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    I'll never die alone
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    pietro bucca
    pietro bucca

    66 abonnés 1 228 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 novembre 2020
    D'un ennui mortel. Mal filmé. Une histoire de vengeance simpliste. Film amateur dans tous les sens du termes. Passer votre chemin.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 novembre 2015
    Quand on veut faire un film qui choque encore faut il le faire avec talent sinon le film devient juste nul pour être poli. Un film qui n'as aucun intérêt qui est mal filmé. La seule bonne idée du film étais de faire peur avec le sonore mais même la c'est loupé, la vengeance est nulle comme tout le reste d'ailleurs. A des années lumière de i spit on your grave. Pour finir j'ai l'impression que se film a étais fait par un paresseux. Ma note 0.5/5
    FaRem
    FaRem

    8 608 abonnés 9 508 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 mai 2013
    Un film sans intérêt il ne se passe rien d'intéressant et même la partie "vengeance" est nul je me suis ennuyer tout au long du film, dans le même registre vaut mieux voir "I spit on your grave"
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 390 abonnés 4 429 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 avril 2013
    I will never die alone marche dans un genre assez classique : le rape and revenge. Je m’attendais clairement à un peu plus de ce film. Bon je commence par un bon point : l’interprétation. Celle-ci est tout à fait convaincante et la crédibilité des prestations donnent du relief au film de manière évidente. Les psychopathes de service sont froids et indifférents, les jeunes filles rendent à merveilles les émotions diverses qui traversent leurs personnages, de la douleur, de la haine voir de la cruauté (mais je les comprends). Clairement le film repose sur ses acteurs et serait sinon assez fade.
    Le scénario est en effet des plus classiques, et au lieu de mettre en avant une victime, il montre un groupe. Séquence introductive, scènes de viols longues et crues (au moins dix minutes au milieu du métrage), puis vengeance. Il n’y a pas grand-chose d’autre. C’est très linéaire, il y a peu de dialogue (plutôt un bon choix), et sans surprise aucune. Par ailleurs la fin est assez absurde (je parle de la mort du troisième type). Peut-être que cet aspect burlesque est voulu, mais enfin, je n’ai pas été convaincu.
    Heuresement, Bogliano livre une belle partition d’un point de vue visuel. Son film est très bien mis en scène, sa caméra allant au plus près de l’action, se contentant généralement avec beaucoup de sobriété de suivre ce qui se passe. C’est neutre et clinique, bon choix. Je note que si les scènes de viols sont très crues, elles ne sont pas racoleuses et Bogliano fait preuve d’un réel talent en ce sens. La photographie est soignée, et là aussi il y a de la recherche esthétique évidente. C’est tout de même moins convaincant que pour la mise en scène, I will never die alone restant assez classique au final. Les décors naturels sont bien mis en valeur, il y a une douce brise qui agite systématiquement les arbres et les plantes, et cela donne une poésie bucolique aux lieux (en contradiction volontaire avec ce qui s’y passe). Les effets visuels sont efficaces mais ils sentent trop souvent le numérique bas de gamme. Dommage. Il y a peu de musique par ailleurs, néanmoins lorsqu’elle est présente elle est bonne.
    Je conclurai donc en disant qu’on a là un film de qualité certes, mais malheureusement qui me rappelle un peu Aftermath. Il y a de la recherche esthétique, c’est clair, mais le film reste très basique. Peu imaginatif, le rythme est par ailleurs assez imparfait. Jouant classiquement sur les codes du rape and revenge avec un coté film d’auteur plutôt que film d’exploitation, I will never die alone ne m’a pas totalement convaincu. C’est banal. Bogliano s’est bougé, tant mieux pour lui car sinon son métrage serait assez pathétique.
    tadd
    tadd

    8 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 août 2012
    Ca fout une baffe et ça fait mal...
    On sent l'empreinte d'un auteur. Le travail sur le son est bien pensé et très efficace, couplé à des plans longs à l'excès, cela dégage une identité propre au film, son mode de narration particulier.
    Pas de bébête, d'alien, de sorcellerie ou de morts vivants ici, rien que du sadisme et de la cruauté bien ancrés dans la réalité...horrible et perturbant...
    C'est cru, c'est brut, a l'excès une fois encore. J'ai vraiment aimé ce film pour son aspect original même si son côté "snuff-esthétique" n'est pas ce que je préfère
    spoiler: ]La scène de viol, interminable, finit par physiquement révulser. Je ne pense pas me tromper en pensant que c'était bien l'intention du réal et c'est vrai que sans ça le film n'aurait pas la même force, mais cela me fait penser à la scène dans The last house on the left de Craven. Une scène tout aussi dérangeante et brutale mais tournée de façon plus cinématographique, moins snuff-movie, mais tout aussi efficace.
    [/spoiler]
    Bref, était il vraiment nécessaire de forcer le trait jusqu'à la nausée? La réponse est oui, c'était nécessaire pour arriver à ce résultat horriblement bien réussi.Ames trop sensibles s'abstenir.
    spoiler: Petit détail amusant : la censure!! on voit un groupe de nanas se faire violer et trucider par une bande de brutos d'une manière choquante et on remarque (du moins dans la version que j'ai vue) dans cette fameuse scène d'hypocrites floutages qui viennent perturber l'aspect réel. Sur que le réal n'a pas eu le choix...
    Toutou to you
    Toutou to you

