AlloCiné
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Votre avis sur Manuel de survie à l'apocalypse zombie ?
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Moins drôle et moins délire que Zombieland mais enfin la sauce prend quand même et le film est très divertissant.
Film de fanboy qui se rêverait culte avant même d’être sorti, ce Manuel de survie donne la désagréable impression d’être intégralement calculé pour plaire à un public ado qui n’aurait jamais rien vu de sa vie. C’est la limite principale de cette comédie moyennement drôle, mais qui connaît ses classiques. Un peu de Romero, un peu de Peter Jackson, un peu de Ghostbusters, le tout enrobé dans une énervante histoire de scout qui ne fera palpiter que les moins de 12 ans. Bref, l’ensemble se laisse vaguement regarder grâce à quelques gags efficaces (les chats zombis) et à une réalisation dynamique. On pouvait toutefois s’attendre à moins de pudibonderie et un peu plus d’audace, aussi bien dans le gore que dans les scènes olé-olé. Mais une fois de plus, la règle du tout public a dicté sa loi et on se retrouve donc face à un pur produit inoffensif et par-là vidé du moindre intérêt autre que strictement récréatif.
Un film de zombies totalement décomplexé et méchamment drôle. La scène d'ouverture donne le ton, puis malgré une petite baisse de rythme, le film enchaîne les gags visuels et les répliques cinglantes. Animaux zombies, zombies qui font du trampoline, zombies un peu graveleux... tout y passe. Une bonne tranche de rire.
Quatre abrutis : un petit gros, un puceau, un obsédé sexuel et une blonde à gros seins doivent faire face à une invasion de zombies. Tantôt teen-movie dans la manière dont les personnages interagissent entre eux (le puceau convoite la copine de l'obsédé, le petit gros reproche aux autres de l'avoir laissé tomber parce que le scoutisme ça va bien deux secondes, la blonde à gros seins...a des problèmes de blonde à gros seins), tantôt film d'horreur. En effet, Manuel de survie etc ne lésine pas sur la barbaque sanguinolente. Ce n'est pas parce que c'est drôle que la violence doit rester soft, me direz-vous. Les têtes éclatent. Les couteaux déchirent les chairs. Le sang repeint les murs. Les zombies ont de quoi se goinfrer. Le passage obligé de ce genre de productions. J'aurais été déçu si on n'y avait pas eu droit. Mais c'est aussi une comédie hilarante dont les réflexions débiles des protagonistes peuvent rivaliser avec ceux de Game Night. Sans compter plusieurs situations d'anthologie quand ils sont aux prises avec les morts-vivants : armes nanardes trouvées dans un magasin de bricolage parodiant les gros flingues que peut trouver Schwarzenegger sur sa route, préliminaires entre une fille et un zombie, séance de trampoline. Ça ne lésine pas sur le mauvais goût. Ça tombe bien. Je suis du genre à penser que plus on va loin et plus c'est drôle.
Une comédie sur le thème zombie : vu et revu. S'il souffre de la comparaison aux grands film du genre (Zombieland ou Shaun of the Dead), ce Manuel de Survie à L'Apocalypse Zombie reste tout de même un bon divertissement, drôle et trash, avec quelques scènes mémorables et de bonnes références. Une série Z à regarder si on a pas trop envie de réfléchir.
L'idée me plaît car j'aime les films de zombies , le fait de le parodier pourquoi pas car globalement ça le fait bien on tombe pas dans le ridicule c'est qualitatif et on rigole bien sur certaines scènes ou actions . Mêmes les effets sont bons et les acteurs sont en adéquations avec leur rôle. Attention on va pas crier au génie , c'est très léger potache on passe une bonne heure c'est badass !!!
Un film qui ne se prend pas au sérieux et qui reste fun et trash :)
On pourrait s'attendre à une petite série B mal jouée mais les acteurs sont top (le chef scout un peu moins crédible) et on prend du plaisir dans cette histoire avec beaucoup d'humour et d'action.
On pourrait s'attendre à une petite série B mal jouée mais les acteurs sont top (le chef scout un peu moins crédible) et on prend du plaisir dans cette histoire avec beaucoup d'humour et d'action.
