Au lieu de donner à voir la naissance d'un génie gastronomique, on assiste à un étalage de pitié et de larmoyant qui font paraître cette histoire (vraie pourtant!) comme une énième redite du conte de Cendrillon et les personnages ne sont que caricatures, grotesques et insipides. Tout le monde n'est pas capable d'exorciser ses démons par le cinéma.
Nigel adore sa mère, piètre cuisinière habituée des ratages culinaires -même les conserves- qui a un plat de remplacement tout trouvé : des toasts beurrés. Quant à son père, il crie pas mal mais ne semble pas avoir beaucoup d'amour à donner. A la mort de sa mère, Nigel dispute l'amour de son père à la bonne à coup de... bons petits plats.
Oscar Kennedy et Freddie Highmore se partagent avec brio le rôle du héros, un gamin adorable qui voudrait seulement que son père l'aime. Victoria Hamilton campe la mère aimante et déchirée par la douleur qu'elle sait que son fils va subir. Helena Bonham Carter distille une cruauté égoïste en incarnant l'abominable belle-mère au physique banal mais cuisinière hors pair qui pourrait aimer le gamin mais craint trop de perdre sa place dans le coeur du père, joué par l'excellent Ken Stott. Le scénario, accompagné par une très belle B.O, est simple mais inventif, un brin acide. Le film mêle habilement émotion et rire et donne faim en filmant la passion de la cuisine. La reconstitution des 60's est très belle. Il s'agit de l'une de ces petites merveilles découvertes par hasard alors qu'aucune promotion n'en ait été faite.
Un pur chef d'oeuvre British so British. Très belle reconstitution de l'époque et que de douceur dans la méchanceté et la lutte pour l'amour d'un père.
Au départ je n'était pas pour vu le résumer. Mais avec mes deux acteurs préférés dans le même films ( Helena Bonham Carter et Freddie Highmore ) je ne pouvais passer à côté. Compliquer par moments, mais tout est exprimer avec une telle finesse que j'ai apprécier.
The story of a boy’s hunger. Nigel est un jeune garçon dont la maman ne sait rien cuisiner d’autre que la tarte de Noël. Elle trouve que les aliments frais sont sales, et ne jure que par les conserves. Nigel lui, est fasciné par la « vraie » nourriture, notamment grâce à leur jardinier qui lui fait découvrir les légumes. Plus tard, sa mère décède et il se retrouve avec un père distant dont il essaye d’attirer un regard bienveillant. La tâche se révèle encore plus ardue avec l’arrivée de la femme de ménage qui deviendra sa belle-mère. Cette dernière est une grande cuisinière, et Nigel et elle vont se livrer une bataille pour l’amour du papa à coup de bons petits plats. Ce film est basé sur l’autobiographie du chef anglais Nigel Slater, et reste concentré sur sa jeunesse. Ce que je trouve dommage car quand ça devient intéressant, le film se termine ! Le côté retro dans les plats cuisinés est bien fait et plaisant, mais à part cela, je n’ai pas été passionnée par son histoire. Aucun des personnages n’est réellement sympathique, même pas Nigel. Le père passe son temps à menacer Nigel mais il n’est pas montré comme violent. Par contre quel égoïste ! La belle-mère fait aussi quelques menaces, mais elle ne semble vraiment pas méchante, elle cherche juste se place au milieu de ces 2 hommes. spoiler: J’ai trouvé étrange que Nigel ne semble pas un peu traumatisé ni même culpabilisé d’avoir souhaité la mort de sa mère et que cette dernière meure la même nuit.
En tant que grande fan de Helena Boham Carter et de Freddie Highmore, j'ai évidemment regardé ce filme et j'ai vraiment adoré ! Je ne me suis jamais ennuyé..et toute finesse tout le long ! Super !
Nase et le lent aucun rapport avec la Cuisine les acteurs nul et même le Freddie Highmore a la fin en a ras le bol donc en 2 mots ppurrave a en crever et merdique
Un joli film tout en sensibilité, en humour et en tendresse. Un trés bon moment, et un baiser qui est bien plus qu'un baiser...!! A VOIR ABSOLUMENT (à mon avis).
Un pur moment de bonheur, joué juste et tout en finesse. L'histoire est proche de Ratatouille, sauf, que là, elle est tirée d'une vraie vie ! Ce film est quasi passé inaperçu en France, bien dommage ! Et Freddie, est un véritable bon acteur, il est tellement charmant dans ce rôle...
Un film délicieux, comme les bons petits plats qui s'y succèdent. La cuisine comme interprétation de la liberté de pensée et d'expression, une fraîcheur qui s'oppose au prêt-à-manger en boîte, qu'on réchauffe et qu'on avale par seule nécessité. On en reprendrait bien une part !