois rigoler. Helena Bonham Carter a prit un sacré coup de vieux, je ne sais pas si c'est pour son rôle mais je le trouve méconnaissable. La bande originale est en accord parfait avec l'ensemble des scènes et elle nous transporte pendant prêt d'une heure et demie. La première heure est réussie mais la dernière demie-heure m'a déçu, en fait je ne m'attendais pas à voir le personnage principal grandir et certaines choses m'ont un peu gêné. Cependant, je n'avais encore jamais entendu parler de ce long métrage et je l'ai trouvé plutôt sympathique. A découvrir. 13/20.
Un telefilm sympathique mais avec beaucoup de longueurs (surtout au début) . Toutefois les acteurs Freddie Highmore et Helena Bonham Carter sont épatants .
Un film délicieux, comme les bons petits plats qui s'y succèdent. La cuisine comme interprétation de la liberté de pensée et d'expression, une fraîcheur qui s'oppose au prêt-à-manger en boîte, qu'on réchauffe et qu'on avale par seule nécessité. On en reprendrait bien une part !