Derniers Avis : Absolutely Anything - Page 7

(...) Dès la mise en place de l’histoire on tique en comptant les situations déjà vues et revues (le héros célibataire et rêveur, amoureux de sa voisine, malmené par son patron…), là où Terry Jones aurait pu installer un profil de personnage principal plus original, confronté à une vie quotidienne moins habituelle pour une comédie sur un « monsieur-tout-le-monde ». Et lorsque le principe comique vient transformer sa vie, là encore, le réalisateur-scénariste semble sans tenir au minimum syndical. Peinant à différencier son concept des récits antérieurs traitant déjà de l’acquisition soudaine d’un pouvoir divin par un simple mortel pas toujours responsable (Bruce tout-puissant, Click, Endiablé). Ici, le brave Neil n’a qu’à agiter la main et prononcer sa volonté à voix haute. Alors certes, les approximations dans ses formulations entraînent des gags visuels dont la plupart font leur effet, et le spectacle se montre aussi digne d’une bande-dessinée que du versant fantaisiste du Monty Python flying circus.
Parmi ces quelques délires, on retiendra les séquences hélas trop brèves du conseil alien auquel les Monty Python prêtent leurs voix, et on appréciera surtout d’entendre la dernière prestation de Robin Williams, interprétant le chien Dennis. Le fidèle compagnon de Neil est sans doute la bonne surprise du film, puisqu’il constitue un personnage à la fois attachant et surprenant, doté de plusieurs niveaux de lucidité et de folie. Bref exactement l’être extraordinaire que l’on veut rencontrer dans une comédie fantastique. De plus, Dennis n’est pas seulement un « comic relief » qui n’est prétexte qu’à enchaîner les gags. Il participe pleinement au dénouement de l’intrigue et sans lui, le spectateur se demanderait où le scénario veut en venir au juste (...

L'intégralité de la critique d' ARKHAM, sur Le Blog du Cinéma

Mon avis en quelques mots:
Un ersatz de Monty Python, absurde et burlesque mais un peu timide.

Marqué de la patte des Monty Python, Absolutely anything est une comédie absurde et burlesque inaboutie, freinée par une poussée de romantisme à la sauce comédie américaine, là où l'on aurait préféré de l'irrévérencieux à la mode britannique. Hilarant par moments, drôle très souvent, mais quelquefois un peu timide, on ne boude cependant pas son plaisir.

Critique complète sur mon blog au lien suivant:

