Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Ne passez surtout pas à côté de ce beau film sur le risque de vivre et d'aimer.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Si "Marieke" échappe à la chronique sordide et démonstrative, c'est que le film se refuse contre toute attente à se repaître d'une névrose gérontophile pour se concentrer sur l'histoire d'une reconstruction.
Positif
par Ariane Allard
Si ce film intrigue, il n'impressionne que rarement. Entendez du point de vue rétinien comme scénaristique. Il y a donc un paradoxe, voire une déception qui, in fine, font...écran.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Critikat.com
par Clément Graminiès
De ce canevas plutôt classique, la réalisatrice belge Sophie Schoukens tire un film empesé et démonstratif, à peine sauvé par quelques timides tentatives stylistiques et sa jeune actrice principale, Hande Kodja.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Laure Beaudonnet
Avec toute la meilleure volonté du monde, s'appuyer sur une unique idée laisse un goût maigre dans la bouche.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaroscope
par Emmanuelle Frois
Freudien mais sinistre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-François Rauger
Comme on voit, ce portrait de jeune fille n'essaie pas vraiment de contourner une certaine lourdeur psychologique, pas plus qu'il n'évite quelques afféteries "artistiques". (...) C'est l'interprétation touchante d'Hande Kodja (...) qui confère une certaine humanité à une oeuvre d'un schématisme un peu trop théorique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Benjamin Untereiner
"Marieke" souffre des défauts classiques de nombre de premiers films : un sujet ténu, peu original, et surtout un traitement en demi-teintes qui ne réussit jamais à convaincre, malgré la qualité de l'interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Isabelle Danel
Si la seconde partie de ce premier long-métrage ne devenait pas lourdement explicative (et freudienne !), nous serions peut-être devant un petit bijou.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jacques Morice
C'est plutôt avec douceur et sensibilité que la réalisatrice brosse le portrait de son héroïne, qui se cherche et se construit peu à peu. Las, le scénario, trop timoré, trop prévisible, manque de densité pour que le film échappe à une certaine monotonie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Pour transcender sa gérontophilie galopante, Marieke prend des photos de morceaux de corps de ses amants dont elle fait des sortes de puzzles. Autrement dit, une oeuvre à la fois psychologique et esthète qui brille par son artificialité et sa gratuité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
TéléCinéObs
Ne passez surtout pas à côté de ce beau film sur le risque de vivre et d'aimer.
Cahiers du Cinéma
Si "Marieke" échappe à la chronique sordide et démonstrative, c'est que le film se refuse contre toute attente à se repaître d'une névrose gérontophile pour se concentrer sur l'histoire d'une reconstruction.
Positif
Si ce film intrigue, il n'impressionne que rarement. Entendez du point de vue rétinien comme scénaristique. Il y a donc un paradoxe, voire une déception qui, in fine, font...écran.
Critikat.com
De ce canevas plutôt classique, la réalisatrice belge Sophie Schoukens tire un film empesé et démonstratif, à peine sauvé par quelques timides tentatives stylistiques et sa jeune actrice principale, Hande Kodja.
Ecran Large
Avec toute la meilleure volonté du monde, s'appuyer sur une unique idée laisse un goût maigre dans la bouche.
Le Figaroscope
Freudien mais sinistre.
Le Monde
Comme on voit, ce portrait de jeune fille n'essaie pas vraiment de contourner une certaine lourdeur psychologique, pas plus qu'il n'évite quelques afféteries "artistiques". (...) C'est l'interprétation touchante d'Hande Kodja (...) qui confère une certaine humanité à une oeuvre d'un schématisme un peu trop théorique.
Les Fiches du Cinéma
"Marieke" souffre des défauts classiques de nombre de premiers films : un sujet ténu, peu original, et surtout un traitement en demi-teintes qui ne réussit jamais à convaincre, malgré la qualité de l'interprétation.
Première
Si la seconde partie de ce premier long-métrage ne devenait pas lourdement explicative (et freudienne !), nous serions peut-être devant un petit bijou.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
C'est plutôt avec douceur et sensibilité que la réalisatrice brosse le portrait de son héroïne, qui se cherche et se construit peu à peu. Las, le scénario, trop timoré, trop prévisible, manque de densité pour que le film échappe à une certaine monotonie.
L'Humanité
Pour transcender sa gérontophilie galopante, Marieke prend des photos de morceaux de corps de ses amants dont elle fait des sortes de puzzles. Autrement dit, une oeuvre à la fois psychologique et esthète qui brille par son artificialité et sa gratuité.