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Annoncé comme " l'un des films les plus bizarres jamais montré à Cannes ", auréolé d'une réputation d'ovni ovationné, "Pater" surprend jusqu'aux plus fins connaisseurs de l'oeuvre d'Alain Cavalier.
Sous les airs policés, drôles et aimables d'Alain Cavalier et de son film, il s'agit bien de faire politiquement du cinéma politique, avec une acuité et un mordant complètement inédits.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ce film politique dit avec fraicheur comment les hommes jouent à être des hommes politiques et surtout combien le cinéma, quand il a la grâce d'Alain Cavalier, est libre.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Un drôle de film. Et un film drôle. Grave aussi, parfois. Vrai, toujours. Chaque plan a sa signification, sa raison d'être. Pour qui veut connaître Lindon, c'est le film idéal. Pour qui veut voir du cinéma, c'est également le film idéal.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
"Pater" s'apparente alors à une leçon de cinéma dispensée par un maître qui feint de croire que vous en savez autant que lui, vous donne à caresser l'illusion qu'à sa place vous feriez aussi bien, et c'est ainsi que l'impression vous vient que le film est autant le votre que le sien, que le leur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
"Pater" parle de la politique, de la parole, du pouvoir, des pères. Parfaitement. (...) Entre la fiction et son envers, le film fait l'expérience géniale de la plus fine cloison.
"La Conquête" ? Non, l'anti-"Conquête". Pas de grimace, pas de ressemblances (...). Que des correspondances - mais à la Cavalier, c'est-à-dire infiniment plus piégées. Des jeux de rôle, des jeux de mots. (...) Le plaisir de dingue que provoque Cavalier vient surtout de là, l'ébahissement devant lequel on se trouve à devoir admettre que tout, absolument tout des affres de la politique, est déjà cuisiné dans un langage emprunté au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Distrayant et humaniste, doté d'une certaine philosophie critique envers notre mode de vie contemporain, "Pater" nous enthousiasme également par son style.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) La politique – comme le cinéma, comme la vie – n'est qu'un jeu dont "Pater", mise en abyme iconoclaste et ludique, film sur la probité, la magie du 7e art et la saveur des choses, nous rappelle le but avec une liberté, une espièglerie et une intelligence rares.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le protocole est d'une audace remarquable, puisque c'est postuler au fond qu'il est permis de trouver, dans ce jeu de rôle enfantin auquel Cavalier et Lindon se livrent ensemble, une vérité au moins égale à celle de n'importe quelle image documentaire sur l'intimité réelle du pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
A la fois profonde, pétrie de malice et souvent très drôle, cette joyeuse méditation sur le 7ème art et la politique n'a rien d'un exercice de style pompeux. Tentez l'expérience.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
(...) en dépit du plaisir que l'on peut prendre à entrer dans la fantaisie d'Alain Cavalier, en dépit de cette exploration singulière des zones de flou du cinéma, entre la réalité et la fiction, le contenant et le contenu, le champ et le hors-champ, l'avant et le pendant d'une scène, le compte n'y est pas.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La démarche est intrigante. Au-delà de la fiction, une sorte de cinéma-vérité dans lequel l'un et l'autre affichent une liberté et une spontanéité vigoureuse, bousculant les règles de récit qu'ils s'étaient fixés.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Malicieux, libre, poignant, "Pater" procure ainsi une vraie jubilation, sans échapper pour autant au destins des installations artistiques conceptuelle pour public sophistiqué et aussitôt vues aussitôt oubliées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Finalement, à quoi ressemble "Pater"? A pas grand-chose de connu, effectivement : un jeu de piste qui feindrait de brouiller les frontières entre réalité et fiction - mais feindrait seulement... Un divertissement malicieux - il y a dans la notion de malice une ombre de méchanceté
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
C'est une fable politique doublée d'un grand moment d'excellent cinéma.
Cahiers du Cinéma
Annoncé comme " l'un des films les plus bizarres jamais montré à Cannes ", auréolé d'une réputation d'ovni ovationné, "Pater" surprend jusqu'aux plus fins connaisseurs de l'oeuvre d'Alain Cavalier.
Critikat.com
Sous les airs policés, drôles et aimables d'Alain Cavalier et de son film, il s'agit bien de faire politiquement du cinéma politique, avec une acuité et un mordant complètement inédits.
