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Ce film appartient à ces joyaux impurs, proches de la transfiguration morbide, qui s'enroulent dans un linceul noir et dessinent les contours d'un drame humain. On ne sursaute pas, on est pétrifiés.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
On ressort de "J'ai rencontré le diable" durablement marqué, avec le sentiment d'avoir assisté à un spectacle d'une rare intensité, sans concession mais ni complaisance non plus, jouant avec les émotions, les sensations et l'intelligence du spectateur sans jamais tricher. (...) On ne peut que saluer la puissance d'une oeuvre implacable.
Il y a ce que l'on voit, c'est-à-dire l'affrontement de deux acteurs géniaux dans une histoire de vengeance sans limites, et ce que l'on ressent : un mélange inédit de peur, de jubilation et de tristesse glaçante. Du grand art.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
C'est le chant du cygne d'un genre, et on regarde le film - dont l'interdiction au moins de 16 ans est justifiée - le couteau entre les dents, les yeux écarquillés d'effroi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transcendée par le regard noir, ironique et malicieusement pervers d'un virtuose de la mise en scène, la barbarie a rarement été aussi terrifiante drôle et tragique à la fois. Un grand film !
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
(...) Le film, avec son "héros" faussement lisse, sa galerie de pervers d'anthologie et sa volonté de pousser les codes du genre jusqu'à leur point ultime sans jamais les caricaturer, n'est pas une balade de santé. Dans la platitude d'un été cinématographique qui s'annonce infesté de superhéros propres sur eux et de franchouillardises lénifiantes, il n'en est que plus précieux.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Si la mise en scène de Kim s'avère toujours aussi efficace, fourmillant de belles idées soutenues par une photographie de toute beauté, "J'ai rencontré le Diable" manque tout de même d'enjeux dramatiques suffisamment forts pour justifier les 2h24 de bobine, au point que le concept finit par s'épuiser. (...) Mais il est difficile de ne pas être fasciné par la radicalité et le jusqu'auboutisme de ce jeu enragé du chasseur et de sa proie.
Pour le spectateur, c'est éprouvant. Mais, heureusement, pas vain. On sort de là secoué, avec une furieuse envie de débattre sur ce qu'on vient de voir. En l'occurrence, un long-métrage choquant et, précisons-le, sacrément maîtrisé question image et interprétation, rappelant que tout cela n'est que du cinéma. Et du bon.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
A ce petit jeu, le film dépasse de très loin les conventions du polar contemporain et s'approcherait même d'une veine parodique du cinéma d'horreur. (...) Comme si le film se sabotait de l'intérieur, échappant à l'impasse morale qui le menace pour dériver vers le cartoon gore – ce qu'il n'est pas interdit de considérer, aussi, comme une critique de la fascination qu'exerce le vigilante sur le cinéma sud-coréen
Enrichi de personnages annexes dont un gastronome cannibale, ce thriller jusqu'au-boutiste au dénouement à perdre la tête, est à la hauteur de son titre.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
C'est là l'habileté du cinéaste : brouiller les règles morales du polar traditionnel. Le sadisme du flic et le masochisme du tueur (qui en redemande) résonnent avec le plaisir et la peur du spectateur devant ce jeu pervers du chat et de la souris.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'humour, la répétition presque burlesque de certains moments de cruauté, les gags horrifiques qui, paradoxalement, neutralisent la violence et font que les coups et les mutilations semblent ne plus faire mal au-delà d'une certaine dose, transforment le film en une sorte de dessin animé, de cartoon sadique, amusant mais inoffensif et fatalement à côté de la plaque lorsqu'il semble vouloir poser des questions sérieuses.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Deux ans après "Le Bon, la brute et le cinglé", la déception est amère : la sophistication de "Deux Soeurs" et de "Bittersweet Life" est envolée, la folie du "Bon...", oubliée. Affreusement premier degré, d'une complaisance éprouvante, "J'ai rencontré le diable" s'impose comme une énorme faute de goût dans la filmographie de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
La violence de certaines scènes fait réserver ce petit bijou très gore aux amateurs de sensations fortes.
Excessif
Ce film appartient à ces joyaux impurs, proches de la transfiguration morbide, qui s'enroulent dans un linceul noir et dessinent les contours d'un drame humain. On ne sursaute pas, on est pétrifiés.
