Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
"Martha Marcy May Marlene" rappelle que le cinéma indépendant américain peut encore offrir des joyaux sombres et dérangeants. Délectable.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Excessif
par Romain Le Vern
En sombre état de grâce, l'ensemble possède de sérieux atouts : une écriture solide, une photo lumineuse, une interprétation en or.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Parisien
par Charlotte Moreau
Sean Durkin délivre une oeuvre puissante, installant un malaise exponentiel à mesure que le spectateur découvre la vie en communauté dans une ferme autogérée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
La force [du film] réside dans sa capacité à créer, par le montage et par un sens du cadre évoquant parfois Gus Van Sant, des échos purement sensoriels, à baigner ses personnages dans un flux cotonneux qui rend la violence quotidienne d'autant plus horrible qu'elle ne s'appuie sur rien de tangible. La folie est ainsi partout et nulle part, dans ce beau et mystérieux film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un thriller psychologique immanquable, dont on suivra de près le réalisateur et l'actrice.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Fabien Reyre
Un film qui, sous ses airs de ballade mélancolique aux doux accents folk, cache de brutales saillies qui déchirent le coeur et les tripes, comme une guitare qui aurait troqué ses douces mélopées contre la furie de l'électrique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Cet étrange film (assorti d'un avertissement au public sensible) bouscule et envoûte.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
L'histoire est angoissante et va crescendo grâce au savoir-faire du réalisateur, qui a beaucoup regardé Polanski. Comme lui, il sait réveiller nos peurs enfouies, distiller un léger vertige, susciter cet étrange sentiment, le goût du danger.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce drame psychologique n'en demeure pas moins terrifiant. (...) La comédienne [Elizabeth Olsen] sublime cette nouvelle pépite du cinéma indépendant américain, primée à Sundance.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Suggérer la plus grande violence par la plus grande douceur : c'est sur ce terrain qu'on trouve quelques-uns des plus beaux films américains contemporains. (...) c'est de ce bois qu'est fait "Martha Marcy May Marlene", premier long métrage de Sean Durkin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Franck Garbarz
La force de la mise en scène de Sean Durkin réside dans sa capacité à rendre fantomatique la présence des personnages en amorce dans le plan. (...) Jouant avec subtilité sur la luminosité et les cadrages, le cinéaste enchevêtre [passé et présent] et nous fait perdre nos repères spatio-temporels.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Frédéric Foubert
Hypnotique et étouffant, ce portrait kaléidoscope d'une jeune fille paumée est construit selon un délicieux crescendo d'angoisse schizo à la Polanski.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Lucie Calet
A la fois pastorale amish et thriller psychologique, le film – un procès en règle de la famille, quelle qu'elle soit – doit beaucoup à Elizabeth Olsen, qui réinvente l'anxiété radieuse.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Aurélien Férenczi
Peu de films traitent des sectes et de la difficulté d'en sortir (...) : celui de Sean Durkin, 29 ans à peine, n'est jamais explicatif. Bâtissant son récit par petites touches, il suggère plus qu'il ne montre, et finit par distiller une inquiétude puissante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Clémentine Gallot
La partie la moins crédible concerne ici la reconstitution bucolique de la vie en communauté dans la secte. Malgré cette évocation trop proprette, Durkin filme habilement le renoncement à soi de Martha.
Ecran Large
par Laure Beaudonnet
Servant une mise en scène aussi efficace que raffinée, Sean Durkin évite la plupart des écueils des premiers films.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Florence Ben Sadoun
C'est dans une atmosphère menaçante, dans un climat inquiétant proche de celui de "Rosemary's Baby", que ce film étrange et dérangeant saisit le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Julien Welter
On pense à Polanski, pour sa capacité à installer la confusion par touches et à filmer sa comédienne comme un amant sous le charme. Si le récit traîne parfois en longueur, et n'échappe pas au style un peu terne du cinéma américain "indé" d'aujourd'hui, "Martha, Marcy, May, Marlene" explore l'aliénation mentale avec beaucoup de retenue. Une première oeuvre et une découverte.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Fiches du Cinéma
par Louis Roux
Sean Durkin s'efforce de traduire le brouillage des repères que crée et cultive l'endoctrinement. Mais son film a le défaut de ne pas étendre le parti pris conceptuel de sa construction à sa mise en scène, trop sage.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Julien Gester
"Martha Marcy May Marlene" prend le parti du cotonneux et de la confusion des sens, au risque de l'inconsistance. Et si, dans sa peinture de l'expérience sectaire comme boucle acide, le film distille malgré tout quelque chose, il le doit surtout au magnétisme de son actrice, franche révélation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
L'élégance de la réalisation et le climat délétère de cette histoire sont suffisamment envoûtants pour nous placer sous l'emprise totale du film.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Petite coquetterie formelle d'autant plus fumeuse qu'elle est peureuse, "Martha Marcy May Marlene" semble finalement engoncé comme son couple dans un certain american way of filmmaking, maniérisme sundancien relevé à la sauce psychologisante.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
20 Minutes
"Martha Marcy May Marlene" rappelle que le cinéma indépendant américain peut encore offrir des joyaux sombres et dérangeants. Délectable.
