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    Perfect Blue
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    3,9
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    146 critiques spectateurs

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    Roub E.
    Roub E.

    937 abonnés 4 975 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 juillet 2019
    C’est bien simple je ne le connaissais que de nom et je l’ai lancé sans savoir à quoi m’attendre et de quoi ça parlait. J’ai été cueilli. Perfect blue est un thriller très ancré années 90, époque qui a accouché de quelques modèles du genre. Même si par moment je n’ai pas été emballé plus que ça par l’esthétisme du film, qui ne fait pas oublier comme un Akira par exemple que tu es devant un dessin animé, la mise en scène est elle exceptionnelle et mérite à elle seule de voir ou revoir ce film que je classe parmi les meilleurs animes japonais de cette époque.
    Fabien S.
    Fabien S.

    541 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juillet 2019
    Un très beau film d'animation japonais . Un très bon long métrage sur la société japonaise. Un magnifique bijou de cinéma.
    AMCHI
    AMCHI

    5 738 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juin 2019
    Perfect Blue est sauvé grâce à son intrigue tordue qui m'a plu (dans les mains d'un Brian De Palma de la grande époque fin années 70 début 80 cela aurait pu donner lieu à un fabuleux thriller) avec un final qui n'est pas sans rappeler les giallos.
    Pourtant ce film d'animation m'a un peu déçu car justement niveau animation ce n'est pas sublime alors que je m'imaginais quelque chose de plus beau et soigné (c'est assez statique par moment, les personnages en premier plan bougent mais ceux du fond sont immobiles) en plus la magnifique affiche du film fait croire que c'est un film au style visuellement très soigné ; je connaissais juste de nom Satoshi Kon mais au vu de sa réputation et même pour un film d'animation ayant plus de 20 ans je m'attendais à plus de beauté.
    Heureusement que le scénario est bien écrit par contre le début (environ le premier quart d'heure) n'est pas très accrocheur.
    eldarkstone
    eldarkstone

    213 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juin 2019
    un chef d'oeuvre de Thriller d'animation Niponne, trés bien déssiner, trés réaliste et toujours d'actualité !
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    102 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mai 2019
    Il y avait plutôt une bonne critique de ce Perfect blue annoncé par certain comme film culte. Celui-ci est pourtant moyen, voire mauvais à certain moment et je me dois de casser le mythe. Alors c’est sur qu’il y a des qualités : que ce soit l’animation, le style, la musique et le sujet traitant des célébrités et des fanatiques tout en passant par les réseaux sociaux. Ça c’est sur le début qui est réussi, crée une tension et accélère le rythme petit à petit, jusqu’à malheureusement se perdre complètement. Le film se perd alors entre rêve, délire et réalité, Satoshi Kon nous mixe alors les scènes, raccourcit d’autres, mélange le tout pour faire perdre toute notion de logique, au point de rendre notre personnage psychologiquement perturbé et mentalement malade se demandant si elle aurait pu commettre ces meurtres sans même le savoir : on est d’accord qu’elle doit être bien atteinte mentalement !? Et puis le final où on nous révèle que spoiler: ce n’est pas elle et que finalement tout va bien.
    Alors vous m’expliquez comment une fille qui perd la mémoire, ne différencie plus le réel, de l’imaginaire et voit apparaitre des fantômes devant elle (son doppelganger) ne finit pas immédiatement interner ? Mais est au contraire une actrice star… Nous aurait-on menti ? Non, Satoshi Kon a juste livré un méli-mélo de scènes -surplombé de fantastique- semblant donner une histoire dans le seul but de perturber l’esprit du sectateur et peu importe l’histoire donc… Et on ose appeler ça un chef d’œuvre ? C’est à la limite du foutage de gueule (du spectateur hein), et ces mêmes spectateurs crient au film culte ! Perfect blue est ressemblant avec Mullholand drive à savoir une réalisation qui empêche le spectateur de savoir si c’est le réel ou non, pour une histoire qui n’a pas ben d’intérêt et un ennui profond (surtout pour Mullholand Drive, même si la 2ème partie de Perfect Blue tire en longueur avec ces scènes incompréhensibles). Même critique que pour Mullholand Drive donc, ce n’est pas parce qu’on n’a pas compris que c’est un bon film, en fait c’est plutôt le contraire… Navrant, surtout quand on lit les critiques de certains. Et même quand on a compris (rassurer vous j’ai bien compris), jouer uniquement sur une réalisation au lieu de dire réellement les choses (qui auraient été banales d’ailleurs), quel intérêt ? Si encore elle avait été réellement schizophrénique, mais la non !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 mai 2019
    Un film de très mauvais goût ou plutôt un 'trip' d'animateur japonais qui a mal tourné !!!

