Un catégorie III tout simplement génial où les meurtres sont d'une violence inouïe, l'histoire et la réalisation sont biens maîtrisés, peu de temps mort et le peu de budget ne se fait pas du tout sentir, une petite pépite quoi ^^
Drame immobilier et horreur immobilier, Dream Home décapite un peu le petit monde du slasher et du Gore traditionnels pour perdre son spectateur grâce au jeu de son actrice principale, soutenue par une kyrielle de scènes originales et drôles, et surtout foncièrement amorales. Un vrai plaisir parfois déroutant. Donc tout bon.
Etonnant.....un slasher ultraviolent doublé d'une satire sociale sur la crise immobiliére. Une mise en scéne aboutit, un style visuelle froid,mécanique et stylisé un peu dans le style d'un Mario Bava ou encore du style des slashers de Dario Argento. Cependant, dommage que ce film de genre ambitieux soit plombé par des longueurs qui hachent le rythme du film (à l'image d'un long flash-back pas trés utile en début de film) et l'empêche d'atteindre le statut de référence.
Un film d'épouvante-horreur surprenant dans sa mise en scène des meurtres d'une sauvagerie sans nom et d'une originalité certaine. Pas une révolution puisque le scénario n'est pas forcément à la hauteur mais dans l'ensemble, les aficionados du genre en auront pour leur argent.
Brocardant méchamment le marché de l'immobilier actuel, un slasher jusqu'auboutiste qui n'a pas peur d'en faire trop, pas toujours très clair dans les motivations de l'héroine et un poil désincarné mais réalisé avec un véritable talent, imaginatif dans ses mises à mort sanglantes et joyeusement subversif.
déçus , Je m'attendais à un film vraiment excellent .. mais au fait non. Scénario plat, Jeux d'acteurs médiocre, ... Le seul point positif c'est les scènes gore "Gratuite" qui sont doté d'un réalisme. Amateur passez votre chemin.
Un cinéma excessif, qui va au bout de ses idées, et qui malheureusement se laisse aller au grand-guignolesque, voir au dérangeant choc inutile.Une belle qualité de réalisation tout de même pour une folie meurtrière très mal amenée.
Il est clair que c'est un film que je ne peux pas recommander a tout le monde, mais pour tout les fan du genre, c'est LE film a ne pas loupé. Au début des années 90 fut créer au japon ce qu'on a appelé la catégorie 3 (l'équivalent en France des film interdit au moins de 18 ans ou au mieux des moins de 16). Des œuvres d'une extrême violence, ultra subversive, sexuel, transgressive qui repoussait toute les limites (on hésitait pas a tuer des gosses par exemple). Des bandes d'exploitations qui ont maqué leurs époque au point de devenir pour certaine des fleurons du genre (Red to kill, Run and kill ou bien encore le mythique Syndrome Ebola). Mais cette nouvelle vague horrifique ce faisait de plus en plus discrète depuis quelques année. C'est dire a quel point Dream Home est un film précieux, car c'est sans aucun doute lui qui va redonner ses lettres de noblesse au genre. Racontant l'histoire d'une jeune femme qui va assassiner les habitant d'un immeuble pour faire baisser le prix de l'appart de ses rêves Dream Home n'est pas qu'un film d'horreur lambda. Si le spitch de départ peux paraitre tiré par les cheveux il permet surtout au film de jouer sur deux tableaux. Le premier : une peinture féroce du japon d'aujourd'hui (et par extension du monde) où les désirs matériel prennent le pas sur l'être humain, une critique acerbe de nos société de consommation, brillamment distillé au centre du film le plus harcore qu'on ai vu depuis des lustres. Ensuite, bien entendu le film d'horreur en lui même. Loin des délires graphiques et de la violence gratuite des torture porn actuel, Ho-Cheung Pang prend le temps d'installé une vrai tension pour nous donné a voir des meurtres presque insupportable (la femme enceinte), brutal et jusqu'au boutiste mais paradoxalement d'une extrême douceur grâce a une mise en scène posé et élégante. Ça en devient même envoutant. Et pour cause entre les meurtres sont entre coupé des séquence en flash back qui montre l'héroïne sous sont aspect humain. Et c'est cette fascination/répulsion qui fais naitre chez le spectateur un vrai malaise. Jouant en permanence entre poésie morbide, gore outrancier, humanisme touchant et humour noir (le dealer éventrer qui se fume un dernier joint), aider en cela par une musique mélancolique, le réalisateur a su créer une œuvre unique. Un chef d'œuvre ultime qui replace d'emblée la catégorie 3 au centre des attentes de tout les cinéphile déviant du monde. Alors si vous faite partie de ceux là vous savez ce qu'il vous reste a faire.
Dans le genre Trash qui tache bien, avec en plus une histoire derrière tout ça (si si je vous assure). Elle tue pour faire baisser les prix de l'immobilier. Original, plutôt bien réalisé et très inventif dans ses meurtres assez horrible. Un bon petit film "gore japonais".
Un des meilleurs films d'horreur de l'année, très intelligent dans sa façon d'aborder la crise immobilière à travers les codes du cinéma de genre. Des meurtres impressionnants, violents et graphiques, et une structure originale qui alterne drame intime et pur slasher. Un grand morceau de cinéma !
Un film en provenance de Hong - Kong qui vient concurrencer les films actuels Coréens. Violence extrême, meurtres faisant preuve d'ingéniosité et barbarisme sans nom. Ici, on suit les pérégrinations d'une femme cherchant à acheter un appart avec vue sur la mer. Elle est assez motivée et obstinée. Bon film!
Sheung n'a qu'une obsession depuis l'enfance, s'acheter un appartement avec vue sur la mer. Les prix de l'immobilier flambent et elle se démène avec ses trois emplois. "Dream Home", satyre du mode de vie à Hong Kong, commence avec un meurtre et fait des détours sur la vie de la jeune femme. De très bonnes trouvailles dans le gore/viscères, le tout teinté d'un humour parfois juteux, voire spermeux. Un tueuse au gentil minois qui tombe dans "la folie immobilière" : des tours, des immeubles, un rêve... Dommage, le dégueu à des accents comique, mais bon le drame n'en souffre pas trop. Pas de peur ici , donc déçue, en revanche les adeptes du trash pur se régaleront de la fantaisie apportée au genre avec une chute particulièrement diabolique.
Un des meilleurs films de gérardmer, la folie meurtrière représentée par des crimes odieux et originaux. On n'attend pas une demi heure pour nous mettre dans le vif du sujet.des flash-back progressifs qui nous montrent le pourquoi du comment, cette folie meurtrière qui peut paraitre tout de même un peu poussée à l'extrème mais c'est peut-être ce qui est excitant en regardant ce film. Le scénario n'est pas forcément super original mais avec une mise en scène et une photographie réussi c'est un film à voir. [16/20]
Un bon film. Les mises à mort sont spectaculaires et quelques fois insoutenable. Cependant le scénario, même s'il se tient, est plutôt banale et la fin laisse un peu sur sa faim.
Dream Home se laisse regarder donc, mais n'est pas inoubliable, loin de la.