Des films de zombies, on en trouve des centaines, c'est donc difficile de sortir du lot, mais celui-ci en plus d'avoir une excellente réalisation, j'ai rigolé comme un fou en regardant ce film. Une vraie petite pépite à découvrir de toute urgence.
this is my movies
Un tel projet aurait pu être réalisé par J. Dante dans les années 80 voire au milieu des années 90 mais vu que ce grand réalisateur est depuis cantonné aux séries B en DtV, il ne reste plus grand monde pour sublimer un tel sujet. Alors certes, le film est correctement réalisé mais ça reste un poil sage malgré quelques fulgurances qui font un bien fou. Le début est un peu laborieux et je dois dire que les dialogues manquent un peu de punch, s'enfermant parfois dans les clichés et les répliques bas de gamme. Les acteurs sont assez bons et le rythme de départ s'emballe assez rapidement tandis que le ton vire à la franche rigolade avec quelques effets gore bien sentis. Aucune surprise toutefois dans le déroulement du film qui reste assez plaisant grâce à ses acteurs et à quelques trouvailles bienvenues. Parfois, ça fait du bien de voir que les divertissements de ce genre peuvent encore se faire, dommage que son gros échec les cantonnent sans doute à l'oubli. D'autres critiques sur
Roub E.
Pas grand chose à dire, c’est bien fait, c’est drôle, irrévérencieux, trash en arrivant cependant à ne pas tomber trop dans la facilité, bref c’est une excellente comédie horrifique.
Cinememories
Les zombies sont le reflet d’une société dont les défauts et les vices épousent la bestialité des hommes. Romero nous a bien initié dans l’approche métaphorique, Danny Boyle l’a transposé au goût du jour et Edgar Wright l’a rendu aussi délicieuse qu’une glace Cornetto. Puis « Bienvenue à Zombieland » est passé par là, développant une comédie familiale à l’Américaine. Le résultat est discutable, mais le succès est bien là. Christopher Landon opte donc pour explorer le revers de cette voie, avec une touche très adolescente. Issu des suites de « Paranormal Activity », il s’amuse à désamorcer l’icône de l’horreur. Ici, c’est tombé sur les morceaux de cadavres ambulants. Il nous sert alors une comédie qui s’apparente plus à une vidéo de propagande qu’à un film solide et intuitif.
Le scoutisme est peu présent jusqu’au climax, bien trop épileptique pour en apprécier les formes. Outre cette maladresse, d’autres ne tardent pas à apparaître, comme dans le mal-être d’adolescents en chaleur et en manque de repères. Mais eu lieu d’évoquer l’émancipation à proprement parler, l’intrigue nous oriente vers des blagues de mauvais goût, mais qui restent dans le thème juvénile qui a été annoncé. Entre désir de rendre hommage à des œuvres passé et de divertir sans complexe, on y trouve un certain équilibre dans le rythme. On ne réveille pas le scout qui dort, c’est bien un proverbe approprié pour ce délire qui saura trouver un public attentif et qui retrouvera ses codes premiers de l’horreur, à savoir que l’alcool et le sexe sont les premiers prédateurs. Il faut donc reconnaître un certain zèle avant de contempler les défauts qui s’apparentent plus à une maladresse qu’à une mauvaise volonté.
C’est bien un trio comique de scouts qui nous maintiendra en vie jusqu’à la fin du visionnage. Ben (Tye Sheridan), Carter (Logan Miller) et Augie (Joey Morgan), c’est l’esprit de groupe avant tout, avec du savoir-faire pas comme les autres, qui se perdent dans le côté immatériel de la vie. Mais c’est au tour des deux premiers cités de passer du côté obscur et de laisser leur instinct parler, valorisant ainsi les valeurs individuelles, ce qui va à l’encontre du scoutisme. Ce sera nettement corrigé sur le dénouement, avec une certaine satisfaction, car le sens du timing est de bonne qualité, pour les gags les plus simples et les plus trashs. L’arrivée de Denise (Sarah Dumont) a de quoi rendre les situations encore plus épiques, sachant son côté bimbo assumée. Il existe toute une symbolique derrière ce personnage salvateur et à l’instinct maternel douteux. Pourtant, on ne se lasse pas de la voir s’épanouir au milieu des mômes trop rigoureux et pragmatiques pour leur âge.
Tout cela pour dire que « Manuel de Survie à l’Apocalypse Zombie » est un produit gras et fun à l’état pur, qui n’hésite pas à descendre ses stéréotypes de l’adolescence déconnectée de la réalité. Mais il s’agit également d’une introduction à une leçon de cinéma pour les non-initiés, qui préféreront découvrir le délire entre amis, avec les paroles de Britney Spears afin d’éclairer quelques subtilités qu’on se serait bien garder d’expliquer. Une chorale soignée, en somme, et un bon sens du second-degré à découvrir.
