Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
videoman29
251 abonnés
1 835 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 11 mars 2014
Et bien Rob qu'est-ce que c'est que ce travail ? Franchement jusque là, tu m'avais fait kiffer avec tes films ! J'avais trouvé tes deux « Halloween » quasi parfait, « Devil's reject » violent et glauque comme j'aime et même « la maison des 1000 morts » m'avait bien fait rire ! Mais là t'as vraiment pété les plombs ! Ton film sur les sorcières de Salem était pourtant une bonne idée à la base mais il faut arrêter l'herbe qui fait rire quand tu travailles, c'est pas compatible ! Je suis désolé, mais elles sont nulles tes sorcières, presque drôles tellement elles sont caricaturales. En tout cas certainement pas effrayantes ! C'est comme cette histoire de bébé du Diable, c'est pourtant pas les références qui manquent ; où t'es allé chercher tes inspirations ? Je n'ai strictement rien compris tellement l'histoire est embrouillée, on dirait franchement un mauvais trip... à l'image de celui que tu fais jouer à ta chère et tendre, pas si mauvaise actrice que ça d'ailleurs. Pour le reste... Je vais attendre ton prochain film parce que celui-là, je suis désolé mais il est « naze » !!
Zombie change de registre en voulant faire de son film une lente plongée cauchemardesque, une descente aux enfers au sens propre du terme. On retrouve du "Rosemary's Baby" pour l'histoire, de "L'échelle de Jacob" pour l'ambiance monstrueuse, et du "Shining" pour la façon de filmer... les couloirs. Mais il intègre aussi nombre d'éléments pas très heureux comme toutes ces scènes de flashbacks lourdingues de sorcières totalement cliché et s'encombre d'explications pas vraiment nécessaires qui ne font que briser l'ambiance et le rythme (le personnage de l'écrivain est plutôt inutile). "The lords of Salem" est rarement intense ou éprouvant, il atteint même parfois le grotesque kitsch, et à défaut d'être une œuvre viscérale il est tout juste intrigant.
Je n'ai qu'un mot à dire : NUL !! Non mais c'est quoi cet horreur !? les producteurs ils ont fumés quoi ? je déconseille, aucune histoire, ou presque pardon, peu de dialogue, pas du tout accrocheur !! j'ai réussi à tenir 40min !
L'image est sublime, l'histoire à hurler. De rire. Il est évident que soit on adore, soit on déteste. Ainsi va le destin des artistes depuis les débuts de l'humanité. Il est probable que les contemporains des gribouilleurs de la grotte de Lascaux ne se soient pas massivement tordus d'extase devant ce qui est devenu depuis l'une des légendes absolues de la représentation artistique. Courage, Rob! Plus que dix neuf mille neuf cents quatre vingt dix huit ans avant d'être reconnu à ta juste valeur...
Déjà privé de sorties salles pour la suite de son reboot d'Halloween, le réalisateur Rob Zombie semble ne plus être en odeur de sainteté auprès des distributeurs français. Nous voilà en effet à nouveau privé d'une sortie en salles de son nouveau long métrage The Lords Of Salem. Un long métrage pourtant produit par Jason Blum et Oren Peli a qui l'on doit les succès de Paranormal Activity et Insidious. Heureusement l'éditeur Seven 7 pense aux fans du chanteur / réalisateur pour nous proposer enfin son cinquième long métrage.
Pour son nouveau film le réalisateur également scénariste vient réveiller un vieux mythe qui a déjà régulièrement inspiré le cinéma. On ne compte plus les long métrage plus ou moins inspirés de l'histoire des Sorcières de Salem. Un superstition américaine qui a poussé une ville a accuser et juger plus de 150 femmes soupçonnés de sorcellerie. Rob Zombie ressuscite trois de ses sorcières bien décidés à se venger et à poursuivre leur oeuvre.
A chacun de ses films Rob Zombie a su imprimer un genre différent passant du film clipesque au road movie 70's puis au remake. Avec The Lords Of Salem, l'influence des années 70 se fait encore ressentir mais cette fois ci les inspirations du réalisateur viennent des classiques de l'horreur L'Exorciste de William Friedkin ou La Malédiction de Richard Donner. Cela se voit par l'esthétique des images et des choix de cadrages en extérieur tout à fait typique de cette époque qui avait aussi inspiré Ti West dans The House Of The Devil.
Si Sheri Moon Zombie est déjà un des éléments marquants des précédents films de son réalisateur de mari, elle est cette fois ci vraiment au cœur de l'histoire en incarnant Heïdi. Ce rôle va certainement définitivement faire d'elle, l'une des Scream Queen les plus réputées de ces dix dernières années. Rob Zombie a aussi fait appel à d'autres acteurs fétiches pour des apparitions éclairs où ils ne sont pas forcement reconnaissable : Sid Haig, Jeff Daniel Phillips, Ken Foree & Michael Berryman.
