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    Un amour de jeunesse
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    2,7
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    156 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 août 2011
    J'aime pourtant ce genre de cinéma, mais ce film est plat, mal écrit et terriblement mal joué. Il fait illusion jusqu'au premier dialogue ; et puis on prie pour que ce Sullivan ne revienne jamais.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 janvier 2013
    Film creux et lourd. Comédiens inexpressifs et très mal filmés. Ce film ne mérite pas toutes ces critiques élogieuses, on voit bien que la réalisatrice ancienne critique de cinéma a bénéficié du copinage.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 30 juillet 2011
    Ca, on ne pourra pas accuser les acteurs de surjouer.On n' est pas dans l actor's studio. Comme la jeune femme ne sait pas pleurer, on lui a semble t-il balancé de la flotte à plusieurs reprises sur le visage Curieux mais dans le fond reposant car on a évité tout un lot de scénes ridicules qui auraient cherché à attester le"niveau" de la passion. On a donc un film trés découpé, avec des dialogues assez ternes et un jeu monocorde trés certainement voulu et qui concerne la totalité des personnages (l architecte change son bon en zut un moment donné pour exprimer son désaccord.) ce choix, comme ceux d'un architecte, est respectable mais le film ne convint jamais et l on ne voit vraiment pas ce qui empeche nos deux toutereaux de s'aimer puisqu ils sont tous deux libres d engagement.On retiendra , pour les ignares, que la Loire, en embléme de la féminité naissante, prend bien sa source en Ardéche et qu elle n'est encore qu une rivière toute calme bien avant d'être ce fleuve incontrolable qui en nourrit tant d autres et sur laquelle s'en déverseb tout autant.
    mazou31
    mazou31

    95 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 juillet 2012
    Voilà un très beau film sentimental, au sens premier du terme, sans mélo, sans dramatisation. Tout est lumineux : l’interprétation — mention spéciale à Lola Créton, stupéfiante du haut de ses 18 ans —, les ciels de Haute-Loire ou du Danemark, les vues de Paris très originales, le montage très allusif. Une très belle histoire, limpide, qui touche chacun au tréfonds de son propre vécu (homme ou femme, c’est selon), d’une très grande justesse et d’une splendide sobriété. Un film de rêve sur la jeunesse “normale”.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 juillet 2011
    Que d'étoiles! Que de dithyrambes! Quel mur de la personnalité (celle de Mia Hansen Love, ancienne des cahiers, compagne d'Assayas) n'est-il pas érigé pour arriver à nous faire croire que ce film est beau… Moi je me pose une question: le cinéma, la dramaturgie ne sont-ils pas l'art de faire partager des émotions au spectateur? Or quelqu'un parmi les fans de ce film peut-il m'expliquer comment il a réussi à partager la passion de cette jeune fille pour ce jeune homme atone, au discours tellement archétypal que même le mot "cliché" est trop flatteur pour en parler? En somme: comment être amoureuse d'un ver de terre que même une fée saoule n'envisagerait pas de transformer en prince? Et puis cette ligne de dialogue concernant les films français qui semble comme un appât lancé à la critique, un piège tellement grossier que la critique se fait un devoir de ne pas y plonger et se fait du coup complice objective de la réalisatrice… Bravo pour la manipulation miss love, mais je vous en veux car c'est la première fois de ma vie que je baille en voyant se déshabiller une jeune fille! Moi! Wladimir N.!
    velocio
    velocio

    1 305 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2011
    A 30 ans, et après deux premiers films remarquables ("Tout est pardonné et "Le père de mes enfants"), Mia Hansen-Love fait partie du peloton de tête des très jeunes réalisateurs français. Personnellement, en cette période de Tour de France, j'irais même jusqu'à lui décerner le maillot jaune de sa catégorie. Cela ne m'empêche pas de placer "Un amour de jeunesse", son 3ème film, un petit cran derrière les deux premiers. On y retrouve pourtant toutes les qualités déjà remarquées auparavant : son art pour faire avancer le récit par de petites vignettes, sa façon d'accompagner le mouvement des personnages, sa façon de fabriquer une histoire que l'on sent parfaitement authentique sans la plonger dans un trop grand naturalisme. C'est ainsi qu'on suit l'histoire d'un jeune couple pendant 8 ans, (de 16 ans à 24 ans), entre amour intense et peur de l'engagement, entre passion et éloignement. Il est simplement dommage que le film recèle quelques longueurs et, surtout, que face à la jeune fille, jouée par Lola Créton, comédienne très prometteuse, on retrouve Sebastian Urzendowsky, un comédien dont c'est le premier rôle et qui récite son texte plutôt qu'il ne l'interprète. Par ailleurs, et une fois de plus, on notera le goût très sûr de Mia Hansen-Love en ce qui concerne le choix des chansons qui, de temps en temps, viennent accompagner l'action. C'est ainsi qu'on entend 2 chansons interprétées par Violeta Parra, dont la célèbre "Gracias a la vida", dont elle est l'auteur mais qu'on connait davantage dans les versions de Mercedes Sosa ou Joan Baez. On notera que c'est au moins le 3ème film en moins de 6 mois qui reprend cette chanson dans sa BO. Parmi les chansons, il y a aussi la magnifique "The Water" par Johnny Flynn et Laura Marling.
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 665 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2011
    Sur une histoire somme toute banale, un récit d'une grande finesse et d'une fluidité de style, qui confirme les promesses des premiers films de cette cinéaste.
    Maqroll
    Maqroll

