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    Pater
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    2,7
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    166 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 juin 2011
    rien compris! suis trop c... peut être. Par contre la sieste a été bonne
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 juin 2011
    Bon je suis partager, j'ai passé un bon moment car ont imagine très bien que les coulisse de la politique peuvent être ainsi. Mais le coté amateur donne une certaine distance et ont à du mal a y croire a fond, contrairement aux acteurs qui se prit au jeux. Certainement que eux ont plaisir a jouer au bon sens du terme. Film particulier pour amateur de cinéma et de politique, ne pas donner se film a tous le monde.
    stebbins
    stebbins

    501 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2011
    Alain Cavalier filme Vincent Lindon, Vincent Lindon filme Alain Cavalier. Deux hommes perdus dans un film en roue-libre totale, proposition de cinéma d'allure ingrate mais fort peu banale en définitive, objet inclassable qui prend énormément de risques - aussi bien idéologiques que purement artistiques. Pater rend la critique inconfortable à force de larges virements de bord, mixant les réalités fictionnelles et les fictions réalistes, ressemble beaucoup à du cinéma-militant dans son fond comme dans sa forme, parle de très peu comme d'un évènement décisif, s'amuse à vivre devant la caméra comme pour mieux l'effacer... Si Pater séduit ce n'est jamais par l'apparence, par sa lumière évoquant la dépression dominicale d'une salle municipale ou par ses coupes abruptes, disgracieuses, effilochées : Pater séduit sans trop payer de mine, par la profonde amicalité et le respect qui se dégagent d'une relation entre un acteur et son réalisateur. Il s'agit là d'une authentique déclaration d'amour à Vincent Lindon, plus vrai que nature et donc profondément touchant. Derrière le caractère démagogique du sujet il y a un humour rentre-dedans drôlement civilisé, souvent très fin malgré l'apparence contraire. Alain Cavalier mélange les réalités triviales des politiques ( Sont-ils caricaturés ? Conformes à la réalité ? Ou tout simplement imaginés ? ) et les séquences documentaires pour accoucher d'un film tout sauf convenu d'avance... Très sympathique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 juin 2011
    Quelques doutes envolés dés les premières minutes de ce film aussi savoureux que les mets dégustés et profondément réjouissant. Un grand moment de liberté et de plaisir.
    cinette1ère
    cinette1ère

    6 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 juin 2011
    Comme c'est la fête du cinéma, je n'ai payé que 3 euros, ce que je trouve déjà exagéré... Pas de climatisation et un film qui n'en est pas vraiment un, long et fastidieux, durant lequel 2 acteurs jouent à être président et 1er ministre. Entre 2 répliques plus ou moins pertinentes, je me suis assoupie, plombée par la chaleur et l'ennui... Encore un film qui nous a été présenté comme un Ovni, un chef d'oeuvre. Arrêtez avec ces films prétentieux qui sont sûrement réservés aux intellos dont je ne dois pas faire partie ! J'avais hésité avec "Le gamin au vélo" et pour finir, j'ai pas du faire le bon choix...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 juin 2011
    Un ovni, pour certaines critiques bien pensantes, que l'on a hâte de voir s'écraser au bout de 5 minutes de film. Il ne faut pas prendre les spectateurs et les cinéphiles pour des vaches à lait décérébrées par TF1. On ne peut pas tout nous faire passer pour de l'art même avec la caution ARTE (chaîne que j'adore par ailleurs). Jeu d'acteur inexistant, photo nulle, texte inventé au fur et à mesure autour de plusieurs bouteilles de vin. J'ia du me mettre des coups de fourchette dans la cuisse pour ne pas m'endormir et être attaché au fauteuil pour ne pas m'enfuir. Heureusement, en plus de la fourchette, j'avais le couteau ce qui m'a permis de couper la corde pour dégager au début du générique de fin. Un conseil: évitez ce film!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 juin 2011
    Intelligent, drole et profond jubilatoire en un mot! Allez y sans attendre une histoire, une reflexion sur la politique, laissez vous gagner par la liberte et l audace et vous serez ravis
    romainlagouj
    romainlagouj

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 juin 2011
    Je suis encore dans la salle et je remercie vivement : 1. le fondateur d'Apple pour l'Iphone que j'ai entre les mains. 2. Le créateur du cinema "Le Mazarin" d'Aix en Provence d'avoir réalisé une salle à l'intérieur de laquelle on capte la 3G.
    Christoblog
    Christoblog

    827 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 juin 2011
    Pater est vendu pour ce qu'il n'est pas.

    A lire la presse, il serait un OVNI cinématographique. Comparable à Mulholand drive, d'après Lindon lui-même - excusez du peu. Or, le film est d'une simplicité biblique : au départ Cavalier (le metteur en scène) fait la connaissance de Lindon (l'acteur), puis petit à petit se met en place une fiction dans laquelle Cavalier (président de la république) se heurte à Lindon (premier ministre). Le glissement se fait de façon assez nette et peu ambigüe : c'est une des grosses déceptions du film. Un seul moment est vraiment jouissif dans le domaine de la confusion des genres, c'est la crise de jalousie de Lindon envers son successeur au poste de premier ministre, dans laquelle il attaque l'acteur autant que le personnage.