Il complète son casting avec des acteurs cultes qui ont marqués les esprits il y a plus de vingt ans. Il y a tout d'abord Patricia Quinn, l'inoubliable Magenta du Rocky Horror Picture Show, a qui il avait déjà rendu hommage dans Halloween II. Mais aussi Dee Wallace (La Colline A Des Yeux), Meg Foster (La Forêt d'Emeraude, Invasion Los Angeles) et Judy Geeson. Du lourd pour les cinéphiles observateurs ! au coté de qui on retrouve aussi la sexy Lisa Marie, ex-compagne de Tim Burton vue dans Mars Attack et Ed Wood.
Après le décevant Halloween II pour lequel il n'avait pas eu le temps de réellement se préparer, The Lords Of Salem marque le grand retour de Rob Zombie. Un nouveau chef d'oeuvre de l'horreur qui confirme définitivement le talent de réalisateur du chanteur. Parfois aussi choc que House Of 1000 Corpses, The Lords Of Salem marque par son image léchée et ses effets de cadrage. Un long métrage que tout prétendus fans d'horreur se doit de ranger d'urgence dans sa vidéothèque.
Un film dédié tout entier à ta femme et à Satan. Rob j'aime bien tes films mais sur celui-ci tu m'as fait chier. Ah tu l'aimes ta Sheri Moon ^^ Je te met pas 0,5 mais 1 juste parce que je t'aime bien ;)
Si "The Lords of Salem" ne fait guère évoluer la carrière de Rob Zombie, il se regarde tout de même avec plaisir grâce à son point de vue hanté par la terrifiante Meg Foster qui permet au cinéaste de rendre un nouveau bel hommage au genre.
Avec sa musique qui s'empare des femmes et provoque de sombres hallucinations, Rob Zombie reprend cette idée d'une œuvre qui agit directement sur ceux qui y portent attention. Carpenter a déjà développé ce thème à deux reprises, dans "L'antre de la folie" avec un livre et dans "La fin absolue du monde" avec un film. De "La fin absolue...", Zombie semble d'ailleurs avoir aussi retenu la mise en scène de la projection du film qui tue dans cet épisode de "Masters of horror". Et le maquillage sur l'affiche, ça ne vous rappelle rien... ? Kiss ? Oui, c'est vrai. "Ghost of Mars" ? Aussi. Et le symbole sur le front ? Un hommage à Einstürzende Neuboten ou quoi ? Voili voilou, quand on a pas grand chose à dire d'un film, on s'égare. C'est long et bavard, peu enthousiasmant. Seuls quelques tableaux très baroques à la fin de ce film le sauvent d'une totale débâcle.
Il n'y a décidément rien à dire sur ce... cette... immondice. Ça n'a ni queue ni tête, le réalisateur a juste trop fumé de kérosène avant de se mettre derrière sa caméra.
C'est lent, très lent. Il ne se passe rien. Les effets sont redondants. On se demande quand le film va décoller, et il ne décolle jamais! À éviter absolument!
Rob Zombie s'embarque dans un registre qui lui est, en ressentit, bien moins personnel. Je parle d'un registre mais pas d'un style. Il n'ambitionne pas à de grands effets. Plus inspiré par le retentissement sonore que par les subterfuges visuels, le film ne se classe pas dans l'horreur graphique mais davantage dans l'épouvante, voir un sous genre de l'horreur, pour lequel Sheri Moon se trouve être la putain victime. Fini l'hétérogénéité des styles. On ne l’avait pas vu venir, mais Halloween (2007) annonçait visiblement une étude des genres, avec la résurgence de l'œuvre fondamentale du Slasher. Après le Slasher grand public donc, place au cinéma d'exploitation bis de vieilles sorcières, plus intime, moins fringuant, il lorgne d'évidence vers un cinéma italien, celui de Pasolini - Rythme Opératoire d'étude après contusions / images blasphématoires des icônes religieuses / sexualité dans la plus grande perversité - mais toujours avec cette même patte gothique. La blood sauce ne prend pas, mais Rob n'est pas encore inhumé.
En mettant un disque mystérieux à la radio, une animatrice réactive les sorcières de Salem. Un film sans intérêt, même pas vu jusqu'à la fin tellement il était ennuyeux.
Le genre de film ou si on entre pas dans le délire on s'ennuie à mourir ce qui fut le cas pour moi.. Il y a c'est sur un vrai univers, l'ambiance est surement réussi mais trop peu pour moi je ne suis jamais rentré dans ce délire là.