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clanki r.
7 abonnés
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3,0
Publiée le 18 janvier 2014
D'excellentes scènes de meurtres, on peut dire que ça "envoie" et certaines sont sadiquements bien pensé l'espèce de message sociale associé au film ne fonctionne pas acteurs pas toujours convaincants, il manque une force, mais rien que pour les moments "gores" ça vaut le coup pour les amateurs du genre.
Un film hongkongais tout à fait intéressant. La mise en scène, tout à fait efficace et sobre, ménage très bien le suspens sur le pourquoi une jeune fille bien sous tous rapports se met brusquement à tuer des gens avec une violence inouïe, le tout sur fond social des problèmes immobiliers d'Hong Kong. Les flashs back sont également bien amenés. Les scènes gores sont plutôt inventives (notamment le ballon à fond utilisé en chimie) et tout à fait drôles ! On regrettera peut-être quelques longueurs, notamment dans la scène de l'appartement avec les jeunes.
Il est clair que c'est un film que je ne peux pas recommander a tout le monde, mais pour tout les fan du genre, c'est LE film a ne pas loupé. Au début des années 90 fut créer au japon ce qu'on a appelé la catégorie 3 (l'équivalent en France des film interdit au moins de 18 ans ou au mieux des moins de 16). Des œuvres d'une extrême violence, ultra subversive, sexuel, transgressive qui repoussait toute les limites (on hésitait pas a tuer des gosses par exemple). Des bandes d'exploitations qui ont maqué leurs époque au point de devenir pour certaine des fleurons du genre (Red to kill, Run and kill ou bien encore le mythique Syndrome Ebola). Mais cette nouvelle vague horrifique ce faisait de plus en plus discrète depuis quelques année. C'est dire a quel point Dream Home est un film précieux, car c'est sans aucun doute lui qui va redonner ses lettres de noblesse au genre. Racontant l'histoire d'une jeune femme qui va assassiner les habitant d'un immeuble pour faire baisser le prix de l'appart de ses rêves Dream Home n'est pas qu'un film d'horreur lambda. Si le spitch de départ peux paraitre tiré par les cheveux il permet surtout au film de jouer sur deux tableaux. Le premier : une peinture féroce du japon d'aujourd'hui (et par extension du monde) où les désirs matériel prennent le pas sur l'être humain, une critique acerbe de nos société de consommation, brillamment distillé au centre du film le plus harcore qu'on ai vu depuis des lustres. Ensuite, bien entendu le film d'horreur en lui même. Loin des délires graphiques et de la violence gratuite des torture porn actuel, Ho-Cheung Pang prend le temps d'installé une vrai tension pour nous donné a voir des meurtres presque insupportable (la femme enceinte), brutal et jusqu'au boutiste mais paradoxalement d'une extrême douceur grâce a une mise en scène posé et élégante. Ça en devient même envoutant. Et pour cause entre les meurtres sont entre coupé des séquence en flash back qui montre l'héroïne sous sont aspect humain. Et c'est cette fascination/répulsion qui fais naitre chez le spectateur un vrai malaise. Jouant en permanence entre poésie morbide, gore outrancier, humanisme touchant et humour noir (le dealer éventrer qui se fume un dernier joint), aider en cela par une musique mélancolique, le réalisateur a su créer une œuvre unique. Un chef d'œuvre ultime qui replace d'emblée la catégorie 3 au centre des attentes de tout les cinéphile déviant du monde. Alors si vous faite partie de ceux là vous savez ce qu'il vous reste a faire.
Un bon petit film gore à la sauce asiatique, arguant des conséquences fâcheuses de la spéculation immobilière sur l'esprit d'une jeune fille désaxée. Jouant habilement des flashs-back pour mieux faire monter la tension, "Dream Home" nous offre une poignée de scènes plutôt imaginatives et parfois même carrément délirantes, mais aussi une toile de fonds sociologique et psychologique, ce qui est rare dans ce type de films. Bref, dans le genre, c'est une réussite.
Une œuvre imparfaite, tentant l'exercice périlleux de jongler durant tout le film entre drame social et slasher, sans parvenir à remplir efficacement son contrat dans aucun des deux genres, l'un annulant l'efficacité de l'autre. Si "Dream Home" se laisse regarder, il ne marque malheureusement pas les esprits du fait de son fonctionnement à deux vitesses et de ses multiples allers/retours temporels, qui sabordent le rythme du récit.
