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Un visiteur
0,5
Publiée le 31 juillet 2011
quel ennui !! fuyez !! et quel agacement de lire ces critique hypocrites et complaisantes... les dialogues sont très mauvais, pas du tout réalistes pour des jeunes, lola créton s'en sort mais le jeune homme pas du tout et n'est pas du tout crédible dans son rôle... belles images de vacances et bon choix de musique mais c'est vraiment tout, inutile de perdre son temps devant un tel navet
pour l'une des premières fois,je suis parfaitement d’accord avec le public et pas du tout avec la critique.la critique a-t-elle oublié les mots"art et essai" pour plutôt regarder le film en face ?les acteurs sont de gros nullos,en particulier le gars principal:quand il parle fort,il est fâché.quand il murmure,il est content.quand il est triste,il regarde par terre.je ne vous mens pas.pour qui nous prend-on ?ses partenaires ne s'en sortent pas mieux,à part Bonneton,extraordinaire comme son role qui ,hélas,est trop rare dans le film.ce film qui justement a un gros problème avec le scénario :multipliant les scènes inutiles et chiantes ,contexte 2000-2003 parfaitement inutiles aussi,histoire bâclées...seuls quelques très belles scènes échappent au massacre .la fin est magnifique et la musique entêtante .mais la mise en scènes d'une de ces froideur et d'un manque de joie comme si tous les personnages avaient ratés leurs vies alors qu'ils sont heureux(nouvelle preuve que les acteurs sont nuls) .la réalisatrice est passé à coté d'un très beau film.ah,pour les fans de l'émission faux raccords:on est en 2003 et une affiche de bus montre le film Be bad!,sorti en 2009.quelle honte!
Ce film est vraiment nul, je ne comprends certaines critiques. Le jeune homme joue extrêmement mal. Il y a de nombreuses scènes où il récite bêtement son texte. On ne comprend pas l'attachement que la jeune fille lui porte car il est vide et ne ressemble à rien. Un amour de jeunesse difficilement compréhensible... J'oublierai très rapidement ce film que je regrette vraiement d'avoir regardé : j'ai perdu mon temps.
un pensum épouvantable avec des comédiens d'une fadeur rare. Des dialogues plats pour un amour soit disant dévastateur. Il n"y a que les deux chansons magnifiques de Violeta Parra qui valent le coup. Mais bon, pas besoin du film....
Troisième long-métrage pour la réalisatrice Mia Hansen-Løve qui continue de faire des miracles années après années. Un amour de jeunesse (2011) est une jolie comédie dramatique centrée sur deux adolescents vivant leur premier amour. Une histoire sincère qui va connaître une rupture suite au départ de Sullivan (19 ans) pour l'Amérique du Sud. C'est le drame pour Camille (15 ans) qui voyait en lui son seul et unique amour avec qui elle ferait sa vie. Elle vit cette séparation comme un déchirement, un coup au coeur au point d'envisager le suicide tant la séparation s'avère difficilement supportable. Mais les années passent, la souffrance finit par s'estomper et Camille s'autorise à entretenir une relation avec un autre homme, jusqu'au jour où Sullivan réapparait dans sa vie. Mia Hansen-Løve est parvenu a retranscrire, sans pathos ni exagération, une adorable histoire d'amour, criante de vérité et de sincérité, pleine de justesse et de sensibilité, en grande partie grâce à la prestation de Lola Creton (contrairement à Sebastian Urzendowsky qui nous laisse un arrière goût amère).
Ca doit etre le premier film que je regarde de Mia Hassen-Love et je le trouve très réussit. Les acteurs sont juste , peut etre le petit bémol serait le rôle que joue Sebastien Urzendowsky qui pour moi est peut etre un peu en dessous. Lola Creton est juste magnifique et juste sur le role. J'ai bien aimé le voir ce film et du coup hâte de découvrir d'autre film de la réalisatrice ;)
Quoique plombé par un jeu d'acteurs peu convaincant -mais c'est un film d'auteur français, pas une surprise- et un manque de suspense à peu près total, et se laissant trop facilement porter par une musique pleureuse, Un Amour de Jeunesse impressionne par la rigueur du déploiement de son récit, sa cohérence thématique et par quelques pistes qui se faufilent tout au long de son cheminement, comme ces dissertations sur la lueur et l'architecture. Un récit qu'on ressent plus ou moins autobiographique, et si le deuil de cet amour de jeunesse n'a pas totalement été fait, on admire la sincérité avec laquelle il est présenté, brut comme une pomme fraîchement tombée.
"Je te quitte parce que je ne suis pas digne de notre amour", et patati et patata. Une succession de platitudes prétentieuses dont on se fiche éperdument, pas grand-chose d'autre à signaler. Lola Creton n'est pas mal, mais son amoureux mériterait des claques. A éviter.
