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Grouchy
124 abonnés
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2,5
Publiée le 25 novembre 2012
Première ( et dernière, vu son accueil ) réalisation de Clavier. Grand fan de l'acteur, j'ai attendu avec impatience son arrivée. Avec le scénariste Delgado, Clavier choisit le thème de l'adoption et de la recherche de l'enfant perdu ( un écho des Anges Gardiens de Poiré ) en invitant Robin et Reno dans la partie. Le film n'est ni bon ni excellent et est un divertissement de pur souche. C'est sans doute la première fois où j'ai reconnu que Clavier en faisait un peu trop, mais tout en restant génial. La fin est inattendue mais revèle son manque de profondeur et n'enlève pas l'aspect très téléfilm.
Christian Clavier qui fait du Clavier, ça ne me gêne pas ; Louis de Funès faisait du Louis de Funès. J’aime bien et peu importe que ce soit inégal. « On ne choisit pas sa famille » fait partie des « inégal ». Inégal déjà dans ses gags. Des longueurs qui s’étirent entre l’ennui et le navrant tant le film apparaît vieillot. Je ne pense pas que ce soit volontaire. Je veux dire par là, Christian Clavier n’a pas fait un film des années 80, ces fameuses années qui vieillissent si mal. Il n’a pas volontairement créé une ambiance, une époque comme sait bien faire Hazanavicius avec la série des OSS 117 et « The Artist » Et c’est là le souci. J’ai l’impression que Clavier a fait ce que son compère Jean-Marie Poiré faisait avec plus ou moins de bonheur. D’aucuns diront que son film a du charme et je suis prêt à adhérer à cet argument. Pourquoi pas. Après tout, il y a eu de petites parenthèses où j’ai souri. Le sujet qui peut sembler politiquement incorrect et décomplexé se fond bien dans l’esprit Sarkozy, l’ami de Clavier. L’homoparentalité est d’actualité et pourtant, à l’image de Christian Clavier certains dialogues sont lourds et empâtés et surtout le sujet est à peine évoqué... La scène du restaurant avec la limace de mer, on n’y croit plus ! Enfin, j’ai un problème avec Muriel Robin. Malheureusement, elle fait partie de ces comiques scène à ne pas percer au cinéma comme Bigard par exemple. Sa filmographie ne vole pas haut en terme de succès... à part « Les Visiteurs 2 » ; film sur lequel a elle surfé tranquillement sur le gros succès du premier. En ce qui me concerne, j’avais apprécié le volet un, parce que non seulement c’était nouveau dans le paysage comique français mais Valérie Lemercier avait plus la gueule de l’emploi et enfin, je n’apprécie pas trop les films qui changent leur casting pour un même rôle d’un film à l’autre. Bref, l’air de rien « On ne choisit pas sa famille » est un peu comme un match de football dans lequel il ne se passe pas grand-chose et au cours duquel les commentateurs s’égarent à parler autre chose que le sujet qu’ils sont censés de commenter. Je suis comme un de ces commentateurs, je parle d’un autre film plutôt que celui-ci. Pourquoi ? parce que je m’y suis dans l’ensemble ennuyé... On ne choisit pas toujours le cap que l’on s’est fixé !
Évidemment c'est loin d'être grandiose, mais on pouvait pas s'attendre à mieux avec le premier film à la réalisation de Christian Clavier. On a l'impression qu'il a plus fait cela pour s'amuser, puisqu'il avait le champ libre, il a engagé les acteurs qu'il voulait, il a fait lui-même le scénario et c'est lui qui fait quasiment l'intégralité des gags. Sauf que voilà, ça ne suffit pas du tout et on ne rigole pas souvent devant cette comédie beauf qui fait presque pitié à voir. Clavier et Reno sont en surpoids, ils se démènent mais n'arrivent à rien, Muriel Robin n'a aucune personnalité et ne fait, ni dit, rien d'intéressant. Ajouté à cela un scénario ultra stéréotypé, on tombe donc dans le néant le plus total. Je plains ceux qui ont été voir ce film en salle et qui ont payé leur place.
Vu hier sur canal +. Ce film est excellent. Le sujet était casse gueule, l'adoption d'une petite fille thailandaise par un couple homosexuel femme, c'est pas forcément le plus simple pour une comédie. Mais c'est une donnée de départ qui amène les personnages dans une suite de situations excellemment orchestrée par un scénario parfait, un montage précis et rapide, et des acteur au top. je suis très surpris des mauvaises critiques et scores en salles. Il n'est peut-être pas sorti au bon moment.
Atterrant ! De l’humour qui n’en est pas touillé dans de vieilles gamelles passéistes aux relents douteux… Du coup cette soupe fade est indigeste. Une torture !
film finalement plutôt amusant et sans aucune prétention .Quoiqu'il en soit, il a un gros mérite, celui de défendre l'adoption d' une gamine par un couple d' homosexuelles.
Christian Clavier gesticulant de façon paresseuse.Jean Reno montrant ses muscles sous airs impassibles.Muriel Robin qui lançe quelques piques sans convictions.Oh,les gars,on est 2011 et plus dans les années 90!Voir la déchéance d'acteurs qui nous ont fait beaucoup rire en leur temps est un spectacle désolant(Muriel Robin est moins concernée,car elle s'est révélée dans le drame).Clavier croit encore que l'on rit de la même manière qu'à son époque de gloire;Par exemple,le racisme ordinaire et systématique de son personnage n'est plus source de gags hilarants,mais d'embarrassement.Le film est très daté,et s'enfonçe davantage en proposant un Thaïlande de carte postale,avec l'intégralité de ses clichés."On ne choisit pas sa famille" est censé parler d'homoparentalité,mais Clavier ne se refait pas.Il préfère expédier son sujet,en faire des tonnes sur le côté vaudevillesque et se faire un devoir d'accumuler le plus d'invraisemblances possibles.Détestable.
je n'avais aucune envie de voir ce film massacré par la critique et je tombe dessus par pur coincidence. et bien ce n'est pas si mal et j'ai ri (ce qui ne m'était pas arrivé depuis longtemps devant une comédie !!! ). rien que pour cela, merci Mr clavier .
Lourd dans son interpretation,dans son propos,un film bien lourd qui fait tache. Le scenario patine entre blagues lourdes,moments telephones et longueurs. Les cliches s'enchainent. Jean Reno est ridicule,Christian Clavier lourd,Muriel Robin perdue. Au secours,sauvez les,ou ne choisissez pas ce navet.
J'ai tenu environ 1h... Cette "comédie" est lourde, carricaturale et limite homophobe... Clavier sur-joue et les gags sont archis connus! Morale de l'histoire, si on ne choisit pas sa famille, on peut choisir ses films..
Sans doute la plus mauvaise comédie de la décennie. Christian Clavier est parfait dans son rôle de gros beauf raciste. Mais joue-t-il vraiment la comédie ?