trop pompé sur predator, la jungle, la vue des singes, se barbouille de jus de raisins ou de ce que c pour passer a travers le radar (qui soit dit au passage, camoufle quedalle...) des acteurs en plastoc, des dialogues d'autiste. A jamais voir
franchement je m'attendais a pire mais il reste un film vraiment mauvais. un predator du pauvre que l'on verra sur une chaine cablé en 3eme partie de soirée. l'histoire est la base du survival horror et les images sont moches.
Un scénario bidon, des acteurs aussi charismatiques qu'une huître datée, un décor minimaliste, des "monstres" pathétiques, une tension à l'encéphalogramme plat, ce Predator du pauvre n'a décidément rien pour lui. A oublier très vite ou à éviter tout simplement.
Je ne l'ai pas vu jusqu'au bout! Les acteurs sont en plastique, on retrouve des inspirations de predator entre autre. Film pas assez distrayant pour me garder concentré. J'ai préféré zapper!
Quand on veut faire un PREDATOR, mais qu'on a qu'un caméscope, qu'un p'tit coin de forêt et pas de dialoguiste, c'est un peu comme essayer de jouer un classique de Molière avec les moyens d'un gala d'école maternelle : on est obligé de tomber dans le ridicule. Bin voilà, on en est là, c'est presque digne d'une parodie qu'aurait pu faire Mickael Youn, avec à peine plus que le budget d'une semaine de morning live il y a 10ans.
Il est vrai que ce film est un mélange de "The Descent" et "Predator". Ce film reprend tous les points faibles classiques dans les survivals horror. L'ensemble reste correct, mais ca ne casse pas des briques. Petit plus pour les beaux paysages.
Enfin, j'ai vu ce film. Pas déçu, mais pas enthousiasmé. C'est un petit film comme un autre, une sorte de Démons en jungle plutôt sympathique pour son énergie péchue. Le problème, c'est que cette énergie est souvent mal gérée, comme en témoigne cet épouvantable générique d'introduction. Les monstres font des cabrioles numériques qui ruinent souvent leurs entrées, mais se révèlent d'une hargne plutôt plaisante à voir (au moins, ces crétins de campeurs ne glandouillent pas). Le premier acte se révèle plutôt bon, car il donne de nombreuses pistes d'infections alors qu'il n'en utilisera qu'une par la suite. Un clin d'oeil monstre à Predator qui ne dure heureusement qu'un instant, et un dernier acte souterrain aux incrusts totalement foirées mais ambitieux pour son côté Lovecraft. Voilà, c'est du tout cuit. Venez vous servir avant que ça ne refroidisse.