Après n'avoir rien réalisé pendant près de 20 ans, voilà que Terry Jones fait son grand retour derrière la caméra. Et pour l'occasion il en profite pour ce réunir avec d'anciens Monty Python, pour appuyer sur la corde nostalgique de fans qui attendait le retour de la culte troupe. De plus le film se paye Simon Pegg en vedette, de quoi promettre un film totalement déjanté nous renvoyant à l'âge d'or des Monty Python avec en prime un des acteurs britanniques les plus drôles du moment. Donc tout était réuni pour passer un super moment mais malheureusement l'entreprise était trop belle pour être vrai et tout ce qu'il restera du spectateur en quête d'hilarité, c'est la déception. Faute principalement à un scénario paresseux, qui n'exploite pas à fond son concept assez génial. Le tout est très vite fait et fini très vite par tourner à vide. L'ensemble n'est qu'une successions de gags convenues, de personnages très stéréotypés et de situations clichées. On est clairement très loin de ce que avait pu nous offrir Terry Jones par le passé et ici plus que d'être face à une comédie british très piquant, on se retrouve plus devant une comédie US aseptisé et lourde. Malgré tout, certaines fonctionnent vraiment, passez une première partie assez laborieuse le tout décolle pour nous offrir quelques bons moments de comédies. On retrouve le sens du verbe cher au style britannique, le film joue sur les mots pour faire déraper les situations de manière habile et souvent amusante. Le tout devenant vraiment génial quand le film donne enfin la parole au chien du héros, qui s'avère être le meilleur personnage du film. C'est de lui que viendra les meilleurs moments comiques mais il est introduit bien trop tard dans le récit. Mais passé une deuxième partie abouti et très drôle, le film retombe dans les travers pour nous offrir un dernier acte calibré, prévisible et en manque cruelle d'inventivité. On perd toute ferveur comique pour une fin moralisatrice et bien trop sage qui enlève toute saveur au film, qui avait su se montrer diablement attachant. Pour le casting il est indéniable que Simon Pegg fait un très bon job, il y croit et donne toute son énergie au film même si il n'est clairement pas dans son meilleur rôle et donc qu'il donne l'impression d'être en petite forme. Kate Beckinsale fait bien trop sérieuse et accentue le côté pompeux de certaines situations, elle manque cruellement d'un second degré et ici elle semble à côté de la plaque. Après le reste du casting se montre assez convaincant même si Rob Riggle est comme à son habitude insupportable dans son cabotinage, on retiendra surtout Sanjeev Bhaskar dans le rôle du meilleur ami du héros et qui se montre assez hilarant. Et n'oublions pas de mentionner un casting vocal prestigieux et qui semble vraiment s'amuser, globalement composé des Monty Python même si on ne retiendra que le regretté Robin Williams qui fait un super boulot dans le rôle de Dennis, le chien du héros. La réalisation se montre honorable mais rien n'est vraiment transcendant que ce soit dans la technique ou dans la mise en scène. La mise en scène de Terry Jones manque même cruellement d'envergure. Le film n'exploite pas correctement l'espace, ce sont souvent les mêmes lieux qui reviennent et ils sont filmés platement. Les gags visuels se font très timides malgré un ou deux qui font mouches, le reste se montre paresseux faute d'un montage qui manque de rythme et surtout d'un manque évident de moyen. L'ensemble se trouve limité par les moyens techniques, qui empêche la folie et l'énergie de se dégager du film. On se croirait presque devant une sitcom pépère qui se montre maîtrisé mais assez pauvre sur ses idées, alors que l'on aurait du se sentir devant un film fou et excentrique qui ne se limite à aucunes concessions pour nous offrir un délire hilarant et ingénieux. En conclusion Absolutely Anything est un film tout juste moyen, qui ne marquera clairement pas les esprits. On ne peut qu'être déçu lorsque l'on voit les grands noms impliqués dans ce projet, le retour d'une partie des Monty Python ce n'était pas rien mais on se retrouve devant un produit sans âme et sans envergure qui fait indéniablement vieillot. Néanmoins tout n'est pas à jeté, le film marche vraiment dans son deuxième acte, nous offrant de très bons moments de comédies, le casting est clairement sympathique et arrive à nous embarquer dans le film tandis que l'on reste divertit tout du long. Le film étant très court on ne s'y ennuie pas et on passe quand même un moment assez plaisant. Après passé l'inévitable déception il faut relativiser et se dire que ce film n'a finalement rien de honteux, c'est pas fameux mais c'est pas non plus ignoble et ça reste plus regardable que la plupart des comédies US grasses et beaufs que l'on a l'habitude de voir ses derniers temps.

Comédie très sympathique, impossible de s'ennuyer devant l'attitude humoristique de Simon Pegg qui ne cherche qu'une chose dans ce film, être aimé. 15/20.