Elle
Ce film politique dit avec fraicheur comment les hommes jouent à être des hommes politiques et surtout combien le cinéma, quand il a la grâce d'Alain Cavalier, est libre.
L'Express
Un drôle de film. Et un film drôle. Grave aussi, parfois. Vrai, toujours. Chaque plan a sa signification, sa raison d'être. Pour qui veut connaître Lindon, c'est le film idéal. Pour qui veut voir du cinéma, c'est également le film idéal.
L'Obs
"Pater" s'apparente alors à une leçon de cinéma dispensée par un maître qui feint de croire que vous en savez autant que lui, vous donne à caresser l'illusion qu'à sa place vous feriez aussi bien, et c'est ainsi que l'impression vous vient que le film est autant le votre que le sien, que le leur.
Le Figaroscope
Prodigieux... et quasiment prophétique.
Le Monde
Montrer le moins pour exprimer le plus, c'est l'art généreux et délicat du cinéma d'Alain Cavalier.
Les Inrockuptibles
"Pater" parle de la politique, de la parole, du pouvoir, des pères. Parfaitement. (...) Entre la fiction et son envers, le film fait l'expérience géniale de la plus fine cloison.
Libération
"La Conquête" ? Non, l'anti-"Conquête". Pas de grimace, pas de ressemblances (...). Que des correspondances - mais à la Cavalier, c'est-à-dire infiniment plus piégées. Des jeux de rôle, des jeux de mots. (...) Le plaisir de dingue que provoque Cavalier vient surtout de là, l'ébahissement devant lequel on se trouve à devoir admettre que tout, absolument tout des affres de la politique, est déjà cuisiné dans un langage emprunté au cinéma.
Marianne
Le film politique le plus ludique et pertinent du moment.
Positif
Distrayant et humaniste, doté d'une certaine philosophie critique envers notre mode de vie contemporain, "Pater" nous enthousiasme également par son style.
TéléCinéObs
(...) La politique – comme le cinéma, comme la vie – n'est qu'un jeu dont "Pater", mise en abyme iconoclaste et ludique, film sur la probité, la magie du 7e art et la saveur des choses, nous rappelle le but avec une liberté, une espièglerie et une intelligence rares.
Chronic'art.com
Le protocole est d'une audace remarquable, puisque c'est postuler au fond qu'il est permis de trouver, dans ce jeu de rôle enfantin auquel Cavalier et Lindon se livrent ensemble, une vérité au moins égale à celle de n'importe quelle image documentaire sur l'intimité réelle du pouvoir.
Le Journal du Dimanche
C'est juste, léger, savoureux, intelligent.
Le Parisien
Et si "Pater" se répète parfois un peu, il enthousiasme par son intelligence et sa fraîcheur. Ici, dans "roue libre", c'est le mot "libre" qui compte.
Le Point
voir lepoint.fr
Paris Match
Le nouveau film d'Alain Cavalier est bien l'OFNI (objet filmique non identifié) annoncé, une parenthèse jubilatoire et amusée sur le cinéma.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
A la fois profonde, pétrie de malice et souvent très drôle, cette joyeuse méditation sur le 7ème art et la politique n'a rien d'un exercice de style pompeux. Tentez l'expérience.
La Croix
(...) en dépit du plaisir que l'on peut prendre à entrer dans la fantaisie d'Alain Cavalier, en dépit de cette exploration singulière des zones de flou du cinéma, entre la réalité et la fiction, le contenant et le contenu, le champ et le hors-champ, l'avant et le pendant d'une scène, le compte n'y est pas.
Metro
Le dispositif intrigue au départ, amuse un moment, mais finit par tourner en rond en l'absence d'une véritable intrigue structurée.
Ouest France
La démarche est intrigante. Au-delà de la fiction, une sorte de cinéma-vérité dans lequel l'un et l'autre affichent une liberté et une spontanéité vigoureuse, bousculant les règles de récit qu'ils s'étaient fixés.
Première
Malicieux, libre, poignant, "Pater" procure ainsi une vraie jubilation, sans échapper pour autant au destins des installations artistiques conceptuelle pour public sophistiqué et aussitôt vues aussitôt oubliées.
Télérama
Finalement, à quoi ressemble "Pater"? A pas grand-chose de connu, effectivement : un jeu de piste qui feindrait de brouiller les frontières entre réalité et fiction - mais feindrait seulement... Un divertissement malicieux - il y a dans la notion de malice une ombre de méchanceté