Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Excessif
par Yann Largouët
Elles sont devenues bien rares ces fois où à la sortie d'un film notre appétit cinématographique touche à la satiété. Aussi, lorsque le noir se fait, après le dernier plan de "Tu seras mon fils", une satisfaction sincère s'affiche sur le visage du spectateur qui s'avoue alors repu.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Délice de ce long-métrage réussi, une distribution magnifique Niels Arestrup, somptueux en vieux lion charmeur et manipulateur, Lorant Deutsch, en fils falot, écrasé par son paternel, tantôt touchant, tantôt agaçant, ainsi que Patrick Chesnais, Nicolas Bridet, Anne Marivin et Valérie Mairesse, tous parfaits.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Legrand a donc mélangé vin et famille, cru et transmission. Le résultat, sans faute de carre ni de goût, est documenté : fort, âpre, violent, parfois dérangeant et politiquement incorrect, car on y voit un père qui déteste un fils devenu son rival, un fils qui trahit son père pour un autre... Pour une première vraie incursion du cinéma français dans les vignes, Legrand est descendu tout au fond des caves.
Paris Match
par Alain Spira
Réalisée avec soin, cette aventure vinicole s'appuie sur d'excellents comédiens dont la richesse des registres apporte la crédibilité nécessaire au récit, malgré certains clichés quasiment inévitables.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Si l'on peut regretter que la charpente de ce bel ouvrage soit un peut trop apparente par instants (...) et que l'ensemble manque de mystère, ne boudons pas notre plaisir de voir un film français solide, brassant de sentiments violents sans sombrer dans la grandiloquence.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Servi par des acteurs intenses et une intrigue forte, ce film ne manque pas d'atouts mais se dilue à force de répéter les situations.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Marie Sauvion
Ce jeu de massacre engendre un suspense psychologique qui, s'il n'est pas trépidant, fournit aux acteurs matière à de beaux affrontements et offre à Niels Arestrup un rôle parfaitement monstrueux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Caroline Vié
[La] description du milieu viticole ne révolutionne pas le cinéma, mais ce cru a du corps et du coeur.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Alex Masson
Ce huis clos familial a des airs de verre à moitié plein. Niels Arestrup, Lorànt Deutsh et Nicolas Bridet apportent une intensité de jeu qui a de la bouteille, mais ils ne peuvent bonifier un scénario qui grille en permanence ses cartouches.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Vincent Thabourey
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Guillemette Odicino
Niels Arestrup est un ogre tellurique, excessif, fascinant... A son image (mais Patrick Chesnais est très émouvant, aussi, dans le rôle de son régisseur), le scénario de ce drame est un peu trop charpenté, mais il a du corps. Et puis, c'est indiscutable, Gilles Legrand aime l'univers du vin. C'est ce thème, finalement peu traité au cinéma, qu'il filme le mieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Eric Libiot
Drame familial et viticole plan-plan, sauvé par Niels Arestrup et Lorant Deutsch. C'est peu.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) Cette manière univoque qu'a le récit de susciter la répulsion du spectateur puis de l'exorciser est précisément la faiblesse d'un film qui ne s'embarrasse guère de nuances.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
A l'image du contraste entre ce père imposant et rigide, et son fils timide et fluet, les personnages sont trop sommairement racontés pour faire venir des failles, des nuances, des revirements dans un comportement défini une fois pour toutes.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
[Gilles Legrand] orchestre le contraste saisissant qui oppose Niels Arestrup en pater familias insupportable d'arrogance et Lorànt Deutsch en éternel souffre-douleur. C'est d'ailleurs ce manichéisme assumé qui lui inspire les scènes les plus enlevées de ce cruel tableau de moeurs.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Le scénario formaté, truffé de " mots d'auteur ", la lourdeur d'une mise en scène faite d'interminables mouvements de caméra, la bande-son inondée de musique, rappellent les pires oeuvres de la Qualité française.