C'est avec "Absolutely Anything" que Terry Jones, l'un des membres de la troupe des Monthy Python, marque son retour au cinéma en tant que réalisateur. Ce film est une comédie portée par l'excellent Simon Pegg. Ce dernier incarne un homme ordinaire qui va se voir acquérir les pouvoirs absolus. Ainsi, il devient capable de faire tout ce qu'il veut, d'un simple geste de la main (on en a tous rêvé). Ce synopsis rappelle évidemment celui du film "Bruce Almighty" ("Bruce tout-puissant" en VF), avec le génial Jim Carrey dans le rôle principal. Et il est vrai que ces deux long-métrages ont des points communs évidents. Cependant, le film de Terry Jones parvient à trouver sa propre identité et son humour, de sorte à ne pas avoir l'impression de regarder un remake déguisé. "Absolutely Anything" n'est pas une comédie hilarante, elle est même quelque peu prévisible. Néanmoins, elle constitue tout de même un divertissement très sympathique avec beaucoup d'humour et qui porte souvent à sourire et parfois même à rire. Ce film ne révolutionne rien mais on passe du bon temps à le regarder. L'énergie comique de Simon Pegg est indéniable, il porte le récit sur ses épaules. l'acteur britannique forme un bon duo avec Kate Beckinsale qui est elle-même convaincante, comme le reste des comédiens. Il n'y a pas de fausse note dans le casting, seul Rob Riggle en fait parfois un peu trop. Le réalisateur de "Monty Python : La Vie de Brian" nous offre donc ici une comédie pas mauvaise devant laquelle on s'amuse mais qu'on risque d'oublier rapidement. Cela est peut-être dû au manque d'ambition du film. Avec un tel sujet, il y avait beaucoup de potentiel et on aurait aimé en voir un peu plus. Qu'importe ! Ça fait toujours plaisir de retrouver Robin Williams pour son dernier rôle au cinéma, même si ce n'est que pour sa voix.

C'est absurde, assez évident, très répétitif car finalement à part un enchainement de toutes les choses que le héros peut faire avec son super pouvoir, il n'y a pas grand chose d'autre dans le scénario.
Mais bon, si on se laisse embarquer dans le délire, on rit pas mal. Sinon, on sort de la salle :-)

Un film qu'on va voir sans se prendre la tête! On rigole du début à la fin

Afin de savoir si les habitants de la Terre méritent de ne pas être anéantis, des extra-terrestres confient à l’un deux, un professeur dans un lycée incarné par Simon Pegg, le pouvoir de faire se réaliser tout ce qu’il désire.
J’ai été plutôt déçu par cette histoire qui se montre assez proche de « Bruce Tout Puissant » avec Jim Carey. Le scénario est volontairement simple et permet au film de démarrer très vite. Malheureusement, même s’il m’est arrivé de rire, peu de passages sont réellement drôles. Les gags reposent surtout sur l’ambiguïté qu’il peut y avoir entre ce que souhaite Simon Pegg et la manière dont ça se réalise. Les personnages sont très caricaturaux. D'une certaine manière, cela donne au film une ambiance assez déjantée qui lui correspond, mais d'un autre côté cela rend certains personnages vraiment agaçants (le « méchant » incarné par Rob Riggle particulièrement). C’est dommage car aimant beaucoup Simon Pegg, j’attendais plus de ce long-métrage.

Tout simplement excellent !!!
J'ai ri du début à la fin ! C'est simple, pour moi c'est la meilleure comédie à laquelle j'ai assisté ces dernières années !
Le film est totalement déjanté, il y a un nombre de situations comiques hallucinant... bref génial !
Tous les personnages apportent leur touche au film, rien n'est superflus !
Mention spéciale pour Dennys (le chien) qui est juste à mourir de rire !
Donc film à voir ! (J'ai vu le film en VO, et si possible il est à voir en VO car les jeux de mots et les expressions en sont d'autant plus drôles ! )

Une comédie géniale si on apprécie l'humour des Monthy Python. Perso j'ai adoré à revoir avec plaisir.

