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Gabith_Whyborn
38 abonnés
842 critiques
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4,0
Publiée le 26 mai 2013
Excellent film d'horreur, c'est gore, jubilatoire et violent. Une jeune femme va tout faire pour obtenir l'appartement de ses rêves. L'actrice principale est très crédible et les effets spéciaux sont très réussis. Si vous voulez voir du sang et de la violence vous ne serez pas déçu avec Dream Home.
Un slasher particulierement VIOLENT et GORE à souhait ! L'héroïne du film, mi ange mi demon, n'a vraiment aucune pitié et bizarrement elle parvient (facilement) à nous prendre par la main pour la suivre dans ses délires les plus mordides tout le long du film...
J'avais le film il y a pas mal de temps, je me souviens juste d'une femme prête à tout pour avoir un appartement dans ces grandes tours de verre quitte à faire le prix de celui ci en commettant des meurtres sauvages. Si au début on a de la sympathie pour elle, on finit par être horrifié des crimes qu'elle commet, tant il n'y a aucune excuse dans son sadisme à faire souffrir ses victimes. Ces derniers ne valent peut être pas mieux mais leurs faiblesse, sont tellement humaines qu'on les retrouve chez chacun d'entre nous. C'est un film qui m'a laissé un malaise, et que je n'avais pas envie de revoir.
A l’image de pas mal de films d’horreur asiatique, ce "Dream Home" ne fait clairement pas dans la demi-mesure. La mise en scène est très efficace, surtout lors des séquences de meurtres qui s’avèrent extrêmement gores et assez insoutenables par moments. On notera aussi la très bonne performance de Josie Ho qui est aussi charmante qu’ignoble dans le rôle de la meurtrière, la présence d’un scénario malin au sujet de la crise économique, et aussi de maquillages de tout premier choix. Une excellente réussite donc que cette œuvre horrifique qui devrait à n’en point douter combler et satisfaire les fans de film radicale et trash.
Ne visionnant que rarement des productions Chinoises. Ce doit dire que celle-ci m a plutôt impressionné. De part- le jeu de l actrice principale et son avancée et quelques flashback pour savoir plus ou moins ou cela l a emmené (même si cela ne reste pas une excuse" "). Et le scénario. Assez simple, pourquoi pas basique mais relativement original sur le "global". Abordant par la même occasion les soucis que l on trouve un peu partout sur l immobilier notamment. Tout cela va partir de là. Avec une actrice jolie, a qui on donnerait le bonheur sans confession... Mais qui s adonne à d autre activité que l on ne pourrait penser. L ensemble tient le rythme et on ne s ennuit pas spécialement. Les multiples meurtres quasiment tous avec un peu de créativité (même si elle ne paraît pas voulu et que cela sonne parfois un peu mais comme souvent). De même pour que dans un même secteur côté flics ils doivent faire figuration ou ne pas exister du côté de cette ville..lol. Bref, aucune attente au départ malgré une interdiction au moins de 16ans, qui je pense et plutôt nécessaire (loin d un happy birthday- black christmas etc... sorti récemment). Mais j ai fini le film plutôt convaincu par ce que je venais de voir et le recommande aux amateurs du genre.
Le cinéma Hong Kongais sait se diversifier, la preuve en est avec Dream Home (2010), qui allie habillement film d’horreur et réflexion sociologique en parallèle avec la crise du logement qui frappe Hong Kong au moment même où les Etats-Unis subissent de plein fouet leur crise des sub-primes. Plutôt étonnant de mêler la crise du logement à un film d’horreur et pourtant, Pang Ho-Cheung le fait avec beaucoup d’habilité en réalisant une œuvre à la photographie soignée et aux décors urbains soigneusement mis en valeur grâce au procédé appelé "tilt-shift"(un effet photographique qui permet de donner un aspect de maquette ou de miniature aux images). Mais à côté de cela, le film se démarque par son côté extrêmement gore et sanguinolent (d’où l’interdiction aux moins de 16 ans). Le film narre l’histoire de Cheng Lai-sheung, qui désire plus que tout, acquérir un appartement avec vue sur la baie. Mais ce n’est pas avec son job minable de télévendeuse (où elle doit jongler avec un deuxième travail) qu’elle parviendra à se payer l’appartement de ses rêves. Pour y parvenir, elle ne reculera devant rien, même si pour cela, elle doit utiliser la manière forte. Attention, âmes sensibles s’abstenir car le film nous réserve son lot de scènes choc [SPOILER](entre l’étouffement d’une femme enceinte en passant par les égorgements et une éviscération en mode boucherie, sans oublier le meurtre coïtale parfaitement mis en scène ou les nombreuses autres mises à mort avec différents objets)[FIN SPOILER], Pang Ho-Cheung ne lésine devant rien pour assouvir son besoin de scènes macabres et le résultat vaut le détour (pour les amateurs du genre).
La crise immobilière pour fond d'un Falling Down (1993) version gore. Pétage de plomb dans un immeuble pour y faire chuter les prix. Habillement monté et très efficace dans ses effets, Dream Home marque immédiatement les esprits. On comprend difficilement le choix de caractère, de cette douce jeune fille magnanime et un peu empotée, puis cette brusque facilité à en venir aux faits; Mais disons-le, dans le gore y'a pas de limite. Et pour autant, c'est déjà une belle façon de nous le faire penser en axant une bonne partie à cette étude, sans jamais nous faire décrocher.