    Je n'en reviens tout simplement pas qu'il soit classé dans la catégorie "Tous publics." Je me demandais tout au long du film jusqu'où cette escalade de violence et de pornographie allait monter. C'est un film d'animation d'une extrême violence mêlé à des scènes de viol et d'assassinat d'un réalisme qui fait froid dans le dos.

    Le scénario est prévisible, mais tout façon, je crois que c'est accessoire pour ceux qui apprécient ce genre de films.
    Bryan V.
    Bryan V.

    69 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2019
    ➖Avis bref :
    Une chanteuse quitte tout pour être comédienne, cela ne plaira pas à tout le monde ! De là une tourmente et série de mettre s’installe rapidement pour faire perdre pied à notre héroïne. L’animation paraît certes un peu vieille, mais reste toujours un excellent thriller. Un thriller qui sera s’installer doucement mais sûrement jusqu’à en être bien intriguant. On doute par moment même si le final n’est pas une énorme surprise il reste tout de même bien joué et le faite de faire un film dans l’animation rend tout cela encore plus flou et confus pour allais à la résolution. J’oubliais ses musiques qui colle parfaitement à l’ambiance jusqu’à parfois rendre un vrai tension au sein de cette histoire réaliste.
    Enfin bref, un bon vrai thriller animé.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 mars 2019
    Et c’est sensé donner une claque psychologique ou visuel, ça ne percute pas du tout malgré une mise en scène ambiante, c’est mou et si il n’y avait pas l’introduction au scénario d’une intrigue de J-Pop. Un thriller psychique animé manga moyen où j’en suis rarement déçue, celui-ci est une exception, je respecte cet univers intelligemment glauque. J’essaie de trouver quelque chose de visionnaire, c’est inspiré d’une partie de la vraie vie du show-bizz, la reconversion vers le côté obscur de la force, la différence entre le petit écran et grand écran, le monde de la mode, voyeurisme et autre photographie coquine. La schizophrénie colle à la peau de tous ces personnages déglingués, répéter les mêmes scènes quotidiennes, la routine monotone, oser des scènes de riz sauté par des affamés aphrodisiaques. Ça fait flipper avec les boules de tension puis se réveille à chaque cauchemar en crime de sang hallucinogène, la descente aux enfers pour la mélancolique de profonde solitude. Quand l’heure de prendre une bonne douche froide au dur réveil après la prévision pronostique dans l’enquête « un téléfilm dans le téléfilm ». Une boîte de prévention instinct de survie contre la brochette sauté, la révélation lumineuse sous les feux des projecteurs du camion de la route et la fascination de son public fan, l’asile psychiatrique pour tous, le mobile reste en suspens. L’idole pistonnée des jeunes japonais, fait attention à l’avatar d’internet, les pervers t’observe avec obsession obstinément à la folie meurtrière, je n’ai pas réussi à reconnaître ce subversif du bleu parfait.
    HawkMan
    HawkMan

    176 abonnés 1 183 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 février 2019
    Perfect Blue est un anime plus tout jeune mais digne des plus grands animes de part son scénario et sa mise en scène. LE film relate les mésaventures d'une jeune pop star voulant devenir actrice au grand dam des fans de la chanteuse. Psychose, doublement de personnalité, suspense, effroi, musique magnifique (l'ending est extra), vous ne sortirez pas indemne de ce film.
    Bref : un grand anime avec un fond d'histoire digne de Bodyguard.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 septembre 2018
    "Perfect Blue" m'a embarqué peu à peu dans son scénario vertigineux, liant rêve et vérité, et m'a carrément conquis par ses petites trouvailles qui frisent avec le génie. Ce magnifique anime japonais est maitre dans son domaine et parvient même a rivaliser avec les plus grands Hitchcock. J'ai passé un super moment et je vous recommande ce film vivement.
    Barry.L
    Barry.L

    27 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juin 2018
    Pour certains, dire que le film d'animation n'est pas forcément pour les enfants est une banalité évidente. Il faut tout de même régulièrement le rappeler tant l'association entre animation et infantilisme est ancré dans l'esprit de nombreuses personnes. ''Perfect Blue'', premier film de Satoshi Kon venait confirmer l'incroyable fertilité du cinéma d'animation nippon, lequel est capable de s'adresser à n'importe quel public. En tout cas, ''Perfect Blue'' n'est pas du tout pour enfant.

    Mima est une célèbre idole : une chanteuse de groupe de J-pop. Aimée et adulée par de nombreux fans, Mima décide alors d'abandonner le métier de chanteuse pour entamer une carrière d'actrice. Tandis que cette décision suscite bien des colères dans les rangs de ses fans, Mima commence à basculer peu-à-peu dans la folie, complètement dévorée par son rôle très éprouvant.