Cette histoire est ubuesque!! elle commence par des extras terrestres qui évaluent les différentes planètes et sélectionnent au hasard Simon Pegg pour être l'être qui va tenir le destin de la terre entre ses mains. Il a le pouvoir de voir se réaliser tous ces voeux d'un mouvement de main droite, il peut faire le bien (et sauver ainsi la Terre) ou le mal (et la faire anéantir par les ET).
C'est un humour très américain, à ne pas prendre au premier degré, où les situations deviennent de plus en plus loufoques voire irréalistes..
Du coup, ce film ne laisse pas indifférent, soit on aime soit on aime pas.. mais il reste dans la tête.. longtemps!
Mention spéciale à Simon Pegg qui tient tout le film et qui a un pouvoir comique au top! .. et au chien qui avec la parole devient irrésistible!
Pour passer un bon moment sans prise de tête, sans réflexion, ce film est là!

Sur le papier, ça a quand même de la gueule. Simon Pegg dans un film de Terry Jones. Yes sir, la quintessence de l'humour so british, présent et passé. Intemporel, quoi. La Vie de Brian of the Dead, Sacré Fuzz, Le Sens de la Vie avant la fin du Monde... Le Cirque Volant des Monty Python dans l'appartement de Spaced, c'est que ça doit prendre de la place, hein, on va voir ce qu'on va voir ! Oui, mais non. Un peu comme dans la vie où on se rend compte qu'il y a des fantasmes qui ne valent pas tripette une fois qu'on les réalise, au cinéma aussi certaines (fausses) bonnes idées mériteraient de rester au stade d'idée et de ne jamais se matérialiser en film. Déjà, le synopsis aurait dû nous mettre la puce à l'oreille : un type insignifiant qui se voit doté du pouvoir de réaliser absolument tout ce qui lui passe par la tête, ça sent fort le "Bruce Tout-Puissant" made in England. Pas forcément bon signe et effectivement, à la vision du film, la plupart des craintes qu'on pouvait avoir se réalisent au fur et à mesure que la plupart des espoirs qu'on pouvait avoir s'estompent. Si "Absolutely Anything" ne manque pas vraiment de folie (évidemment, vu le sujet) ni trop de rythme (ce qui est quand même primordial pour une comédie), il manque cruellement d'originalité. Et ça, venant de la part d'un type qui a fait chanter "Galaxy Song" à Stephen Hawking, c'est assez impardonnable. Quant à l'aspect comédie romantique du film, vu et revu des milliers de fois, avec en plus une Kate Beckinsale d'une fadeur assez remarquable, je n'ose même pas en parler. Et puis le plus décevant dans toute cette entreprise, c'est que ça paraît daté. L'humour, surtout (on nous sort quand même la tronche de Sarah Palin comme éventuelle récipiendaire du pouvoir absolu... hé ho, on se réveille, on est en 2015 !). Et là encore, de la part d'un type certes septuagénaire mais qui m'a fait hurler de rire pas plus tard que l'an dernier en reprenant sur scène avec ses potes des sketches désopilants pourtant vieux de près de 50 ans, c'est assez décevant. Paradoxalement (mais on n'est plus à un paradoxe près), pour le côté SF, les effets spéciaux paraissent trop modernes (à part les grandes oreilles et les pieds palmés, certes) et on aurait bien vu quelque chose de plus vintage ou de carrément bricolé (des animations de Terry Gilliam, par exemple) pour figurer l'espace et les extra-terrestres plutôt que les créations numériques hideuses qu'on est obligé de se taper. Mais bon, malgré (ou grâce à, peut-être) tous ses défauts, "Absolutely Anything" a ses côtés sympathiques. Le charisme de Simon Pegg, notamment, même s'il paraît plus à l'aise dans les rôles qu'il écrit lui-même. C'est un peu comme si on avait pris avec lui une machine à remonter le temps et qu'on s'était retrouvé dans une comédie des années 80 avec ce bon vieux Robin Williams au top de sa forme. Sympathique, oui, mais pas génial. Qui ne casse sûrement pas trois pattes à un perroquet, en tous cas. Surtout si celui-ci est déjà mort depuis longtemps.

Une petite comédie qui paraissait un peu plus surprenante et détonante avec le trailer.
Simon Pegg est toujours aussi agréable dans ses rôles mais cette fois, il est un peu égal à lui-même.
C'est divertissant mais sans plus, ça manque de fantaisies et d'un scénario plus poussé.