Excessif
En sombre état de grâce, l'ensemble possède de sérieux atouts : une écriture solide, une photo lumineuse, une interprétation en or.
Le Parisien
Sean Durkin délivre une oeuvre puissante, installant un malaise exponentiel à mesure que le spectateur découvre la vie en communauté dans une ferme autogérée.
Les Inrockuptibles
La force [du film] réside dans sa capacité à créer, par le montage et par un sens du cadre évoquant parfois Gus Van Sant, des échos purement sensoriels, à baigner ses personnages dans un flux cotonneux qui rend la violence quotidienne d'autant plus horrible qu'elle ne s'appuie sur rien de tangible. La folie est ainsi partout et nulle part, dans ce beau et mystérieux film.
CinemaTeaser
Un thriller psychologique immanquable, dont on suivra de près le réalisateur et l'actrice.
Critikat.com
Un film qui, sous ses airs de ballade mélancolique aux doux accents folk, cache de brutales saillies qui déchirent le coeur et les tripes, comme une guitare qui aurait troqué ses douces mélopées contre la furie de l'électrique.
La Croix
Cet étrange film (assorti d'un avertissement au public sensible) bouscule et envoûte.
Le Figaroscope
L'histoire est angoissante et va crescendo grâce au savoir-faire du réalisateur, qui a beaucoup regardé Polanski. Comme lui, il sait réveiller nos peurs enfouies, distiller un léger vertige, susciter cet étrange sentiment, le goût du danger.
Le Journal du Dimanche
Ce drame psychologique n'en demeure pas moins terrifiant. (...) La comédienne [Elizabeth Olsen] sublime cette nouvelle pépite du cinéma indépendant américain, primée à Sundance.
Le Monde
Suggérer la plus grande violence par la plus grande douceur : c'est sur ce terrain qu'on trouve quelques-uns des plus beaux films américains contemporains. (...) c'est de ce bois qu'est fait "Martha Marcy May Marlene", premier long métrage de Sean Durkin.
Le Point
Voir le site du Point.
Positif
La force de la mise en scène de Sean Durkin réside dans sa capacité à rendre fantomatique la présence des personnages en amorce dans le plan. (...) Jouant avec subtilité sur la luminosité et les cadrages, le cinéaste enchevêtre [passé et présent] et nous fait perdre nos repères spatio-temporels.
Première
Hypnotique et étouffant, ce portrait kaléidoscope d'une jeune fille paumée est construit selon un délicieux crescendo d'angoisse schizo à la Polanski.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
A la fois pastorale amish et thriller psychologique, le film – un procès en règle de la famille, quelle qu'elle soit – doit beaucoup à Elizabeth Olsen, qui réinvente l'anxiété radieuse.
Télérama
Peu de films traitent des sectes et de la difficulté d'en sortir (...) : celui de Sean Durkin, 29 ans à peine, n'est jamais explicatif. Bâtissant son récit par petites touches, il suggère plus qu'il ne montre, et finit par distiller une inquiétude puissante.
Cahiers du Cinéma
La partie la moins crédible concerne ici la reconstitution bucolique de la vie en communauté dans la secte. Malgré cette évocation trop proprette, Durkin filme habilement le renoncement à soi de Martha.
Ecran Large
Servant une mise en scène aussi efficace que raffinée, Sean Durkin évite la plupart des écueils des premiers films.
Elle
C'est dans une atmosphère menaçante, dans un climat inquiétant proche de celui de "Rosemary's Baby", que ce film étrange et dérangeant saisit le spectateur.
L'Express
On pense à Polanski, pour sa capacité à installer la confusion par touches et à filmer sa comédienne comme un amant sous le charme. Si le récit traîne parfois en longueur, et n'échappe pas au style un peu terne du cinéma américain "indé" d'aujourd'hui, "Martha, Marcy, May, Marlene" explore l'aliénation mentale avec beaucoup de retenue. Une première oeuvre et une découverte.
Les Fiches du Cinéma
Sean Durkin s'efforce de traduire le brouillage des repères que crée et cultive l'endoctrinement. Mais son film a le défaut de ne pas étendre le parti pris conceptuel de sa construction à sa mise en scène, trop sage.
Libération
"Martha Marcy May Marlene" prend le parti du cotonneux et de la confusion des sens, au risque de l'inconsistance. Et si, dans sa peinture de l'expérience sectaire comme boucle acide, le film distille malgré tout quelque chose, il le doit surtout au magnétisme de son actrice, franche révélation.
Paris Match
L'élégance de la réalisation et le climat délétère de cette histoire sont suffisamment envoûtants pour nous placer sous l'emprise totale du film.
Chronic'art.com
Petite coquetterie formelle d'autant plus fumeuse qu'elle est peureuse, "Martha Marcy May Marlene" semble finalement engoncé comme son couple dans un certain american way of filmmaking, maniérisme sundancien relevé à la sauce psychologisante.