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Avec ce film sombre et lumineux, Frédéric Chaumier invite en douceur à la réflexion, et rend hommage à son père, aux malades et aux soignants. A la vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les soignants rappellent que notre société ne veut plus accueillir la mort en son sein, et que l'existence d'une structure comme la Maison Jeanne-Garnier est la conséquence directe de ce refus. "Les Yeux ouverts" est une tentative maladroite pour que cette échéance inévitable retrouve sa place.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) La compassion émerveillée du cinéaste pour les patients (...) comme pour l'entourage médical (...) et la naïveté de nombreux procédés audiovisuels évacuent dans leur élan un élément essentiel: par quelque bout qu'on la prenne, la mort est quand même et avant tout une sacrée saloperie.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
Un documentaire fort et délicat sur les soins palliatifs.
Le Journal du Dimanche
Un film dur et bouleversant qui nous rappelle qu'il faut savoir parler de la mort pour continuer à vivre.
Paris Match
Ce documentaire (...) est avant tout un film d'auteur, réalisé avec une sensibilité bouleversante.
TéléCinéObs
Bonheurs fugaces, espoirs étranglés, renoncements... tout est saisi ici avec pudeur et délicatesse. Eprouvant ? Souvent. Bouleversant ? Toujours.
Télérama
Avec ce film sombre et lumineux, Frédéric Chaumier invite en douceur à la réflexion, et rend hommage à son père, aux malades et aux soignants. A la vie.
Le Monde
Les soignants rappellent que notre société ne veut plus accueillir la mort en son sein, et que l'existence d'une structure comme la Maison Jeanne-Garnier est la conséquence directe de ce refus. "Les Yeux ouverts" est une tentative maladroite pour que cette échéance inévitable retrouve sa place.
Première
(...) La compassion émerveillée du cinéaste pour les patients (...) comme pour l'entourage médical (...) et la naïveté de nombreux procédés audiovisuels évacuent dans leur élan un élément essentiel: par quelque bout qu'on la prenne, la mort est quand même et avant tout une sacrée saloperie.
Studio Ciné Live
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