    Entre deux sucreries de Gibli, le fan d'animê peut plonger dans des univers cinématographiques noirs et rudes. Des œuvres, telles qu' ''Akira'' (Katsuhiro Otomo, 1988) ou ''Ghost in the Shell'' (Mamoru Oshii, 1991) venaient prouver que l'animation peut adopter une atmosphère sérieuse, au ton inquiétant. ''Perfect Blue'' est certes dans cette lignée de film, mais ici, pas de dystopie apocalyptique, pas de dangereux robot... Au contraire, ce qui trouble avec ''Perfect Blue'', c'est le fait que Satoshi Kon croise différentes cultures tout en restant dans le présent. Nous sommes bien sûr au Japon avec tout le kitsh de ses starlettes de J-pop. En même temps, Satoshi Kon réalise une œuvre qui trouve sa source dans le cinéma de deux réalisateurs très occidentaux : l'américain Brian De Palma et l'italien Dario Argento. Du premier, Satoshi Kon reprend (et en fait le thème principal de son film) la question du voyeurisme. Et plus précisément la question du regard. Jusqu'où une caméra peut-elle capter le monde ? La complaisance à regarder ces images chocs fait-elle de nous des voyeurs ? L'extrême crudité du film, à la limite de la vulgarité sort tout droit de ''Pulsions'' (1980). L'avidité de cette caméra (qui n'hésite pas à filmer une insoutenable scène de viol simulée) renvoie aussi à la question du point de vue. L'omniprésence des miroirs dans ''Perfect Blue'' laisse croire en l'existence de plusieurs réalités (présence aussi de miroirs dans ''Pulsions'' pour refléter la dualité du tueur). On peut aussi faire des rapprochements avec Argento. De l'Italien, Kon reprend cette navigation entre la réalité (les giallis d'Argento peuvent être dénués de fantastique) et le fantastique baroque (mais Argento peut introduire des éléments ésotériques comme dans ''Les Frissons de l'angoisse'' ou ''Suspiria''). On retrouve aussi les explosions de gore qu'affectionne Argento. Mais ici, Satoshi Kon arrive à relier ces scènes théoriquement gratuites à ses thématiques : le tueur crève en effet les yeux de ses victimes. Ici, le film est l'exacte inverse d' ''Opéra'' d'Argento (1987) : dans ce film, le tueur forçait l'héroine à regarder les meurtres. Dans le film japonais, tuer semble d'abord signifier priver du regard. Pour découvrir qui est le coupable, il faut dépasser notre regard, laisser de côté toute illusion : c'est ce qui fait que Mima découvira très tardivement l'identité du coupable. C'est la différence entre voir (fonction littérale) et comprendre (fonction métaphorique). Voir, pour Mima (mais aussi pour son fan et pour nous), c'est voir son double maléfique. Comprendre, c'est surmonter cette image et voir qui se cache derrière cette illusion. C'est aussi la même distinction que devront faire Sam Dalmas et Jack Scully dans  : ''L'oiseau au plumage de cristal'' (Argento, 1971) et ''Body double'' (De Palma, 1984). Dans ces films, les héros voient une image qui les hantera longtemps. Mais ils se rendront compte qu'ils n'avaient vu l'image que de leur point de vue, et que ce dernier est faussé et les empêche de voir l'image correctement. Et c'est tout le contraire qui arrive dans ''Profondo Rosso'' (Argento, 1975) : Marcus Daly croit voir une image factice avant de comprendre que cette image était réelle. Dans ''Perfect Blue'', c'est le fait qu'on adopte le point de vue de Mima qui nous empêche de comprendre qui est le coupable.

    Mais le film de Satoshi Kon a aussi son intérêt propre. Il décrit notamment la manière dont le conte de fée (dans lequel vit Mima au début du film) va basculer dans le cauchemar. Le film décrit aussi la très difficile transition quand un artiste passe d'un art à un autre. Ce fut assez peu montré au cinéma : jusqu'où peut aller un artiste pour briser son image. Le but de Mima est d'en finir avec sa réputation de mignonne petite chanteuse. Tout le film prend son sens ici. Tuer le passé se fait à deux échelles : devant l'écran (en posant nue, ce qui casse son image de jeune fille innocente) et derrière l'écran (éliminer le double maléfique, qui représente Mima en tenue de chanteuse). Pour autant, le film a aussi ses défauts. Le premier se rapproche plus d'un regret personnel qu'un défaut réel du film. On peut regretter que l'animation ne procure pas, comme on aurait pu s'y attendre, autant d'envoûtement et de fascination que dans une œuvre d'Argento. Il manque cette petite touche de délire visuel à la ''Suspiria'' pour que le film devienne vraiment un songe funèbre dans sa forme. Délire qui malheureusement a beaucoup trop tendance à faire irruption dans le scénario. Trop, tout le temps de mises en abîme qui se manifestent par les multiples réveils de Mima. A force de contempler Mima se réveillant, on finit par se demander si tout cela a un sens. C'est le défaut récurrent des films où les protagonistes rêvent (n'est-ce pas ''Inception''?) : au bout d'un moment, on ne peut plus vraiment prendre quelque chose au sérieux car tout peut potentiellement être faux.