    158 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 juillet 2011
    Un petit bijou d’intelligence, de sensibilité et surtout de construction cinématographique. Un film pensé et ressenti du premier au dernier plan, qui n’est pas sans rappeler le magnifique An Education, de Lone Scherfig. Film de femme, sur une très jeune femme (interprétée avec une justesse étonnante par Lola Créton, véritable révélation de charme et de talent conjugués), qui conte son initiation à l’amour et à la vie à travers le passage crucial d’un « amour de jeunesse », passionné et douloureux. Les personnages sont tous remarquablement saisis dans leurs dimensions psychologique et relationnelle, les acteurs sont dirigés de main de maître, les situations sont puissantes, sans rien de convenu ou de mièvre, l’histoire est simple, belle et forte. Mia Hansen-Løve, ex-actrice puis rédactrice des Cahiers du cinéma, est une réalisatrice de trente ans au talent extraordinairement prometteur qui signe là son troisième long métrage. Sa réalisation est un miracle d’équilibre, de grâce et de précision qui s’appuie sur la métaphore de l’architecture pour rendre compte de la construction de cette jeune vie par l’appréhension des espaces, espace de la maison, espace de la famille, espace de la ville, espace de l’existence humaine, si courte… La notion de temps qui passe est d’ailleurs rendue d’une façon très originale par des ellipses foudroyantes, jamais gratuites, qui évitent tous les temps morts pour se concentrer sur les moments clés de l’histoire. C’est également une réflexion sur le cinéma français, celui qui est catalogué de « bavard et bourgeois » par certaines critiques. Dans un des moments les plus jubilatoires du film, c’est le personnage du jeune amoureux (joué intentionnellement « à la Rohmer », par Sebastian Urzendowsky) qui vient régler son compte dans un renversement comique à ce cinéma-là, lui qui justement se pose au début en tenant de valeurs anti-sociales (il ne veut pas s’attacher à celle qu’il aime et part à l’aventure en Amérique du Sud) mais qui finit par réclamer (trop tard !) une vie à deux conventionnelle, à base de mariage et d’enfants… La fin, comme celle du film de Lone Scherfig, est un pur instant de respiration où la jeune Camille, libérée de cet amour pesant et devenue enfin une femme capable de vivre une relation sans contrainte, se fond dans la nature sauvage d’une rivière pour s’ouvrir à tous les avenirs possibles… Un vrai bonheur et une leçon de cinéma !
    DarioFulci
    DarioFulci

    103 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 novembre 2011
    Tomber amoureux, un amour sincère et puissant même à 15 ans, même si l'autre n'éprouve pas cette intensité. Perdre l'autre, mais le conserver dans son cœur quoiqu'il arrive. La réalisatrice a beau être jeune, sa perception des choses sonne juste et touche au plus profond. Les années passent mais il est impossible d'oublier celui qui a déclenché un sentiment si vif. Il est le moteur d'une vie, même inconscient, celui qui conditionne des choix, des intentions, des perspectives. Ne pas trop y penser, mais y penser quand même. Dans le même registre, il y avait eu "She's so lovely", où un couple finit par se retrouver alors qu'elle est mariée à un autre. Ici, c'est une histoire adolescente puis adulte. Une vision sèche et romantique mais pas sirupeuse, romantique et réelle, concrète. Tout simplement sensible.
    traversay1
    traversay1