    Les deux acolytes manient le niveau zéro du discours politique, accumulant (à dessein ?) grosses erreurs (les ministres ne sont pas élus) et simplification outrancière (les jeunes veulent du fric). De programme il n'est pas question, la question politique du film se résume à une question anecdotique sur le montant du salaire maximum, par rapport au salaire minimum.

    Le bac à sable est équipé fort simplement, il s'agit de ne pas faire riche. Tout est donc pauvre : l'éclairage, les débats, les cravates en laine, le jeu des acteurs. D'ailleurs, Lindon ne réussit jamais à entrer complètement dans son rôle. En de nombreuses occasions, il reste coi, fixement d'un oeil bonasse Cavalier faire son show, ne sachant visiblement pas quelle attitude adopterait un premier ministre en de telles circonstances (le bar, la visite chez le boulanger, la conversation à trois entre les portes).

    C'est donc finalement à un caprice d'enfant qu'on assiste, Alain Cavalier cabotinant devant sa propre caméra, mêlant la psychanalyse de comptoir au bricolage d'atelier cinéma niveau CM2.

    Je ne comprend vraiment pas ce qu'une partie de la critique trouve au film, si ce n'est de considérer que la mise en abyme cheap devient trendy pourvu qu'elle soit bien arrosée de plusieurs grands crus, indépendamment de l'angélisme du propos et de l'approximation dans la confection. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
    mem94mem
    mem94mem

    116 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 juin 2011
    original mais ennuyeux et super mal filmé. image faible.
    Jean-Pierre H
    Jean-Pierre H

    11 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 juin 2011
    C'est quoi ce film où ils bouffent et picolent sans arrêt? Ce jeu de rôle est particulièrement agréable et drôle à regarder, un peu pompeux quand même!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 25 juin 2011
    Dans Pater, Vincent Lindon et Alain Cavalier jouent comme des enfants à "on dirait qu'on serait", en l'occurrence Premier Ministre et Président de la République. Et comme dans les jeux d'enfants, la fiction se mêle souvent à la réalité. Aussi, en plus des rôles qu'ils interprètent, Vincent Lindon et Alain Cavalier sont également à l'écran Vincent Lindon et Alain Cavalier. Curieux film que celui-là, à mi-chemin entre la fable, l'auto-filmage et la réflexion politique. Le Président est en fin de mandat. Il nomme un nouveau Premier Ministre afin qu'il mène à terme son projet le plus cher : établir par la loi un salaire maximum. Il souhaite également que le Premier Ministre lui succède ensuite à la présidence. Les deux hommes se rencontrent, discutent du projet et ne s'entendent pas sur l'échelle à imposer entre salaire minimum et salaire maximum. Le film se déroule alternativement chez l'un ou l'autre. Lorsqu'ils se rencontrent, les deux hommes mangent toujours et semblent boire du bon vin. On suit alors en parallèle l'évolution de leurs rôles et ce qu'ils sont eux-mêmes. La complicité est évidente jusqu'à ce que les personnages inventés s'éloignent l'un de l'autre, le Premier Ministre ne se sentant plus en phase avec son Président. Pater est une sorte d'expérience cinématographique doublée d'une réflexion sur le pouvoir et ses apparences. Ainsi, lorsque le sujet qui les préoccupe n'est pas au centre des discussions, les deux hommes parlent cravates, chemise, séduction... Si le procédé ne fonctionne pas totalement, si l'ennui pointe de temps en temps son nez, Pater vaut tout de même le détour. D'abord parce que Lindon et Cavalier sont formidables, qu'ils soient eux-mêmes ou pas. Ensuite parce les bouts de vies qu'on nous montre, les jeux auxquels les deux hommes s'adonnent, sont à la fois savoureux et bougrement malins. On peut dire que Pater est un "film qui fait réfléchir". Et pour une fois, c'est vrai.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 25 juin 2011
    Malgré la note basse que je lui attribue, je ne dirais pas que "Pater" est un mauvais film, parce qu'à mes yeux, il ne s'agit pas d'un film. Documentaires mis à part, un film, c'est avant tout une histoire que l'on raconte, et des choix de mise en scène pour la raconter. Ma vision est peut-être dépassée, mais les premières oeuvres de fiction cinématographique ont été faites ainsi, et on ne me fera pas croire en 2011 que ce n'est plus la méthode à suivre. On me dira qu'il a toujours existé un cinéma expérimental ; certes, mais pour moi, cela relève alors plus de l'art contemporain que du cinéma. Ca ne veut pas dire que les oeuvres en question sont mauvaises ; ce n'est juste plus le même art. La presse semble voir dans "Pater" une grande oeuvre de vrai cinéma ; à l'inverse, rien ne s'éloigne plus du vrai cinéma que "Pater" (ce qui ne veut pas dire non plus que le film est plus mauvais que les niaiseries qui sortent chaque semaine sur nos écrans). Certaines scènes ont néanmoins un propos indéniablement intéressant ; d'autres nous donnent plutôt l'impression qu'on se fout de notre gueule. Une oeuvre singulière, unique, osée et pas dénuée d'intérêt. Simplement, il ne faudrait pas en faire un chef d'oeuvre uniquement parce qu'elle est singulière, unique, osée et pas dénuée d'intérêt. Car "Pater" reste, dans l'ensemble, très chiant et prétentieux.
    fornasetti
    fornasetti