    35 abonnés 599 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 octobre 2011
    Un fim brut remarquable, qui fait l'économie de dialogues pour mieux distiller la tension. Attention à la violence et à la scène de viol. La réalisation alterne l'amateurisme et un réel talent. Entre drame et horreur, No Morire Sola n'est pas à mettre devant tous les yeux. 4,5/5
    Bobby Sander
    Bobby Sander

    49 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 janvier 2011
    Malgré son sujet-choc (donc bankable), No Morire Sola peine à percer chez les cinéphiles. Ses quelques spectateurs lui entretienne une piètre réputation, tapissant (modérément) le Net de critiques assassines, sinon pire, c'est-à-dire condescendantes à en atteindre le stade de la moquerie la plus acerbe.



    Dans la ligne de mire de ces mécontents, l'amateurisme de la réalisation et la petitesse du propos. Il faut dire qu'on nous l'a déjà fait, le coup des petites proies insouciantes soumises aux sombres instincts d'affreux sales vilains ploucards, omerta des collaborateurs locaux comprise. Qui plus est, l'option de l'hyperréalisme est depuis longtemps la moins originale de toutes.



    Bogliano a essayé sa redite à lui de tout un genre, florissant dans les 70's et sur lequel ne sont opérés que quelques retours ponctuels aujourd'hui (dont celui, particulièrement bien orchestré, sur La Dernière Maison sur la Gauche de Craven). No Morire Sola/I'll Never Die Alone est ainsi un rape-and-revenge, un de ces films ou des filles violées prennent leur revanche en tuant leurs agresseurs, non sans leur infliger quelques corrections physiques méritées -et, idéalement, jouissives. Le leitmotiv féministe est peut-être sincère, mais il est fort mal servi par ce nanar hargneux de façade, finalement démuni dans sa noble cause.



    Au-delà de la mollesse stupéfiante du récit et de la mise en scène (ah, cette riche idée de tout filmer pour bien tout montrer d'une candeur ou d'une détresse), c'est l'ineptie de la chronique qui agace (le réalisateur ne connaît-il vraiment rien du sexe féminin, ou s'est-il contenté de parcourir les articles de Elle ou Marie-Claire pour se faire une idée ?). Solennité cheap pour symbolique rutilante : les manies de Bogliano sont quelquefois favorables à son film, comme pour cette façon de filmer la route en arrière et contre-plongée lors du final (pas fulgurant, c'est vrai). Pour les plus attentifs ou cléments, il y aura aussi l'exotisme du cadre, plus jungle que rural, cette fois (c'est peut-être ça, le progrès).



    Malgré ses ingrédients polémiques, voici un film jamais poignant, incapable d'atteindre viscéralement ; c'est une besogne de plus dans le genre. C'est moche, la scène de viol est sauvage, la vengeance trash comme il faut, mais globalement ça ne se donne pas comme autre chose qu'un attrape-pervers. Petits pervers décidément bien attrapés car au lieu de claque impure, c'est un somnifère pour cachalot qu'on leur administre. Remarque, ça aussi c'est puissant et puis, il y a souvent si peu de choses derrière l'ennui qu'on en éprouve facilement le vertige.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 177 abonnés 7 496 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 décembre 2010
    I'll never die alone (2008) est un DTV argentin extrêmement décevant, dans le sens où on a l'impression que le cinéaste ne savait pas du tout ce qu'il faisait réellement. Alors que l'on s'attendait à voir un rape and revenge, le film s'avère être très loin de ce à quoi le réalisateur nous avait promis. La mise en scène est pauvre et pâtit du peu de moyens alloués au film, l'image est laide, on croirait avoir affaire à un film des années 70, sauf qu'ici, le rendu final est involontaire. Il en va de même pour le son, très bruyant (trop même), notamment les scènes dans la forêt, on croirait que le film a été tourné dans une scierie. Quant à la mise en scène, elle est tellement amorphe que le spectateur sombre dans l'ennui, les longs plans fixes s'enchaînent et finissent par endormir les spectateurs un à un. Une déception en bonne et due forme.
    jamesluctor
    jamesluctor

    134 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 novembre 2010
    Bon, la photographie n'est pas géniale (et je commence à en avoir marre de cette retouche d'image aux couleurs froides). Le scénario tient sur deux ligne : rape and revenge. Au moins, pour le rape, le réalisateur ne nous ment pas sur la quantité, en nous balançant une dose de violence dépassant allègrement celle de la vengeance qui suivra. Histoire consise, acteurs approximatifs, oeuvre féministe et démago malgré ses apparences de bad boy, I'll never die alone n'apporte rien de nouveau, malgré quelques scènes fortes. Dommage.
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