    3 579 abonnés 4 864 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juillet 2011
    Bien évidemment qu'il existe un lien de parenté entre les trois premiers films de Mia Hansen-Love : comment survivre après un deuil ou une rupture, le temps qui passe, entre autres. Mais plus encore que Tout est pardonné ou Le père de mes enfants (le meilleur film de la "trilogie"), Un amour de jeunesse se caractérise par ce qu'on pourrait appeler sa beauté intérieure, pas forcément immédiate à la vue de ce film qui ne cherche pas à être aimable à tout prix. Un amour de jeunesse est géométrique alors que la majorité des films préfère la rotondité. Hansen-Love s'attache à des précisions géographiques et topographiques, dignes d'un Modiano, ainsi que temporelles. Exactitude des lieux et des temps qui cachent pudiquement la force des sentiments. Les dialogues sont souvent accessoires, parfois recouverts par la musique ou partiellement inaudibles, la cinéaste s'exprime avant tout par l'image. Sa science du découpage et du montage fait merveille : elle installe une atmosphère en quelques plans très courts, capte des états d'âme à la volée, sans paroles, et suggère l'évolution de son héroïne, sans avoir l'air d'y toucher. Cette grammaire cinématographique, elle est l'une des rares à la maîtriser, en France (avec Honoré, parfois). Elle use d'ellipses narratives avec un talent rare et saisit le rythme de la ville (scènes furtives de bus, métro, gares, cafés) et celui, paisible, de la nature. Point besoin de mots, pour faire avancer son film, cela tient du prodige, comme si elle revenait aux sources du cinéma muet. Un amour de jeunesse passe comme un songe, mélancolie de souvenirs qui forgent une vie d'adulte à venir. C'est beau.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    134 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2011
    Camille a 15 ans ; avec Sullivan de 4 ans son aîné ; ils vivent une passion. Mais Sullivan résiste à la jeune fille et ne veut ni tout lui donner ni tout lui promettre. Il ne conçoit l'amour que dans la liberté partagée, elle ne l'envisage que dans l'abandon et l'engagement réciproque. Leur dernier été se déroule dans la mélancolie d’une séparation qui paraît inéluctable. Mais comment vit-on les affres d’un amour de jeunesse si fort ? Comment se construit-on lorsque l’on est une jeune adolescente avec une passion si dévorante ?
    Mia Hansen Love, présentée par tous les spécialistes comme un des grands jeunes espoirs du cinéma français, nous livre un film déchirant, profond, sensible, patient et parfois cruel d’une subtilité rare. Avare en dialogue, elle sait capter avec sa caméra toutes les émotions d’une Lola Créton d’une justesse rare. Grâce, joie, mélancolie, Lola restitue une large palette de sentiments devant une caméra gourmande de ces instants fugaces. Jamais la mélancolie n’a été filmée avec autant de finesse : un sentiment qui m’est cher. Voilà un film sentimental sans pathos no mièvrerie qui réconciliera le public avec le genre.
    Un geste, une attitude, un regard… Le dialogue du film est ainsi… Se laisser prendre par ce rythme lent… Si on exècre le cinéma d’auteur français : passez votre chemin ou plutôt tenter votre chance, car celui-ci est un grand cru.
    Mia accompagne aussi son film d’une bande musicale faite de folk écossais très discrète à l’image de son film et toujours bien choisi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 juillet 2011
    Un bien joli film qui nous fait revivre notre premier amour qui reste éternel et nous aide a grandir. Très émouvant sans pathos ni grandiloquence ,très bien filme avec des images de la nature superbe et un Paris bien filme. La jeune et très gracieuse lola Creton est très bien et nous fait ressentir sa souffrance et sa fragilité et Valérie Bonneton est génial comme d' habitude. Le jeune garçon n'est pas génial ,c'est dommage car ça plombe un peu le film . La BO est géniale ! Surtout la magnifique ballade "the water"de Johnny flynn et Laura marling qui rythme le film et le termine .
    Lucille T.
    Lucille T.

    38 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2011
    Lueur, n, f : lumière faible, diffuse, éphémère.

    Etre amoureux (de toi) c'est juste repousser (temporairement) un peu d'obscurité.
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2011
    Peut-être l’une des plus belles histoires d’amour qu’il m’ait été donné de voir au cinéma ces derniers temps. L’écriture du film, les magnifiques dialogues, la fluidité dans l’enchaînement des situations, la grâce et la sensibilité des deux acteurs principaux confèrent à hisser cette variation sur un amour plus fort que tout parmi les plus belles réussites cinématographiques de cette année. Chapeau Mia.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 154 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 janvier 2024
    Comme le titre l’indique, il s’agit, en 1999, de l’amour de 2 adolescents parisiens, Camille, 15 ans (Lola CRÉTON, 18 ans) et Sullivan, 19 ans (l’Allemand Sebastian URZENDOWSKY, 26 ans) qui n’a duré qu’un an, spoiler: Sullivan qui a arrêté ses études, décidant de vivre sa vie (il travaille aux puces de Saint-Ouen) et de partir, après leurs vacances en Haute-Loire, un an en Amérique du Sud. En 2003, Camille entame des études d’architecture et tombe amoureuse de son professeur norvégien. Plus tard, elle retrouve Sullivan, photographe à Marseille.
    Quel ennui ! Malheureusement, le film est trop long (110 mn), sur une histoire vue et revue, inintéressante, dénuée de tout romantisme [à des années lumières de « Casablanca » (1942) de Michael Curtiz ou de « Lettre à une inconnue » (1948) de Max Ophüls], proche d’un téléfilm de FR3 Auvergne, avec beaucoup de scènes mièvres, aux dialogues creux. Un couple sans le charme d’Antoine Doinel (Jean-Pierre Léaud) et de Christine Darbon (Claude Jade) dans « Baisers volés » (1968) de François Truffaut (1932-1984) : Sullivan n’a aucun charisme et la jolie Camille est chiante, se complaisant dans son état. Pour peu que la réalisatrice y ait mis une part autobiographique… Le film a quand même réalisé 107 000 entrées et a eu une mention spéciale au 64e festival de Locarno en 2011 !
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