    2 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 juin 2011
    Cavalier a un jour eut cette idée-là de faire un film comme celui-ci et de demander à Vincent Lindon d'être en quelque sorte son" cobaye" de cinéma. Cela donne "Pater", film drôlement jubilatoire mais pas forcément pour les raisons qu'on s'imagine.
    cristal
    cristal

    177 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2011
    Allez, je le fais, je le dis, je l'écris. Non, "Pater" n'est pas une réussite. Alain Cavalier, expérimentateur un peu fou taraudé par la question de l'identité filmique (qu'est-ce qu'un film, qu'est-ce qui induit la notion du réel, où est la jonction avec la fiction, un film a-t-il un but?), et surtout filmeur hors des sentiers battus et des systèmes de financements actuels, il signe ici une oeuvre déroutante, non pas au sens profond du mystère et de la complexité formelle ou intellectuelle, mais plutôt de la frustration de se retrouver devant un objet de vidéaste détournant à chaque seconde son rôle de metteur en scène, jusqu'à une certaine élégance qui ne sera jamais quelquechose de plus que celle du bon mot et de la bonne bouffe dans la bouche de deux bons vivants. Bref, rien de plus que l'agaçante posture d'un certain bon goût; L'exercice abscons dans lequel s'est lancé Cavalier est celui d'un film alternant le hasard du tournage avec la pensée de la caméra. Le réel et la mise en scène se croisent dans un style ludique non désagréable mais simplement, la seule question que l'on pourrait poser à Cavalier au-delà de ses à priori éblouissantes questions essentielles sur ce qu'est le cinéma (questions sans réponses), est plutôt celle du but et de la traduction d'une pensée. Le montage alterne comme un programme la vie et le cinéma, avec des idées politiques sous-jacentes comme si Cavalier, qui se veut Président épaulé d'un Premier Ministre nommé Lindon, du haut de sa tour prestigieuse entre Saint-Sulpice et les banlieues parisiennes huppées, regardait le monde avec un oeil faussement cynique et attendri. Car à part nous dévoiler sa collection de cravates hors de prix, de souliers fraîchement cirés et de chemises, à part filmer des assiettes alléchantes et des cigarettes qui se consument tout comme le bon vin se raréfie dans le verre des buveurs, Cavalier n'a strictement rien à dire. C'est tout juste s'il pense ; "Pater" est un film à peu près sans queue ni tête, sympathiquement porté par la gouaille profondément sincère de Vincent Lindon. Mais quel propos? Quelle ambition sinon de balancer entre fiction et réalité? Et quand bien même, pour Quoi? Un film n'est pas obligatoirement un message. Preuve en est la seule notion de politique qui ressort de "Pater" échappe au cliché du vieux révolutionnaire et ne devient qu'un simple jeu de rôles. Il peut-être aussi un pur plaisir personnel de la part de son auteur ; et à n'en pas douter c'est de cela qu'il s'agit dans "Pater", moment intime entre amis. Il est clair que Cavalier a les moyens personnels de présenter au Monde un film comme celui-là tant il semble inaccessible et dénué d'interêt quelconque pour n'importe quel public. Sa fonction est, heureusement, d'être plus sincère que mercantile. Il y arrive absolument, mais dans une autre mesure la question étrange qui persiste consiste plutôt à se demander si Cavalier se prend vraiment au sérieux et croit vraiment être un brillant penseur dans le cas présent? On me rétorquera que c'est bien là le génie de son film, de faire du public une entité larguée au même niveau face au tour de passe-passe instauré par le vieux génie Cavalier. La réponse me semble encore plus évidente que la question, mais peut-être parfois vaut-il mieux ne pas comprendre. Mais je l'avoue ; je remplis ces lignes pour pouvoir parler un peu du film, pour le plaisir d'écrire, simplement, comme Cavalier prend j'imagine plaisir à filmer. Peut-être puis-je ainsi ouvrir un débat qui n'existera en tout cas pas par le film lui-même. Au fond, peu importe. J'ai eu, dans le meilleur des cas, soit la légère impression d'assister à une sympathique séance d'intimité qui ne me concerne pas, soit l'impression, plus grave, d'être face à l'oeuvre d'un vieil homme fortuné qui filme la richesse de son nombril.
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