Le scoutisme est peu présent jusqu’au climax, bien trop épileptique pour en apprécier les formes. Outre cette maladresse, d’autres ne tardent pas à apparaître, comme dans le mal-être d’adolescents en chaleur et en manque de repères. Mais eu lieu d’évoquer l’émancipation à proprement parler, l’intrigue nous oriente vers des blagues de mauvais goût, mais qui restent dans le thème juvénile qui a été annoncé. Entre désir de rendre hommage à des œuvres passé et de divertir sans complexe, on y trouve un certain équilibre dans le rythme. On ne réveille pas le scout qui dort, c’est bien un proverbe approprié pour ce délire qui saura trouver un public attentif et qui retrouvera ses codes premiers de l’horreur, à savoir que l’alcool et le sexe sont les premiers prédateurs. Il faut donc reconnaître un certain zèle avant de contempler les défauts qui s’apparentent plus à une maladresse qu’à une mauvaise volonté.
C’est bien un trio comique de scouts qui nous maintiendra en vie jusqu’à la fin du visionnage. Ben (Tye Sheridan), Carter (Logan Miller) et Augie (Joey Morgan), c’est l’esprit de groupe avant tout, avec du savoir-faire pas comme les autres, qui se perdent dans le côté immatériel de la vie. Mais c’est au tour des deux premiers cités de passer du côté obscur et de laisser leur instinct parler, valorisant ainsi les valeurs individuelles, ce qui va à l’encontre du scoutisme. Ce sera nettement corrigé sur le dénouement, avec une certaine satisfaction, car le sens du timing est de bonne qualité, pour les gags les plus simples et les plus trashs. L’arrivée de Denise (Sarah Dumont) a de quoi rendre les situations encore plus épiques, sachant son côté bimbo assumée. Il existe toute une symbolique derrière ce personnage salvateur et à l’instinct maternel douteux. Pourtant, on ne se lasse pas de la voir s’épanouir au milieu des mômes trop rigoureux et pragmatiques pour leur âge.
Tout cela pour dire que « Manuel de Survie à l’Apocalypse Zombie » est un produit gras et fun à l’état pur, qui n’hésite pas à descendre ses stéréotypes de l’adolescence déconnectée de la réalité. Mais il s’agit également d’une introduction à une leçon de cinéma pour les non-initiés, qui préféreront découvrir le délire entre amis, avec les paroles de Britney Spears afin d’éclairer quelques subtilités qu’on se serait bien garder d’expliquer. Une chorale soignée, en somme, et un bon sens du second-degré à découvrir.
Ce film est un peu la progéniture d’un couple formé par un teen-movie à la “American Pie” et un film de zombies. Comme dans le premier on retrouve des ados puceaux qui ne pensent qu’à jeter leur gourme avec la fille la plus vulgaire du coin (mais bien sûr ils recherchent secrètement le grand amour), ce qui donne lieu à des dialogues et des séquences sous la ceinture le tout dans un décor de fin du monde remplie de personnages cadavériques qui claudiquent à la poursuite de notre groupe de boutonneux qui tentent de survivre en les exterminant avec les moyens du bord comme dans tous les suvivors à base de morts-vivants. On l’aura compris (et les premières minutes nous mettent d’ailleurs vite au parfum), c’est de la farce vaguement sanguinolente et légèrement trash (après tout il faut rameuter le plus d’ados en salles ce qui requiert de ne pas se mettre les parents à dos !). L’intrigue est aussi improbable que prévisible, les personnages sont caricaturaux comme il se doit (il faut pouvoir les cerner sans perdre de temps…), les enjeux sans surprise (survivre et embrasser la jolie fille) et les péripéties parfois drôles parfois imbéciles. Au niveau casting, on ne trouve pas du lourd, comme souvent dans ce genre de productions, avec quand même la présence notable dans l’un des rôles principaux de Tye Sheridan qui jusque-là avait plutôt fait un sans faute au niveau de ses choix. Bon, je ne vais pas cracher dans la soupe cela se regarde avec un certain plaisir et certains gags font sourire. Mais bon, cela reste une comédie grossière (dans tous les sens du terme) qui fait passer une heure trente et des poussières de manière légère, mais qui, si vous avez mieux sous la main, pourra retourner au fond de la pile des films que vous avez encore à voir.
Déséquilibré par un humour annihilant quasiment toute forme d'horreur, Scout's guide reste cependant suffisamment déjanté pour être fun, servi par des gags parfois hilarants (le coup du trampoline!!) et un casting aux formes généreuses!! Idéal pour une soirée entre potes!
Les critiques de ce "Manuel de survie à l'apocalypse zombie" étant plutôt bonnes, j'ai décidé de prendre le risque de la regarder, et finalement je ne le regrette pas. Pourtant il n'y a rien de bien nouveau, il n'est pas particulièrement marrant en dehors d'une ou deux scènes, et pourtant, comme tout s'assemble bien et fonctionne, on passe un moment plutôt sympa.
une comédie amusante, de nouveau gag intéressant, Malgré tout un rythme moyen et parfois un peu lourd. Rien de très original mais on rigole malgré tout.
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