Avec "Un amour de jeunesse", Mia Hansen-Love parvient à raconter une histoire d'amour qui ne peut pas s'arrêter, la première étant toujours la plus belle, et à en retransmettre l'émotion, si bien que son film a un petit quelque chose d'universel. La réalisatrice est d'ailleurs meilleure dans le domaine de la suggestion sans dialogues, que quand il s'agit de faire parler ses acteurs, notamment Sebastian Urzendowsky, qui ne trouve à aucun moment le ton juste : trop théâtral, trop endormi... toujours est-il que sa prestation dessert malheureusement le film. Au contraire, Lola Créton est une vraie découverte, aussi charmante que douée. Elle m'a d'ailleurs fait penser à Anaïs Demoustiers dans "D'amour et d'eau fraîche", la séquence en Ardèche où le couple se retrouve seul en vacances ressemblant beaucoup au film d'Isabelle Czajka. A défaut d'être franchement mémorable, "Un amour de jeunesse" fait partie d'un certain cinéma français indépendant plus humble et honnête que ce à quoi on pouvait être habitué, et c'est déjà une bonne chose.
une bonne note pour l'ensemble de l'oeuvre, avec une petite musique bien française de film d'auteur, et ou les émois du premier amour sont trés bien représentés
N'étant pas allergique aux films d'auteurs bien que septique lorsqu'ils sont français, je suis allée voir Un amour de jeunesse sans trop savoir à quoi m'attendre. Je me suis aveuglement fiée aux critiques même si le sujet ne m'attirait pas. Dès les premières minutes, on comprends qu'il va être difficile de passer un bon moment avec d'aussi mauvais acteurs.L'interprète de Sullivan récite son texte comme un gentil collégien et Lola Créton nous livre une Camille pleurnicharde à laquelle j'avais plus envie de mettre des baffes qu'autre chose. Les dialogues sont totalement inadaptés pour des jeunes, qui ne parlent plus du tout comme ça ! Ce film m'a parut long, mais long ! J'ai bien essayé de trouver le "lyrisme subtil" promis par certaines critiques mais rien à faire, devant la personnalitée inexistante de Camille, il est impossible de s'identifier au personnage qui paraît plus pathétique, superficielle et pleunicharde qu'autre chose. Lorsque l'histoire parvient à décoller, elle est à nouveau plaquer à sol par le retour de Sullivan. Revoir une fille accro à son ex reproduire les mêmes erreurs que dans le passé c'est vite lassant, surtout pour le spectateur. Ajoutons à celà l'improbabilitée du scénario, de nombreuses erreurs de tournage et de costumes et vous obtiendrait ce film qui m'a laissé totalemment indifférente.
Lola Créton rayonne. Son partenaire agace. Un Amour de jeunesse oscille entre le pompeux et la grâce, pâtissant d’un premier segment que l’on supporte avec peine – la faute à la monotonie dudit Sullivan qui se complaît dans des déclamations pseudo-rohmériennes proches du pédantisme –, jouissant d’un découpage subtil et d’une photographique élégante. On ne vibre de cet amour qu’en l’absence du garçon, lorsque les mouvements du corps de Camille, lorsque les traits de son visage s’animent ou retiennent ce quelque chose de passionnément destructeur, ce feu que l’on aimerait éteindre mais qui continue à alimenter le foyer intérieur. Car la jeune actrice possède ce qu’il faut de fragilité et de beauté pour illuminer à elle seule l’entièreté du long-métrage. Mia Hansen-Løve ne paraît pas lui faire confiance et surcharge son film de références symboliques dont le nombre s’avère en proportion inverse à leur impact dramatique : les rares moments de flottement écrivent les plus belles pages de cette romance de la douleur et du désespoir. Ainsi la longue plage de voyages germaniques puis nordiques donne-t-elle lieu à un cheminement magnifique parmi les bâtiments et leur architecture. On y voit Camille chercher et se chercher, s’efforcer de reconstruire du vital sur une lueur d’amour qui jamais ne disparaîtra. Le grand amour, cet Amour de jeunesse, est à l’image du chapeau de paille voguant sur les flots tumultueux de l’existence : il échappe à quiconque entendrait s’en rendre le détenteur, il définit l’amant comme un éternel insatisfait et, parce que celui-ci éprouve un tel sentiment d’incomplétude, n’a de cesse de le projeter dans l’immédiateté de son présent, temps écartelé avec les fragments du passé et ce qu’ils dessinent comme perspectives.
Film délicat et juste mais limite gnangnan. La faute à une direction d’acteur qui laisse à désirer en la personne de Sebastian Urzendowsky qui interprète un Sullivan d’une fadeur irritante. Entendu, c’est peut-être le rôle qui veut ça, dans ce cas, c’est bien interprété. Je rigole, son phrasé chante, il oscille entre le faux et l’à-peu-près. Par contre, Lola Creton qui est pratiquement à chaque plan défend très bien son rôle. Elle a su traduire ses nombreux silences : ses doutes, ses pulsions frustrées, ses malaises et son désenchantement face à ce premier amour ô combien important pour certains adolescents. La photo est plaisante surtout en Province ; enfin, j’ai découvert « The Water » interprétés par Johnny Flynn et Laura Marling. Si la réalisatrice a du goût pour la bande son, elle devrait être plus rigoureuse en terme de direction d’acteur.