    A la fois très référencié et très personnel, ''Perfect Blue'' au mystérieux titre était un galop d'essai pour Satoshi Kon (mort prématurément à 46 ans) très satisfaisant. En convoquant De Palma et Argento, Kon livre un véritable giallo à la sauce japonaise. Sans atteindre l'hypnose argentienne, le film contient toutefois de vrais moments de perversité. A redécouvrir.
    cylon86
    cylon86

    2 493 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 mai 2018
    Tout ou presque a déjà été dit sur "Perfect Blue", premier long-métrage du génial Satoshi Kon malheureusement parti trop tôt. Et 20 ans après sa sortie, il est toujours aussi saisissant de découvrir toute la puissance du film, collant au fauteuil à sa découverte et ce à n'importe quel âge. "Perfect Blue" est un choc de cinéma comme on en vit peu. Une œuvre ébouriffante et complexe, plongée dans la psyché d'une starlette aux allures juvéniles, ancienne pop-star devenue actrice à la merci des affres de la célébrité, poursuivie par un fan aux obsessions étranges. Ce qui frappe d'emblée avec le film, c'est sa mise en scène qui semble n'avoir peur de rien : viol, meurtres sanglants, nudités, mises en abyme... Tout le récit est un puzzle fascinant aux couches diverses, renvoyant la pauvre Mima à son statut de célébrité et à sa solitude. Vertigineux, puissant, audacieux et sacrément riche, le film permet à Kon d'exprimer tous ses désirs de mise en scène. On pense à Brian De Palma, David Lynch et même Hitchcock. Et la vision du film permet de découvrir combien un cinéaste comme Darren Aronofsky lui doit beaucoup. La richesse de "Perfect Blue" est incroyable et se prête à de multiples visions comme pour mieux saisir la portée de ce film qui prend par la gorge et qui surprend aujourd'hui par la modernité de son propos. On pourrait d'ailleurs raconter pendant des heures sa puissance et analyser chaque séquence en détails. Mais la vision de cette œuvre onirique et cauchemardesque est finalement la seule chose à même de vous faire découvrir sa puissance. Qu'attendez-vous ?
    CaMéo Gironde
    CaMéo Gironde

    4 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mars 2018
    Un des films qui élève au sommet l’art de l’animation japonaise, dans la lignée des Ghost in the shell de Mamoru Oshii (1995). Précurseur dans ses réflexions philosophiques sur l’emballement du système médiatique, l’invasion des images dans nos vies, ce film interroge plus que jamais le fonctionnement de nos sociétés actuelles. Les délires et la paranoïa dans lesquels plonge Mima, qui ne parvient plus à distinguer le réel du virtuel, constitueront une influence importante dans certains films récents, comme Black Swan (2011) et Requiem for a dream (2001) de Darren Aronofsky.
    this is my movies
    this is my movies

    693 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 décembre 2017
    Petit bijou du cinéma d'animation japonais signé par un S. Kon à l'univers singulier. Jouant habilement sur la dualité de son héroïne, le film nous plonge au sein d'une psyché trouble et troublante. Entre rêve, réalité sordide, fantasme et folie, le spectateur navigue à vue, sans avoir quelques points de repères fiables auxquels se rattraper. Il en résulte un film qui peut très bien glisser entre les doigts de ce dernier ou bien devenir complètement fascinant, intriguant, obsédant. Multipliant les fausses pistes, les délires visuels et les audaces, Kon nous perd au sein de ce dédale de réalités tandis que l'histoire devient captivante, sordide et angoissante. Indéniablement, ce pur polar qui emprunte à de multiples références pose les bases de l'univers de son auteur avant de basculer dans un spoiler: final incroyable, tendu, éreintant et proprement bluffant
    . Surtout, les twists ne servent pas à tourner en ridicule le spectateur mais à conserver une certaine logique, décuplant ainsi leurs forces. Du grand cinéma tout court, malgré une animation pas toujours au top dans les plans larges. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    Lucas L (LeBigKalu sur SensCritique)
    Lucas L (LeBigKalu sur SensCritique)

    85 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 janvier 2018
    Perfect Blue c'est une réelle descente aux enfers pour une chanteuse qui décide de changer de carrière pour se consacrer au cinéma, Perfect Blue est un film terrible, une tuerie, un trip qui te laisse sur le cul, c'est brutal, froid et cru, c'est très bien écrit et vraiment flippant, on trouve ici une œuvre prenante, originale et une référence. Perfect Blue c'est un monument de l'animation. 19/20
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