Absolutely Anything réunit tous les membres des Monty Python à l’exception bien sur de Graham Chapman (décédé en 89). Alors on va voir ce film en espérant de l'absurde et de la fantaisie. Et on y est ! l’humour date un peu. Mais si on est fan de la troupe, on n’est pas déçu par l’ensemble. Par contre, On n’est pas dans le meilleur des Monty Python mais c’est tout de même très sympa si on « entre » dans ce film et son univers.
Certaines blagues en dessous de la ceinture ne sont pas de très bon gout. Mais moi j’aime les saucisses parlantes, les animaux qui parlent et réfléchissent, les extra-terrestres membres du conseil intergalactique, les gags lourds (enfin pas tous) … Le film est inégal, quelques temps morts et scènes vraiment trop lourdingues viennent gacher un peu notre plaisir (eh oui tout n’est pas drôle).

Simon Pegg, Neil Clarke enseignant amoureux de sa voisine, est à l’aise avec ce rôle de « humain normal » qui se voit doté de pouvoirs incroyables dont il ne sait que faire. Il est gauche, et attendrissant. Le rôle de Kate Beckinsale n’est pas spécialement étoffé. le regretté Robin Williams prête sa voix au chien, et on a avec lui les plus beaux moments du film

Absolutely Anything ne se prend pas au sérieux et c’est tant mieux ! absurde et sympathoche

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Neil (Simon Pegg), petit anglais sans relief essaie d’écrire le roman du siècle tout en enseignant dans une classe d’élèves pour le moins turbulents. Amoureux de sa voisine (Kate Beckinsale), il vivote entre un directeur qui le déteste et son chien, Dennis, qui l’adore. Bien au dessus de lui, loin dans la galaxie, des extraterrestres supérieurs (les Monty Pythons) décident de tester un humain aléatoirement pour savoir si la Terre va entrer dans leur petit cercle d’élite. Et, vous aurez deviné, l’humain aléatoire va être Neil. Sans le savoir, ce qu’il fera de ses pouvoirs déterminera si oui ou non la Terre sera détruite.
Ça, c’est pour le pitch. A la base, ça aurait pu être drôle. On a quand même le retour des Monty Pyhons, Simon Pegg, on se dit que ça va être une bonne comédie british. Et bien c’est une grosse erreur! Loin d’être drôles, les gags vous tirent à peine un sourire, lorsqu’ils s’enchaînent on se dit juste « c’est bon, on a compris le truc, next ». Simon Pegg fait n’importe quoi sauf quelque chose de drôle et même son ami (il en faut toujours un dans ce type de comédie) est ridicule à vouloir se faire aduler par la prof de sport.
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Pour ce qui est du chien, effectivement le duo aurait pu être hilarant. Là encore, raté. C’est pourtant le dernier rôle du regretté Robin Williams, qui se donne corps et âme d’ailleurs pour doubler le chien et il le fait très bien! Sauf qu’à lui seul, il ne peut pas régler les problèmes de scénario.
Kate Beckinsale, plus botoxée que jamais (front, lèvre supérieur) a l’air toujours hautain (ben oui, quand on n’a plus d’expression facial, c’est compliqué) et joue très mal le rôle de la voisine harcelée par un coup d’un soir. Son rôle n’a aucune importance si ce n’est d’assurer une présence féminine pour le héros [...].
Le scénario, classique, aurait pu être mieux amené, les situations plus poussées et plus drôles mais non. Pas un seul instant dans la salle je n’ai entendu quelqu’un ne serait-ce que rire un peu. Pour ma part ce fût une réelle souffrance de rester jusqu’à la fin et j’ai eu l’impression d’une longueur insupportable là où le film ne dure qu’1h23. [...]
Note: 2/20 (1 point pour Robin Williams et un autre pour le chien).