Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Wang Bing reconstitue, d'après les dizaines de témoignages qu'il a recueillis ainsi que les documents qu'il a consultés, les gestes élémentaires des détenus du régime de Mao Zedong durant leurs derniers mois au camp de Mingshui. Recroquevillés dans leur tanière ou recouverts de sable en plein air, les hommes sont tous plongés dans un anonymat absolu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Monde
par Isabelle Regnier
"Le Fossé" est un film de résistance. Résistance à la puissance de la propagande maoïste qui jusqu'à aujourd'hui est parvenue à conserver une connotation positive, ou du moins ambivalente ; résistance à la politique d'effacement du passé si caractéristique du régime chinois.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Fiction tournée avec les armes du documentaire, "Le Fossé" entremêle avec force les récits et rend aux oubliés de l'histoire la dignité qui leur a été refusée. Intense et poignant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
La lumière est toujours omniprésente (...) matière première du film, aussi indispensable au récit que le scénario. (...) Fort d'une mise en scène impérieuse, Wang Bing nous offre un grand film politique dont la militance ne s'affranchit jamais du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Philippe Jambet
Un film organique où l'homme, privé de sa liberté, cherche son salut dans une adéquation imparfaite avec la nature. Brillant.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
L'enfer du délitement, de l'assèchement (la famine fait alors rage dans le pays), la conscience d'un peuple supplicié, voilà ce qu'enregistre le cinéaste dans ce document essentiel.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Ce réalisme, presque insoutenable, n'est jamais complaisant, Wang Bing trouvant toujours la bonne distance, le cadre pertinent, la durée juste. (...) Dans ce contexte extrême, hors du temps, chaque plan-séquence montre la vie qui ne tient qu'à un fil.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Wang Bing s'inscrit dans le naturalisme le plus cru. Même si certains travers lestent son passage à la fiction (un trait parfois exagérément grossi et une propension au pathos), la description de ces goulags chinois reste impressionnante.
L'Express
par Julien Welter
"Le Fossé" montre toute l'inhumanité de ces camps, mais Wang Bing n'est pas un conteur accompli. Alors que le drame de Fengming aurait pu être un fil rouge, il reste sans cesse dans le docu-fiction démonstratif.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Emile Breton
(...) on ne peut s'empêcher de se dire que, aussi convaincante que soit la description, ce sont des acteurs qui jouent les rôles de ces hommes promis à la mort, que ces baraquements enterrés, aussi proches puissent-ils être de ceux dans lesquels vivaient ces bannis, ont été construits pour le film. Des décors.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
C'est de la disjonction entre la nudité absolue du décor et les altercations entre quelques survivants (...), que naît une dramaturgie exacerbée. Presque trop d'ailleurs, tant le jeu des comédiens détonne dans cette antichambre du néant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
Wang Bing reconstitue, d'après les dizaines de témoignages qu'il a recueillis ainsi que les documents qu'il a consultés, les gestes élémentaires des détenus du régime de Mao Zedong durant leurs derniers mois au camp de Mingshui. Recroquevillés dans leur tanière ou recouverts de sable en plein air, les hommes sont tous plongés dans un anonymat absolu.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Le Monde
"Le Fossé" est un film de résistance. Résistance à la puissance de la propagande maoïste qui jusqu'à aujourd'hui est parvenue à conserver une connotation positive, ou du moins ambivalente ; résistance à la politique d'effacement du passé si caractéristique du régime chinois.
Les Fiches du Cinéma
Fiction tournée avec les armes du documentaire, "Le Fossé" entremêle avec force les récits et rend aux oubliés de l'histoire la dignité qui leur a été refusée. Intense et poignant.
Positif
La lumière est toujours omniprésente (...) matière première du film, aussi indispensable au récit que le scénario. (...) Fort d'une mise en scène impérieuse, Wang Bing nous offre un grand film politique dont la militance ne s'affranchit jamais du cinéma.
Première
Un film organique où l'homme, privé de sa liberté, cherche son salut dans une adéquation imparfaite avec la nature. Brillant.
TéléCinéObs
L'enfer du délitement, de l'assèchement (la famine fait alors rage dans le pays), la conscience d'un peuple supplicié, voilà ce qu'enregistre le cinéaste dans ce document essentiel.
Télérama
Ce réalisme, presque insoutenable, n'est jamais complaisant, Wang Bing trouvant toujours la bonne distance, le cadre pertinent, la durée juste. (...) Dans ce contexte extrême, hors du temps, chaque plan-séquence montre la vie qui ne tient qu'à un fil.
Cahiers du Cinéma
Wang Bing s'inscrit dans le naturalisme le plus cru. Même si certains travers lestent son passage à la fiction (un trait parfois exagérément grossi et une propension au pathos), la description de ces goulags chinois reste impressionnante.
L'Express
"Le Fossé" montre toute l'inhumanité de ces camps, mais Wang Bing n'est pas un conteur accompli. Alors que le drame de Fengming aurait pu être un fil rouge, il reste sans cesse dans le docu-fiction démonstratif.
L'Humanité
(...) on ne peut s'empêcher de se dire que, aussi convaincante que soit la description, ce sont des acteurs qui jouent les rôles de ces hommes promis à la mort, que ces baraquements enterrés, aussi proches puissent-ils être de ceux dans lesquels vivaient ces bannis, ont été construits pour le film. Des décors.
Les Inrockuptibles
C'est de la disjonction entre la nudité absolue du décor et les altercations entre quelques survivants (...), que naît une dramaturgie exacerbée. Presque trop d'ailleurs, tant le jeu des comédiens détonne dans cette antichambre du néant.