Libération
par La rédaction
Un bon film français de droite sur la famille et la transmission comme on les aime.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Excessif
Elles sont devenues bien rares ces fois où à la sortie d'un film notre appétit cinématographique touche à la satiété. Aussi, lorsque le noir se fait, après le dernier plan de "Tu seras mon fils", une satisfaction sincère s'affiche sur le visage du spectateur qui s'avoue alors repu.
La Croix
Délice de ce long-métrage réussi, une distribution magnifique Niels Arestrup, somptueux en vieux lion charmeur et manipulateur, Lorant Deutsch, en fils falot, écrasé par son paternel, tantôt touchant, tantôt agaçant, ainsi que Patrick Chesnais, Nicolas Bridet, Anne Marivin et Valérie Mairesse, tous parfaits.
Le Point
Legrand a donc mélangé vin et famille, cru et transmission. Le résultat, sans faute de carre ni de goût, est documenté : fort, âpre, violent, parfois dérangeant et politiquement incorrect, car on y voit un père qui déteste un fils devenu son rival, un fils qui trahit son père pour un autre... Pour une première vraie incursion du cinéma français dans les vignes, Legrand est descendu tout au fond des caves.
Paris Match
Réalisée avec soin, cette aventure vinicole s'appuie sur d'excellents comédiens dont la richesse des registres apporte la crédibilité nécessaire au récit, malgré certains clichés quasiment inévitables.
Positif
Si l'on peut regretter que la charpente de ce bel ouvrage soit un peut trop apparente par instants (...) et que l'ensemble manque de mystère, ne boudons pas notre plaisir de voir un film français solide, brassant de sentiments violents sans sombrer dans la grandiloquence.
Le Journal du Dimanche
Servi par des acteurs intenses et une intrigue forte, ce film ne manque pas d'atouts mais se dilue à force de répéter les situations.
Le Parisien
Ce jeu de massacre engendre un suspense psychologique qui, s'il n'est pas trépidant, fournit aux acteurs matière à de beaux affrontements et offre à Niels Arestrup un rôle parfaitement monstrueux.
Metro
[La] description du milieu viticole ne révolutionne pas le cinéma, mais ce cru a du corps et du coeur.
Première
Ce huis clos familial a des airs de verre à moitié plein. Niels Arestrup, Lorànt Deutsh et Nicolas Bridet apportent une intensité de jeu qui a de la bouteille, mais ils ne peuvent bonifier un scénario qui grille en permanence ses cartouches.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télérama
Niels Arestrup est un ogre tellurique, excessif, fascinant... A son image (mais Patrick Chesnais est très émouvant, aussi, dans le rôle de son régisseur), le scénario de ce drame est un peu trop charpenté, mais il a du corps. Et puis, c'est indiscutable, Gilles Legrand aime l'univers du vin. C'est ce thème, finalement peu traité au cinéma, qu'il filme le mieux.
L'Express
Drame familial et viticole plan-plan, sauvé par Niels Arestrup et Lorant Deutsch. C'est peu.
Le Monde
(...) Cette manière univoque qu'a le récit de susciter la répulsion du spectateur puis de l'exorciser est précisément la faiblesse d'un film qui ne s'embarrasse guère de nuances.
Ouest France
A l'image du contraste entre ce père imposant et rigide, et son fils timide et fluet, les personnages sont trop sommairement racontés pour faire venir des failles, des nuances, des revirements dans un comportement défini une fois pour toutes.
TéléCinéObs
[Gilles Legrand] orchestre le contraste saisissant qui oppose Niels Arestrup en pater familias insupportable d'arrogance et Lorànt Deutsch en éternel souffre-douleur. C'est d'ailleurs ce manichéisme assumé qui lui inspire les scènes les plus enlevées de ce cruel tableau de moeurs.
Cahiers du Cinéma
Le scénario formaté, truffé de " mots d'auteur ", la lourdeur d'une mise en scène faite d'interminables mouvements de caméra, la bande-son inondée de musique, rappellent les pires oeuvres de la Qualité française.
Libération
Un bon film français de droite sur la famille et la transmission comme on les aime.