L'Ecran Fantastique
On ressort de "J'ai rencontré le diable" durablement marqué, avec le sentiment d'avoir assisté à un spectacle d'une rare intensité, sans concession mais ni complaisance non plus, jouant avec les émotions, les sensations et l'intelligence du spectateur sans jamais tricher. (...) On ne peut que saluer la puissance d'une oeuvre implacable.
Le Journal du Dimanche
Une oeuvre choc dont on ne ressort pas indemne.
Le Parisien
Il y a ce que l'on voit, c'est-à-dire l'affrontement de deux acteurs géniaux dans une histoire de vengeance sans limites, et ce que l'on ressent : un mélange inédit de peur, de jubilation et de tristesse glaçante. Du grand art.
Mad Movies
Brillant. Un des plus gros chocs ciné de l'année.
Metro
[...] ceux qui auront le courage d'embarquer pour ce voyage ambigu et nihiliste [...] décèleront l'empreinte d'un film majeur.
Première
C'est le chant du cygne d'un genre, et on regarde le film - dont l'interdiction au moins de 16 ans est justifiée - le couteau entre les dents, les yeux écarquillés d'effroi.
TéléCinéObs
Transcendée par le regard noir, ironique et malicieusement pervers d'un virtuose de la mise en scène, la barbarie a rarement été aussi terrifiante drôle et tragique à la fois. Un grand film !
Charlie Hebdo
(...) Le film, avec son "héros" faussement lisse, sa galerie de pervers d'anthologie et sa volonté de pousser les codes du genre jusqu'à leur point ultime sans jamais les caricaturer, n'est pas une balade de santé. Dans la platitude d'un été cinématographique qui s'annonce infesté de superhéros propres sur eux et de franchouillardises lénifiantes, il n'en est que plus précieux.
Filmsactu
Si la mise en scène de Kim s'avère toujours aussi efficace, fourmillant de belles idées soutenues par une photographie de toute beauté, "J'ai rencontré le Diable" manque tout de même d'enjeux dramatiques suffisamment forts pour justifier les 2h24 de bobine, au point que le concept finit par s'épuiser. (...) Mais il est difficile de ne pas être fasciné par la radicalité et le jusqu'auboutisme de ce jeu enragé du chasseur et de sa proie.
L'Express
Pour le spectateur, c'est éprouvant. Mais, heureusement, pas vain. On sort de là secoué, avec une furieuse envie de débattre sur ce qu'on vient de voir. En l'occurrence, un long-métrage choquant et, précisons-le, sacrément maîtrisé question image et interprétation, rappelant que tout cela n'est que du cinéma. Et du bon.
Les Inrockuptibles
A ce petit jeu, le film dépasse de très loin les conventions du polar contemporain et s'approcherait même d'une veine parodique du cinéma d'horreur. (...) Comme si le film se sabotait de l'intérieur, échappant à l'impasse morale qui le menace pour dériver vers le cartoon gore – ce qu'il n'est pas interdit de considérer, aussi, comme une critique de la fascination qu'exerce le vigilante sur le cinéma sud-coréen
Paris Match
Enrichi de personnages annexes dont un gastronome cannibale, ce thriller jusqu'au-boutiste au dénouement à perdre la tête, est à la hauteur de son titre.
Studio Ciné Live
voir le site de Studio Cinélive
Télérama
C'est là l'habileté du cinéaste : brouiller les règles morales du polar traditionnel. Le sadisme du flic et le masochisme du tueur (qui en redemande) résonnent avec le plaisir et la peur du spectateur devant ce jeu pervers du chat et de la souris.
Cahiers du Cinéma
[Un] sympathique marathon de l'horreur.
Le Monde
L'humour, la répétition presque burlesque de certains moments de cruauté, les gags horrifiques qui, paradoxalement, neutralisent la violence et font que les coups et les mutilations semblent ne plus faire mal au-delà d'une certaine dose, transforment le film en une sorte de dessin animé, de cartoon sadique, amusant mais inoffensif et fatalement à côté de la plaque lorsqu'il semble vouloir poser des questions sérieuses.
Critikat.com
Deux ans après "Le Bon, la brute et le cinglé", la déception est amère : la sophistication de "Deux Soeurs" et de "Bittersweet Life" est envolée, la folie du "Bon...", oubliée. Affreusement premier degré, d'une complaisance éprouvante, "J'ai rencontré le diable" s'impose comme une énorme faute de goût dans la filmographie de son auteur.