Dream Home avait pourtant un pitch intéressant, mais il ne parviendra jamais à intéresser tout le long du métrage, la faute à un montage bourré de flashback brouillon ce qui rend vraiment pas clair la lisibilité du film. Une narration auquel on aurait pu s'y accrocher est totalement aux abonnées absents. Dommage encore, car certaines scènes (les mises à mort) restent quant à elle très réussie ...
Dream Home avait tous les ingrédients pour être un bon film d’horreur mais qui est complètement maladroit dans sa manière de raconter son histoire. La narration est un fourre-tout où les scènes de meurtres sont trop coupées par des scènes du passé longues et inintéressantes dans le sens où elles arrivent très souvent pour casser le rythme.
Le film démarre avec une petite scène de meurtre sanglante et un générique de début assez long. En soit, tout ce que le film présente est globalement bon et intéressant. Sauf que tout est montré n’importe comment. Les scènes du passé coupent sans arrêt les scènes au moment présent. Les scènes du présent correspondent surtout au carnage. Un carnage dans deux appartements exactement. Les scènes du passé servent à montrer l’enfance de Cheng et à donner surtout une moralité et un sens à la tuerie ensuite. Le problème vient du fait qu’on prend presque aucun plaisir dans tout ce qu’on voit. Les scènes de meurtres ne durent même pas 5mn pour être ensuite coupées par des scènes du passé. Parce que même à travers ces scènes du passé, c’est un foutoir temporel (on est deux minutes en 2004 pour être ensuite trois minutes en 2001 pour revenir une minute en 2004). Ça empêche donc au film de dégager toute ambiance dans le présent. Pourtant, ces scènes de meurtres sont plutôt bien et gores (le meurtre avec l’aspirateur est très suffocante). Ça n’empêche pas d’avoir une scène un peu invraisemblable (une victime qui se relève après qu’on lui a embroché la bouche d’une longue planche à bout pointue ; une réaction bizarre des policiers à voir cette même victime comme la véritable menace).
Dream Home n’est donc pas un mauvais film objectivement (bien au contraire) parce qu’il y a du bon contenu mais sa structure narrative m’a vraiment dérangé. Je n’ai accroché à presque rien parce que ce n’est pas assez posé et le scénario est un bordel temporel. Par contre, voir des boobs Asiatiques en full HD c’était bien sympa.
A ne pas mettre devant n'importe qui. Ce film est une dénonciation de la montée du capitalisme à n'importe quel prix sur Hong Kong en mettant en avant une folie meurtrière qui se veut justifiée pour atteindre un droit au logement de son choix...Des scènes très crues et paradoxalement qui s'arrêtent où il faut sans aller vers le trop gore. Néanmoins dérangeant si pas habitué. A voir si vous vous en sentez capables...
Un des meilleurs films de gérardmer, la folie meurtrière représentée par des crimes odieux et originaux. On n'attend pas une demi heure pour nous mettre dans le vif du sujet.des flash-back progressifs qui nous montrent le pourquoi du comment, cette folie meurtrière qui peut paraitre tout de même un peu poussée à l'extrème mais c'est peut-être ce qui est excitant en regardant ce film. Le scénario n'est pas forcément super original mais avec une mise en scène et une photographie réussi c'est un film à voir. [16/20]
Le cinéma Hongkongais a de la ressource et nous le fait savoir par le biais de cette fable contemporaine extrême. Fable tellement ça semble absurde et pourtant tiré de faits réels ... Hong-Kong, cité scindée en deux, en pleine expansion d'un côté et complétement décadente de l'autre, un personnage central modeste mais qui se jure de passer de l'autre côté un jour. Le décor est planté et on embarque dans un drame familial classique mais avec tout de même une scène d'entrée qui laisse songeur. On avance lentement en terrain obscur, avec nombre de flashbacks explicatifs avant que l'on saisisse les véritables intentions de la demoiselle et là, c'est la boucherie ! Des meurtres brutaux au possible, une détermination sans faille et un bain de sang discontinu vont s'enchaîner sans temps mort pour le plus grand bonheur des amateurs de gore. Techniquement c'est réussi avec une ambiance bien dosée et une photographie léchée et très belle, le fond n'est pas en reste avec une joyeuse critique du capitalisme et des divergences entre castes de la même cité, visuellement c'est donc très intéressant mais il n'en reste pas moins qu'un ou deux effets spéciaux laissent à désirer, malgré tout on n'en tiendra pas rigueur tant le déroulement est surprenant et tant l'ensemble constitue une véritable bonne surprise. A découvrir pour les amateurs du genre mais pour un public très averti tout de même.
Une jeune femme rendue folle par la vie urbaine et le capitalisme sauvage, se livre à un jeu de massacre pour faire baisser le prix d’un appartement avec vue sur la mer. A la fois satire sociale et film gore réjouissant et inventif, « Dream home » n’est pas loin de rappeler les grandes heures de la catégorie 3, disons juste catégorie 2,5 avec des pointes à 2,9.
L'inventivité des meurtres et les effets spéciaux incroyables font de "Dream Home" un excellent slasher. Malheureusement, en voulant apporter à son film un constat social (la crise de l'immobilier), Pang Ho-cheung bride l'énergie rafraîchissante de son film avec des flash-backs un peu lourds.
Etant amateur de films gores, j'ai plutôt bien apprécié la totalité des scènes de ce type dont "Dream Home" est avantageusement munies. En revanche, le scénario est bidon au possible. La chronologie de l'histoire, complètement destructurée par de nombreux flashbacks, cassent vraiment le rythme du film et les transitions entre le présent et le passé sont faites maladroitement. Le plaisir en prend un sacré coups. De plus, les acteurs et les dialogues ne volent, dans l'ensemble, pas trés haut. A voire mais pas plus d'une fois....