Bon film. Bon scénario, intrigue intéressante et originale. Très bon choix de l'actrice principale qui joue son rôle avec justesse (contrairement à la plupart des acteurs de films d'horreur asiatiques...). Les parallèles tout au long du film de m'ont pas gêné. Cependant, les scènes érotiques n'apportent rien à l'intrigue, ni même à l'image et sont donc trop nombreuses. La bande son est bien choisie. Petite surprise, film intéressant et divertissant, 4/5.
Sheung n'a qu'une obsession depuis l'enfance, s'acheter un appartement avec vue sur la mer. Les prix de l'immobilier flambent et elle se démène avec ses trois emplois. "Dream Home", satyre du mode de vie à Hong Kong, commence avec un meurtre et fait des détours sur la vie de la jeune femme. De très bonnes trouvailles dans le gore/viscères, le tout teinté d'un humour parfois juteux, voire spermeux. Un tueuse au gentil minois qui tombe dans "la folie immobilière" : des tours, des immeubles, un rêve... Dommage, le dégueu à des accents comique, mais bon le drame n'en souffre pas trop. Pas de peur ici , donc déçue, en revanche les adeptes du trash pur se régaleront de la fantaisie apportée au genre avec une chute particulièrement diabolique.
Un film très gore n'ayant vraiment aucun n'intêret si ce n'est que pour des scènes gores extrêmement crues. Ayant lu le résumé je m'attendais plus à un film avec un peu de suspense, mais je ne m'attendais pas à voir autant de sang sans aucune vraie histoire.
Un bon film. Les mises à mort sont spectaculaires et quelques fois insoutenable. Cependant le scénario, même s'il se tient, est plutôt banale et la fin laisse un peu sur sa faim.
Dream Home se laisse regarder donc, mais n'est pas inoubliable, loin de la.
Très bon film, un scénario qui tient bien la route , l'actrice principale joue très bien et c'est assez gore...tout est la pour faire de dream home un film à voir pour les amateurs du genre. 3,5/5
agréablement surpris de ce film sans prétention. la photographie est soignée, le scénario est simple mais efficace avec un mise en scène intriguante et de bons acteurs.
Enfant, Cheng Lai-sheung pouvait admirer le quartier Victoria de Hong-Kong depuis les fenêtres de l'appartement familial. Elle s'est juré qu'un jour elle s'offrirait un appartement sublime avec la même vue. Les années ont passé, et Cheng n'a pas oublié son serment. Elle assume deux jobs en même temps et va même jusqu'à voler des données pour les revendre à la concurrence. Mais elle ne va pas en rester là !
Edmond Pang cinéaste Hong-kongais talentueux du 21ème siècle découvert à travers son film à sketches Trivial Matters ou encore Exodus, film bourré d'humour noir. Avec Dream home, il déverse vers un registre horrifique, à mis parcourt entre le slasher et le drame, cuvée gore.
Le récit se divise en 2 parties parallèles : on suit les ruses d'une jeune femme pour arriver à son but ; l'autre réside une véritable boucherie ; débutant par une scène de strangulation pour ouvrir le balle meurtrier, on suit dès lors une folle soirée ensanglantée.
Il vient s'entrecouper des flashbacks d'enfances sur-explicatif des causes et ambitions de l'anti-héroine névrosée d'un rêve obsessionnel. La répétition casse la tension entrepris, dé-rythme le spectacle sanguinaire, tout en apportant un facette d'humanité à ce massacre.
L'esthétisme accordé aux vue rurales et aux scènes trash des exécutions poussé La photographie contrasté par le portrait sordide d'un Hong-Kong sali dans les arnaques immobilières jusqu'au résidents grossiers et vicieux.
Le réalisateur accorde originalement la crise économique à l'horreur par l'exécution de la copropriété en guise de solution lucratif.
Sans limite, Dream Home expose des massacres des plus jouissif. Un surf satirique sur la crise du logement. Edmond Pang mélange les genres pour un résultat plaisant, ambiguë, parfois brouillant malgré une mise en forme appliqué.
Un film qui démarrait bien avec une tueuse sans pitié , mais l histoire et surtout la fin s essouffle beaucoup , de plus la fin ne réserve pas de surprises.